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Une histoire de famille

Une histoire de famille



Après ses études, notre fille était revenue vivre près de chez nous. La mauvaise nouvelle est qu’elle était en ménage avec un type que j’avais tout de suite détesté. Non pas que j’étais amoureux de ma fille mais je n’aimais pas parce que je la trouvais encore un peu jeune pour vivre à deux et je pouvais imaginer que le soir, dans leur lit, ils faisaient l’amour.
J’avais découvert depuis longtemps que notre fille aimait beaucoup se masturber. J’avais pu entendre ses gémissements au travers de la porte de sa chambre mais j’avais aussi compris qu’elle se masturbait dans la salle de bain.
Un jour que notre fille avait les yeux particulièrement fatigués, sa mère lui avait dit qu’elle avait sans doute mal dormi. J’avais murmuré dans ma barbe que notre fille se masturbe mais les deux femmes n’avaient pas réagi sur le coup et sa mère m’avait dit un peu plus tard que je n’ai pas à m’immiscer dans la vie de notre fille.

Donc, cet été-là, le couple était parti en vacances tout en me confiant la tâche d’arroser les plantes dans leur appartement. Il faisait chaud et j’y allais pour la troisième semaine. J’ai glissé la clé dans la serrure et je suis entré puis je suis allé à la cuisine pour remplir l’arrosoir et je me suis occupé des plantes qu’il y avait avant d’aller sur le balcon pour arroser les plantations.
Il y avait une trentaine de pots et j’ai fait plusieurs allers et retour pour remplir mon arrosoir puis j’ai réalisé, une fois arrivé au dernier pot, que les volets de la chambre étaient ouverts. J’ai penché la tête et j’ai compris qu’il y avait quelqu’un dedans et que ce quelqu’un donnait des coups dans l’armoire et j’ai mieux regardé et j’ai découvert ma fille, complètement nue et qui tapait dans les planches.
Elle y mettait de la rage et je me suis dit qu’elle pouvait se faire mal et j’allais faire le tour pour aller la prévenir quand elle s’est arrêtée puis elle a attrapé son sein gauche et elle en a amené le mamelon à sa bouche et elle l’a tété.
C’était fantastique. J’avais parfois suggéré à sa mère de faire ça. Elle pouvait bien vu les nichons qu’elle avait mais elle n’aimait pas. Elle n’aimait pas grand chose et surtout dans le sexe. J’avais essayé au début de notre mariage mais elle avait résisté à mes avances. J’aurais bien voulu lui lécher la chatte mais elle disait que c’est dégoûtant. J’aurais aussi voulu la sodomiser mais c’était encore pire. Tout ce que j’avais réussi, c’était de la convaincre de faire l’amour en levrette. Je pouvais m’enfoncer plus profond dans son vagin même si elle me disait que je lui faisait mal. Je jouais avec ses seins qui pendaient sous son torse et parfois elle me demandait même de m’en occuper.
Je veux bien avouer qu’une fois, je m’étais enfoncé dans son anus. Juste le gland et mon épouse avait mis du temps à s’en rendre compte et elle m’avait chassé d’un coup de rein. Bref, ce n’était pas la gaieté et je me rendais bien compte qu’elle ne jouissait pas ou alors quand elle se finissait en cachette alors que je restais planté dans son vagin.

Notre fille s’est retournée vers son lit. C’était un vieux lit en bois qu’elle avait récupéré chez sa grand-mère, avec des glands qui surmontaient les pieds et elle s’est mise à en caresser un puis elle a porté ses doigts à sa bouche pour les mouiller et elle s’est mouillée la chatte avant d’escalader le pied du lit et de s’empaler sur le gland en bois puis elle s’est masturbée dessus en levant et en descendant ses fesses.
J’avais du mal à voir et j’ai dû avancer la tête et juste au moment où ma fille libérait son vagin pour s’empaler dans son anus.
Tout en faisant ça, elle a tendu sa tête en arrière et son chignon s’est défait. Elle avait toujours eu les cheveux très longs, jusqu’aux fesses et je trouvait que ça lui allait bien. Maintenant elle s’enculait sur le bout de bois et ça a duré un bon moment avant que ma fille ne se retire puis elle s’est allongée sur le lit puis elle a tendu la main et elle s’est masturbée avec ses doigts. Je voyais bien. Ses doigts serrés coulissaient le long de son clitoris. Son corps se raidissait et j’ai bien cru qu’elle allait avoir un orgasme mais elle s’est arrêtée pour aller fouiller sous l’oreiller et en sortir un plug anal et un gode immense qui ont investi ses deux trous.
Ça n’a pas duré bien longtemps. Ma fille s’est levée du lit. Le plug anal est resté coincé dans son anus et le gode a glissé sur le parquet puis ma fille est sortie de la chambre et j’ai pensé qu’elle allait s’apercevoir que j’étais là et je me suis précipité et je suis sorti de l’appartement.

