Chap XIV – Pute amoureuse.
Un bruit de voiture, la porte s’ouvre, Pierre entre… elle se jette dans ses bras, l’embrasse.
Je sais, Bertrand et les autres m’ont appelé, tu as été parfaite, ma belle pute soumise adorée, je t’aime.
Tu m’aimes et ça te gênes pas que je sois une pute…que je vienne de passer la journée à me faire sauter par 4 types ?
Non, parce que si tu n’avais pas été amené ici, on se serai rencontré un jour, à ton avis ?
Mon salaud de proxo d’amour, je t’aime !
Met tes affaires dans ce sac, si tu veux enfile ce pull et ce pantalon et suis-moi !
Non, je suis une pony, je reste à poil…
On est où là ? Aline descend du 4×4, Pierre ouvre une porte, allume la lumière, entre nous sommes chez moi, enfin chez nous, chez toi, maintenant…
Aline saute au cou de son amant, l’embrasse, puis part faire le tour de son nouveau domaine, elle garde ses réflexions pour elle, c’est bien un homme seul, fonctionnel, mais alors la déco, zéro…
J’arrangerai 2-3 trucs, hein mon chéri, tu es d’accord ?
Le grognement qui suit peut être considéré comme un accord…
Merci mon amour de me faire jouir comme ça… je vais dormir, à demain mon chéri !
Pierre éteint la lumière. Pierre ? Oui ma chérie… Il faudra aménager un coin où tu pourras m’attacher, j’aime ça !
Une main caresse sa poitrine, son ventre, elle ouvre ses lèvres pour accueillir le baiser… Oui, ma soumise adorée…
Les sulky avancent rapidement, de front, les pony discutent de leur journée de la veille, des marques sont visibles sur les corps, toutes sont ravies, elles ont bien supporté l’épreuve et en sont fières…
Putain au début j’avais peur, j’avais mal, puis tu as chaud, et ton ventre part en live, tu coules, tu ne sens plus les coups, j’avais qu’une envie, une bite dans le cul ou le ventre… je m’en faisais une montagne…
Je me rend compte que je suis exploitée, voire manipulée et bien je vais vous étonner, je ne me sens pas du tout victime, on m’a enlevée, dressée à devenir une pute, un a****l de trait, paradoxalement je suis bien, ici nous sommes en sécurité, avant je ne savais pas de quoi demain serai fait…
Tu m’aurais dit il y 3 mois, que je me baladerai à poil, et lorsque j’ai les anglais, ça soit un gus qui paye pour te changer le tampon parce que t’es attachée, je t’aurai traité de folle… maintenant je m’en fout, j’ai une chatte publique pour le taf, et une chatte privée avec mon Philou, mon Toto ! Pareil pour le reste !
Marine commente ses sentiments, livre ses réflexions, les 3 ponys confirment, elles sont arrivées elles aussi à cette conclusion, elle acceptent leur sort.
Alors tu t’installes chez Pierre ?
Oui, plus ou moins en fonction de l’entraînement, mais je te dis pas le boulot en déco, ah le cochon, c’est bien un mec !
Si tu veux, j’aime bien la peinture, le papier peint, tout ça, j’en ai déjà fait !
Merci Noémie…
Pareil pour des rideaux, piquer à la machine, si tu veux, pas de problème !
Merci Agnès.
Rien de tout ça, mais si tu as besoin d’un manœuvre, et puis je vous regarderez faire, j’apprendrai !
Merci Marine.
Droite, Noémie, Noémie se raidit, Benjamin empoigne la cravache, 10 coups à marquer tombent sur les seins, penche-toi ! 20 coups à marquer arrivent sur les fesses.
Les 3 autres pony subissent la même chose.
On repart plus que 10 bornes !
Couché dans le lit, Pierre caresse doucement les seins marqués de sa soumise, il vient de lui faire l’amour.
Aujourd’hui tapis et manège, il pleut…
Chris promène une main experte sur le corps des pony, avant la soupe à midi, 16 et 30, il faut vous endurcir…, ne me regarde pas comme ça Noémie, tu as bien 2 seins ?
Pendant le repas, Marine commente : Putain, qu’est-ce qu’elle nous a mis la Chris, au fouet, à la cravache, elle a la main lourde, la vache… je veux bien que ça soit pour nous endurcir, mais tout de même…
Bon on arrête le manège, entretien des harnais, des bottes, à la douche, au fait, les pony, qui se ressent encore des coups de midi ?
Personne ! Vous voyez bien que vous vous endurcissez !
