Je m’en allais, un peu déçue de la tournure des choses, moi qui avait tant envie de passer un moment coquin avec mon mari. J’étais excitée par avoir montré mon corps et nargue ces trois mecs mais je voulais que mon mari me prenne.
Le voyant s’acharner, j’allais dans notre chambre à coucher et m’étendis sur le lit quelques instants en passant ma main sur ma fente quand j’entendis un grand cri venant du salon.
J’allais vite voir ce qui se passait et à la tête de mon mari, je me dis qu’il y avait quelque chose qui n’allait vraiment pas.
Il me vit arriver et baissa ses yeux alors que Marc me regardait avec fierté et gourmandise. Un regard perçant, vicieux et satisfait.
Mon mari me demanda de m’asseoir à ses cotes et me prit la main en me disant :
« Chérie, je suis désolé, j’ai perdu ! »
« Mais Dany, ce n’est pas la première fois que tu perds. Ne fait pas cette tête la, tu récupéreras tes sous une prochaine fois. Il est temps d’aller se coucher »
« Emma, tu ne comprends pas, je t’ai perdu toi au cartes ! »
Je n’arrivais pas à croire ce que j’entendais et mon visage se fixa dans une exclamation d’horreur. Mais je sentais ma chatte commencer à ruisseler à l’idée de cet inconnu.
« Oui chérie, la dernière partie, je t’ai mise toi, ou plutôt un moment avec toi et j’ai perdu ! Je m’excuse mon amour ! Je pensais que j’allais gagner ! »
« Dany, tu me charries, tu n’as pas fait ça espèce de con ! »
« Si mon amour ! Je t’en prie, pardonne moi ! »
J’entendis la chaise de Marc bouger et sentis sa main sur mon épaule. Un frisson me parcourra le dos.
« Oui Emma, j’ai gagné un moment avec toi ou tu seras ma CHOSE ! » Marc prononça ce dernier mot dans un ton qui me glaça.
Je protestais, je criais, je me débâtais et tous les quatre insistaient en disant qu’il faut que je paye de ma personne sinon cela sera un désastre pour mon couple. Que mon mari devrait vendre un bien pour repayer Marc ! Apres une longue demi-heure de débats de cris, de colère je dis :
« Ok, espèce de salaud ! Tu as gagné ! Viens avec moi dans la chambre pour que l’on se mette d’accord » dans ma petite tête je me disais qu’il était si excite, que je voyais à travers son pantalon son sexe durci qu’il ne durera pas longtemps avec moi.
« Non, j’ai gagné et je te veux ici ! »
Les autres commençaient à bouger pour nous laisser seuls lorsque Marc dit : « Arrêtez, c’est moi le gagnant, vous restez tous ici ! Je ne veux pas que cette salope aille dire que je l’ai forcée ! »
Il me retourna, bougea la table de poker et alla s’installer sur sa chaise, à cote des autres puis me dit : « va mettre de la musique et danse pour moi poupée ! »
Mon cœur battait si fort, je me disais, cela va lui suffire, je vais danser et il arrêtera tout, c’est pour cela qu’il a laisse tout le monde dans la pièce.
Je mis une petite musique sensuelle et commençais à danser sous le regard envoute de Dany, Jean Christophe et Laurent. Seul Marc me regardait avec un sourire pervers.
« Allez, commence ton petit strip pour moi Emma ! » m’ordonna t’il.
Je tournais sur moi-même, prenait des poses suggestives et commençait à faire descendre la robe le long de mon corps.
Je jetais un coup d’œil rapide sur leurs entrejambes et voyais que tous les quatre étaient excites, que des bosses se formaient.
Une fois ma poitrine dénudée, j’entendis leurs sifflements. Je fermais les yeux et continuait ma danse lascive, je ne pouvais voir leurs regards salaces et celui de pitié dans les yeux de mon Dany.
Une fois débarrassée de ma robe, je fis un dernier tour et pensais que c’était fini.
Quand je rouvris les yeux, j’ai vu que les trois avaient sortis leurs sexe et se caressaient alors que mon mari n’osait plus lever les yeux.
Marc se leva d’un coup et me pris les mains en me disant :
« Tu vas ou ? La soirée ne fait que commencer ! »
Il me força à me mettre dos contre lui et je sentais sa bite dure dans le creux de mes fesses.
Ses mains exultaient une force incroyable et il me maintenait de force contre son torse.
Il regarda les deux autres et leur dit :
« Allez les amis, à vous de jouer ! »
Ils disparaissaient dans la direction des chambres et quelques minutes plus tard revenaient avec des ceintures de mon mari et mes foulards.
Je les vis tous deux s’affairer autour de mon mari et je compris, il était saoul et s’était endormi et ces salauds le ligotaient. Je commençais à me débattre et à crier, ce qui le réveilla mais trop tard il était attache et les deux comparses étaient autour de lui.
Marc me poussa vers mon mari et me força à m’agenouiller. Il pressa ma tête pour qu’elle se retrouve sur les cuisses de Dany.
Dans cette posture j’étais à quatre pattes, la tête et les seins sur les cuisses de mon mari et le cul bien en l’air. Mon cul était souligné par mes bas noirs échancrés a l’entre-jambe et Marc avait une vue sur mon sexe et mon cul.
Il se recula un peu et admirait la vision
« Salope, finalement je t’ai ou je te veux, soumise à mes désirs ! Tu vas payer cher chaque fois que tu m’as repousse ! »
Mon mari essaya de parler et Jean Christophe lui força un foulard dans la bouche pour le bâillonner. Il n’émettait plus que des grognements.
Je sentis Marc qui se rapprocha de moi et d’un coup sec je hurlais de douleur. Ce salaud m’a enfile sa grosse bite dans le cul avec une force inouïe. J’étais dans les vapes de douleur. Jamais de ma vie je n’avais senti quelque chose d’aussi dur, d’aussi gros dans mon cul
!
Au moment où il arriva au fond, il ricana ; « On fait moins la maline maintenant que je t’ai cassé le cul ! Écoute sale petite pute, je vais te baiser et après mes deux potes vont avoir droit de t’utiliser ! Tu coopères et tout ce passe bien, tu me résistes et je te promets qu’une fois que j’aurais fini avec toi, personne ne voudra de toi ! Compris ? »
Je ne pouvais répondre, tellement la douleur était forte, je pleurais doucement. Il me mit une claque et me dit : « tu as intérêt à me répondre sale pute ! Tu as compris ? »
Je murmurais un tout petit : »oui » qui me valut une autre claque
« oui maitre Marc ! C’est ce que je veux entendre ! »
Il retira sa bite de mon anus endolori et me pénétra d’un autre coup sec.
Je hurlais :
« Oui Maitre Marc ! »
La soiree ne faisait que commencer en effet…
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