Je n’en revenais pas d’avoir assisté à une scène aussi chaude, surtout de la part de ma fille. Qu’est-ce qu’elle faisait là et où était son copain ? Une fois dans la rue, je l’ai appelée sur son portable. C’est bien, ces appareils parce qu’on peut dire qu’on est quelque part alors qu’on est ailleurs.
– Allo, m’a fait la voix de ma fille ?
– Allo ! Je veux juste savoir comment tu vas !
– Il pleut et je suis dans la location, m’a répondu ma fille !
– Avec ton copain ?
Il y a eu un silence. Ici, il ne pleuvait pas. Au contraire, il faisait un temps magnifique.
– J’ai pu de copain, m’a annoncé ma fille !
– Comment ça ?
– Cet abruti m’a laissé tomber pour une pétasse, a ajouté ma fille !
– Ma pauvre chérie…
Ma fille m’a répondu que je ne l’avais jamais aimé.
– En fait, il est pédé, a encore ajouté ma fille !
– Pédé, ai-je bafouillé, parce que ces trucs-là, ça m’a toujours fait peur.
– Il prétend qu’il est bisexuel, a rajouté ma fille !
Je n’ai rien ajouté avant de lui demander si elle va rester jusqu’à la fin de son séjour. Il y a eu un long silence puis ma fille s’est déchaînée :
– Papa, je suis rentré ! Viens me voir !
Je lui ai promis que je viendrais la voir le plus vite possible avant de raccrocher et je suis retourné chez moi mais j’ai eu un remord et j’ai fait demi tour puis j’ai sonné à la porte de l’appartement de ma fille. Elle m’a ouvert. Elle avait passé un peignoir mais elle n’avait pas pris la peine de le boutonner et je pouvais voir sa poitrine. Ma fille m’a demandé si je veux boire quelque chose puis elle s’est déchaînée en ouvrant son peignoir :
– Papa, dis-moi la vérité ! Est-ce que je ne suis pas assez belle pour avoir un homme ? Je lui avais dit que je ferai tout, a ajouté ma fille !
Elle écrasait ses seins dans ses doigts. Elle les pétrissait.
– Je me suis même rasé la chatte pour lui plaire, a ajouté ma fille !
Je voyais bien. Elle s’est retournée et j’ai vu qu’elle avait toujours le plug anal planté dans son anus.
– Et c’est quoi, ça, lui ai-je demandé ?
Sans se démonter, ma fille m’a répondu que c’est un plug anal et elle a ajouté qu’elle aime bien ça. Elle a encore ajouté que c’est très excitant quand elle marche.
– Tu veux que je le retire, m’a-t-elle demandé ? Tu vas pas y mettre ta bite ?
Je me suis demandé si j’avais bien entendu ce qu’elle venait de me dire.
– Tu as déjà enculé maman, m’a encore demandé ma fille ?
Elle a retiré le plug avec grâce puis elle l’a posé sur la table.
– Est-ce que je te plais, m’a encore demandé ma fille ? Je voudrais que tu me baises !
Là, j’avais très bien entendu.
– Viens, tu vas voir que je ne suis pas comme maman et que je sais très bien m’amuser, m’a alors dit ma fille en m’attappant par le poignet et elle m’a emmené dans sa chambre puis elle m’a dit de ne pas rester comme ça et elle m’a retiré ma chemise avant de me retirer le pantalon puis elle m’a retiré le caleçon et elle m’a dit que je vois bien que j’ai envie d’elle.
J’avais la queue raide.
– Je ne sais pas ce que je lui trouvais, a encore ajouté ma fille ! Viens, mon petit papa chéri ! La tienne est bien plus belle !
Je me suis laissé faire même si je ne dirai pas que c’était elle qui faisait tout. Nous avons roulé sur le lit. Elle me branlait puis elle m’a demandé si je veux qu’elle me suce et elle m’a sucé la bite. Elle me disait de ne pas avoir peur. Elle m’a invité à enfoncer mes doigts dans sa chatte et je les ai mis et j’en ai profité pour enfoncer mon pouce dans son anus.
– Tu vas penser que je suis une salope a encore ajouté ma fille, mais j’ai trop envie que tu me baises !
Elle m’a présenté ses fesses et la première chose que j’ai fait est de l’enculer puis je suis allé dans son vagin. Quand elle m’a rassuré, j’ai compris que je pouvais aller jusqu’au bout.
– Putain ! Quelle salope !
Ma fille m’a demandé si c’est ça que je pense d’elle. Je lui caressais les seins et contrairement à ceux de sa mère, s’ils pendaient, c’étaient plutôt deux gros boulets bien fermes. Je tenais ma fille par les hanches.
– Ah, oui, m’a lancé ma fille !
J’avais joui et ma semence envahissait son vagin. Après, je me suis laissé tomber sur le lit à côté d’elle.
– Tu sais ce que je voudrais, c’est que tu jouisses dans ma bouche, m’a encore demandé ma fille !
J’avais besoin de reprendre des forces.
– Je suis quand même ton père !
– Oui, mais c’est d’abord de ta bite que j’ai besoin, m’a répondu ma fille ! J’ai besoin d’être baisée !
– Et si ta mère apprends que…
Ma fille m’a répondu qu’elle est sûre que ça plaira à sa mère mon épouse
– Comment peux-tu dire ça, lui ai-je demandé ?
Ma fille s’est reculée sur ses coudes. Elle était comme une tigresse prête à bondir sur moi mais elle semblait hésiter.
– Qu’est-ce que tu crois, a ajouté ma fille. Maman voulait m’apprendre et pendant des années j’ai baisé avec elle !
– Quoi ?
– Bah oui ! Mais moi, pauvre idiote, je voulais une queue. Qu’est-ce que j’étais conne ! Une queue, une chatte, c’est la même chose. Mes trous sont faits pour recevoir des invités !

