* Ceci est la suite d’ « Histoire d’Eric et Lisa épisode 1 : la rencontre » . Bonne lecture. Laissez moi un commentaire, même mauvais.*
Nous sommes samedi, Eric et Lisa font la grasse matinée. Dans un demi sommeil, Eric sourit comme un bienheureux. Il aime sentir Lisa contre lui, alanguie. Elle somnole, la tête sur son torse. Sa respiration est une douce caresse, ses seins lui massent doucement l’estomac. Ses seins! Eric les revoit, ballottant doucement au rythme de ses coups de rein. Ses mains s’en rappellent la douceur et l’élasticité, la dureté des tétons sous les doigts, leur sensibilité. Il se rappelle la journée de lundi. Longue. Interminable. Avec cette espèce de boule au ventre : le manque. Un vrai manque physique, celui que le fumeur ressent quand il est privé de tabac. Bien sûr ils s’étaient appelés à midi, mais entendre le son de sa voix n’avait fait que renforcer son envie d’elle. Puis il était revenu chez Lisa après son travail, et là ils avaient fait l’amour comme dans l’urgence. Ayant à peine passé la porte d’entrée, Eric avait coincé Lisa dans l’embrasure de la porte séparant le hall du living, et l’avait prise comme ça, par le côté. Il lui avait maintenu la jambe gauche pliée avec son bras gauche, tandis qu’avec la droite, il avait soulevé sa jupe, écarté son string, et guidé son membre brûlant, dur comme la pierre, dans le fourreau si doux du sexe de Lisa. Eric se rappelle le souffle court de Lisa, comme elle avait vite gémit. Son regard aussi, comme suppliant. La force de son bras quand elle avait plaqué sa bouche sur la sienne. Puis la frénésie de leurs mouvements, comme si une espèce de démon intérieur, inconnu jusque là, avait pris possession de leur corps, les pressant l’un contre l’autre dans une sensualité brutale. Les gémissements de Lisa s’étaient fait plus aigus, Eric aussi avait poussé une sorte de long gémissement étonné, puis un grand aaaah quand ils avaient joui tous les 2, avec une force étonnante. Ils étaient restés comme ça, enlacés pendants de longues minutes, à reprendre leur souffle. A se regarder dans le fond des yeux, et y voir la gratitude, la tendresse, l’étonnement, quelque chose comme une sorte de douleur aussi.
Le reste de la semaine, ils avaient peu mangé, peu dormi, et fait l’amour le reste du temps. Rapidement, lentement, tendrement, violemment, dans la cuisine, sur une chaise, toujours avec énormément d’intensité.
Le week end doit leur apporter un peu de repos, Eric en a besoin, complètement lessivé. Doucement sa main gauche caresse la croupe de Lisa. Une rondeur parfaite, à la fois tendre et musclée, et cette peau d’une douceur… Eric y pense depuis plusieurs jour. Il aimerait, il voudrait tant sodomiser Lisa, la posséder totalement, jusqu’au plus profond. Mais comment faire ? Ils ne se connaissent que depuis 6 jours, il a peur de l’effaroucher.
Il se souvient de sa première sodomie. La grosse Bernadette. Il se revoit, il y a cinq ans. Il débute chez Lambert, son premier job après l’école. Chez Lambert, les nouveaux font leurs six premiers mois avec le patron, François Lambert (le vieux, comme les gars l’appellent). Le vieux peut ainsi former les nouveaux comme il l’entend, et les jauger aussi. La boite tourne bien, il pourrait se contenter de rester au bureau, mais François Lambert aime être sur le terrain, les mains dans le cambouis. Les voila donc partis tous les deux, à huit heures, pour une journée normale : entretiens de chaudière principalement. C’est basique, mais Eric débute, les jobs plus compliqués arriveront après. Le vieux a l’air d’excellente humeur, un peu excité.
_héhé gamin, aujourd’hui, on va chez une cliente, je ne te dis que ça !!!
_Ah ? Elle est bien ?
_Ah, mon gars, ça c’est de la femme !
