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Ch. 9 : Lettre à Laura (10)

Ch. 9 : Lettre à Laura (10)



Je me souviens de tout, je me souviens de nous.

Je me souviens du mariage de ton cousin.

C’est le dernier weekend de juin 2006, que ton cousin Vincent et sa future épouse Géraldine, ont décidé de s’unir. Cela fait des semaines que tu m’en parles, et toi et ta sœur attendez ce jour avec hâte, car c’est le premier mariage auquel vous allez assister. Pour ma part, cette journée va être faite de rencontre car je ne connais ni les mariés, ni la plupart des personnes présentes, à l’exception de tes parents.

Quelques jours plus tôt, en rentrant en tramway d’un après-midi shopping, où nous avions fait des achats pour le mariage, l’interprète d’une chanson nous opposa. Je suis persuadé que c’est Martin Solveig et toi tu maintiens qu’il s’agit de Bob Sinclar.
Avant de vérifier la réponse sur Internet en rentrant, on s’accorde pour que le gagnant donne un gage au perdant.
Pari tenu. Si tu gagnes, je devrais porter un de tes string le lendemain.
– Ok, mais si je gagne, tu iras au mariage sans aucun sous-vêtements.
– Non, pas ça, tu es dingue, il y aura toute ma famille.
– De quoi tu as peur, puisque tu es sûre d’avoir la bonne réponse…
Après vérification, il s’est avéré que j’avais la bonne réponse. Tu es dégoutée et tu me demandes un autre gage.
– Pas question, tu as perdu, dommage pour toi.
Tu abdiques en m’insultant d’enflure.
Je savoure ma victoire et maintenant j’ai hâte d’être au jour-J.

La date fatidique est arrivée, nous avons rendez-vous à la mairie à 15h. Nous avons une heure de route et c’est ta sœur et son chéri qui vont passer nous prendre.
Petit réveil en douceur, un gros câlin sous la douche et nous nous préparons pour les festivités.
Lorsque tu sors de la salle de bain, je reste scotché, tu es somptueuse. Tu es coiffé d’un chignon, de belles boucles d’oreille, tu es toute pouponnée. Tu portes une jolie robe bustier bleu-nuit qui s’arrête à mi-cuisses, une fine ceinture blanche en guise d’ornement et des chaussures à talons aiguilles blanches. Bien évidemment, tu as respecté ton gage et tu n’as aucun dessous.

A l’arrivée de ta sœur, nous descendons de l’immeuble. Nous mettons nos affaires dans le coffre, puis on se fait la bise. Elle n’ose me regarder en face, je ne l’ai pas revu depuis le weekend chez tes parents, où elle nous a surpris dans le cabanon. Elle semble toujours gênée d’avoir vu mon entrejambe.

Après le traditionnel discours du maire, puis la cérémonie à l’église, nous commençons enfin la journée par le vin d’honneur. Tu me présentes ton cousin et sa femme.
Géraldine est une femme de 28 ans, blonde, fine, d’humeur sociable, mais pas très belle à mon goût malgré sa robe et son maquillage qui la mettent en valeur, mais bon il en faut pour tous les goûts.

L’endroit est vraiment très chouette. La salle des fêtes louée pour l’occasion se trouve en dehors de la ville, dans un petit parc, proche d’un étang. Puis nous regardons le plan de table et nous trouvons notre place à côté de tes cousins et cousines. Et le plus drôle, c’est que ta sœur mange en face de moi, elle qui n’ose plus me regarder dans les yeux, ça nous fait sourire. Par contre, moi je n’hésite pas de la mater, enfin surtout son magnifique décolleté. Plusieurs fois pendant le repas je louche discrètement entre ses grosses mamelles.
La soirée est belle, les bouteilles de vins et de champagne défilent sur notre table. Cela nous rend joyeux et coquins.
Sous la table, ma main caresse l’intérieur de ta cuisse et frôle ton petit chaton. Je vois bien que cela t’émoustille à ta façon de me regarder et de me parler.

