Histoires de sexe viol Histoires érotiques Histoires tabous

Chap 10 : Coiffeuses aguicheuses (1/2)

Chap 10 : Coiffeuses aguicheuses (1/2)



Cette histoire se déroule trois semaines après que Laura et moi nous sommes quittés. Elle est partie étudier en Irlande pendant un an.

De mon côté, je suis rentré chez mes parents pendant les 15 jours qui ont suivi, en attendant la rentrée à l’université.
Ces deux semaines furent compliquées, son absence me hantait. J’ai eu des coups de blues, de déprime.
Une séparation n’est jamais facile, mais pour moi, c’était ma première désillusion amoureuse. Le plus difficile était de savoir qu’on s’aimait toujours. Car oui, on s’est quitté par bon sens et non par désamour, pas à la suite d’une trahison ou d’une dispute. Peut être que cela m’aurait été plus supportable.

Je me morfonds les premiers jours, jouant aux jeux vidéo des nuits entières afin de penser à autre chose. De plus, c’était chiant de suivre les horaires imposés par ma famille. Il fallait respecter les heures de repas, aider dans les tâches du quotidien, aller voir les grands parents ou les oncles et tantes. Bref tout ça me gonfle un peu, j’ai presque hâte de reprendre les cours, enfin j’ai surtout hâte de reprendre ma petite vie tranquille dans mon appart. Mais c’est comme ça, c’est la vie. Et puis ma mère, pleine de compassion est au petit soin pour moi. Elle déteste voir son fils souffrir, lui, qui est habituellement si souriant et jovial.
Je ne vois pas mes potes, j’ai pas envie d’entendre les mêmes rengaines:
« C’est rien, tu t’en remettras, tu en trouveras d’autres et la célèbre une de perdue, 10 de retrouvées ».
Comment je pourrais retrouver une chérie? J’en n’ai absolument pas envie. Je ne regarde mêmes pas les filles dans la rue.
Bref, je n’étais pas au top, plus moi-même.

Pourtant, il y en a une qui aurait pu me réconforter et qui voulait le faire.
Marion, la meilleure amie de Laura. Alors elle, elle n’a pas perdu le Nord.
Le premier weekend qui a suivi le départ de Laura, elle m’a invité chez elle pour boire un verre. Elle me l’a proposé gentiment, histoire que je ne reste pas seul.
Mouais…mon œil. Je lui ai toujours plu, je le sais. Et même si c’est une très belle fille aux formes généreuses et qui, d’après ce que j’ai su, est très coquine, ce n’était pas le moment. J’ai donc décliné son offre poliment en prétextant que j’étais chez mes parents à Lorient, mais que je passerais la voir à mon retour sur Nantes.

À l’aube de la troisième semaine, je suis de retour dans la capitale de la Loire atlantique pour ma rentrée universitaire.
J’y retrouve mon quotidien, les cours, mon coloc, des copains.
Cette semaine intense me permet de m’évader de mes songes.
Le jeudi soir, on se fait une petite virée. Aucune soirée étudiante de prévue, mais j’accepte de sortir un peu avec mes camarades.
Après notre « festin » au Macdo, nous avons passé le reste de la soirée dans un bar. Les pintes de bières et les délires des copains m’ont redonné le sourire. Je vais un peu mieux. Je me suis même autorisé une petite branlette en rentrant devant un film de cul. Chose qui ne m’était pas arrivé depuis le voyage de ma rousse.
Bref ma libido ressuscitait. Et même si je ne pensais pas à me taper une nana tout de suite, cela allait arriver plus tôt que prévu. Que voulez-vous, on ne se refait pas.

Ce weekend là, je suis rentré chez mes parents. Ronan, mon coloc, rentre tous les weekend chez lui. Je ne voulais pas rester seul à m’ennuyer pendant deux jours, alors j’ai fait de même.
Le vendredi soir, je traverse donc la moitié de la Bretagne.
En arrivant, j’embrasse mes géniteurs et mon petit frère. Je file ensuite à la douche avant de passer à table.
Maman a préparé un bœuf bourguignon. Une chose est sûre, quand tu es étudiant et que tu rentres à la maison, le plus gros kif, c’est de retrouver les bons petits plats.
Pendant le repas, je débriefe ma première semaine. Ma mère est ravie et soulagée de me voir aussi expressif, de manger avec beaucoup d’appétit. Elle comprend que je me sens mieux.

Du coup, le samedi soir, j’ai accepté d’aller boire un verre avec quelques amis d’enfance dans le bar du coin. Je suis d’humeur festive, j’ai envie de me prendre une cuite, de me mettre la tête à l’envers.
Nous buvons quelques bières, en bavardant de tout et de rien. On parle foot, soirées, parfois de cul.
Soudain, on aperçoit Jean-François alias « Jef » qui déboule dans le bar-tabac pour acheter des clopes.
C’est un mec qui joue au football avec nous, mais nous ne le cotoyons pas plus que ça.
Il vient nous serrer la main et on lui propose de boire une mousse avec nous.

