Il m’est arrivé d’avoir une aventure (qui continue d’ailleurs) au bureau avec un vicieux qui depuis est devenu mon patron (il s’appelle Jean). C’est un homme mûr (je suis très attirée par ce genre d’hommes ) d’une cinquantaine d’années qui n’arrêtait pas de mater mon décolleté depuis longtemps. Comme j’aimais bien ça je m’arrangeais souvent pour l’exciter, jusqu’au jour ou je l’ai laissé peloter mes seins.
J’aimais bien l’exciter en faisant exprès de lui faire deviner mes seins. Il avait les mains un peu baladeuses et il lui arrivait fréquemment d’effleurer mes fesses quand il me faisait la bise. Ce qu’il aimait c’était venir derrière moi quand j’étais assise pour mater dans mon décolleté.
C’était en plein mois d’août 1999 et on était 3 dans mon immeuble (je bosse avec des commerciaux et ils étaient tous ou presque en vacances).
Il m’a tellement excitée que le lendemain j’avais envie qu’il me touche davantage. J’avais mis un tout petit haut sans soutien gorge, j’avais dégrafé exprès la première pression de mon décolleté. Il est venu vers 10h pour me dire bonjour, j’étais assise à mon bureau, il est passé derrière moi et m’a embrassée dans le cou, il a tout de suite vu que j’avais les seins libres sous mon haut moulant, il a glissé sa main sous le tissu pour prendre mon sein à pleine main. J’étais follement excitée. Il s’est arrêté là car le téléphone a sonné.
Après le repas, il m’appelle pour que je vienne dans son bureau autant te dire que j’ai pas réfléchi et j’y suis allée sans me faire prier. Il m’a fait venir à coté de lui, moi debout lui assis et il a commencé à me caresser les jambes en remontant jusqu’à toucher le tissu de mon slip. Il s’est levé et m’a ouvert mon chemisier pour découvrir mes seins et il m’a sucé les bouts des seins, j’étais humide comme une cochonne. Tout en suçant mes seins il a glissé sa main dans mon slip et à commencer à me toucher le clitoris. C’était vraiment trop bon. Sans que je résiste il m’a enlevé mon slip qu’il a rangé dans un tiroir et m’a fait me pencher en avant les cuisses écartées pour me doigter le minou, le va et vient de son doigt me rendait folle. Puis, il m’a fait asseoir sur son fauteuil en me mettant mes jambes sur les bras du fauteuil. J’étais complètement humide, ma chatte poilue (à l’époque) à l’air devant lui, il s’est agenouillé et il est venu me lécher les lèvres humides tout en caressant mon clitoris sans oublier de me doigter avec 2 doigts. Il m’a fait jouir comme ça tout en me traitant de salope (j’aime ce langage dans ces moments là). Puis Jean me dit « on va voir ce que tu sais faire avec ta bouche, nous les mecs on fantasme sur les secrétaires sous le bureau ». Il m’ordonna de passer sous son bureau et de lui sortir sa queue. Je l’ai d’abord branlé (une bonne tige pas trop épaisse) puis il m’a dit » suce-moi « . Et me voilà en train de pomper ce gros vicieux, il était content de ma façon de faire. Jean me dit de sortir de dessous le bureau, il m’amena vers une table de conférence qu’il avait dans son bureau, il me fit asseoir au bord puis allongé sur le dos, ma chatte juste au bord, il me prit alors sans ménagement en m’enfilant sa queue par des coups de plus en plus forts c’était extra. J’étais complètement offerte et soumise à ses envies, j’adorais cette situation. J’ai vraiment passé 2 heures superbes à baiser. Vraiment le top. Quand nous allions nous quitter Jean me dit qu’il aimait les salopes comme moi et qu’à partir de ce jour il voulait que je sois à sa disposition. Et il n’a pas voulu me rendre mon slip. Je suis donc restée nue sous ma jupe assez courte tout le restant de l’après-midi et pour reprendre le métro et le train. Ca me faisait tout drôle mais j’ai trouvé cette situation très coquine. Le fait de monter les escaliers du métro m’excitait car je savais que les mecs mataient mes fesses.
Jean a exigé que pour la suite du mois je sois toujours en jupe courte non moulante avec un chemisier ou dos nu, caraco ou haut moulant etc…de préférence sans soutien gorge. Il tolérait les robes courtes mais visiblement il avait une préférence pour les jupes. Je devais ne porter que des strings.
