Ce matin à 8h30 nous sommes allés faire une balade à Cabrières. Nous étions à 4 (Magalie, Mathilde une amie, Fred et moi Marion). Nous avons posé la voiture au parking de la Cave coopérative à Cabrières dans le 34. Nous avions mis des débardeurs et tee shirts avec une veste ainsi que des shorts car il faisait déjà très chaud. Evidemment les personnes du village vous regardent un peu (4 femmes et un mec, le mec s’est surtout pour éviter les rencontres désagréables. Nous avons trouvé le sentier et nous avons débuté la marche. Après 10mn, nous sommes arrivés à un sous-bois, une idée est passée dans la tête des femmes. Nous nous sommes déshabillées ainsi que notre homme et juste garder les baskets. Et nous avons commencé la marche, nus. Il faisait chaud et nous étions comme des nudistes les seins, la chatte et le cul à l’air. Magalie était devant et on voyait son petit cul ouvert, suivie de Mathilde, ses longs cheveux à l’air, petits seins, puis moi avec mes seins lourds et Fred qui fermait la marche. Sur le sentier, Fred est resté debout nu et on s’est approchées pour toucher sa bite et le sucer chacune son tour. Il n’y avait personne. Sa bite a été raide et nous commencions à mouiller. Mathilde et moi on s’est caressées l’un contre l’autre et à nous embrasser. Magalie pompait Fred avec douceur et lui suçait les boules, un à un, elle avalait sa grosse queue au fond de sa gorge. Celui-ci la tenait par sa queue de cheval et faisait entrer son pénis au fond de sa gorge, puis la ressortait avec un long filet de bave. La bite s’enfonça toujours plus loin en Magalie qui tenait Fred par les fesses. Devant cette pipe, j’ai mis un tee shirt par terre et j’ai allongé Mathilde pour lui sucer le sexe. Le soleil bronzait sa peau et ses seins avaient l’air si exquis. J’ai embrassé son sexe et ses seins, elle fît de même avec mes seins et mis une main à mon minou. Puis nous avons frotté nos minous l’un contre l’autre et j’ai collé mes seins contre ceux de Mathilde et nous nous sommes embrassées avec tendresse. Nos sexes se frottaient davantage, Magalie laissa Fred et vint mettre deux doigts dans mon cul pour mon plaisir. Elle mit des doigts dans le sexe de Mathilde. Fred se mit à genoux et encula Magalie, qui poussa un cri. La bite entra en elle comme, dans du beurre. Fred écartait le cul pour bien entrer au plus profond, Magalie disait :’’Oui, encule-moi, j’ai trop envie’’. Je suis sortie sur Mathilde et laissé Magalie lui sucer la chatte tandis que je donnais à Fred mes seins pour sucer, et ses doigts au fond de mon vagin trempé en me masturbant. Le soleil nous tapait bien la peau. Fred nous dit qu’il y avait plus loin une étendue d’herbe fraîche (car il a déjà fait ce parcours et cette randonnée n’attire guère le monde, au détriment du Pic St Loup ou du Ravin des Arcs)
Trempées nous nous sommes levées en nous caressant nous les femmes ainsi que Fred. Au bout de 5 mn, nous sommes arrivés une petite surface assez plane dans le sous-bois, où nous étions à l’aise mieux que sur la caillasse. Mathilde avait trop envie de cette queue, sans attendre elle suça cette grosse queue, Magalie et moi, nous avons embrassés Fred en lui caressant le torse, les tétons et lui donnant chacun son tour nos seins à sucer. Fred mis ses doigts en moi ainsi qu’en Magalie et portait ses doigts remplis de mouille à sa bouche. Sentant que Fred allait éjaculer, nous sommes mises accroupies devant sa bite pour qu’il éjacule sur nos visage et cheveux. Mathilde n’aimait pas sentir le sperme sur son visage, mais Magalie et moi, nous l’avons embrassé ensemble pour qu’elle soit détendue. Fred lâcha sa semence sur nous et ce fut une belle jouissance. Mathilde prit la bite et la pompa jusqu’à la dernière goutte. Magalie et moi, on se suçait chacune le sperme sur le visage de l’autre en appréciant le nectar. Puis Fred mit Mathilde debout et enleva de son visage son sperme en le suçant et embrassant Mathilde avec, passa sa langue sur ses seins pour lécher le reste de sperme. Il vint vers Magalie pour faire la même chose et vint enfin vers moi pour la même opération. Moi je l’ai tenu contre moi et je l’ai embrassé à la folie son sexe contre mon sexe. Puis on s’est embrassé à 4 ,tout