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Hélène

Hélène



Je m’appelle Hélène, j’ai 40 ans et je suis plutôt jolie, châtain clair coupe au carré et yeux gris verts. De taille moyenne je suis plutôt mince mais j’ai une belle poitrine avec des seins lourds. Mes fesses un peu dodues soulignent ma taille fine entretenue par une gym régulière. Je vis seule et je suis prof de philo. J’ai adoré faire ces études qui apportent une grande ouverture d’esprit. J’aime mon métier et mes grands ados d’élèves me le rendent bien en étant intéressés par mes cours.
Ma sexualité s’est mise en place tardivement et de façon bizarre. Je me suis peu masturbée à l’adolescence. En fac j’ai eu quelques flirts avec des garçons puis avec une fille mais sans que cela aille bien loin : des baisers, des caresses mais jamais jusqu’à l’orgasme. Plus tard jeune prof j’ai eu une aventure avec un collègue plus âgé et marié. J’étais séduite par sa compétence intellectuelle et j’avais envie qu’il m’apprenne la vie. Nous avons fait l’amour en variant les positions parfois dans des circonstances insolites car il était très cérébral et je le suivais bien sur ce registre. Mais si j’ai eu du plaisir, je n’ai pas eu avec lui de vrai orgasme. Nous avons cessé de nous voir au bout de quelques mois sans doute lassés par ce demi-échec.
J’ai ensuite faits des expériences plus personnelles en cherchant à séduire. Je me promenais dans des tenues excitantes pour allumer mais quand ça marchait je me repliais pour ne pas aller plus avant dans la prise de risques. Aux beaux jours j’allais souvent au parc en jupe courte moulée sur mes fesses sans culotte avec un chemisier un peu transparent ouvert jusqu’entre les seins. Je me promenais en ondulant du bassin et observant qui me suivait. Puis je me posais sur un banc en faisant semblant de lire et découvrant un peu plus mes cuisses. Il m’arrivait de les écarter si un homme était en position de regarder sous ma jupe. Je me suis souvent fait brancher par des dragueurs et j’ai en tête une très complète collection d’arguments plus ou moins subtils utilisés par les hommes pour essayer d’aller plus loin avec moi. Mais je n’en ai pas eu envie.
Chez moi je me cherchais pour aller plus loin dans la connaissance de mon corps. Après bien des tâtonnements j’ai mis au point un scénario qui marche. Je me place à genou, nue, devant le grand miroir du salon où je peux me voir entièrement. Au sol entre mes pieds je fixe au sol un gode ventouse noir de bonne taille, strié de veines apparentes. Je l’enduis avec ma salive puis je me pénètre le vagin en me caressant les seins et en m’admirant dans la glace. Je me trouve belle en train de bouger mon bassin et les mouvements de piston du sex-toy font monter en moi un doux plaisir qui mouille mon intimité. Le jeu peut durer longtemps car ce plaisir ne me déborde pas. C’est doux mais pas intense et les pincements de mes tétons même bien prononcés augmentent mes sensations sans provoquer de spasmes. Parfois je transpire sur tout mon corps sous l’effet de l’effort et de la tension nerveuse. A la fin quand je ne peux plus me retenir j’empale le chibre sur mon anus une seule fois mais vite, profondément. La douleur de la dilatation brutale de mon sphincter est intense et provoque en moi de violentes ondes d’un long orgasme qui fait trembler tout mon être. Je m’écroule sur le sol et y reste un moment pour reprendre souffle et esprit.
Je crois qu’aucun homme ne sera capable de m’apporter le bonheur de ce plaisir si intense bien que solitaire. J’en ai parlé à ma psy qui m’a demandé si je n’avais pas un fantasme de viol par un homme noir. Je ne crois pas mais il faudra peut-être que je fasse un jour l’expérience si je rencontre un partenaire que ça tente.

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