Eric est un peu impressionné. Madame Lambert est la femme la plus belle qu’il ait jamais vue. Elle a quarante ans, mais elle les éclipse toutes. Pour Eric, il y a les belles femmes (rares), les très belles femmes (exceptionnelles) et madame Lambert (unique) qui les regarde de très haut. Il ne sait pas quoi, mais elle a quelque chose de plus. Quand il l’a vue le jour de la signature de son contrat, il a eu comme un choc, et quand elle l’a regardé en souriant, une espèce de chaleur s’est répandue en lui, et il s ‘est senti tout léger…Donc il se dit que les jolies femmes, le vieux sait ce que c’est !
Ils arrivent dans les quartiers pauvres de la ville, et Eric commence à douter. Trouver une jolie femme par ici, c’est rare. Quand il y en a, elles partent, ou elles s’usent dans des métiers durs et mal payés, se fanent très vite, tombent dans l’alcool etc…Le « vieux » gare sa camionnette juste devant une petite maison de rangée, visiblement assez mal entretenue. Ils sortent du véhicule et le patron frappe à la porte (il y a une sonnette, mais elle est sans doute hors d’usage). On ouvre, et Eric a un choc : une femme grosse, sans âge, vient leur ouvrir, la clope au bec. Elle porte une espèce de legging collant en lycra noir brillant, des bottes rouges jusqu’au genou, un débardeur « léopard », trop petit, qui souligne ses bourrelets, et laisse voir un soutient gorge mauve, qui peine à contenir deux gros nichons blanchâtres. Son visage est rond, avec un double menton. Des cheveux mi longs frisés, un peu gras, qu’une teinture bon marché a rendu vaguement blonds. Elle est très maquillée, fard à paupière bleu, rouge à lèvres rouge vif, fond de teint plaqué généreusement. Et d’une voix rauque :
_ ah, le chauffagiste ! J’ai justement besoin d’un bon ramonage, hahaha !
Eric se dit qu’il n’a jamais vu de femme plus vulgaire, et que le vieux s’est bien foutu de sa gueule ! Il lui jette un regard, mais il le voit tout content, une petite flamme dans le regard. Non, il a vraiment l’air de la trouver canon! Eric est perplexe. D’un côté madame Lambert, de l’autre…ça ! Mais bon, il est venu faire un entretien de chaudière, pas décerner des prix de beauté. Il ne se l’avoue pas, mais le côté grosse pute de Bernadette l’excite un peu. Ces rondeurs, ces chairs apparentes, offertes, cette vulgarité…Il sent son sexe gonfler légèrement dans son pantalon.
Ils entrent, et Eric est surpris de voir un homme assis à une table, hébété, fumant sa clope. Le vieux le salue.
_ Et alors, Franck, quelles nouvelles ?
_ Ca va…
Le Franck a l’air complètement lessivé, les mais tremblantes.
_ Tu n’es pas au « café de l’hôtel de ville » ?
Franck a un regard gêné. Eric se dit qu’à 8h30 du matin, c’est quand même tôt.
_ Non…
Le vieux, qui sait à quoi s’en tenir, lui tend un billet de 20 euros.
_ Tiens, tu me les rendras quand tu auras touché !
Le regard de Franck s’illumine, il se lève et empoche le billet en un éclair.
_ Chou, je vais faire un tour !
_ Ouais c’est ça un tour !!! Tu vas ‘core rentrer crevé plein !!
On sent qu’elle n’est pas si mécontente de le voir partir, mais elle lui gueule dessus pour la forme, et sans doute par habitude. Le vieux tempère :
_ Bah, Bernadette, il faut bien qu’il se détende un peu, non ?
_ Se détendre de quoi ? Il ne fout rien de ses journées !!!
A voir l’état de la maison, Bernadette n’en fait pas lourd non plus…
Une fois Franck parti, le vieux donne ses directives.
_ Bon, gamin, vas chercher le matériel et commence le nettoyage, moi je prends une jatte avec madame !
_ Oui, viens à la cuisine, j’en avais justement fait.
Eric fait son boulot comme d’habitude, mais le vieux ne l’aide pas, ne le surveille pas. Il entend rire dans la cuisine. Le rire gras et vulgaire de Bernadette, celui plus fin du vieux. En passant, il jette un oeil rapide : le vieux est en train de peloter la grosse, qui proteste mollement.