C’est l’heure du bal, nous dansons beaucoup. Tu es très câline sur la piste, tes mains ne cessent de peloter mes fesses et tu te colles souvent contre moi. Tu sais que le moindre faux pas permettrait à tout le monde de voir que tu n’as pas de culotte et cela à l’air de t’exciter.
Lors d’un slow, tu me mordilles le lobe de l’oreille en me disant que tu as envie de baiser. Je te chuchote à l’oreille d’être patiente, qu’en rentrant je vais te démonter et mes paroles te font mouiller.
Nous faisons une pause et retournons à notre table. Tout en buvant une flûte de Champagne, je demande à Sandrine pourquoi, elle et Jérôme, ne dansent pas. Elle me répond d’un ton sec que son compagnon n’aime pas danser. Visiblement cela l’agace de ne pas s’amuser en ce jour si festif. Je prends alors l’initiative de l’inviter. Elle refuse. Mais j’insiste.
– Allez viens, tu ne vas pas rester comme ça toute la soirée, je ne vais pas te mordre.

Je me retrouve sur la piste avec ta sœur, nous sommes collés-serrés, je sens ses gros seins contre mon torse et je me tape une grosse trique.
J’en profite pour m’expliquer avec elle.
– On t’a choqué avec Laura l’autre jour?
– Non, pourquoi?
– Bah, tu ne me parles presque pas et tu oses à peine me regarder.
– Ça ne m’a pas choquée, mais j’avoue que je suis un peu mal à l’aise.
– Pourquoi, il ne faut pas. C’est plutôt nous qui devrions être mal à l’aise.
– Je sais, mais ça m’a un peu perturbée de voir ma sœur toute nue en train de te…enfin tu vois.
– Encore une fois, excuses-nous, mais entre Laura et moi c’est très fort et on est très porté sur le sexe, on a souvent du mal à nous retenir.
– Oui, bah ça je l’ai bien compris.
– Toi et Jérôme, ça ne vous est jamais arrivé d’avoir une pulsion comme ça et de tirer un coup à la va-vite?
– Si bien sûr, mais bon…
Je soupçonne qu’elle a envie de se confier mais qu’elle n’ose pas. Pour la mettre en confiance je lui dis que si elle a besoin de parler, je suis à son écoute, que tout ce qu’elle aura à me dire restera entre nous. Elle a ingurgité quelques verres d’alcool auparavant et sa langue se délit:
– Sexuellement avec Jérôme, il ne se passe plus grand chose.
– C’est normal ça fait pratiquement 6 ans que vous êtes ensemble, c’est compréhensible que vous ayez moins envie l’un de l’autre.
– Mais lui, il a envie, c’est moi, je crois que j’ai plus trop de désir pour lui.
– Mais tu l’aimes?
– Oui, mais comment te dire… Elle marque un temps d’hésitation et reprend:
– En fait, c’est chiant avec lui, c’est toujours la même chose, il n’y a aucune nouveauté, tu comprends?
– Oui, enfin je crois.
– Je le vois venir à des kilomètres, soit c’est quand on prend notre douche ensemble, soit c’est quand il a un coup dans le nez. Toujours les mêmes positions, j’ai l’impression que c’est juste pour son plaisir, juste parce qu’il a besoin de se vider.
– Mais tu prends tu plaisir quand vous le faites?
– Franchement, c’est rare, j’ai presque jamais d’orgasme.
– Et vous en avez parlé?
– Oui vite fait, mais ça rentre par une oreille et ça sort par l’autre.
– Et bien prends des initiatives, testes ce que tu as envie, en général nous les mecs, on ne refusent pas grand chose.
– Le problème, c’est que j’ai plus envie de faire des efforts, c’est toujours moi qui fait le premier pas.
– Je ne sais pas trop quoi te dire.
– Excuse-moi de te parler de tout ça, j’aurais pas dû, je vais encore avoir honte demain.
– Tu n’as pas à avoir honte.
– Si j’ai honte de moi, surtout depuis que je vous ais surpris avec Laura.
– Mais pourquoi?
– Parce que j’ai fantasmé plusieurs fois sur toi et sur ton sexe… Il est gros par rapport à Jérôme et j’y ai repensé plusieurs fois…j’ai honte d’avoir fantasmé sur le mec de ma sœur.
– Je comprends mieux pourquoi tu évitais mon regard. En tout cas je suis très flatté, mais tu n’as pas à avoir honte, c’est normal de fantasmer. Tu sais, moi aussi j’ai fantasmé sur toi.
– Ah bon?
– Oui j’avoue que ta grosse poitrine m’attire beaucoup, mais ça reste un fantasme simplement.
– Putain, je suis super étonnée, je ne pensais pas.
– Dommage qu’on ne soit pas célibataire, je t’aurais donné du plaisir toute la nuit…
– Arrêtes, tu vas me donner envie…
Nous sommes revenus nous asseoir en se promettant de ne jamais divulguer notre conversation.

