Lundi 29 Juillet 2013
Aujourd’hui, c’est une visite des gorges du Verdon en voiture.
Au petit-déjeuner, Thomas n’est rassuré que quand je lui fait un discret clin d’œil avec un sourire pour bien lui confirmer que je ne dirai rien à sa mère. Les trois femmes, nous adoptent une tenue similaire, une robe courte d’été. La seule différence, c’est qu’Hélène a tout de même mis un string dessous sans se douter que les deux autres, Lola et moi n’avons rien mis du tout dessous. Elle a même poussé la coquetterie Jusqu’à choisir un joli string en dentelle de couleur assortie à sa robe.
Le midi, nous mangeons dans un restaurant un peu en dehors des sites trop touristiques. Et je décide de ne pas en profiter pour faire une séance d’exhib.
De retour à la maison, cette fois c’est Hélène qui va la première prendre sa douche. Je la suis de près et entre avec elle comme si c’était normal:
– Tiens, et si on prenait la douche ensemble? Ce serait mieux pour se frotter le dos.
– Euh, oui, pourquoi pas…
Quand j’enlève ma robe, Hélène découvre enfin que je ne portais rien dessous:
– Dis donc, tu n’avais pas mis de culotte?
– Non, et si tu veux savoir, Lola non plus!
– Ah, carrément.
Hélène enlève enfin sa robe et son string et me rejoint quand je viens d’ouvrir l’eau. Je dirige le jet sur ma copine et l’arrose copieusement partout avant de me mouiller moi-même. Puis je coupe l’eau et prends du gel pour me savonner partout. Pendant ce temps, Hélène en fait de même. Puis je lui tourne le dos et lui demande de me le frotter. Hélène commence timidement par les épaules en faisant des petits cercles. Puis elle descend le long de ma colonne mais n’ose pas aller trop bas, s’arrêtant sur le haut de mes fesses. J’en profite pour entamer la conversation:
– Ju m’a raconté que vous vous êtes croisés dans le couloir la nuit dernière.
– Euh, oui. J’étais aux toilettes et il a pris ma place ensuite.
– Mais il était à poil et il m’a dit qu’il s’était rendu compte trop tard que tu étais là.
– C’est bon, il n’y a pas de mal.
– Non, parce que quand il est sorti de la chambre, j’ai vu qu’il était pas trop débandé.
– C’est vrai, mais c’est pas grave.
Je décide de changer les rôles. Je fais tourner Hélène pour me mettre derrière elle. Je commence à lui frictionner les épaules et le cou, puis je descend le long de son dos tout en reprenant la conversation:
– Remarque, il y aurait de quoi te troubler, surtout avec ton manque dont on a parlé.
– Oh, je fais avec…
– Et tu fais quoi, en fait, tu te branles de temps en temps?
– Euh, en fait, non, ça faisait longtemps que je l’avais pas fait.
– Comment ça « ça faisait longtemps”? Tu l’as fait cette nuit?
– Eh bien oui, et aussi la nuit d’avant. j’ai fini par me branler pour pouvoir dormir.
– C’est nous qui te faisons cet effet?
– Ben, faut dire que vous n’êtes pas discrets.
– Tu pensais à la bite de Ju? Tu te voyais à ma place?
– Oh, Caro!
– Allez, fais pas la prude, je suis pas jalouse!
– Bon, j’avoue que je me suis fait plaisir en pensant à ça…
– Ah, tu vois!
Pendant que je détourne l’attention en parlant, je continue de descendre et devant l’absence de réaction, je commence à savonner activement les fesses d’Hélène. Par contre, quand je commence à me faufiler entre ses jambes pour atteindre sa fente, je sens comme une crispation. Je n’insiste pas et remonte mes mains sur les côtés du corps Jusqu’à venir lui caresser les côtés des seins. Puis voyant que c’est assez pour cette fois, je stoppe mon action pour ouvrir en grand le jet en vue du rinçage. Tout ce qui se trouve dans la douche est copieusement arrosé. Dans le chahut, l’atmosphère redevient plus ludique et Hélène se retourne pour être bien rincée partout. Je frotte mes fesses contre celles de mon amie quand nous sommes dos à dos. Puis je profite que nous nous faisons face pour aventurer mes mains vers les tétons d’Hélène qui pointent et elle se laisse faire un peu plus.
Hélène est la première à sortir se sécher suivie par moi. Puis elle enfile un string, et cette fois elle ne refuse pas le string-ficelle rouge que je lui propose. De mon côté, je mets mon jaune et toutes deux nous descendons poser sur la terrasse.
La place étant libre, c’est Lola qui investit la salle de bains puis qui laisse la place aux garçons. Quand ces derniers reviennent, la nouvelle surprise c’est que Ju a réussi à persuader Thomas d’essayer son string le plus décent, celui qu’il portait samedi. Et pour rire, lui-même arbore un cache-sexe minuscule qui contient à peine son service trois pièces et ne couvre même pas le plumeau de poils sur son pubis.
Après un moment, Je me lance et dis:
-Oh, et puis zut, vous m’avez déjà tous vue à poil hier!