Je n’en revenais pas mais je bandais à nouveau et ma fille était là. Ses obus pointaient vers moi.
– Je veux t’enculer !
– Bon, d’accord, m’a répondu ma fille en se retournant pour me présenter ses fesses. J’ai glissé la main sur sa hanche et je l’ai plaquée sur son ventre. Je n’ai pas eu besoin de viser. Ma bite s’est enfoncée dans son anus.
– Oh, papa, je veux être ta pute !
Je n’avais jamais espéré qu’un tel bonheur m’arriverait. Ma fille m’a demandé d’aller bien profond. Elle cherchait la meilleure façon d’y arriver et elle m’a demandé de ne pas oublier sa poitrine. Je ne l’oubliais pas mais j’avais du mal à me concentrer.
– Papa ! Tu es en train de faire de moi une putain ! Je crois que je vais arrêter de travailler et faire ça ! Je gagnerai plus !
Je commençais à avoir une faiblesse et ce que m’a dit ma fille m’a ragaillardi. Ma queue a retrouvé toute sa vigueur et j’ai repris de plus belle dans son anus.
– Papa ! Je ferai une bonne putain ?
J’ai rassuré ma fille mais j’ai joui. Ma semence a envahi son anus et elle a continué à jaillir quand je me suis retiré et je lui en ai mis plein les fesses et sur le bas du dos. Ma fille a posé ses doigts dedans.
– Tu es un vrai étalon, a-t-elle ajouté ! C’est un type comme toi qu’il me faudrait !

Est-ce le hasard qui a fait que quelques semaines plus tard sa mère m’a dit qu’elle voulait divorcer. J’ai accepté puis je suis allé vivre avec notre fille. Je lui ai pris un petit appartement pour qu’elle puisse travailler. Je m’occupe de ses finances, bref de tout ce dont elle n’a pas besoin de savoir. Tous les mardi soir, elle vient chez moi. On fait les comptes. C’est là qu’elle m’a dit qu’elle voudrait faire la call girl. Elle avait déjà un réseau de clients. Ça m’allait très bien et le principal était que je puisse trempé ma queue dans un de ses trous chaque fois que j’en aurai envie.
Il lui arrivait de faire jusqu’à dix passes le samedi soir et là, pour le même gain, elle n’en faisait qu’une mais bientôt, elle s’est lancée dans les partouses. Un jour, elle m’a invitée.
C’était dans un château à l’extérieur de la ville. Je ne connaissais aucun des invités mais je connaissais bien trois des femmes qui participaient. L’une était ma conseillère à la banque, une autre la femme de mon médecin et la troisième était expert comptable. Elles ont toutes eu une hésitation mais nous avons finalement baisé ensemble pendant que ma fille faisait un gang-bang avec une douzaine de types.
Je me suis vidé les couilles et ma banquière m’a encouragé à baiser l’actrice principale de la soirée, ma fille, mais elle ne savait pas que j’avais une fille parce que je ne lui en avais jamais parlé.
J’ai mis un point d’honneur à ne pas la décevoir et j’ai baisé ma fille avec tous les autres. S’en rendait-elle compte ?
Cela faisait trois heures que la fête avait commencé quand une nouvelle protagoniste est entrée dans la pièce. Tout le monde s’est arrêté. Il n’y avait pas de doute que cette femme était prête à accoucher. Elle a retiré sa robe. Ses énormes seins dégoulinaient sur son gros ventre. Ils s’avachissaient même dessus. La femme s’est agenouillée sur le sol et elle s’est appuyée sur ses mains et j’ai compris que ma fille avait perdu tout attrait. Les participants n’avaient plus d’yeux que pour cette femme. Ils la baisaient tour à tour tandis que les femmes lui tétaient les mamelons ou là caressaient ou se faisaient lécher la chatte.
A mon tour, j’ai pu baiser la femme. Je lui ai caressé le ventre puis en raccompagnant ma fille, celle-ci m’a dit que c’est la voie à suivre, se faire engrosser pour être désirée et faire encore plus de fric.

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