Nous restons un moment à table, nous buvons quelques verres pendant que j’en apprends de bonnes sur ton enfance avec tes cousins. Tout le monde est ivre et je deviens de plus en plus chaud. Les sourires complices de ta sœur me rendent coquin car cela me plait de savoir que je suis désiré par quelqu’un d’autre. Et le fait que tu n’as aucun sous-vêtements me fait vibrer. Je te susurre des coquineries à l’oreille et ta main vient frotter mon entrejambe.

Il est tard lorsque l’on sort fumer une clope. Une petite brise s’est levée et je t’accompagne jusqu’au parking pour que tu prennes ton gilet à l’arrière de la voiture.
En chemin, nous entendons des couinements. Nous comprenons tout de suite ce qu’il se passe. Tels deux espions, nous avançons dans la direction des gémissements. Cachés derrière un tronc, nous épions un couple en pleine fornication dans l’herbe. Nous avons du mal à distinguer leur visage, mais pas le reste. L’homme est allongé sur la femme en missionnaire, son pantalon en bas des chevilles, il la besogne soigneusement. Cela nous excite de les regarder et de les entendre s’adonner aux plaisirs charnels. Mon érection est totale lorsque tu m’annonces que tu mouilles comme une folle. En bons voyeurs, nous restons jusqu’au bout afin de deviner qui sont ces diablotins.
Lorsqu’ils se relèvent et réajustent leurs vêtements, on découvre qu’il s’agit d’une amie de la mariée et d’un serveur du restaurant. Nous repartons discrètement au parking en rigolant.

