Les ballades se sont bien passées et l’humeur entre nos deux couples était excellentes, sourires entre nous, frôlement de cuisses dans les bus que nous prenions et sous les tables dans les cafés et snacks ou nous étions arrêtés. Finalement, nous décidons de rentrer à l’hôtel assez tôt pour nous reposer et vers quinze heures nous sommes de retour. On monte dans notre chambre, elle est dans la pénombre et fraîche à souhait. On se met sur le lit, histoire de faire une petite sieste mais le sommeil ne vient pas pour moi tandis que ma femme s’endort rapidement. Avant qu’elle sombre dans le sommeil, je lui dis que je descends dans le hall pour prendre un café et que je la laisse dormir. En fait, je n’oublie pas que j’ai deux rendez-vous, l’un avec Françoise, la femme de notre couple d’amis et avec Cathy, la jeune femme de chambre anglaise dont j’apprendrai le prénom par la suite.
Je descends dans le hall, pas grand monde, c’est l’heure de la sieste. Dans un espace à l’écart, je vois Françoise qui est affalée dans un canapé, la robe à mi-cuisses, largement ouverte sur le devant (c’est une robe à boutons), entrain de lire un magazine. Je la rejoins et m’assois à côté d’elle sur le canapé, tournant le dos à la réception. Sachant que personne ne nous voit, nos cuisses se rapprochent immédiatement et Françoise me met carrément la sienne sur la mienne, ouvrant ainsi largement ses cuisses et dévoilant le mini triangle noir de son slip en dentelle qui laisse déjà apparaître les lèvres de sa chatte. On plaisante, je lui mets la main sur la chatte en même temps que mon majeur s’insère entre le slip et la peau pour lui doigter le con. Je vois qu’il est déjà humide, signe qu’elle pensait sans doute à autre chose en feuilletant le magazine.
Je lui murmure à l’oreille : « Viens, on va baiser en bas ! » et je me lève. Elle me suit et nous descendons les escaliers qui mènent en fait à la lingerie de l’hôtel, autre point de rendez-vous pour moi de cet après-midi. Dès que nous sommes au sous-sol, je prends Françoise contre moi et nous commençons à nous embrasser, nos langues s’entremêlant comme de jeunes amoureux. J’ai déjà une main dans son slip entrain de lui mettre un doigt dans son con tandis qu’elle a sa main dans mon caleçon entrain de me malaxer la bite qui grossit rapidement. On reste ainsi un petit moment avant de nous diriger vers la lingerie.
J’ouvre la porte sans bruit. Ça sent le linge propre, l’assouplissant ou la bonne lessive, il y des piles de draps blancs et de serviettes bien pliées. Il plusieurs ronronnements, celui des machines à laver et des sécheuses. Il fait une chaleur terrible. Une fois un peu habitués à ce nouvel espace fait de plusieurs pièces, on perçoit des gémissements et des grands « Han, han,… » d’un homme qui est manifestement entrain de baiser. Nous nous déplaçons vers l’origine des bruits et là, la femme de chambre anglaise est entrain de se faire mettre par l’agent d’entretien de l’hôtel, un gars petit et brun, poilu comme un singe. Sa bite, courte mais épaisse entre et sort à bonne cadence. Il doit conduire ce rythme depuis un bon moment car il sort sa bite et arrose le clitoris de la belle anglaise de plusieurs jets de foutre épais. Il s’essuie rapidement la bite dans la blouse de Cathy, remonte son pantalon et s’en va sans dire un mot laissant notre blanche anglaise les cuisses largement écartées avec du foutre sur sa chatte, les seins à l’air et les bras ballants.
Le spectacle nous a émoustillés si j’en juge par ma bite qui est bandée au maximum et par la mouille qui a remplit la chatte de Françoise. Une fois l’agent d’entretien parti, on s’approche de Cathy qui, entendant des pas a envie de se couvrir avec tout ce qu’elle peut att****r et ce ne sont pas les pans de sa blouse qui permettent de couvrir quelque chose. Quand Cathy me reconnaît, elle se détend et laisse retomber les pas de sa blouse. Ses deux gros seins d’un blanc d’albâtre réapparaissent aussitôt à notre vue et je lui dis : « Quel magnifique spectacle ! Qu’est-ce qu’il t’a mis dans la chatte le gars qui vient de sortir ! On était venus pour baiser ici avec ma copine et on se disait qu’on pouvait faire ça à trois comme ce matin ». Elle me répond avec un large sourire : « OK, let’s fuck together ! (OK, baisons ensemble) ».