_ Mais dis, arrête, on n’est pas seuls…
_ ooh, fais pas ta gênée ! Il est à la cave…
Il lui prend la main, la porte à sa braguette.
Eric détourne le regard, le rouge lui monte aux joues. Il entend de nouveau la grosse qui rit.
_ oh, ben t’es d’ja tout dur !!
Eric a maintenant tout son matériel dans la cave et commence son boulot, en essayant de ne pas penser à ce qui se passe à l’étage. Il aspire l’intérieur de la chaudière pendant plusieurs minutes, puis démonte le gicleur. Il faut qu’il remonte en chercher un nouveau à la camionnette. Il hésite, il n’a pas envie de tomber sur les deux autres qui…Il monte l’escalier doucement, puis jette un oeil prudent par une légère ouverture de la porte. Il ne voit rien, mais entend de légers grognements. Il ouvre la porte un peu plus, et là, son souffle se coupe. Le vieux est assis dans le fauteuil, le pantalon sur les chevilles. La grosse, à quatre pattes à côté de lui, lui suce le sexe comme une affamée, l’engloutissant totalement . Le vieux la tient d’une main par les cheveux, de l’autre, il poigne dans les gros nichons. La bouche de Bernadette fait des gros bruits de succion, bien rythmés. Le vieux respire fort, fait de temps en temps un hummm satisfait.
_ Tu aimes bien ma grosse queue, hein grosse salope ?
_ Oh ouais ! Elle est bien grosse et bien dure !!
_ Allez pompe moi encore un peu, après je la mettrai dans ta chatte !
_ Oh ouais j’ai envie !!
Elle le pompe encore quelques instants, et le vieux la relève. Eric ne manque rien du spectacle, et bande comme un taureau. Il a honte, mais il ne peut faire autrement que regarder.
_ Allez, mets toi à quatre pattes !
La grosse s’exécute docilement. Le vieux abaisse son legging, et commence à la pénétrer. Visiblement, Bernadette aime ça. Elle pousse ses grosses fesses vers ce sexe qui s’enfonce en elle, et commence un lent va et vient.
_ oh, oui, c’est bon, mets la moi ! Hummm ! Oui !
_ ah, t’aimes ça hein ?
Le vieux augmente graduellement la force et le rythme de ses coups de rein, et quand il plante plante ses doigts dans la chair grasse des hanches de la grosse, il commence à la défoncer de toutes ses forces. Bernadette se met à gueuler, à prononcer des mots sans suite., puis un ouh ouh ouh au rythme des coups de bite du vieux. Les ouh devienent plus aigus, plus forts, plus rapprochés. Puis deviennent un long oooooooouuuuuuuuh !
_ oh putain, je jouis ! Oui baise moi !!! aaaaaaah
Le vieux donne encore quelques coups de rein puissants, brutaux. Il laisse Bernadette reprendre son souffle, puis il sort sa bite, et semble vouloir la re rentrer .
_ Hé attends ! Par la il faut graisser un peu !
Eric ne comprend pas ce qui se passe, mais il bande tellement que ça lui fait mal ! La grosse semble chercher quelque chose sous le canapé, en ressort un petit pot, puis semble se mettre de cette crème entre les fesses.
_ voila ! Vas y maintenant, mais doucement, hein !
Le vieux commence à enfoncer doucement sa bite entre les grosses fesses blanches de Bernadette.
_ Aïe, vas doucement, elle est grosse !!!
_ Ok mais tu m’excite trop !
Eric comprend, enfin. Le vieux encule cette grosse pute ! Il n’en revient pas ! Progressivement, les hanches de François se rapprochent des fesses de Bernadette, puis les rejoignent. Et le vieux recommence son accélération graduelle ponctuée des « ouh ! » de la grosse. Il finit par la pilonner brutalement. Ca fait un bruit comme si quelqu’un applaudissait lentement, en claquant les mains très fort. Bernadette proteste, mais ça a l’air d’exciter encore plus François, qui la maintient fermement ! Imperceptiblement, le gémissements de Bernadette changent de tonalité. De réprobateurs, ils se font encourageants. Eric n’en peut plus, et a sortie son sexe. Il commence à se caresser, le souffle court.
_ Hé gamin ! Viens ici te faire sucer au lieu de te branler derrière la porte !