Je découvre un mec vraiment cool, il a beaucoup de charisme, il est bourré d’humour et de générosité. Et ce qui m’amuse le plus, c’est que tout comme moi, ce personnage haut en couleurs est un sacré fêtard.

Il est pratiquement 1h du matin, la plupart de mes potes sont rentrés. Nous ne sommes plus que 4 dans le bistrot. Moi, Jef, Gérald et sa copine Marie.

Les 3 bonhommes, nous sommes un peu ivres. Nous finissons nos breuvages accoudés au comptoir et le patron nous invite gentiment à sortir, il est l’heure de la fermeture de l’établissement.
On fume une clope sur le parking et Jef est chaud bouillant:
– Bon, on va pas se quitter comme ça, on va en boîte?
Je suis partant, Gérald aussi. Sa nana un peu moins.
Elle finit par accepter. Etant la seule apte à conduire, elle se propose de conduire à la condition de rentrer au moment où elle le décidera.
Nous lui disons « banco » à l’unisson.

A l’arrière de la voiture, j’en apprends un peu plus sur ce « Jef » plus âgé de 3 ans. Il travaille comme vendeur chez Jardiland et vit dans un appart en centre ville. C’est à ce moment que je commets une petite boulette:
– Tu es toujours avec Vanessa?
– Non, elle m’a quitté il y a quelques mois.
Il est un peu saoul et se confie à moi.
Il m’explique que cette salope est partie avec l’un de ses anciens potes après 4 ans de relation. Il le vit très mal, mais ne le montre à personne.
– Je suis sincèrement désolé
– Tu ne pouvais pas savoir.
Je lui explique que je suis également en convalescence d’un chagrin d’amour.
– Ce soir, Chris, toi et moi, on va se faire une fiesta de malade, on va oublier un peu nos histoires respectives et on va triper en boîte. Et puis, avec un peu de chances, on va tomber sur des belles nanas.

En entrant dans l’établissement musical, Jef serre la pince aux videurs. Visiblement c’est un habitué des lieux. Moi et les autres y sommes déjà venus quelques fois, nous connaissons les démarches, entrée et vestiaire.
C’est samedi soir, la boîte est pleine et on se demande si on va trouver une place pour se poser. Jef est serein:
– Ne vous inquiétez pas, on va prendre une bouteille et ils vont nous trouver une table. Whisky-coca ça vous va? C’est pour moi.
– Bah non, on va partager.
– Hey oh, vous êtes étudiants, moi je bosse, je peux me le permettre et puis ça me fait plaisir.
On n’a pas insisté:
– Merci, c’est sympa de ta part.
Il a passé commande, la serveuse à mis tout ça sur un plateau. Un verre de jus d’orange pour Marie qui fait le « Sam », 3 verres vides, une bouteille de sky, deux pichets de coca et un petit seau de glaçons.
Nous la suivons dans la salle, elle nous dégote une table avec banquette.

On prend nos aises, on se sert un premier verre et nous trinquons tous les quatres.
Soudain, ça braille sur la table derrière nous. On se retourne pour comprendre ce qu’il se passe.
Il y a là un groupe de nanas qui rigolent comme des folles.
Gérald se moque:
– Attention, les dindes sont de sorties, ça va glousser toute la nuit.
Jef renchérit:
– Moi, les dindes je les fourre.
Éclats de rire. Il enchaîne:
– Non mais sérieusement, il y en a une ou deux qui sont pas mal, tu ne trouves pas Chris?
– Oui c’est vrai, moi j’aime bien la petite blonde, elle est super mignonne.

Ce petit groupe est composé de 5 femmes de tout âge et elles s’amusent, elles chantent, vont danser par moment et boivent ensemble à ce qui ressemble à de la vodka-pomme.

Jef est le même genre de mec que moi, pas spécialement un crevard prêt à draguer tout ce qui bouge, mais si une opportunité se présente, il tentera de séduire la demoiselle.

Nous allons danser tous les quatres sur les musiques de radios, le dancefloor est assez vaste, nous avons une bonne liberté de mouvement. Je me lâche, je me défoule, oubliant ma tristesse des jours précédents au rythme des stroboscopes. Je suis plutôt bon danseur, et je remarque que le groupe de nanas regarde dans notre direction. On est repéré. Elles sont 5, nous sommes 2 à être célibataire. Peut être que certaines le seront aussi. Enfin, il faudrait avant tout entamer un dialogue pour le savoir et espérer quelque chose.