Bonne soirée les filles…
Chris ?
Oui Aline !
Aline explique à Chris ce qu’elle veut faire, elle va avoir besoin de l’avis d’une spécialiste, elle voudrai également acheter ou changer des meubles.
Bien sûr ma belle…
Bonjour les filles !
Bonjour M. Rochet !
Ce week-end vous êtes libres, l’entraînement reprendra la semaine prochaine, avec 2 épreuves d’endurance assez difficiles, pendant les 2 jours qui viennent, reposez-vous bien, détendez-vous ?
Pierre, je voudrai aller à la maison, commencer à ranger, est-ce que je peux emprunter de quoi faire le repas à Claudie, ou bien, mon rêve, pourrions-nous aller faire les courses tous les deux !
A l’oreille, elle glisse en chuchotant mon amour, prend de quoi m’attacher et me traiter durement comme quand je suis arrivée, je veux être totalement ton esclave, ta soumise…, elle l’embrasse.
Ils vont aller faire les courses, Aline est folle de joie.
(sifflement admiratif), Aline s’est fait prêter des vêtements, jupe (nue en dessous) jusqu’aux genoux, le cul bien moulé et les plis qui s’évasent, bottes à mi-mollets, un pull (nue en dessous), un boléro, un trench, un bonnet en laine sur la tête.
Pierre est très satisfait de son allure, une jeune femme bien roulée, habillée de façon classique, rien de provocant.
Le 4×4 roule doucement, tu veux t’acheter des fringues aussi ?
Oui, de quoi me couvrir, rien de bien compliqué, des chaussures et des tenues de jogging, une nuisette et une guépière, des bas pour réveiller la bête qui est en toi, j’ai l’argent de Bertrand, tu m’avances et je te rembourse…
Tu ne me rembourses rien.
Pour la bouffe du week-end, c’est fait, tu ne veux rien d’autre ? Signe de tête de Pierre.
Aline a acheté des balais, des produits de nettoyage, des torchons.
Avec maintenant une taille standard, elle ne traîne pas pour acheter ses vêtements, elle sait que Pierre, comme tous les hommes à horreur de faire les courses, alors elle speede.
Pierre s’arrête devant une boutique, on va acheter ici la guépière et tes tenues sexy.
Il entre dans la boutique, embrasse la vendeuse, Aline aussi, elle a reconnu avec surprise une rousse qu’elle a déjà vu au domaine et avec qui elle a discuté, elle expose ses besoins, essaie, choisi, 20 mn plus tard, ils sont de nouveau en route.
Aline est nue… je vais préparer le repas, tu veux que je mette quelle tenue ? Assied-toi dans 5 mn, je te sers l’apéro !
Soit sexy !
Voili voilà mon maître adoré, un petit sky et des gâteaux, pour patienter, je reviens !
Elle enfile sa guêpière seins libres, le porte-jarretelles, des bas, des talons vertigineux, se maquille, elle se regarde dans la glace, comme dit Marine elle ferai bander un eunuque, tant mieux, c’est le but, son ventre coule déjà…
Laisse-moi, tu auras tout le temps de me toucher après, je vais préparer le repas !
C’est au four, 20 mn, et moi en 20 mn je vais te faire ça…
Elle défait la fermeture du pantalon de son amant, baisse le slip (il se laisse faire, il bande, elle est fière de le faire bander ainsi), s’agenouille et commence à le branler entre ses seins…
Aux premiers signes indiquant qu’il va venir, elle englouti le sexe de son maître jusqu’aux amygdales pour qu’il se vide dans sa gorge, dans sa bouche… elle est à la limite de l’orgasme.
T’es pas sérieux, je vais casser les assiettes, les verres… elle est en train de faire la vaisselle, Pierre la sodomise, lorsque le sperme envahi son cul, elle hurle son plaisir.
Pierre lui a enlevé la guêpière, son porte-jarretelles, ses bas, il lui a serré des bracelets autour des poignets et chevilles, elle l’embrasse, traite-moi durement mon amour !
Aline est attachée, posée sur un guéridon, Pierre lui laboure le sexe, elle gémit, elle va jouir, qu’importe si ses seins lui font mal, si son cul lui fait mal, elle va jouir, elle joui… Oui… Oui… Oui… Oui…
Elle nettoie avec sa langue le sexe de son Maître, elle est heureuse…
Elle est détachée, allez une douche et au pieu, demain j’ai une grosse journée…
Aline est contre son amant, elle redresse sur un coude, lui murmure à l’oreille : meci, je t’aime, bonne nuit mon amour d’étalon !
