Je posais ma tête sur son ventre en direction de sa bite encore en érection et toute luisante de son plaisir. J’étais fasciné par ce pieu de chair. Je le saisis à la base du gland, le recalotais puis le décalotais en tirant sur l’enveloppe de chair. Un goutte de sperme perlait sur son méat. Je la recueillais d’un coup de langue. Puis n’y tenant plus je le repris en bouche en le serrant fort dans ma main. J’en voulais encore.
-J’adore ta bite, je ne peux plus m’en passer. je voudrais l’avoir dans la bouche toute la journée.
-Tu suces trop bien ma chérie. Ne me dis pas que c’est la première fois que tu le fais.
-Si je te jure.
-Tu es très douée.
-C’est parce que je la trouve belle.
Mon amant me caressait les cheveux tandis que je reprenais ma fellation. Je glissais ma main entre ses cuisses pour remonter sa paire de couilles encore gonflées. J’y déposais des petits baisers et les léchait.
-Ah que c’est bon des grosses couilles et une grosse bite de mâle…c’est bon un homme, c’est bon d’être pédé. Dis-moi que je suis ton minet, ton petit pédé.
-Oui on est deux belles pédales qui aiment la bite.
-Je veux être à toi, je veux être ta petite suceuse…je veux être la fille dans le couple et que tu sois mon mâle. Je me maquillerai et m’habillerai en fille. Je veux être ta petite femme.
Il me plaqua contre lui et m’embrassa avec fougue.
-Oui, ma chérie, tu es ma petite femelle. Je vais t’acheter une garde-robe et la prochaine fois que tu viens chez moi tu t’habillera en fille.
-Oh oui
Trois jours plus tard, je sonnais à sa porte. Dès qu’il m’ouvrit je sautais dans ses bras comme une gamine.Il m’entraîna dans sa cambre. Sur son lit était étalée de la lingerie en dentelle, des bas, un string, des porte jaretelles, une petite nuisette transparente, un soutien-gorge. J’étais aux anges.
-Je peux les mettre?
-Bien sûr, c’est pour toi ma chérie. Il s’installa dans un fauteuil tandis que je m’habillais. Quand j’eu terminé il me tendit une paire de petites mules à talons noires. Je les enfilai aussitôt et déambulais devant lui en minaudant. Il me prit par la main et m’emmena dans la salle de bains.
-Maintenant il faut te maquiller ma chérie.
Il s’appliqua tant et si bien à me pomponner qu’à la fin je ne me reconnaissais plus dans le miroir.
-Il ne manque plus qu’à te trouver un joli prénom féminin. Tu as une idée?
-Il y en a un que j’adore, c’est « Maud ».
-Ah oui, très sexy « Maud ».
-J’aimerais que tu fasses des photos de moi, comme ça en fille.
Nous passâmes au salon et je m’installais sur le canapé en croisant les jambes. Il commença à me mitrailler avec son portable. Ca m’excitait terriblement de m’exhiber devant l’objectif. Je pris des poses de plus en plus suggestives de femelle soumise. La respiration de mon amant était de plus en plus sonore. D’une voix presque éteinte, il me demanda:
-Tu veux pas te masturber pendant que je te photographie?
Pour toute réponse je glissais ma main entre mes cuisses pour saisir mon sexe qui s’était naturellement déjà échappé de mon string. Je commençais à me masturber en le regardant dans les yeux. Son souffle était de plus en plus court.
-Toi aussi je veux que tu te masturbes…et que tu jouisses sur mes bas.
Il lâcha son portable et sortit sa queue déjà raide, s’approchant de moi. J’avais sa grosse bite sous les yeux et j’accélérai ma propre masturbation en fixant son gland décaloté.
-Mets m’en partout…je veux que tu baptises mes dessous et ma nuisette, que tu les souilles de ta semence laiteuse. Je veux être trempée de sperme.
Sa respiration était haletante. Je voyais sa bite virer au pourpre. Je pris ses couilles dans ma main gauche pour les comprimer.
-Inonde-moi, mon amour…
Plusieurs jets puissant frappèrent ma nuisette. J’en reçus même un sur le visage. Je me levais et me collais contre lui. Un dernier jet s’étala sur mes cuisses et je jouissais à mon tour sur sa bite. Il me serra dans ses bras. J’étais heureuse, toute collante de sperme de mon homme.
-Je t’aime Maud
-Moi aussi, je suis à toi…
Il se mit à genoux et pris ma bite en bouche pour aspirer le restant de sperme puis il se releva pour me gratifier d’un long baiser merveilleusement collant. C’était la première fois que je goûtais à mon propre sperme. Je recueillis quelques restes de giclées de son jus sur ma nuisette et mes bas et les portais à mes lèvres.
(A SUIVRE)
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