De retour à notre banquette pour consommer un autre verre, les filles crient de nouveau dans un fou rire collectif.
Jef leur dit en plaisantant:
– Mesdames un peu de calme s’il vous plaît. Sinon je vais sévir
L’une d’entre elles, coiffée d’une queue de cheval lui répond:
– Ah ouais, et que vas-tu faire?
– Je vais venir vous mettre une fessée chacune.
Elles rigolent toutes. La même jeune femme lui sourit:
– Moi ça ne me déplairait pas…
La glace est brisée, Jef me regarde le sourire au coin des lèvres:
– C’est bon, je crois que j’ai une touche.

C’est au moment des slows que tout va s’enchaîner.
Dès la première chanson, Gérald invite sa douce à danser. Jef et moi regardons la scène où les couples se forment, se câlinent, s’embrassent. Nous sirotons nos alcools lorsque la fille à la queue de cheval nous interpelle au début du second slow:
– Il y en a bien un de vous deux qui va m’inviter à danser.
Je vois bien qu’elle n’a d’yeux que pour mon nouvel ami, alors je lui laisse la place. Je les regarde disparaître dans la foule, devinant qu’ils succomberont à leur charme respectif.
Me voilà seul comme un con sur ma banquette.

Prenant mon courage à deux mains, je me dirige vers la table où les quatres femmes restantes me dévisagent.
Je propose quelques pas de danse à la charmante blondinette:
– Non merci, j’ai pas envie de danser.
C’est ce qu’on appelle prendre un gros vent.
Je me retrouve un peu bête devant cette brochette de femelles avinées, mais je ne me démonte pas, contrairement à certains mecs qui seraient retournés à leur siège tout penaud:
– Quelqu’un d’autre peut être?
– Oui moi je veux bien.
C’est l’une des deux femmes matures qui a accepté mon invitation.
C’est une petite brune aux cheveux bouclés. Elle n’est pas très séduisante à mon goût, mais je suis là pour m’amuser.
Elle est un peu ronde et lorsqu’on s’enlace pour le slow, je sens sa grosse poitrine s’écraser contre mon torse. Cela m’émoustille un peu.
Elle se prénomme Agnès, et cette quadragénaire est plutôt sympa, nous discutons bien ensemble:
– Elle n’est pas très sympa votre amie de me mettre un refus aussi catégorique.
– Qui ça Cynthia? Excuses-la, elle n’est pas toujours facile à vivre, j’en sais quelque chose, je travaille avec elle tous les jours.
– D’accord et vous faites quoi sans indiscrétion?
– Je suis coiffeuse. En fait, on travaille toutes dans le même salon de coiffure, c’est pour ça qu’on est là, nous faisons un repas de boîte entre nous sans les conjoints.
– C’est cool ça et vous êtes toutes mariées, même celle qui danse avec mon ami?
– Non Sonia est célibataire. Mais moi et Myriam, la grande brune, nous sommes mariées, Cynthia a un petit ami et Linda, la dame blonde au pantalon blanc, c’est la patronne, elle est en instance de divorce. D’ailleurs invites-la à danser le prochain coup, ça lui fera du bien de danser avec un beau jeune homme. Elle n’a pas trop le moral ces temps-ci, même si ce soir ça ne se voit pas.
– Très bien, je verrai ce que je peux faire pour lui mettre du baume au cœur.

Le slow se termine, j’aperçois Jef et sa nouvelle rencontre qui se galochent farouchement. Je comprends que ces 2 là ne vont plus se quitter avant la fin.
Ma cavalière me fait la bise en guise de remerciements pour cet agréable échange. Je la raccompagne à sa table et comme convenu, j’invite sa patronne Linda.
Cette dernière est un peu surprise, mais accepte avec un large sourire.

Certes, cette femme a au minimum le double de mon âge, mais elle dégage quelque chose, je lui trouve un certain charme. Les effets de l’alcool peut être… Blonde, les cheveux courts coiffés en pics grâce au gel. Les yeux bleus avec de longs cils. Une silhouette pas désagréable, ornée d’un débardeur vert émeraude à fines bretelles, d’un jean’s blanc moulant et de chaussures à talons blancs également. Elle sent bon, je respire son doux parfum lorsque nous nous serrons l’un contre l’autre pour entamer notre danse.
Malgré cela, je ne me fais aucun film, je n’imagine pas une seconde pouvoir flirter avec cette dame, je n’en ai pas envie. Et je ne conçois encore moins qu’une femme de son âge s’intéresse à un petit branleur comme moi. Mais nous bavardons cordialement.
– Vous passez une bonne soirée?
– Toujours quand je suis avec les filles. Et toi?
– Oui j’ai fait la connaissance de Jef ce soir, c’est un sacré phénomène.
– Et un sacré séducteur d’après ce que je vois. Et toi, pourquoi m’as-tu invité? Tu ne préfères pas une fille plus jeune?
– Pour ne rien vous cacher, c’est votre collègue qui m’a demandé de vous inviter, elle m’a expliqué votre situation sentimentale et…
– Oh la chipie, elle ne sait pas tenir sa langue celle-ci. Et bien merci à toi de t’être sacrifié.
– Oh ce n’est rien, ça me fait plaisir et puis je suis là pour m’amuser.
– Celibataire alors?
– Oui, nous avons rompu récemment.
– Ah zut, tu veux en parler?
– Non, c’est bon, je ne vais pas vous embêtez avec ça.
– Très bien, et que fais-tu dans la vie?
– Je suis étudiant en 3ème année de fac de sport.
– Je comprends mieux tes bras musclés me dit-elle en caressant mon biceps. Elle me flatte.
Puis elle pose sa tête sur mon épaule et nous dansons un deuxième slow en silence.