Bonne nuit ma bombasse, demain je ferai le maxi pour venir manger avec toi à midi, mais le samedi c’est le coup de feu, tu le sais, de toute façon je te préviendrai.
6 h. Aline s’est levée en même temps que Pierre, lui a préparé son petit déjeuner le temps qu’il faisait sa toilette, elle déjeune avec lui.
(Bon, je fais les vitres, les rideaux à la machine, ensuite aspirateur et on nettoie.
C’est bien un mec, les chaussette sales sous le lit, du linge partout, je lave tout, on verra bien !
Des coups à la porte, ce sont les copines…).
Aline va ouvrir, ses 3 amies sont là, Kyria aussi, elles sont venues en voiture avec Kyria.
Elles ont mis leurs poncho pony, elles ne supportent plus les vêtements.
Autour d’un thé, elles discutent.
Celle-là si elle recommence ce truc, je l’explose ! Marine est furax, hier soir au salon, une nana qu’elle n’a jamais vue, draguait son Philou…
Elle c’est pute salope, toi pas te battre, toi enlever son soutif, seins à elle serviettes, toi jolis seins, joli cul, faire honte, lui dire moi vrai femme, pas boudin qui décongèle… coule… les 4 pony sont surprises, c’est la première fois qu’elle entendent Kyria dire du mal de quelqu’un, Kyria conclut elle c’est connasse !
Merci Kyria, c’est vrai qu’elle avait gardé son soutif quand elle passait ses seins sous le nez de l’autre niais… t’as raison je vais lui faire taper sa honte !
Marine cligne de l’oeil… Remarque, elle peut essayer de le faire bander aujourd’hui le Philou, je l’ai rincé cette nuit Toto…
Aline se lève et revient avec sa guêpière, moi aussi, après je me suis faite avoiner, le pied total.
Évidemment les 3 pony essaient la guêpière, prennent des poses, Kyria aussi, mais elle flotte dedans.
Un bruit de voiture dans la cour, Aline va ouvrir, Chris et Isa (en béquilles), Chris tient un bouquet de fleurs.
Aline pleure de joie, Merci Chris, Merci Isa…
Les 6 femmes discutent devant un thé, Chris : je pense que tu veux garder le côté rustique, revernir les poutres ou mieux les cirer, virer le papier, refaire un enduit à la chaux en tons clairs, poser des croisillons sur les fenêtres, les repeindre, accentuer le côté rustique.
Oui, c’est ça un peu, tu vois des rideaux vichy ou en lin, garder ce côté rustique, ancien, changer les meubles aussi…parce que les armoires !
Le téléphone sonne, Aline décroche c’est moi ma belle, tu es avec tes copines, je ne rentre pas à midi, il y a un escabeau dans la grange, bisous !
Ah le salaud, il reste là-bas à midi, et ben on fera une dinette entre femmes, il m’a dit qu’il y avait un escabeau dans la grange, on va faire le tour du propriétaire ?
Chris explose, regarde ce gâchis, ils sont là tes meubles !, il y du boulot pour les ravoir, mais franchement avoir des meubles pareils et flanquer des armoires Ikéa, c’est bien un mec…, le salon, en cuir est beau, la salle à manger magnifique… au boulot les nanas…, j’ai amené des produits, ils sont dans le coffre du break, qui vient les chercher avec moi ?
5 pony à poil en train d’astiquer, nettoyer, des seins qui ballotent au gré des mouvements, des culs et des fesses musclés qui bougent, c’est le spectacle que découvrent Pierre et Philou venus boire le café…
Il est beau ce meuble, vous l’avez trouvé où ?
Dans ta grange, andouille ! Chris s’énerve.
Les 2 loustics boivent leur café et jugent plus prudent d’aller faire un tour ailleurs, loin…
Kyria fidèle à son habitude chante, elle connaît le répertoire d’Édith Piaf par cœur, Patricia Kaas idem… en ce moment elle chante (sans accent) Mon légionnaire, les filles reprennent en chœur…
Agnès, Kyria, Aline venez voir ! Isa, préposée à l’astiquage d’une ménagère trouvée dans un meuble, a ouvert un autre écrin.
Des photos, des médailles en vrac dans les couverts, les filles reconnaissent Pierre, Christian se tenant par l’épaule, Ben fusil en main, l’air farouche, Thibault, idem, Benjamin, Benoît, Fabien, d’autres hommes, tous sont en uniforme, derrière eux une pancarte…
Kyria connaît, c’est Ben, mon mignon Ben, joli soldat, c’est à Kosovo, c’est section commandement capitaine Pierre !