Le lendemain, il n’était pas là le matin et il est rentré en début d’après-midi un peu chaud car il sortait d’un repas avec l’autre commercial (Antoine) qui était de permanence. La première chose qu’il a fait c’est de m’appeler, j’y vais et je trouve Antoine avec lui, ils commencent à plaisanter à me dire que j’avais un beau décolleté etc.. Tout d’un coup Jean sort mon slip de la veille de son tiroir en le montrant à Antoine en lui disant « tu vois ce qu’elle porte Nelly et aujourd’hui, je suis sur qu’elle a un string ». Je suis devenue toute rouge, j’étais vachement gênée tout en trouvant la situation excitante. Jean s’approcha de moi et il dit à Antoine « tu vas voir si c’est pas vrai ». Alors il me remonta la jupe entièrement, les 2 découvrirent mon string noir, entièrement transparent devant et avec un petit triangle derrière. Ca m’excitait tellement que je me laissais faire car je ne pouvais résister. Jean m’a ouvert le chemisier et Antoine se mis à me dégrafer mon soutien gorge, j’avais les seins nus offerts à leurs caresses et comme la veille Jean commença par me sucer les seins alors qu’Antoine me pelotait les fesses et glissais sa main entre mes jambes. C’était vraiment terrible pour moi. Jean m’ordonna de passer sous son bureau et de lui sortir sa queue. Je l’ai d’abord branlé (une bonne tige de 20 cm pas trop épaisse) puis il m’a dit » suce-moi « . Et me voilà en train de pomper ce gros vicieux pendant que Antoine très excité par la scène commence à se branler. Moi j’étais plus que chaude et j’avais très envie qu’ils me caressent le clitoris ces 2 cochons. Mais au lieu de ça il changèrent de place et je devais maintenant sucer Antoine. Lui il avait un langage qui m’excitait encore plus, il me traitait de pute, de salope, de partouzeuse, de chienne, de bonne pompeuse, tout en appuyant ma tête sur sa queue. J’étais aux anges. Jean me dit de sortir de dessous le bureau, il m’amena vers une table de conférence qu’il avait dans son bureau, il me fit asseoir au bord puis allongé sur le dos, ma chatte juste au bord, il me prit alors sans ménagement en m’enfilant sa queue par des coups de plus en plus forts c’était extra. Antoine arriva la queue tendue vers ma bouche et je lui léchais les couilles puis enfournais sa queue dans ma bouche, c’était vraiment le top, j’en avais rêvé et fantasmé et c’était entrain de se réaliser. Tour à tour ils m’ont baisé tous les deux, j’étais complètement offerte et soumise à leurs envies, j’adorais cette situation. J’ai vraiment passé un 3 heures superbes avec 2 queues rien que pour moi. Vraiment le top. Je n’imaginais pas encore comment allait se passer la suite de ce mois d’août très chaud car on était seulement au début du mois.
Comme ça me plaisait fortement de jouer sa soumise, j’ai obéis à ses désirs.
Jean avait décidé qu’il ne viendrait plus dans mon bureau mais que c’est moi qui devait aller le voir. Le matin je devais aller le voir à 10 h précises pour m’offrir à son regard, une fois qu’il avait bien contrôlé que j’étais vêtue comme il le souhaitait, il m’enlevait mon string et mon soutien gorge, quand j’en avais un, qu’ils mettaient dans son tiroir. Je devais rester comme ça toute la journée. Ensuite je devais retourner dans mon bureau jusqu’à 11h45. A cette heure là Jean disait » qu’il me servait l’apéro « . Sans qu’il m’appelle, je devais venir le voir en laissant la porte de son bureau ouvert. Il me faisait enlever mon haut et ma jupe, j’étais donc nue. Je devais ranger ma jupe et mon chemisier sur un cintre dans son vestiaire. Je devais retourner à la porte pour l’ouvrir, ce vicieux voulait que si l’autre commercial passait, il me voit nue. C’est vrai que cette situation m’excitait beaucoup mais l’autre n’était pas souvent là le matin. Jean restait assis à son bureau et moi je devais passer sous le bureau pour le sucer. Il restait habillé et je devais sortir sa tige puis le pomper. Son bureau étant face à la porte l’autre commercial aurait pu voir mes fesses en passant. Une fois qu’il avait bien joui sur le visage et les seins. Il partait déjeuner.
Un jour au retour du déjeuner Jean me téléphone pour me dire de le rejoindre. Et là, surprise, Jean avait aussi tout prévu. Il s’installait dans son bureau avec Antoine. Je devais venir à 14h30 pour saluer Antoine. Pour ce faire il me demandait à nouveau de me mettre nue et de m’asseoir dans un fauteuil les cuisses écartées. Antoine venait » pour me faire la bise » comme il disait. En fait de bise, il me léchait mon minou et me languait le clitoris. Quand j’étais bien chaude (je dois dire que je l’étais souvent) je devais pomper Antoine qui s’allongeait par terre ou sur le mini sofa. Une fois que je l’avais bien en bouche Jean arrivait et me prenait par derrière en levrette en me traitant de tous les noms, c’était super de se faire baiser par ces deux vicieux car ils changeaient de place pour me prendre chacun leur tour.
