Cette aventure, comme toute celles que je couche sur papier, sont totalement authentiques et vraies. Toutes, je les aie vécues, savourées, rien n’est inventé, tout est issu de mes souvenirs, exaltants, excitants comme je les perçois encore.
J’ai aujourd’hui l’Age du Christ, 33 ans, mais loin d’être un enfant de cœur, j’ai déjà eu tellement de frasques, que je trouve intéressant de les raconter… Je me sens prêt.
Je me prénomme Olivier, 1m73, 60 kgs, brun, aux yeux verts très très clairs qui font fureurs je dois le reconnaitre. Sportif, sans être musculeux, je n’ai pas la prétention d’être un bon coup. Je suis homme ordinaire. J’ai du charme c’est vrai, mais j’ai aussi, il faut l’avouer, une part non négligeable de chance qui m’a toujours servi…
Quelques mois ce sont écoulés depuis ma passion dévorante avec la charmante Nathalie. C’est le passé. Et pratiquement un an me sépare de ma toute première fois, fugace, avec ma voisine de trente ans mon ainée, Annie.
Nous sommes en juin, la fin de l’année scolaire. L’attention en cours diminue, tout comme les vêtements, pour le plus grand plaisir des yeux. Plus personne, surtout pas moi, n’a la tête aux études. Je ne peux m’empêcher de mater toutes les filles du Lycée avec envie. Définitivement, après quelques mois d’abstinence je suis en manque. Sensation bien peu agréable que je ne connaissais encore pas.
Je suis en cours d’Espagnol, l’un des derniers de l’année. Je rêvasse. Depuis plusieurs mois maintenant la prof, lassée par nous incessants bavardages a placé tous les élèves suivant ses directives. Mélangeant garçons et filles, intellectuels et fainéants, introvertis et dissipés. Au finale, je ne suis pas sûr que cela ait eu l’effet escompté, le cours étant toujours bruyant.
Je me suis retrouvé dans un coin de classe, contre le mur au dernier rang. A côté de moi Ella, l’une des cancres de la classe. Nous n’avons aucune affinité. Depuis que nous sommes l’un à coté de l’autre, je ne suis pas sûr que nous ayons échangés plus de trois phrases…
Ella, c’est un peu la badgirl de la classe, loin d’être méchante ou perturbatrice, elle est clairement la rebelle de la classe, statut qu’elle doit sans doute au fait qu’elle soit redoublante, et qu’elle affirme haut et fort son dégout pour les études.
Ella n’est pas belle, ni même mignonne, mais elle est BONNE ! Et même si cela peut paraitre vulgaire c’est bien le cas. Grande, plus que moi en tout cas, beaucoup trop maquillée, et trop mal surtout, son visage est rond sans charme particulier, tout comme sa chevelure une peu grasse et négligée. Sa tête est un peu disgracieuse.
Par contre, le reste de son corps est un véritable diamant brut : une poitrine naturelle fabuleuse, lourde, énorme qu’elle ne cherche même pas à mettre en valeur. Son ventre est plat, ses jambes sont longues, quant à ses fesses, elles sont une à deux tailles trop volumineuses par rapport à ses proportions mais cela ne la dessert pas. Au contraire. Le galbe est parfait et son jean moulant laisse deviner des formes rebondies… Elle est un délice des yeux, elle le sait, mais s’en moque éperdument. Très hautaine et sûr d’elle.
Ella a déjà eu des rapports avec des hommes plus âgés, du moins tout le monde le pense, moi y compris. Les rumeurs pour une fois semblent vrais, mais elle n’en parle jamais. Pas à moi ni aux autres garçons de la classe tout du moins. Pourtant, elle est notre fantasme à tous, et ce, uniquement pour son corps de rêve. Malheureusement elle est également tellement perchée… Je n’imagine même pas les souffrances intellectuelles pour essayer de la séduire et la mettre dans son lit. Non merci, très peu pour moi, en plus son visage, non vraiment sans façon.
Sans m’en être rendu compte, je la dévisage depuis de longues secondes. Elle tourne la tête et me regarde à son tour, surprise. Je détourne vite le regard. Le cours continue.
Quelques minutes plus tard pourtant, vers la fin du cours, elle me lance, sans prendre aucune pincette, et alors que rien ne le laisse deviner :
« Il parait que tu n’es plus puceau ? C’est rare dans cette classe ! »
« Oui c’est exact » je lui réponds sans hésitation, un peu ébahi mais fier comme Harpagon.