Kyria apparaît sur une photo, une table de jour de fête, Kyria c’est plus la putain salauds russes, c’est plus battue, c’est travailler au mess capitaine, c’est Noël à Kosovo, faire la fête, réveillon !
Elle prend la photo, la colle sur sa poitrine, pleure…
Tu me la confieras j’en ferai faire un agrandissement que j’encadrerai, et je l’offrirai à Kyria !
Des photos, des uniformes, divers pays, Afrique, Moyen-Orient, Yougoslavie !
Ils ont baroudé Pierre et Christian, tiens mon Loulou ! Étonnant non ! Isa rigole, j’ten foutrai des moniteurs d’équitation, moi… enfin c’est le passé !
Au fait les filles, j’ai prévenu vos bonhommes, ce soir fiesta chez moi, Etienne est aux fourneaux, vous passerez récupérer vos robes au manoir !
Merci Chris, les 5 filles embrassent Chris.
Marine venir avec Kyria, aller au manoir, récupérer robes, chaussures et maquillage, aller chez Kyria et revenir ici, les copines faire joli chez Aline !
Elles partent !
Chap XV – Popotte… un coup de torchon, un coup de bite…
Waouh… la piaule… une fois de plus Marine a résumé le sentiment général.
Pierre, Christian et Benjamin se sont habillés avec soin, Etienne très gentleman farmer, Régis l’ami d’Isa aussi… (si elle le jette un jour, je prend… une fois de plus Marine donne le sentiment général, beau mec le garçon, et une classe de l’aristo ou presque…).
Chris porte une longue robe du soir qui la moule, elle est magnifique, la classe.
Kyria dans un ensemble moulant rouge qui souligne sa longue silhouette, n’est pas non plus désagréable à regarder.
Elles ont visité la maison de Chris, sensationnel.
On est à combien de km du domaine ?
10…, nous avons acheté la ferme il y a 10 ans, et arrangé… nous avons quasiment tout fait nous-mêmes, Etienne a des mains en or…
En or ? Marine une fois de plus plaisante, Chris confirme d’un signe de tête en riant.
Apéro, repas l’ambiance est gaie, détendue.
Il y a un truc qui m’épate, vous n’avez jamais eu d’emmerdes avec les flics ? C’est pratiquement, c’est d’ailleurs un boxon votre chasse !
Non Noémie… C’est une chasse privée comportant un club privé, indépendant, les droits d’entrée sont très élevés, qui confie la gestion pratique (intendance, secrétariat) au domaine, dans un club privé on fait ce qu’on veut !
Et nous alors ?
Vous êtes membres d’un autre club privé, qui promeut la pratique pony parmi ses membres ! Etienne se marre.
Les membres de ces clubs ont droit chacun à un ou une invitée.
Ainsi, Régis (moniteur), Isa (également monitrice) travaillent dans un club d’équitation qui prône la pratique de la ballade à cheval, attelé ou pas, ils y a des gens (peu nombreux certes…), qui ne touzent pas, la grande majorité ont leur chevaux ici à l’année, le soir ils ont bien le droit de se distraire ! Non ?
Effectivement vu comme ça…
Christian arbore un large sourire, Bonjour les Pony, pas de pluie aujourd’hui, vous vous êtes reposées ce week-end, 30 km avec un passager, c’est un driver expérimenté, un client… Mesdames, bonne journée… bonne ballade !
Merci, M. Rochet !
Bonjour Aline !
Bonjour Bertrand !
Un coup de mèche sur les fesses, c’est parti.
Tout en tirant sur un bon rythme Aline discute avec Bertrand, son driver a amené une caméra vidéo, à la pose de midi, il lui montrera les images de son cul qui ondule, cul dont il avoue sans honte, être amoureux !
T’as pas de petite amie Bertrand, une petite secrétaire, qui soulagerai sont patron en échange de quelques menus avantages !
Non…, ou alors pour une fois, j’ai une secrétaire avec qui…, je la paie comme une pute à chaque fois… j’étais le plus grand cocu du département, prof de tennis, cheval, golf, stretch, muscu, ma salope d’ex-femme se faisait tirer par tout le monde, y compris le dentiste, j’ai divorcé, ça m’a coûté un max, avec 2 gosses, alors je préfère venir ici… pas d’ennuis !
Par contre, je suis un sentimental, un fidèle, tu vois, t’as pas envie de pisser Aline ?