Un jour Jean me téléphone pour me dire de le rejoindre dans le bureau d’Antoine. Il avait un bureau avec de vastes baie vitrées qui donnaient sur la rue, sur un immeuble en rénovation ou il n’y avait plus que la façade, il y avait des grues partout et ça grouillait d’ouvriers. Jean me demanda d’aller devant la baie vitrée en me disant » montre-toi Nelly, les hommes aiment bien voir des femmes comme toi « , je me fis pas prier car j’adore m’exhiber en voiture avec mon mari devant des voyeurs. Il y avait bien une dizaine d’ouvriers black, portos et beurs entrain de me mater. Comme d’habitude Jean me demanda d’enlever mes vêtements tout en me pelotant et en regardant si les autres en face mataient aussi. Antoine installa un fauteuil devant la fenêtre et me dit de m’y installer cuisses écartées. Et puis, surprise il sortit un gode de son tiroir en me disant de me goder devant les ouvriers. Les mecs en face étaient heureux, ça se voyait à l’œil nu et moi j’étais terriblement excitée de cette situation. J’avais déjà fait ça devant 3 voyeurs en voiture mais là devant 10 mecs c’était fou !
Jean et Antoine étaient chauds aussi et ils approchèrent leur queue tendue de mon visage, tout en me godant je les suçais et ils aimaient ça les salauds. Ils m’ont giclé leur foutre sur le visage et la poitrine en me traitant de tous les noms. J’ai adoré cette après-midi d’exhibe car j’adore exciter les voyeurs.
Le lendemain matin, Jean me dit qu’il aimerait que je sois encore plus sexy et il voulait que je porte des bas et un porte jarretelles » puisque tu es une salope, tu vas t’habiller comme une salope » voilà ces propos. J’ai compris ce qu’ils voulaient dire. Il m’a emmenée en fin de matinée dans une boutique de lingerie érotique à Pigalle. Il me choisit des bas noirs, un porte jarretelles noir, un string noir, un slip noir ouvert par une fente, un soutien gorge noir demi-lune et une micro robe noir transparente et la même chose en blanc. Je fis un rapide essayage des 2 robes et il n’a pas manqué de me faire mater par le vendeur en laissant le rideau de la cabine à moitié ouvert puis nous sommes repartis au bureau. Tout de suite après être arrivée, il m’ordonna de me changer, j’obéis et je m’habillai en blanc comme il le souhaitait. C’était pas mal du tout et je dois dire très excitant d’être ainsi. Le seul problème c’est que j’avais peur qu’un client se pointe car là franchement j’aurais été très gênée, c’était vraiment une tenue très suggestive.
Au moment du déjeuner il passe me voir pour contrôler et me fait défiler comme un mannequin devant lui, et puis oh surprise il m’invite à déjeuner. Je ne voulais pas sortir comme ça, c’était trop provoquant. Il me rassura en me disant que sa voiture était au parking souterrain de l’immeuble et qu’il avait réservé une table avec Antoine dans un petit restaurant select à l’ambiance feutrée. Je me laisse convaincre
Nous voilà partis, en chemin, les passagers des bus arrêtés aux feus rouges étaient contents de me mater.
En fait de restaurant select, il s’agissait plutôt d’un club privé qui faisait restaurant. Jean connaissait visiblement le patron. Il y avait 4 couples dont les femmes étaient très sexy. Le patron nous installa à une table au fond. Jean me fit asseoir à ses cotés et Antoine qui arrivait se mis en face de Jean. On commença par l’apéritif puis le repas (bouffe pas terrible !). Au milieu du repas, 2 hommes entrent et je vois tout de suite qu’il connaissent l’endroit puisqu’ils tutoyaient le patron.. Le patron les installa juste en face de nous !
Je me mis à rougir car ils me déshabillaient du regard avec de larges sourires. Jean qui n’avait rien fait du repas, me pelota les seins devant tout le monde. A la fin du repas Jean me dit d’aller aux toilettes. Elles étaient tout au fonds et pour y aller je devais passer devant les 2 hommes. Ce cochon de Jean voulait me montrer à ces inconnus. Autant dire que je n’ai pas résisté car j’adore me faire mater. En plus ils étaient assez mignons.
A mon retour, je vois les 2 hommes assis à notre table entrain de discuter avec Jean et Antoine. Jean a fait les présentations et me présente comme son assistante dévouée corps et âme. Il leur propose de venir boire un verre dans notre boite. En voiture, sur le chemin du retour il m’a dit qu’il souhaitait que je joue la serveuse. Je n’ai pas tout de suite compris ce qu’il voulait dire.