Je retrouve ensuite mon couple d’amis, Gérald et Marie. Jef s’est installé sur la table des femmes avec sa prétendante, ils font connaissance.
J’exprime à Marie qu’à mon avis Jef n’est pas prêt de vouloir rentrer et que si elle souhaite déguerpir, qu’elle s’en aille sans nous. Je ne vais pas le laisser tout seul, de plus j’ai encore envie de faire la fiesta.
– Très bien, mais vous rentrerez comment?
– Ne t’en fais pas, on se débrouillera, on trouvera bien un taxi.

Après leur départ, installé sur la table avec les coiffeuses, je poursuis les conversations en buvant encore quelques verres. Jef et Sonia n’arrêtent pas de se bécoter, ça en devient gênant.

Il se fait tard, je ne me sens pas très bien, j’ai un peu trop abusé du whisky, tout comme ces dames de la vodka. Mise à part Myriam qui les transporte, elles sont toutes bourrées.

Je décide d’aller danser un peu pour récupérer.
L’ambiance est au disco, zouk et autres salsas. Que de musiques festives.
Soudain, je sens des mains sur mes hanches. C’est Linda qui s’est agrippée à moi par derrière. Elle me suit dans mon déhanché. Elle titube un peu et en profite pour glisser sa main sous mon tee-shirt, je ne bronche pas.
Un zouk, je me retourne, elle m’attire contre elle et plaque mes mains sur ses fesses. Nous tanguons joyeusement. Puis elle me suce le lobe de l’oreille en me souriant, elle me chauffe. Elle se retourne et frotte son popotin contre mon entrejambe. Elle a dû sentir mon début d’érection. Elle continue, elle m’allume carrément en se trémoussant lascivement. Je n’ose en profiter, comprenant qu’elle n’est pas dans son état normal. Mais si elle m’embrasse? Je me laisse faire ou je la repousse? Je me pose tout un tas de questions. Mes idées fusent. Ai-je vraiment envie de ça, envie d’elle? Est-ce l’alcool absorbé qui la rend belle et désirable? Que diront les copains s’ils apprennent que je me suis taper une « vieille »?
Je suis sorti de ma torpeur par Jef:
– Hey oh, les loulous, ça va dit un after chez moi?
– Oui si tu veux
Linda répond par la négative.
– Ce n’est plus de mon âge ces bêtises.
Sonia insiste:
– Allez s’il te plait, tu ne vas pas me laisser toute seule, les autres sont fatiguées et doivent rentrer retrouver leur moitié.
– Je comprends mais moi aussi je suis fatiguée et complètement saoule, je vais encore mettre trois jours à m’en remettre.
– Bon tant pis pour toi alors, mais s’il m’arrive quelque chose, tu l’auras sur la conscience.
– Arrêtes tes conneries, la seule chose qui puisse t’arriver c’est de prendre un coup de quequette. Et puis ce jeune homme sera avec vous, il est très aimable et loin d’être méchant.
– Merci, mais c’est dommage j’aurais aimé poursuivre la soirée avec vous aussi, en plus je sens que je vais tenir la chandelle comme un gland.
Mais elle n’est toujours pas décidée.

Nous retournons à l’entrée, nous récupérons nos affaires et raccompagnons ces femmes sur le parking. Je les bise toutes pendant que Jef contacte un taxi.
Linda me dépose un doux baiser au coin des lèvres.

Nous attendons avec Sonia devant la discothèque en fumant une clope.
– Le taxi sera là dans un petit quart d’heure.
– Impec. On a de la monnaie pour le régler?
Une voix féminine:
– Moi j’en ai s’il faut…
Nous sommes tous les 3 étonnés en voyant Linda nous rejoindre.
Je lui souris et Sonia lui demande:
– Bah alors tu as changé d’avis?
– Oui, finalement je viens, on n’a qu’une vie non?

Le taxi est arrivé comme prévu.
Jef monte à l’avant et je me retrouve derrière entre les deux gonzesses.
Allez chauffeur, EN ROUTE!!!

A suivre…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire