J’avais une quarantaine d’année, et l’envie de sucer un homme (et d’être sucé, voir plus…) avait germée et grandie depuis longtemps. Pour la réaliser, je m’étais inscrit sur un site de rencontre pour gays et j’avais noué un contact avec un homme d’une cinquantaine d’année, qui avait de l’expérience.
Un après-midi de juillet, je l’ai rejoint dans son camping-car. Nous avons discuté un petit moment des désirs, envies et tabous de chacun. Puis, il s’est levé, a fermé les rideaux, verrouillé la porte et s’est déshabillé devant moi. J’ai fait la même chose et je l’ai rejoint sur le lit double situé au fond de la caravane. Nous nous sommes d’abord embrassés, puis caressé mutuellement la poitrine, le dos, les fesses et nos mains sont allées chercher nos sexe respectifs. En le masturbant doucement j’ai senti son sexe gonfler dans ma main tandis que l’excitation montait chez moi aussi. Il s’est alors tourné pour prendre mon sexe en bouche en s’allongeant sur moi dans la position du 69. Je me trouvais du même coup avec sa bite déjà humide au dessus de mon visage. J’ai entouré mes bras autour de sa taille pour me soulever et gober ce gland baveux entre mes lèvres. J’ai tout de suite apprécié le petit gout salé qui se dégageait de sa mouille et ce petit parfum de noisette qui émanait de ses couilles, que j’ai léchées aussi. Il a émis quelques gémissements de plaisir sous les assauts de ma langue, tout en poursuivant les mouvements de va et vient sur mon membre. J’étais cependant encore un peu « coincé » et mon excitation se trouvait bloquée à ce stade. Nous étions en sueur, autant par nos ébats que par le soleil qui surchauffait la caravane. Il s’est relevé, pour aller chercher un petit gode vibrant dans un placard. Il l’a allumé et a commencé à le frotter contre mon sexe, mes couilles et mon anus. L’effet était très agréable et je me suis abandonné à cette sensation nouvelle. A mon tour, j’ai émis des soupirs de contentement qui ne lui ont pas échappés. Doucement, il a introduit le gode dans mon petit trou, tout en recommençant à me branler et me sucer. Cette fois, les mouvements de sa langue combinés aux vibrations de l’appareil dans mon ventre ont eu raison de mon blocage et j’ai éjaculé dans sa bouche.
J’étais pleinement satisfait mais lui, par contre, n’avait pas encore atteint l’orgasme. Alors, retournant dans le placard, il a sortit un gros gode ceinture, m’a demandé de le passer autour de ma taille tandis qu’il s’installait à quatre pattes sur le bord du lit, m’offrant une vue dégagée sur son anus. Il a étalé un peu de gel lubrifiant sur son trou, a saisi le gode pour le guider, et m’a demandé de le pénétrer avec. J’ai poussé pour l’introduire, doucement, ne voulant pas le blesser, mais il a manœuvré son bassin pour s’empaler complétement en une fois. Ensuite il m’a demandé d’imprimer des mouvements de va et vient de plus en plus rapide. Je l’entendais haleter et gémir sous le plaisir. Il me disait « Oh oui…c’est bon… vas-y, continue…plus fort… ». C’est avec surprise que je sentais chez moi le début d’une nouvelle érection gênée par le gode ceinture. Cependant mon gland s’échappait un peu sur le coté et frottait contre sa fesse. J’ai laissé ma main descendre sur sa hanche puis sous son ventre. J’ai attrapé sa bite tendue et j’ai entrepris de le masturber en rythme pendant que je le sodomisais avec le gode.
Soudain, il a grogné et tressauté tandis que je sentais son sperme chaud gicler sur ma main, puis il s’est écroulé sur le lit, avec un sourire de bien être illuminant son visage.
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