Aline s’est arrêtée, regarde gros vicieux, qu’est-ce que tu ne me fais pas faire ! Tu nettoie après…
Aline écarte les jambes, un jet jaillit. Bertrand filme.
Arrête avec ta langue, on repart !
Elle peste contre elle-même, Bertrand lui a donné envie de…, elle a du mal à se concentrer sur son allure.
Aline vient de sucer Bertrand, il la sodomise maintenant, elle joui, il a compris ce dont elle avait envie.
Elle continue à avancer, il n’a pas remis le gode-queue, elle sent le sperme couler sur son cul, Bertrand lui dit adorer, il filme.
Les pony, première épreuve difficile cet après-midi, vous avez fait 20 km ce matin, vous changer de driver, cet après-midi entraînement ! Bon appétit !
Si elle nous l’annonce comme ça, à tous les coups, c’est gratiné ! Noémie résume le sentiment général.
C’est vrai que tu as un beau cul ! T’es vraiment un cochon Bertrand, filmer du sperme qui dégouline, tu me filmera une fois ?
Oui, Agnès !
Au revoir, les pony !
Au revoir Messieurs !
Au dodo, 1 heure ! Oui Chris !
Aline ne connaît pas l’homme qu’elle vient de charger dans le sulky, les coups arrivent plus forts, Aline encaisse !
Aie… mon nez, mes seins, il est malade ce gars ! Mon nez..
Aline est libérée du sulky, l’homme enlève les rênes des seins, la prend par celles du nez, Aline suit.
Ils arrivent entre deux arbres, deux cordes pendent.
Aline entend un bruit de moteur.
Bien maintenant, je vais prendre la suite ! La voix de Pierre, un nouveau bruit de moteur.
Je vais te traiter très durement, je vais traiter durement la pony ainsi que mon esclave, ma soumise, les mains de son maître/amant/bourreau, elle ne sait plus caressent son corps, pincent ses seins, fouillent son sexe, son anus.
Aline ne bronche pas, soudain elle sent son ventre prendre feu, elle ne tarde pas à crier son plaisir
Oui… Oui…. Oui… Oui…
Son maître la prend par la taille, la fait se retourner l’embrasse…
Je ne voudrais pas t’entendre, j’aimerai que tu mérites cette médaille, il lui met une médaille en or devant les yeux, elle lit « ALINE PROPRIETE de PIERRE », Aline embrasse en larmes son amant, fais-moi ce que tu veux, je ne broncherai pas, je supporterai tout !
Aline a empoigné les deux morceaux de corde, les a entortillé autour de ses mains, poignets, elle attend, le fouet siffle, une brûlure, une douleur, Merci mon maître, Merci Pierre, un nouveau sifflement, une nouvelle brûlure, nouvelle douleur, Merci mon maître, Merci Pierre,Aline ignore pendant combien de temps se poursuit la terrible punition, son corps est en feu, elle a envie de hurler, de s’enfuir, d’échapper à cet enfer de douleur, elle résiste.
Des mains fraîches sur son corps, des mains douces qui libèrent ses poignets, des mains caressantes lui prennent les épaules et la font se retourner, des mains aimantes serrent son visage, des lèvres embrassent les siennes, elle embrasse son maître, elle oublie les brûlures, les douleurs qui la taraudent.
Aline s’allonge sur la couverture, Pierre écarte ses cuisses, il la pénètre doucement, Aline noue ses cuisses autour de la taille de son amant, elle s’offre au maximum, est-ce la douleur, elle ressent comme elle n’a jamais ressenti la pénétration, elle se retient au maximum, lorsqu’elle sent le sperme gicler dans son ventre, elle hurle son plaisir, son hurlement n’en fini pas, elle n’a jamais joui pareillement.
Aline a fini de boire.
Reste droite, écarte tes seins avec tes mains !
Le trocart perce la chair, le barbell est enfilé, Pierre retire lentement le trocart, un anneau est enfilé sur le barbell, la boule revissée, Pierre lui tend une glace ;
Aline regarde, désormais la médaille qui pend entre ses seins le proclame, elle est l’esclave de Pierre, elle se jette à son cou, l’embrasse.
Et ben dis donc, qu’est-ce que tu as foutu, nous sommes-là depuis une demi heure…
Aline regarde ses 3 compagnes, les marques qu’elles ont sur le corps sont révélatrices du traitement qu’elles ont subi.