Sur ce, Cathy, toujours pleine de sperme sur elle prend Françoise dans ses bras et commence à lui rouler une pelle tout en faisant apparaître les nichons de mon amie qui sont à peine moins gros que ceux de Cathy tout en étant plus allongés et d’une blancheur moins prononcée de ceux de Cathy. Moi, j’ai la bite dehors et je me branle gentiment tout en matant le spectacle. Un couvre lit mis parterre et voilà nos deux belles qui s’allongent, la tête de chacune se plaçant, instinctivement j’allais dire, dans la fourche des cuisses de l’autre donnant accès à la chatte et à la rondelle de l’autre. Cathy se place dessus, son magnifique cul illuminant la pièce de sa blancheur et Françoise est dessous. Toujours la bite en main, je m’approche du cul de Cathy dont Françoise s’occupe et j’associe ma langue à la sienne pour lui lécher la chatte et le fion. Ma bite se retrouve illico dans la bouche de Françoise qui ne la lâche pas. Elle a l’air de plus apprécier pomper des bites que de lécher des chattes. En attendant, la sienne est à la fête avec la langue de Cathy. Du coup, elle cesse de me sucer la bite pour commencer à gémir.
J’en profite pour déplacer suffisamment pour approcher ma bite de la connasse de la belle anglaise et je commence à la limer. Sa chatte est bonne et en dépit du fait qu’elle vient de se prendre déjà une bite il y a peu, elle est serrée et me masse carrément la bite avec ses contractions. Elle aussi commence à gémir et a tendance à abandonner la chatte de Françoise et je vois qu’elle utilise maintenant ses doigts pour pallier la langue de Cathy. Elle doit être une spécialiste de la masturbation car ses doigts lui déclenchent des ondes de jouissance car elle se met à gémir encore plus. Elle a dû se mettre trois doigts d’une main et l’autre s’occupe de son clito. Je ne veux pas laisser Françoise prendre son pied seule, je n’oublie pas que j’ai une obligation de la baiser, et j’abandonne la chatte de Cathy pour aller m’occuper de celle de Françoise.
Je me place face à elle et jusqu’à présent, je n’avais pas eu la vision de sa chatte. C’est un régal pour les yeux : ses lèvres sont ourlées et longues, son clito est gros et déjà sorti de son capuchon et la mouille… elle est abondante et d’une odeur enivrante. Je comprends mieux ce qu’elle me disait ce matin en me disant qu’elle savait reconnaître l’odeur de la mouille entre toutes. Je me baisse pour m’emparer de son con tandis que Cathy fait mouvement vers la bouche de Françoise pour se faire sucer le clito. Je me mets à lécher la chatte de Françoise et à lui sucer le clito avec ardeur pendant que je continue à me branler. Elle bouge son bassin pour venir au devant de ma bouche et je vois que son plaisir augmente. Je me dis que c’est le moment de lui mettre ma bite dans son con. Ce que je fais aussitôt.
C’est un vrai régal ! Plus large que celle de Cathy, la chatte de Françoise est une fournaise et mes va et vient nous produisent à tous les deux des trésors de jouissance. De temps en temps, je sors ma bite pour la mettre sur son gros clitoris ce qui augmente encore son plaisir chaque fois… et le mien quand je refourre ma bite dans sa connasse. Ce jeu ne dure pas très longtemps, tellement nous sommes excités. Je sens son orgasme arriver et j’en profite pour être à l’unisson avec elle en lui envoyant mes jets de foutre dans sa chatte. Cathy, dont la bouche de Françoise a abandonné le con quand elle a commencé à jouir plus fort se branle à fond : elle a mis trois doigts dans sa chatte et son autre main bouge frénétiquement sur son clito.
On reprend nos esprits les uns et les autres et on commence à se rhabiller. On prend le temps de faire un peu plus connaissance : Cathy vit seule, elle vient d’Angleterre où elle est venue trouver à Malte le soleil et une vie plus agréable que celle qu’elle avait à Londres. Sa collègue, l’autre femme de chambre maghrébine, celle qui aime bien le gode du tiroir de la table de nuit de notre chambre est marocaine, elle s’appelle Laïla et vit seule aussi où elle est venue chercher à Malte un travail mieux rémunérer. Nous nous disons au revoir avec Cathy que nous laissons vaquer à ses occupations qu’elle a un peu délaissées en ce début d’après-midi.
Nous remontons dans le hall de l’hôtel, Françoise et moi. Je remonte dans notre chambre. Ma femme semble toujours dormir. Une drôle d’odeur flotte dans l’air : une odeur de cul. J’ouvre le tiroir de la table nuit sans bruit. Le gode est humide. Un peu plus tard, quand elle se lèvera, je constaterai qu’il y a du sperme qui a coulé sur le dessus de lit. Je comprends alors que ma femme a baisé avec un homme, sans doute Pierre, le mari de Françoise, pendant que je baisais moi même dans la lingerie. Je comprends mieux du coup que Françoise n’était pas très pressée que l’on remonte, sans doute pour que son mari baise sans risquer de se faire surprendre par moi par un retour précipité.
(à suivre)
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