en nous caressant le dos, les seins et 2 ou3 d’entre nous avaient la main sur le sexe de Fred. Pour faire à nouveau démarrer mon mec je sais qu’à la vue de mon minou, sa bite se redresse. Fred s’est mis sur le dos par terre, J’ai mis mon sexe sur sa bouche en sentant sa langue en moi, Magalie s’enfonça sur son pieu et Mathilde s’intercala entre moi et Magalie, je pus caresser son dos, ses cuisses et me pencher pour trouver sa langue. Magalie se penchait en arrière pour sentir la grosse bite lui déchirée les entrailles. Mathilde prit beaucoup de tendresse à embrasser Magalie, sucer ses tétons et lui caresser le ventre. Moi de mon côté je sentais la langue de Fred au fond de mon minou qui ruisselait d’amour et de désir. Après de longs va et vient, Magalie changea de position pour sentir la grosse bite dans son cul, Mathilde se tourna vers moi, on s’est embrassées et caressées en même temps nos seins. J’ai aimé sa langue avec ma langue et on se pinçait les seins. Après un petit moment on a avancé, Magalie est venue sur la bouche de Fred, moi je me suis déplacée à son ventre et Mathilde a mis la queue dans son cul pour commencer. J’ai caressé ses fesses, donné quelques claques dessus. Magalie faisait passer son minou et son cul sur la langue de Fred, ce dernier lui tirait sur les seins et caressait son corps. Il tirait sur les cheveux longs de Magalie qui était aux anges. Cette salope m’embrassa le dos et caressa énergiquement mes gros seins. Puis sortit sa chatte de Fred et vint se mettre devant Mathilde, elles se partagèrent la bite de Fred, une fois en Mathilde, une fois en Magalie. Moi je me suis penchée pour faire passer mes seins sur la langue de mon homme en l’embrassant quelques fois. A chaque fois que sa bite entrait dans l’une ou l’autre elle devenait toujours plus grosse, il éjacula en Mathilde puis en Magalie qui voulait sa part. Nous sommes mis un peu allongées sur l’herbe, en suçant la bite qui venait d’éjaculer en nous embrassant avec le goût de sperme. Fred prit soin par la suite, de nous allonger les unes contre les autres, et nous gratifiait de son superbe cunni chacune son tour et on préparait nos sexes en nous touchant et en nous caressant les autres. Nous nous sommes reposés à 4 une de chaque côté, et la dernière dessus. Nous avons entendu des craquements, sûrement des voyeurs voulaient savoir ce qu’il se passait dans le sous-bois. Fred est allé voir nu, il revint nous dire que c’était des chèvres sauvages. Nous avons pris un bain de soleil, les seins et le minou à l’air puis côté dos comme une belle escalope et pendant ce temps nous faisions de douces caresses sur les corps de chacun. Nous sommes embrassés longtemps et nous avons pris beaucoup de plaisir au soleil. Puis nous avons repris la marche (vraiment désert cet endroit juste des vignes) et nous sommes arrivés à un court d’eau. L’eau était froide, on a voulu baiser dedans mais c’était trop glacé. Mathilde avait compris comment faire relever la bite de Fred, elle s’aventura dans l’eau froide et se mit en position le cul en évidence. Fred vint à sa rencontre et l’encula tranquillement. Nous fîmes la même chose ainsi Fred entra dans le cul de Mathilde, puis vint en moi et partit dans celui de Magalie. Nous aimions sentir sa bite au fond nous et sentir l’eau froide sur nos jambes. Nous étions très chaudes et Fred demanda :’’ laquelle de ces salopes veut que j’éjacule en elle’’, notre réponse : ‘’toutes’’. Fred était en Mathilde, un coup plus violent de bite en elle, lui fit tomber dans l’eau. Elle fût saisie, l’eau froide avait fait pointer ses seins, elle avait des frissons. Nous nous jetâmes à l’eau avec Fred, nous étions dans le même état que Mathilde, nous nous sommes rejoints pour nous réchauffer tous les 4. Et pour finir nous avons masturbés manuellement Fred jusqu’à qu’il jouisse en laissant tomber dans le ruisseau sa délicieuse semence. Par la suite, nous avons trouvé des rochers, où nous avons pu nous détendre en écartant les jambes afin que le soleil réchauffe nos corps. Nues sur les rochers, nous avons fait l’amour chacun notre tour avec Fred tandis que les autres se réchauffaient au soleil.
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