Arrivés à la voiture, tu ouvres la porte arrière et tu te penches en avant pour att****r ton gilet, me dévoilant ton fessier. C’en est trop pour moi, j’ai des tâches de liquide pré-séminal plein le boxer depuis le début de la soirée, à force de bander, alors ma main vient caresser ta vulve encore humide. Je relève ta jupe et continue mes caresses sur tes fesses. Tu soupires et tu acceptes mon envie en te mettant à quatre pattes sur le siège arrière avec les fesses à l’extérieur. Je m’avance vers ta croupe et je bisoute tes fesses. Dans l’euphorie du moment, tu te laisses aller:
– Je veux que tu me lèches la chatte.
Je ne me fais pas prier. La pointe de ma langue vient s’engouffrer entre tes lèvres et je te lape avec gourmandise. Ton jus s’écoule dans ma bouche et me fait chavirer. Ma langue circule sur ton clito, j’aspire tes lèvres puis mon majeur te pénètre. Nous sommes surexcités, plus rien ne peut nous stopper et tes plaintes de plaisir m’encouragent à te faire encore plus de bien. J’écarte tes fesses et je démarre une délicate feuille de rose. Ma langue tourne vivement sur le pourtour de ta rondelle. Puis je la fourre le plus profondément possible dans ton rectum. Je savoure ton trou du cul avec passion.
– Hmm oui c’est trop bon, je veux ta bite, je veux ta bite. Tu te retournes vers moi qui suis toujours debout hors de l’auto. Tu défais ma ceinture, déboutonnes mon pantalon que tu abaisses en même temps que mon boxer. La vision de mon braquemart tendu te rend heureuse:
– Coucou ma belle, tu vas voir, je vais te sucer comme jamais.
Tu m’empoignes à la base et tu avales ma queue comme une gloutonne. La chaleur de ta bouche et tes aller-retour intensifs me font fureur. Je glisse mes mains dans ton décolleté et je saisis tes pointes raides. Je les pince, je tire dessus, je les triture dans tous les sens. Cela te rend chienne. Ta fellation s’intensifie, ma queue dégouline de ta bave. Je n’en reviens pas de ce que tu me fais, je suis en pleine extase, surtout lorsque tu me malaxes les couilles avec brio. – Hum, Laura, j’ai trop envie de te baiser.
Tu agrippes le col de ma chemise pour m’entraîner dans le véhicule. Assis à l’arrière, tu te positionnes sur moi à califourchon, tes genoux de chaque côté de mes cuisses.
Face à moi, tu enlèves ma chemise et tu embrasses mes tétons. Mon cœur palpite lorsque nos sexes se frôlent. Je prends ma pompe à sperme en main et du bout du gland, je chatouille tes lèvres trempées. Puis tout doucement, tu t’assoies sur mon chibre jusqu’à sa base. Tu pousses un long soupir de soulagement:
– Mmmmmmmhhh, enfin tu es en moi.
Tu entames de long va-et-vient sur mon tube de chair et petit à petit, tu accélères la cadence. Pendant que je te tête en pressant tes fesses, tu jouis en parlant:
– Han, han, c’est trop bon, je sens ta grosse bite, j’adore la sentir au fond de ma chatte!!!
Tu te cambres en arrière, la tête face au plafond de l’habitacle, tu me laisses diriger les débats en te maintenant par la taille. Je jubile en voyant ma tige entrer et sortir de ta grotte humide lors de mes coups de reins incessants.
– Retournes-toi, j’ai envie de t’enculer.
Ces paroles t’excitent et tu accèdes à ma requête. Tu te retournes difficilement car l’étroitesse de la twingo de ta sœur, nous empêche de nous mouvoir à notre aise. Mais ta souplesse n’a d’égale que ta beauté. Tu parviens à poser tes deux pieds sur mes genoux et à t’accroupir dos à moi. Tu es en équilibre et tu te tiens en entourant ma nuque de ton bras gauche et ta main droite plaquée contre le toit.
Je crache ensuite sur le bout de mes doigts et j’étale cette salive sur ton petit trou en te parlant crûment:
– Je vais te défoncer ma petite salope, je vais t’élargir le cul…
Ça te rend dingue et tu surenchèris:
– Vas-y espèce d’enfoiré, déchires-moi le fion, je veux sentir ta grosse bite, je veux que tu gicles dans mon cul de salope.
Je fourre mon gland dans ton trou qui se dilate, puis tu pousses pour que je te pénètre entièrement. Après deux ou trois lents coulissement, le rythme augmente. Nous râlons ensemble de plus en plus bruyamment. Nous sommes sur un nuage.