En arrivant, Antoine guida les 2 hommes et Jean me fit venir dans la petite pièce réservée à l’office Il alla chercher un petit tablier blanc qu’utilise d’habitude les serveuses qui ont en charge les réceptions de clients. Il me dit d’enlever ma robe, mon mini soutien gorge et de mettre le petit tablier. Il jugea que le string était de trop et me le fit enlever. Avant de regagner le salon il me dit » tu as compris ce que j’attends de toi, tu dois être à la disposition de mes nouveaux amis, tu dois m’obéir et les servir « . Jean part avant moi rejoindre les autres, je dois attendre qu’il m’appelle. 1 minute après il m’appelle. En entrant je constate que Jean et Antoine étaient assis chacun sur un fauteuil et les deux autres sur un sofa. Jean me fait défiler un plateau à la main et me demande de servir un cognac à tout le monde. Je m’exécute sans difficulté. Jean décida alors que je devais m’exhiber. Pour cela et tout d’abord je devais me mettre à quatre pattes devant le sofa, tête au sol et fesses relevées cuisses ouvertes. Je devais exciter encore plus les 2 hommes en remuant les fesses. Il me fit rapprocher davantage du sofa de façon à ce que les 2 hommes puissent me toucher le minou. Ils ne se privèrent pas de le faire. J’étais mouillée et j’ai beaucoup aimé ça. Ensuite, toujours à quatre pattes je devais aller de l’un à l’autre pour ouvrir leur braguette, les branler et les sucer. Puis Jean m’a fait asseoir sur le sofa entre les deux invités qui commencèrent l’un à me peloter et sucer les seins, l’autre à me titiller le clitoris et à me doigter sous les regards de Jean et d’Antoine. J’avais le minou complètement trempé. L’un me dit » alors Jean nous a dit à table que tu étais sa salope qui aime baiser, je vois qu’il ne nous a pas baratinés « . Il me montra sa queue en me disant » pompe-moi maintenant petite pute « . J’astiquais son pénis comme je savais le faire, il poussait ma tête sur sa queue afin qu’elle rentre entièrement dans ma bouche. L’autre me redressa les fesses et me pénétra violemment. Il me donnait des coups de boutoirs et me faisait crier et m’insultait. J’étais complètement prise, soumise. Jean et Antoine étaient très excités de me voir prise en levrette et se branlaient. Tous les deux s’approchèrent de mon visage afin que je les pompe eux aussi. J’ai trois belles queues devant moi pendant qu’une autre me défonce le minou. Celui qui me baise commence à me toucher mon petit trou et à l’humidifier, il y entre un doigt et ça me fait tout drôle. Jusque là il n’y avait que mon mari qui y avait touché. Il me baise l’anus avec son doigt tout en me baisant la chatte, c’était trop bon !
Jean décide alors de changer les choses, il se couche sur le sofa et me dit de venir m’empaler sur sa queue. J’obéis et m’allonge sur lui, Antoine me demande si j’ai déjà été baisée par les deux trous en même temps. Je lui dis non et que seul mon mari m’avait déjà pris par-là. Il m’enfourche et rentre doucement sa queue dans mon anus, je souffre un peu et lui dit d’aller doucement, il ressort et mets un produit visqueux tout bizarre sur mon anus qu’il masse. Il rentre à nouveau et la ça ne fait plus beaucoup mal. Mes 2 salauds sont entrain de me baiser en sandwich et je suis comme envoûtée par le plaisir, c’est tellement bon. Je réalisais un de mes autres fantasmes. Ce mini gang bang me plaisait beaucoup.
Après une pause bien méritée les deux invités m’ont aussi prise en sandwich. Je n’ai pas arrêté de jouir de mes orifices, ils me prenaient tous tour à tour ou 2 par 2 dans les positions les plus cochonnes, sur le sofa, sur une table, sur les fauteuils, debout, tantôt me sodomisant tantôt me baisant la chatte. Vraiment j’en ai gardé un super souvenir, je me croyais pas capable de faire tout ça.
Je n’avais jamais connu une telle situation de soumission et grâce à Jean j’y prenais beaucoup de plaisir. C’est une sensation bizarre d’obéir à un homme et d’être à sa disposition. Je le savais vicieux comme beaucoup d’hommes de 50 ans mais pas à ce point, il était pervers ce cochon.
Il ne restait plus qu’une dizaine de jours avant que l’immeuble ne se remplissent des vacanciers revenus et je n’avais aucune idée de ce que Jean pouvait prévoir car j’étais déjà comblée mais quelque part je ressentais une excitation à l’entendre. Je me demandais ce qu’il me réservait.
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