Sans autre préavis elle enchaine, brut de décoffrage, fidèle à sa réputation :
« Si tu veux j’ai un grand lit 2 places chez moi. »
On se regarde. Moi surpris, elle, malicieuse et coquine, je n’ai jamais vu une telle envie chez une femme. Mon expérience avec Nathalie m’a donné confiance en moi. Je ne manquerai pas cette occasion, pas cette fois :
« Pourquoi attendre ce soir, on peut se voir dans les toilettes après le cours si tu veux ». Je n’y crois pas. Ai-je vraiment dit ça ?
Elle m’adresse un sourire à la fois complice et charmeur, pendant que sa main se pose discrètement sur mon entrejambe, elle ajoute :
« Audacieux. Si tu as des capotes, rejoints moi aux chiottes filles du deuxième étage après ce cours, il n’y a jamais personne. On va voir si ta réputation est usurpée ou non, et toi tu vas découvrir ce que c’est que de bouger son corps. »
Elle ne doute de rien. En plus c’est bien moi qui vais savoir si sa réputation est vraie, et non l’inverse ! Je lui rends son sourire entendu. Je bande comme un fou. Et dans quelques minutes je vais baiser… Et en plus une bombe.
Soudain le doute m’envahi, vais-je être à la hauteur ? Inutile de me mettre autant de pression… mais qu’est-ce qu’elles passent lentement ces minutes… Je n’arrête pas de m’imaginer le film de nos ébats… J’ai hâte et je stress à la fois… Dringgggg… Enfin… Ella se lève, s’en va, je matte son cul avec envie… Je vais te donner ce que tu attends ma jolie.
Je descends mine de rien avec mes amis et prétend avoir oublié mes clefs en salle de cours pour m’éclipser. Je coure dans les escaliers pour remonter aussi vite que je peux. Je vais baiser ! J’arrive devant les toilettes femmes un peu essoufflé. Idiot. Je reprends quelques secondes mon souffle. Je frappe. Pas de réponse. J’entre. Ella m’attends. Elle n’a pas menti. Je vais baiser ! Elle me signe de la main de la rejoindre dans le dernier compartiment. Je me hâte. Je vais baiser. Elle ferme à clef derrière moi.
Nous nous jetons directement l’un sur l’autre, littéralement. Nous nous embrassons goulument, à pleine bouche. Il n’y a aucun romantisme. Déjà mes mains malaxent ses seins fermement, intensément… Quel volume ! Quelle sensation ! J’adore. J’agrippe également ses fesses… Fermeté et douceur à la fois… J’adore encore plus… il n’y a aucune tendresse non plus. On va baiser !
Ella a déjà glissé une main dans mon pantalon… Je vais exploser… Elle dégrafe mes boutons et baisse mon pantalon et caleçon en même temps. Elle prend mon sexe gonflé à pleine main, et commence à me branler sans ménagement. Elle me sourit et s’agenouille avant de s’exclamer :
« Hummm bel engin je vais me régaler ».
Sans attendre, elle prend ma bite en érection toute entière dans sa bouche, sans aucune hésitation. Ce n’est pas la première fois qu’elle fait ça, j’en suis sûr. Les rumeurs étaient donc vraies. Sa langue experte malgré son jeune âge remue sur toute la longueur de ma queue, en même temps que ses mains me branlent… Elle aspire tout dans sa bouche… Le phénomène de succion qu’elle maitrise à la perfection me fait exalter ! Jamais encore on ne m’a fait une telle fellation… Je vais déjà jouir si elle continue, je ne tiens plus… Non ! Hors de question, pas sans l’avoir limé avant ! J’ai trop envie de la prendre.