Malheureusement cet instant magique se brise lorsque la porte passager s’ouvre. Nous n’avons pas le temps de crier que nous sommes là. C’est la tête de ta sœur qui surgit. Nous ne bougons plus, ma verge toujours entre tes fesses, le seul réflexe que tu as es de cacher ta poitrine.
Mais trop tard, elle nous a encore surpris. Et contrairement à la fois précédente, elle n’est pas choquée ou gênée, elle est seulement très énervée:
– Putain, mais ce n’est pas possible, putain, mais vous ne vous arrêtez jamais!!!
Puis elle est partie en claquant la porte. Cela t’a refroidi, mais moi je ne peux pas rester comme ça. Quelques mouvements de bassin t’ont remise en route. Nous finissons cette sodomie infernale jusqu’à ce que j’expulse par saccades mon jus poisseux au fond de ton canal caverneux. On s’emballe une dernière fois et on remet nos vêtements afin de retourner au mariage.
Sur le bout de trajet tu me demandes inquiète:
– Tu crois qu’elle va m’en vouloir?
– Je ne sais pas, mais elle avait l’air plutôt furax.
Nous nous asseyons a la table tout penaud. Visiblement pas calmée, Sandrine te jette un regard froid:
– Laura, je peux te parler 5 min?
Vous sortez un moment et je comprends en vous voyant à travers la baie vitrée que vous vous disputez.
A ton retour, tu me debriefes votre conversation et je souris lorsque tu m’expliques que tu n’y peux rien si elle est mal baisée. Voyant la situation tendue entre vous, je décide de jouer au médiateur. J’invite à nouveau Sandrine à danser. J’essaye de la dérider en la faisant rire. Ça fonctionne.
– Pardonne la, elle n’y est pour rien, c’est moi qui l’ai provoqué. Et puis, c’est un mariage, c’est le jour de l’amour non?
– Oui enfin vous pourriez faire plus attention.
– C’est vrai, mais je t’ai déjà expliqué, c’est incontrôlable entre nous. Et même si c’est très gênant pour toi de nous avoir vu, tu devrais être contente que ta sœur soit heureuse et épanouie non?
– Oui, tu as des raisons mais il y a des limites.
– Mais c’est de ta faute aussi, j’étais excité après notre discussion.
– Et bien, tu ne manques pas d’air, me dit-elle en souriant.
Elle se tait, mais je sens qu’elle veut me dire quelque chose.
– Tu as un truc à me dire?
Elle se lâche et ose me demander:
– J’ai pas rêver, tu la prenais bien par…par derrière?
Sans complexe, je réponds que oui nous pratiquions la sodomie. Elle est devenue toute rouge:
– Franchement, ça me fait bizarre, je ne pensais pas que Laura était si…
– Coquine?
– Oui voilà.
– Bah si tu vois, mais ce n’est pas une tare.
– Non c’est pas ce que je veux dire, mais c’est super gênant d’apprendre la sexualité de sa petite sœur. Toi tu réagirais comment en apprenant cela de ton petit frère?
– C’est différent entre mecs, perso, moi je m’en fous, il fait ce qu’il veut tant qu’il est heureux. Mais je peux te poser une question?
– Oui, vas-y
– Tu n’es pas obligée de répondre, mais je vois que ça t’intrigue…
– Arrêtes de tourner autour du pot, crache ta pastille.
– Ok, ta déjà essayer la sodomie?
– Non, mais j’aimerais bien, mais j’ose pas le demander à Jérôme, encore moins depuis qu’entre nous…le sexe…enfin je t’en ai parlé.
– Oui, enfin ça reste un mec, il a déjà dû y penser, je suis sûr que si tu lui en parles il acceptera.
– Tu le penses vraiment?
– Oui, puisque je te le dis, et si jamais ça ne l’intéresse pas, moi je suis là, je te ferais goûter à cette expérience avec plaisir.
– Ha oui et ma sœur?
– Non, mais je plaisante.
– Oui, je sais bien, mais peut être qu’un jour…
– Seul l’avenir nous le dira.

Nous sommes retournés à table et vous vous êtes réconciliées. Nous avons trinquer avec une coupe de champagne tous les trois. La fin de la nuit fut festive et nous sommes rentrés tous ensemble à l’hôtel.
En me couchant, je repense à cette journée terriblement excitante. Toi et moi qui n’avons cessé de se chauffer jusqu’à craquer complètement et puis j’ai découvert ta sœur sous un autre angle. Et je suis convaincu qu’en motivant bien cette rouquine, elle pourrait devenir une sacrée coquine.

A suivre…

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