J’étais encore une fois tombé dans le panneau, ou plutôt dans ses seins et entre ses cuisses.
Sonia était arrivée très tôt ce samedi matin. Elle avait sonné trois ou quatre fois et était rentrée. Elle avait toujours les clés. J’étais au lit avec une jolie blonde rencontrée hier soir et avec qui j’avais fini par une superbe partie de jambes en l’air. Elle nous réveilla en tirant les rideaux et en ouvrant la fenêtre. Nous étions nus. Moi ça ne me dérangeait pas trop, elle me connaissait. Mais la blonde fut très surprise, se demandant ce qu’il se passait. Elle attrapa ses affaires et s’habilla en quittant l’appartement, poussée par les remarques désobligeantes de Sonia.
J’entendis la porte palière claquer et je revis Sonia venir s’assoir à côté de moi au bord du lit. Elle avait posé sa main sur ma cuisse tout près de mon sexe.
_ Désolée, me dit-elle, j’ai besoin de quelques affaires…
_ Mais bien sûr, je répondis en enlevant sa main et sortant du lit pour aller à la salle de bains. Prends ce dont tu as besoin et va-t’en…et laisses les clés ! Et je rentrais dans la douche.
Sonia et moi nous étions séparés pour la troisième fois la semaine dernière. Nous nous étions rencontrés il y a 6 ans et notre relation avait été faite de hauts et de bas. Cette fois-là, j’étais décidé à tourner la page. Il y avait encore quelques mises au point à faire comme le déménagement de toutes ses affaires et récupérer les clés de mon appartement et ce serait terminé. Nous avions passé d’excellents moments ensembles. Elle était superbe. Mais j’en avais assez de ses séparations à répétition, précédées des engueulades et autres situations désagréables.
Et pourtant Sonia était superbe, belle et peu farouche. Grande, les cheveux châtains, les yeux verts et avec des formes comme il faut, là où il faut. Des seins ronds, fermes et rebondies. Les fesses pareilles. J’adorais son cul. Bien qu’elle avait toujours refusé que je le visite. Elle n’était pas adepte de la sodo.
Tout en me savonnant je repensais à la situation. Moi et la blonde nus et Sonia qui nous rejoint. Et je nous imagine dans une partie à trois. Sonia montrant à la blonde comment s’occuper de moi. Puis me branlant dans la bouche de la blonde qui me prodigue des caresses de sa langue. Et Sonia qui m’encourage à pénétrer la blonde. Et les 2 à califourchon sur moi à se rouler des pelles. L’une empalée sur mon sexe et l’autre m’offrant sa chatte à déguster. J’étais dans mes rêveries, sous la douche, le sexe en érection. Caressé. Mais ce n’était pas moi qui me branlais. C’était Sonia.
Elle s’était glissée dans la douche. Contre moi. Ses seins contre mon dos, elle m’entourait de ses bras, une main glissant sur ma verge, l’autre palpant mes couilles. Ses lèvres caressant mes épaules. Je me retournais et allais pour me dégager et mettre fin à mes rêverie. Nous étions séparés !
Mais elle tenait mon sexe et le pressa un peu plus fort en continuant ses vas et vient. Elle s’accroupit et fit de même avec sa bouche en prenant ma bite en bouche. Elle serra ses lèvres et les glissa dessus, me pompant 4 ou 5 fois. Je sentais sa langue dessous me caresser. Elle ressortit mon sexe de sa bouche et me caressa le gland du bout de sa langue. Tout en continuant à me caresser les couilles et les cuisses. Je lui demandais d’arrêter, mais elle continua de plus belle et recommença à me sucer. Elle glissa sa tête sous mes couilles et les aspira. Branlant contre mon ventre mon sexe et effleurant de son autre main mon anus. Je ne dis plus rien et me laissais faire.
Sans lâcher mon sexe, elle me tira dans la chambre et s’installa sur le lit les cuisses bien écartées et entrepris de se caresser avec ma verge. Je m’installais contre elle en lui caressant les seins et je la laissais s’occuper de nous.
Jusqu’à ce qu’elle me fasse entrer en elle. J’ondulais entre ses cuisses. De longs et lents vas et vient. Elle respirait fort en me regardant. Ses seins avaient gonflé d’excitation. J’y mis plus de cœur et de force et la bourrais encore plus fort. Elle m’encourageait en pressant mes fesses et en demandait plus. Je me retirais. Attrapais ses hanches et la retournais. Et je reviens en elle sans ménagement par derrière, je la troussais comme un hussard. Elle haletait de plaisir. Je grognais. J’étais prêt à exploser. Elle le sentit et s’allongea et ne bougea plus. Laissant la tension retomber. Elle s’était extirpée de ma verge. Au-dessus d’elle je reprenais mon souffle. Un instant plus tard sa main revint s’enrouler sur mon sexe. Elle entreprit de le caresser. Elle se remit à 4 pattes, et frotta ma queue sur son sexe tout humide. Elle fit glisser ma bite entre ses fesses. Elle posa sa tête et ses épaules sur le drap, cambra bien sa croupe. Tenant mon sexe d’une main, elle écarta ses fesses de l’autre, dégageant bien sa petite rondelle. Elle frotta mon gland dessus et elle poussa dessus. Elle le fit entrer et attendit que son trou s’habitue à sa présence et en épouse bien la forme.
Puis elle continua à pousser et fit pénétrer mon sexe en entier dans son cul. Elle gémissait de plus en plus fort à chaque centimètre englouti. J’avais mon bas ventre collé à ses fesses. Je pris délicatement ses hanches et commençais à onduler en elle. Des allés et retour de plus en plus grand. Elle criait de plaisir, mélangé à une douleur que je sentais qu’elle appréciait. Elle enfouit son visage dans les draps pour étouffer ses cris. Je lui ramonais pour la première fois son petit trou du cul bien serré. Mes testicules ballotaient contre son sexe et sentaient ses doigts. Elle avait passé son bras sous elle, et avait glissé sa main entre ses cuisses pour se caresser. Elle jouit. Je ne tardais pas à la suivre et j’éjaculais en elle.
Elle s’écroula sur le lit. Je m’écroulais sur elle. Nous ne bougions pas, attendant que je débande et que mon sexe s’échappe doucement de son anus. Nous étions l’un sur l’autre, joue contre joue.
Je lui dis que la prochaine fois elle commence avant de chasser la blonde. Elle me sourit et à ma grande surprise elle me répondit « oui, pourquoi pas, tu devrais l’appeler… »
J’étais très surpris qu’elle me dise oui et encore plus quand elle me relança.
Mais c’est la blonde qui ne fut pas d’accord…
Ce ne fut que partie remise, avec une autre. Peut-être je vous raconterai cette histoire.
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