Je l’att**** par l’épaule, la redresse, l’embrasse à pleine bouche, je sens l’odeur de ma bite… Pas très agréable. Je m’en moque. Je défais les boutons de son jean à la va vite, me baisse pour att****r un préservatif dans la poche de mon jean, et l’enfile en un temps record. Je la retourne prestement et la plaque violemment contre le mur. Je descends son jean à mi-cuisse. Et sans aucun préliminaire supplémentaire, j’entre en elle ! Aucune difficulté, ma queue rentre toute seule… Ella est trempée de désir… Elle gémit de plaisir…
Je relève son t-shirt, enlève son soutien-gorge comme je peux. Je veux encore malaxer ses énormes seins. Prodigieux. Je titille ses grosses mamelles. Les mamelons pointent à leur maximum. Elle hurle… Elle va attirer du monde ici. Je place ma main devant sa bouche pour la faire taire. Elle me mord le doigt. C’est bon… Mon autre main passe sans relâche de sa poitrine à sa chatte. Elle est touffue. Très. Pas du tout entretenue. La transpiration la rend collante et moite. J’aime, cela m’excite encore plus. Je caresse son clitoris maladroitement et sans sensualité. Je continue dans le même temps mes vas et viens rapide en elle. Je ne vais pas jouir, pas tout de suite, elle est moins serrée que je n’aurai cru. Tant mieux !
Mais Ella ne veut pas être dominée. Elle donne un puissant coup de bassin en arrière qui me retire d’en elle. Je suis surpris. Sans parler, elle baisse la cuvette des chiottes et me force à m’assoir dessus. Elle enlève totalement son jean et sa culotte en une fraction de seconde, et déjà elle revient s’empaler sur moi, face à moi, vigoureusement !
C’est tout simplement fabuleux. Je la vois remuer sur moi, j’ai vu sur son épaisse toison non entretenue, luisante de transpiration. Le mouvement de ses deux énormes seins ressemble à des ballons qui rebondissent. J’adore. Mes mains continuent d’alterner aléatoirement entre son clito, ses fesses, ses hanches, son ventre, ses seins, sa bouche, je n’ai jamais connu une telle exaltation ! Dans l’excitation je jette complétement ma tête entre sa poitrine. Je mords fermement ses tétons gonflés.
Je suis en transe. Ella est en transe. Les yeux révulsés, elle gémit, cri, hurle… J’ai oublié qu’on pouvait nous surprendre, j’y pense l’espace d’une seconde. Comme c’est excitant ! Je sens que cette fois je vais venir, elle bouge trop vite, trop fort sur moi… Non pas encore… A mon tour de la soulever. A mon tour de l’assoir sur la cuvette, à moitié allongée, sans doute mal installée. Peu importe.
Je me place à genou devant elle, j’enfonce mon sexe prestement en elle. Il entre toute entier. Elle se met à gindre. J’accélère le mouvement aussi vite que je peux. Voir mon sexe disparaitre totalement décuple mon plaisir. Je voudrai continuer des heures durant mais je sens que je vais exploser… Plus vite, encore plus vite ! Plus fort ! Plus profond ! Elle hurle de plaisir… Je viens !
Sans réfléchir je me retire précipitamment, j’enlève la capote grasse. Je vais lui éjaculer sur le corps, tant pis pour elle… Mais Ella est encore plus cochonne que je n’aurai cru, dans le même moment, elle se met à genou devant moi pour recevoir ma semence. Nos mouvements ne sont pas coordonnés, si bien que je lâche tout mon sperme chaud sur son visage, ses cheveux, son nez, ses yeux, sans rien contrôler. Cela ne la gêne pas, au contraire, elle semble apprécier, toujours dans un état second. Elle reprend une dernière fois mon sexe gluant à pleine main, à pleine bouche comme pour me nettoyer.
Pourtant pour moi, l’instant est passé, c’est déjà fini. J’ai joui, j’ai très bien joui. Je la repousse à la hâte, remonte mon caleçon et mon jean, et sans un regard, ni un mot, je m’en vais. Je la laisse là, le t-shirt relevé, les seins a l’air, le corps transpirant couvert du fruit de nos ébats… Elle profite de ces derniers instants… Je suis déjà parti.
Ella fut pour moi un One Shot ! Nous n’avons jamais remis le couvert. L’année scolaire s’est achevée, je ne l’ai jamais revu, mais je garde encore ce souvenir d’une femme affamée de sexe. Quant à elle, je sais que notre liaison éphémère lui a plu, du moins, c’est le message qu’elle a transmis à ses amies, au vu des regards envieux que j’ai eu durant les derniers jours de classe qui ont suivi. Une fois de plus mon statut avait changé vis-à-vis de mes camarades.
Mais, même si je ne me suis jamais vanté de cette éphémère liaison, car comme pour les frites, ce sont ceux qui en parle le moins qui en mange le plus, je n’ai pas su profité non plus de ma soudaine renommée… Du moins pas avec les filles du lycée… Mais encore une fois, ceci est une autre histoire.
Ajouter un commentaire