Et je vire mon string, me remettant complètement à poil sur le transat. Sans attendre, Lola m’imite en disant que c’est pareil pour elle. Personne n’osant protester, je me mets à l’eau et barbote un moment avant de ressortir de l’autre côté de la piscine et de m’assoir sur la margelle, les pieds dans l’eau.
Je réalise alors que les voisins que je n’avais pas encore vus ni entendus sont là et que le mari est à la fenêtre, avec une vue imprenable sur moi. Ça ne me dérange pas et je lui fait un petit coucou discret et mutin, les cuisses écartées juste assez pour exhiber ma fente sans en avoir l’air. L’homme disparait et peu de temps après c’est la femme qui pointe sa tête. Je la salue aussi et écarte un peu plus mon compas avant qu’elle ne rentre et ferme la fenêtre. A voir…
Pendant ce temps, Ju a aussi enlevé le string dans lequel, même sans franchement bander, il commençait à être à l’étroit. Tous les trois nous finissons par décider Hélène à franchir le pas. Elle vire enfin son dernier rempart. Comme il est le seul et le dernier avec un maillot, Thomas capitule et ôte le bout de tissu qui masquait sa virilité. Il est le premier étonné de ne pas bander dans cette situation, mais c’est certainement dû au stress qu’il a ressenti en pensant à se retrouver en érection devant tout le monde. Et pourtant, il n’arrive pas à garder son regard éloigné du ticket de métro de sa mère qu’il découvre, ni de la fente lisse des deux autres femmes qui l’entourent.
Le soir venu Hélène avoue que le naturisme, passé les premiers instants déstabilisants, est bien agréable surtout vu la chaleur. Donc, nous restons tous à poil pour dîner. La seule alerte, c’est lorsqu’on se retrouve tous au salon dans la même configuration que la veille pour décider que le lendemain on resterait ici pour s’habituer à ce nouveau mode de vie au lieu de faire une excursion. Calé à nouveau entre Lola et moi, et avec cette fois en plus la chatte de sa mère en face de lui, Thomas essaie de contenir entre ses cuisses une érection qui finit par l’emporter. Sa queue jaillit comme un ressort et son gland qui avait été décalotté par les frottements vient taper contre son ventre, pointant librement bien haut. Dans un grand silence, il ne bouge plus, n’osant même pas le cacher de ses mains. Sa mère est aussi dépassée par la situation et ne sait pas quoi dire.
Heureusement, c’est moi qui interviens pour dédramatiser l’incident:
– Allez, c’est normal, c’est la nature. Pas vrai Hélène?
– Euh oui, ne t’inquiète pas mon chéri, c’est normal, ça arrive. On va te laisser.
– Et en plus, tu devrais être contente: ton fils est normalement constitué!
Thomas finit par régir et met ses mains devant sa matraque dressée. C’est l’élément déclencheur pour aller se coucher. Tous le monde monte vers les chambres, le laissant avec son ardeur seul sur le canapé. Je m’arrête en bas de l’escalier et dits que je vais d’abord boire un dernier verre d’eau fraiche et je retourne vers la cuisine. Pendant que les autres continuent à monter vers les chambres à l’étage, je retourne directement dans la cuisine pour aller au frigo, puis je reviens dans le salon vers Thomas. Cette fois, la lumière est encore éclairée mais celui-ci ne fait rien pour cacher son érection. Bien au contraire, il se cambre un peu pour la mettre bien en avant et continue à faire des va-et-vient avec sa main tout en me regardant directement dans les yeux.
Je viens m’assoir comme la veille sur la table basse et soutiens son regard:
– Mmm, je vois que le petit garçon grandit!
– Eh oui, j’ai bien retenu les leçons d’hier…
– Donc, je peux te faire passer un contrôle des connaissances?
– Oui, si tu veux.
– Bon, pendant ce temps, continue à te branler doucement, fais durer le plaisir.
– OK!
– Première question: as-tu déjà fait des choses avec une femme?
– Euh…
– Non, la vérité, sinon j’arrête le jeu.
– Alors non, jamais.
– Bien! Deuxième question: qui te fait le plus bander de nous trois en ce moment?
– Euh, ma…ma mère…
– Bien, je te crois, elle est vraiment bandante pour son âge, non?
– Oui, je l’avais jamais encore remarqué avant, mais avec tout ça…
– D’où la troisième question: tu imaginais un jour la voir en string et même à poil?
– Ah non, je la connaissais pas comme ça.
– Moi non plus. Quatrième question: Tu oserais faire ça si c’était elle à ma place?
– Je crois pas.
– Cinquième question: et si je rendais ça possible, tu aimerais?
– Ah oui, mais ça m’étonnerait.
– On verra, il nous reste encore pas mal de jours. En attendant, continue.
Tout en parlant avec lui, je fais tout pour l’exciter de plus en plus: j’écarte bien les cuisses, je me tripote les tétons qui se mettent à bien pointer sous ce traitement, puis je commence à faire glisser un doigt sur mon clito que je montre un peu plus en me penchant en arrière. Thomas est comme un fou devant ce spectacle.