Le coeur d’Eric s’arrête. Merde, il est grillé ! Il sent une vague de honte le submerger.
_ Hein grosse salope, que tu sucerais bien le gamin ?
_ Hmmmmm, tout ce que tu veux, mais n’arrête pas !
Le vieux n’arrête pas, tout au contraire. Il la défonce comme si sa vie en dépendait, et elle couine, gémit, se cambre d ‘avantage.
_ Allez, amène toi, gamin !
Eric sort timidement de derrière la porte, son sexe sorti du pantalon, bien dur et dressé. Il se sent un peu ridicule. Il s’approche de la bouche de Bernadette, et, sans façons, elle le prend et l’engloutit tout entier, et commence immédiatement à le pomper goulument. Oh, la vache, c’est bon ! Il s ‘est déjà fait sucer, une fois ou deux, mais pas comme ça ! Sa bouche est très humide, il ne sent pas du tout ses dents et elle l’aspire super fort ! Waw ! Il contemple cette grosse femme vulgaire qui se fait enculer pendant qu’elle le suce, et il n’en croit pas ses yeux. Il sent la grosse qui gémit sur sa bite, de plus en plus fort. Il sent les coups de rein du vieux de plus en plus violents, secs. Il donne encore quelques coups, puis se dégage.
_ allez, gamin, profites en !
Il repousse Eric, puis enfonce aussi sec son sexe dans la bouche de la grosse qui l’avale sans sourciller. Eric n’a guère d’expérience et n’a jamais sodomisé une femme. Il est un peu gauche, et s’enfonce prudemment dans l’anus de Bernadette.
Le vieux a pris la tête de Bernadette en mains et la baise littéralement.
_ Allez petit, n’aie pas peur ! Défonce la, cette grosse truie !
Eric, porté par son excitation augmente son rythme. C’est bon, pas comme par devant ! Plus serrant, plus…Il ne sait pas. Mais cette grosse salope qui couine va prendre ! Il la défonce encore plus fort que le vieux, et elle commence à gueuler. Le vieux a une espèce de grimace, pousse un grand ooooh ! Et maintient la tête de Bernadette, qui doit tout avaler.
_ Hmmm avale bien tout !
_ Hmmmm oui ! Hmmmmm
Eric n’en peut plus et accélère encore son rythme. La grosse, hors d’elle même, hurle des insanités.
_ Oh, petit connard ! Fous moi tout dans le cul, baise moi ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiii !
Dans un dernier coup de rein, Eric se décharge en longues giclées brûlantes dans ce gros cul bien gras ! Il continue son coït de longs instants. Purée, il n’a jamais joui comme ça ! Ses mains profitent encore un peu des formes généreuses de Bernadette. Tout le monde atterri doucement, puis le vieux commence à remballer sa marchandise, donne une bonne claque sur les grosses fesses de Bernadette.
_ Alors, je te l’avais dit, hein ? Bon t’en es où avec la chaudière ?
Pas gêné le moins du monde, le vieux !
_ Euh, je dois encore changer le gicleur et tout remonter…
_ Ah ben magne toi alors, on n’est pas en avance…
Et gonflé aussi ! Mais bon, c’était le patron…
Eric sent les lèvres de Lisa sa poser dans son cou.
_ Tu penses à quoi ?
_ mmmm ? A rien
_ Hum, c’est un rien qui a l’air agréable…
Lisa pose la main sur le sexe d’Eric, dressé vers le plafond. Elle le caresse très légèrement, descend sur ses bourses, remonte doucement vers son ventre.
_ mmm, oui, plutôt… Continue s’il te plaît.
Elle l’embrasse très sensuellement. Leurs lèvres se caressent, leur langue se frôlent. Lisa susurre à l’oreille d’Eric.
_ Dis moi, c’est quoi le truc le plus dingue que tu aies fait avec une fille ?
_ Bof, tu sais, moi je suis assez classique comme gars…
Classique ? Lisa ne dirait pas ça ! Ils avaient quand même relu tout le kama sutra en une semaine…
Elle était juste un peu surprise (voire déçue…) qu’il n’ait pas encore essayé de la sodomiser. La plupart des mecs essayaient dès le premier soir. Mais il est vrai qu’avec Lisa il y avait rarement un deuxième soir…Ce n’est pas qu’elle était une grande fan du sexe anal, mais elle avait envie de se donner à Eric de la façon la plus complète.