Lorsqu’elles regardent son corps lacéré, strié de marques, qu’elles remarquent la médaille et voit l’air extatique de leur amie, elle comprennent !
Waou… tu sais que c’est presque un mariage… tu es heureuse, jolie médaille, Aline embrasse ses copines qui la félicitent, Agnès lui glisse à l’oreille ce soir peut être, Christian doit me faire une surprise, j’aimerai avoir la même…
Allez nettoyage des harnais, des bottes, et à la douche les pony…
Putain, j’ai cru que j’allais mourir, ça fait mal, et bien vous voyez, maintenant je ne m’en ressent plus, ce sont vraiment des champions au fouet, j’dmemanderai à Toto de m’avoiner de temps en temps, comme ça, pour le plaisir. A la réflexion, j’aime bien !
T’aime bien Marine ?
Et oui… j’en reviens pas moi-même…
Epilogue ou commencement ?
Aline s’éveille, elle se sent vaseuse…
Elle bouge dans le lit, un objet dur la gêne, une sangle à cliquet dans le lit, il va l’entendre Pierre, elle veut bien qu’il bricole, mais tout traîne n’importe où, des bracelets en cuir, une cravache, c’est quoi ce truc.
Elle se lève, enfile son peignoir, le referme.
Elle regarde par la fenêtre du séjour, le sulky de Chris traîne dans le jardin (un truc bricolé à partir de fourches de vélo par Etienne et Pierre).
Aline a mal au cul, elle a mal partout, elle se dit franchement j’ai dû me faire défoncer cette nuit, c’est bien mignon ces touzes entre copains, j’suis grand-mère c’est plus de mon âge !
Elle arrive dans la cuisine, ses copines aussi comateuses qu’elle sont attablées devant du café, salut Chris, Kyria, Agnès, Noémie, Marine, bisous, je sais plus où je suis et vous ?
Pareil, nous sommes le lundi matin !
Quoi lundi ? On a picolé à ce point ?
Non !
T’as pas mal ? Un peu aux épaules en fait, je suis courbatue des épaules et j’ai mal au cul !
Mal non pourquoi ?
Regarde-toi dans une glace, Aline se regarde, son corps est strié de marques, sa poitrine marquée par des dents, elle a une épingle à nourrice entre les seins, elle l’enlève (aie…), au feutre sur son sexe une inscription « Doublé Bouche Cul », elle revient dans la cuisine, ses amies écartent leur peignoir idem, les corps sont zébrés de marques !
C’est quoi cette embrouille !
Marine la regarde, l’air accablée…
Encore une farce, une farce selon lui, de mon abruti de mari, de Philippe… Pierre, Christian, Etienne, Benjamin n’étaient pas au courant !
Quelle connerie il a encore trouvé à faire ?
Il a assaisonné le punch avec une drogue, drogue du viol je crois, les apéro des maris, il leur a flanqué dedans le lévitra qu’il prend pour bander…, ils bandent encore d’ailleurs, en me levant j’ai trouvé ton mari avec un sac de glaçons autour de la bite !
On s’est fait baiser par tous les trous pendant plus d’une journée, il paraît qu’on en redemandait.
Quel con ce mec, je me demande comment tu fait pour le supporter ?
Je l’aime… !
C’est quoi cette boîte sur la table ?
Ouvre, tu verras !
Aline ouvre la boite, elle est remplie de billets de 5, 10 euros, une feuille, des comptes avec son prénom entre autres, des sommes…
C’est quoi ce merdier et ils sont où les loulous ?
C’est l’aspirateur qui fait ce bruit infernal, peuvent pas attendre !
Ils nettoient, t’aurai vu le bordel dans la piaule, Philippe et Etienne sont dehors, ils nettoient le tapis au vaporetto, il est trempé de pisse, je me demande ce que nous avons bien pu faire, les garçons refusent de le dire.
Moi je comprend pas, dit Noémie, au réveil, il m’a attaché les seins, me les a mordu, me les a cravaché, j’ai pris un de ces pieds quand il m’a baisé, j’avais jamais osé lui demander de me le faire !
Les 5 copines éclatent de rire, on s’en rappellera du barbecue de la pentecôte !
Aline reste pensive, était-ce vraiment seulement un rêve ?
Aline cherche la médaille entre ses seins…
Pierre ? Pierre ? Pierre ?
Oui Liline ?
J’ai rêvé ou quoi ?
A t-on avis, mon amour ? …
Si cette histoire vous a plus, pour que j’en publie d’autres, envoyez-moi vos encouragement et/ou suggestions! Merci….
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