Bruno suit une formation de vendeur ; dans son cursus, il doit trouver un stage dans un magasin. Sa passion, c’est les vêtements. Il suit de près toutes les nouvelles tendances, il achète de nombreux magazines de mode masculine ; il y apprécie les vêtements, mais aussi les mannequins, généralement tous plus beaux les uns que les autres – il faut dire que Bruno aime les garçons. Lui-même avait essayé de devenir mannequin : plutôt mignon, blond, le visage assez carré, des lèvres bien dessinées, un torse assez musclé mais pas trop… Hélas, ses ambitions n’avaient pas trouvé à se réaliser, quelques photographes véreux avaient profité de lui durant des séances photo, et il n’avait pas trouvé d’agent.
Tout naturellement, Bruno cherche à faire son stage dans une boutique de mode masculine. Il trouve assez facilement, grâce à un de ses anciens amants, un poste de stagiaire au rayon sous-vêtements d’un grand magasin. Son rêve ! Pouvoir toucher, ranger, et surtout conseiller, slips, caleçons, mais aussi strings ou même jockstraps. Il faut bien reconnaître que l’inventaire du rayon est particulièrement bien fourni. Une vraie machine à fantasmes pour Bruno qui se prend à imaginer que des clients l’invitent à venir donner son avis jusque dans les cabines d’essayage.
Jusqu’au jour où le fantasme est devenu réalité. Lorsque ce client est entré, Bruno est tout de suite tombé sous le charme : grand, brun, une belle carrure, des yeux verts pétillants, et une classe folle ! Il fait le tour du rayon des slips, sort quelques boîtes, hésite. De temps en temps, il jette un coup d’œil sur Bruno, puis finit par l’appeler :
– J’aime bien ces slips blancs H*** mais j’ai peur qu’ils ne soient trop classiques.
– Non, monsieur, ils ont une coupe de mini-shorty ; on est loin du kangourou.
– Ah bon ?
– Je vous assure.
– Croyez-vous que je puisse l’essayer ?
– Bien sûr ; les cabines sont là.
Le client entre, ferme la porte. Au bout de quelques minutes, il appelle Bruno :
– S’il vous plait, pourriez-vous me donner votre avis ?
Bruno entre à son tour dans la cabine et découvre le jeune homme vêtu du seul slip. Ce dernier ferme le verrou de la porte. A travers le tissu, Bruno voit un sexe en semi-érection qui en dit long sur les intentions du client : déjà épais, pas très long.
– Vous aviez raison, la coupe est moderne, mais je ne suis pas sûr d’avoir pris la bonne taille. Voyez comme mon sexe semble serré.
– Il est vrai qu’il me semble d’un beau volume. Si vous le permettez, je peux ajuster sa position.
Sans attendre de réponse, Bruno s’agenouille et prend la verge du client en main, à travers le slip. Elle continue d’enfler, et le slip devient en effet de plus en plus petit pour la contenir. Elle n’est qu’à quelques centimètres du visage du Bruno. Il tend les lèvres et pose sa langue sur cette queue, sur le gland, et commence à faire des allers-retours le long de cette tige épaisse. Le tissu devient humide de sa salive et de l’excitation du client, qui commence à doucement gémir. Le slip ne peut bientôt plus contenir le sexe du client : un gland bien dessiné et assez large passe par-dessus l’élastique. Bruno en profite pour l’engloutir ; de ses mains, il abaisse le slip et commence à caresser les testicules, bien rasés du client. Une légère odeur se dégage, qui excite davantage Bruno.
– Arrête-toi un instant, je vais jouir…
Bruno s’exécute, il veut prolonger cet instant. Le client le relève, et commence à caresser le corps de Bruno, il soulève le tee-shirt, passe sa main dans la ceinture, défait la braguette du pantalon ; ses gestes sont précis et experts. Lorsque le pantalon descend sur les cuisses fermes de Bruno, il laisse apparaître le même slip que celui que le client vient d’essayer. La queue de Bruno y est très à l’étroit. Le client retire le slip de Bruno et commence à rendre sa fellation au jeune vendeur : il lèche les bourses, la queue, le gland, puis gobe l’ensemble. Il lèche, fait tournoyer sa langue, remonte, redescend, puis brusquement s’arrête. Il retourne Bruno, le fait se mettre à quatre pattes, et recommence ses jeux de langue, sur la rosette du vendeur. Bruno ressent chaque coup de langue comme une décharge électrique, son trou se détend et la langue pénètre un peu plus à chaque fois, ses jambes tremblent, il peine à retenir ses cris pour ne pas attirer l’attention. Le client remplace sa langue par un doigt, puis deux, afin de préparer Bruno.
Il prend un préservatif dans la poche de sa veste, le déroule avec précision sur sa tige, s’approche des fesses de Bruno, qui n’attend que cela, et commence à pénétrer, doucement, lentement, jusqu’à ce que le cul de Bruno ait absorbé toute sa queue. Puis il commence ses va-et-vient, en alternant les rythmes lents et rapides. De sa main droite, il branle Bruno. Ce dernier ne saurait dire combien de temps a duré cette chevauchée. Chaque coup de boutoir du client se répercute dans sa queue, il n’en peut plus, il crie tandis que de longs jets de sperme s’échappent de on sexe et viennent s’écraser… sur le slip essayé par le client ! La jouissance de Bruno contracte son sphincter, le client ressent cette pression sur son sexe et, lui aussi, explose. Un sperme épais vient remplir la capote.
Les deux hommes se rhabillent rapidement, sortent de la cabine, et se retrouvent nez à nez avec le chef de rayon, attiré par les gémissements, cris et grognements qui s’en étaient échappés. Bruno est plus rouge que les strings de son rayon sexy ; le client, très calme, tend le slip souillé au chef de rayon :
– Ce modèle me convient très bien, j’en prends une dizaine. Votre vendeur est très persuasif, peut-il venir faire la livraison chez moi ?
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