_Jamais essayé un mec ?
Eric éclate de rire.
_hahaha non ! Ce n’est vraiment pas mon truc !!
_Et avec une pute ?
_Hum, ça m’est arrivé quand j’étais célib, mais bon…C’est souvent assez décevant.
_Ah ? Il y en a qui sont assez jolies, non ?
_Oui, voire même carrément canon, mais tu vois c’est justement le problème. Tu crois que tu vas vivre un truc torride, avec une nana super sexy, en lingerie et tout, et au final, c’est pas plus chaud que la visite médicale !
_T’exagères, non ? Il y a quand même bien eu une fois où c’était bon, quand même ?
_Oui je dois avouer que j’ai quand même un chouette souvenir…
_Hmmmmmm j’ai trop envie que tu me racontes !!!
En disant ça, Lisa embrasse Eric dans le cou tout en lui caressant l’entrejambe.
_Mwooais…Je veux bien essayer. Je crois que je saurai si ce que je te raconte te plaît !
_Hmmmm hmmmmm
Lisa caresse le sexe déjà dressé, promène sa langue dans le cou et sur la poitrine d’Eric.
_C’était un dimanche soir, plus ou moins quand j’ai commencé chez Lambert. J’avais une heure à tuer en attendant mon train. Alors je suis allé me balader un peu dans le quartier près de la vieille poste, tu vois ?
_Hm hmm.
_Ca je trouve que c’est un moment très agréable quand tu vas « aux putes », celui où tu « fais ton choix ». La elles n’étaient pas très nombreuses, mais il y avait quand même un peu tous les styles. Pas mal de noires. Des grosses, des minces, jeunes, vieilles etc… J’ai croisé le regard d’une de – 35 ans, assez ronde. Elle m’a fait un signe de tête presqu’ imperceptible, les lèvres un peu pincées, l’air un peu sévère. Elle avait un petit nez retroussé en trompette, les cheveux longs bouclés, blonds. Très belle poitrine. Grosse, mais qui se tenait bien. Elle avait une simple nuisette en satin bleu clair, avec un liseré de dentelle blanche à la poitrine et sur les cuisses. C’était loin d’être la plus belle du lot, mais je ne sais pas. J’ai bien aimé son petit regard, et ses gros nichons aussi, j’avoue.
_ Hmm je sais que tu aimes ça…
_ Oui et j’aime aussi que tu me caresses comme ça…N’arrête pas !
_ Mais alors tu dois tout me raconter…Ca me fait des trucs ce que tu me racontes…
_ Mmm, ok ! Bon, alors je rentre et je lui demande combien c’est, plus pour engager la conversation parce que c’est le même prix partout…
_ Ah, bon ?
_ Oui. J’imagine qu’elles veulent éviter de trop se faire concurrence. Je referme la porte, je lui tends mon argent.
_ Ah ? On paie d’abord ?
_ Ben oui, qu’est ce que tu crois ? Continue…
_ Hum hum
_ Elle prend le billet puis referme sa porte et ses rideaux. Elle me demande de me déshabiller et de m’allonger sur le lit étroit qui se trouve là. Elle est plus tendre, plus souriante. Je m’exécute, et je me retrouve nu comme un ver sur le lit. Je ne bande pas encore. Elle vient s’agenouiller à côté du lit, sur le sol, et commence à me caresser sur le corps, les cuisses, le sexe. Elle me prend une main et la porte sur son sein droit. Elle se caresse avec ma main, en me regardant intensément. A ce moment là je commence à être sérieusement exité, et ma bite devient bien dure.
Lisa descend sa bouche vers le sexe d’Eric, donne des petits coups de langue sur le bout. Puis elle se relève et se tient à genoux, jambes jointes, le long d’Eric. Il n’a qu’à lever les yeux pour contempler sa chatte et son cul. Elle commence à le prendre en bouche très doucement, le touchant à peine. C’est délicieux !! Eric porte sa main sur la croupe offerte, la caresse. Sa main vient naturellement se poser sur la fente, le pouce sur le clito et l’index un peu plus haut que l’anus. Il remue un peu la main et son pouce glisse directement entre les deux lèvres déjà très humides. Lisa gémit, dans un souffle a****l.