J’arrête un peu mon action et je me penche en avant en lui disant:
– C’est un peu de ma faute si tu es dans cet état, il est donc normal que je t’aide.
J’envoie alors ma main pour prendre la place de celle de Thomas sur cette colonne de chair qui nous sépare. Je mets toute mon expérience au service de ce jeune puceau en le branlant avec volupté. Je le fais mettre debout devant moi pour continuer. Il a une vue plongeante sur cette femme désirable qui le branle d’une main, lui caresse les couilles de l’autre, le tout avec son gland à quelques centimètres de son nez. Il a la bonne surprise de me voir passer la langue sur son gland et sa tige, puis le prendre carrément en bouche tout en continuant mes va-et-vient. A ce régime, il ne met pas longtemps à sentir monter la sève et me prévient qu’il jouit.
Je le regarde en clignant de l’œil:
– Ça serait dommage de faire encore des tâches comme hier!
Et à sa grande surprise, je ré-enfourne le gland dans ma bouche au moment où il ne retient plus rien. Il lâche plusieurs bonnes giclées que je fais attention à bien avaler, ne laissant rien déborder. Quand il se calme, je le suce encore un moment avant de le ressortir, humide mais propre.
Je me relève et le quitte sans un mot de plus pour remonter vers ma chambre. Je suis excitée au maximum et j’ai besoin d’un bonne partie de cul pour me calmer. Je rentre dans la chambre pour y trouver Lola à genoux en train de sucer son père assis sur le lit. Ça ne me dérange pas, bien au contraire: à trois c’est encore mieux qu’à deux!
Je commence par les mettre au courant de mes avancées avec Thomas, puis Ju me raconte ce qu’il s’est passé pendant mon aventure au rez-de-chaussée. Hélène qui était derrière lorgnait sur la bite de Ju qui était devant à côté de Lola. Dans cette diagonale elle voyait forcément la queue de Ju qui commençait tranquillement mais sûrement à se dresser, atteignant déjà l’horizontale. Le pas énergique de Ju pour monter l’escalier donnait à sa bite un balancement de droite à gauche mais il faisait mine de ne pas s’en rendre compte. Hélène se disait certainement que Lola devait sans doute aucun s’en apercevoir, et s’étonner que ça n’ait pas l’air de la perturber plus que ça elle non plus.
Arrivés sur le palier, elle s’est dépêchée de leur souhaiter une bonne nuit en s’efforçant de ne pas regarder dans la direction du centre de gravité de mon homme. Mais en se tournant elle a tout de même eu une dernière vue en coin du membre qui maintenant est déjà bien gonflé avec des veines apparentes, dressé plus haut que l’horizontale et ça n’avait pas l’air d’être fini. Elle a du noter aussi que Lola s’était franchement tournée pour aller vers sa chambre et que dans le mouvement elle s’était automatiquement retrouvée face à son père à un moment. Mais elle n’a pas attendu la suite et est entrée dans sa chambre, la tête en feu et l’entre-jambes aussi.
Le résultat de cette séquence au premier, de la bandaison devant Hélène dans l’escalier et de la suite, c’est que Lola n’a pas voulu laisser perdre cette occasion de se faire plaisir. Surtout que les deux autres nuits, elle nous a entendus baiser et qu’elle n’a eu que ses doigts et un gode vibrant pour se satisfaire.
Je viens donc derrière ma fille qui a repris Ju en bouche et lui passe d’abord la main, puis la langue dans le sillon. Puis Lola vient s’embrocher sur la queue de son père pendant que je me mets face à elle à califourchon sur la bouche de Ju. Nous nous servons de lui tout en nous caressant mutuellement les tétons.
Après un moment, Ju fait mettre Lola à quatre pattes et la prend en levrette pendant qu’elle me broute le minou. Puis il change de trou et lui rode l’anus en prévision de la suite. La suite, c’est moi qui m’harnache avec un strapon et vient prendre le cul de ma fille pendant qu’elle chevauche son père. Après les deux jours d’excitation à distance, Lola ne tarde pas à ressentir un orgasme violent. Dans l’action, elle n’a pas retenu ses râles et maintenant elle a peur d’avoir été entendue.
Ju n’ayant toujours pas éjaculé, nous inversons les rôles et c’est ma fille qui m’encule en sandwich. Enfin, Ju nous lâche la purée lors d’une fellation finale à deux bouches et quatre mains.
Puis Lola jette un coup d’œil dans le couloir. La voie est libre, elle trotte discrètement Jusqu’à sa porte qu’elle ouvre en silence et va enfin dormir.
Pendant ce temps, du côté de Thomas comme de sa mère, les bruitages ont réveillé leurs sens et chacun de son côté se donne du plaisir en s’imaginant l’une à ma place, l’autre à celle de Ju. Vers l’apogée de la chevauchée, chacun d’eux a un doute quant à la provenance de la voix qui souligne sa jouissance. On aurait dit Lola, mais ce n’est pas possible. C’était forcément moi, mais le son a été déformé…
A suivre…
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