_ Hmmm oui, continue s’il te plait !
_ Ooh Lisa ta bouche c’est….Hmmmmmmm
_ Continue !
_ Ok alors elle sort une capote et me l’enfile, puis pose sa bouche sur mon gland. Elle le suçotte, lui donne des petits coups de langue par en dessous.
_ Tu aimes ?
_ Wahh oui ! On ne m’avait jamais fait ça avant. Puis elle le prend complètement en bouche, fait quelques allers- retours, puis recommence.
A son tour, Lisa engloutit le braquemart tendu d’Eric jusqu’à la garde, le suçant et utilisant sa langue comme autour d’une glace à l’eau. Eric caresse son clitoris avec son puce, tout en la doigtant de son majeur. Son sexe est brûlant, extrêmement juteux.
_ Et ça tu aimes ?
_ Oh ouais !!
_ Alors continue ! Tu vois bien que tu m’exites, non ? Je vais te sucer à fond !
Effectivement, la voix tremblante de Lisa ne laisse pas de place au doute. De même que que sa chatte qui dégouline, et sa croupe qui tangue au rythme des caresses d’Eric. Eric sent doucement le plaisir lui monter des reins.
_ Elle se redresse, et vient se mettre à califourchon sur moi. Ca me surprend parce que dans le « truc standard », ça se fait en missionnaire, mais je ne demande pas mieux !
_ Tu m’étonnes ! Tu veux poigner dans ses gros nichons hein ?!
_ Oui ! Donc elle a sa jambe gauche repliée le long mon côté droit, et la jambe droite tendue sur le sol, bien en contrôle. Elle met un peu de gel sur ma bite et commence à s’empaler sur moi. Très progressivement, elle donne des petits coups de rein, son dos est très cambré, ses seins bien en avant et vers le haut. Son buste est bien droit, seules ses hanches bougent. Elle a toujours cet air un peu hautain.
_ Hmm slrrp elle te domine, c’est ce que tu aimes ?
_ Cette fois là oui en tout cas ! Puis elle prend ma main droite et la porte sur son sein se caresse avec. Je le pétris, le soupèse, essaie de l’envelopper de ma main trop petite. Elle gémit, et je sens que c’est pas du cinéma ! Tout le haut de son corps est en mouvement maintenant. Je la pénètre bien à fond ! J’aime le contact de son corps à travers le satin, ses hanches , ses cuisses…. Hmmmm ohhh Lisa arrête !
_ Hmmm continue! Elle te baise, hein ? Ohhh continue aussi !!!
_ Oui elle me baise littéralement, ses gémissements deviennent plus fort. J’essaie de me retenir tant que je peux, et je sens qu’elle va jouir aussi. Encore… hmmm un petit effort.
Eric lui enfonce maintenant deux doigts, accélère. Il sent Lisa gémir sur sa bite, sent que son plaisir est proche aussi.
_ J’attends comme un signal d’elle et, hhmmph oooh purée !
Il saisit la tête de Lisa et la force à avaler les giclées brûlantes qui jaillissent dans sa bouche. Lisa se raidit, pousse violemment sa croupe en arrière. Une fois, puis deux et trois fois et alors se bloque en poussant un long gémissement, puis reprend son souffle difficilement.
_ Ohh wah, putain ! Pffff hmm !
_ Ouais ! Oufff ! J’ai presque fini mon histoire, mais j’imagine que tu devines la suite ?
_ Oui je pense qu’on l’imagine facilement…Et tu y es retourné, chez cette belle amazone ?
_ Non. Je ne l’ai plus revue après, puis j’imagine que ça n’aurait plus été pareil. Donc finalement je suis resté sur ce bon souvenir. C’est aussi bien non ?
_ Oui, sans doute…
Lisa embrasse Eric langoureusement, et murmure :
_ J’aime quand tu me raconte des histoires…
_ Il faudra que tu m’en racontes aussi…
Une ombre passe sur le visage de la belle. Elle rougit un peu.
_ Hmm on verra, je raconte sûrement moins bien que toi…
Puis elle se lève, et de sa démarche si sensuelle, sort de la chambre.
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