Des vacances inoubliables en Ardèche
Une histoire érotique par Robertomaloch
Résumé : Apres une avarie de moteur, ma femme et moi nous réfugions dans une ferme. Profitant que je fasse une hypotension, les deux fermiers se montrent très hospitaliers avec ma femme, sous mon regard.
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Cette histoire véridique se passe il y a quelques années quand Lucile (ma femme) et moi sommes partis en vacances d’été en Ardèche.
Cela faisait bientôt 5 heures que nous roulions dans notre petite rover pleine à craquer. Une table pliable, une tente, un kit de cuisine, des kayaks gonflables ; nous avions eu beaucoup de mal à faire entrer ce matériel volumineux dans ce coffre si étroit. Il était une heure de l’après-midi. Nous étions partis tôt de Perpignan et il ne nous restait plus qu’une demi-heure avant d’arriver au camping de Burzet. Trempes de sueur nous avions hâtes d’arriver pour nous doucher. Le soleil tapait fort, mais le parc national était magnifique. Nous ne regrettions pas les kilomètres faits dans ce fourneau sur roue.
Brusquement, la voiture cala dans une monté. J’essayai de la redémarrer en vain. Je vérifiai l’essence mais ne détectai aucun problème de cote là… la complication venait sans doute d’un surchauffage du moteur. Lucile essaya d’appeler l’assurance, mais comme toujours dans ces moments-là, il n’y avait pas de signal.
Elle me proposa : « J’ai vu une ferme, quelques kilomètres en arrière, nous pourrions y aller »
Nous partîmes à pied sous une canicule écrasante. Le soleil tapait fort, je sentais un coup de soleil me venir sur la nuque. J’étais fatigué et la tête me faisait mal. Nous marchions depuis une bonne heure quand nous arrivâmes à la ferme. Un homme d’environ 45 ou 50 ans nous ouvrit. « Qu’est-ce que vous voulez » dit-il en nous dévisageant.
Je lui répondis « Bonjour mon brave, notre voiture est tombée en panne, auriez-vous l’amabilité de bien vouloir nous laisser utiliser votre téléphone pour appeler de l’aide ? »
Il jeta un regard langoureux sur ma femme et sourit bizarrement en disant « La ligne est coupé mais mon père va bientôt revenir, il pourra vous remorquer à Aubenas avec son tracteur » Il ouvrit la porte un peu plus grand «Passez prendre un café en attendant ». Heureux de pouvoir enfin m’assoir j’acceptai son invitation sans hésiter.
C’était un gros bonhomme un peu plus grand que moi, il était habillé d’une salopette verte. Il ne portait pas de tricot sous ses bretelles et son torse luisait de sueur. Il nous servis le café dans de vieilles tasses. Le mien était très chaud mais ne voulant pas l’offenser, je le bu d’une traite.
Je regardais Lucile. Elle a commença à devenir floue, ma tension chuta brutalement et je tombai sur le côté.
Quand je me réveillai, j’étais allongé dans un canapé. Ma femme était en face de moi à genoux. Ecore un peu étourdis, je me rendis compte que deux hommes la maintenaient dans cette position. C’étaient le fermier qui nous avait accueillis et un autre homme bien plus vieux et bien plus gros, sans doute son père. L’un dit « Tiens y’a la chochotte qui se réveille » et l’autre continua « Alors on supporte pas la chaleur ? ». Ils riaient fort.
Je me levai hardiment. « Qu’est-ce que vous faites !? » dis-je en bousculant le plus vieux. Il m’assena un coup de poing dans le ventre. J’en tombai à la renverse sur le sol. J’avais le souffle coupé. Les salauds, ils avaient profité de mon moment de faiblesse pour soumettre mon épouse. Je me relevai en criant et cette fois c’est le plus jeune qui me frappa, me laissant pratiquement sonné dans canapé.
« Ferme la bouche, imbécile, je veux pas t’entendre crier… On va rien faire de mal à ta femme »
« On va même plutôt lui faire du bien » dit le vieil obese en riant tandis que ma femme le regardait en sanglotant.
Le plus jeune baissa sa salopette. Il ne portait rien en dessous, il était complètement à poil devant nous. Il avait une grosse bite. Aussi grosse que celle des pornos que j’avais l’habitude de regarder à la sauvette. Je ne pensais pas que cela existait dans la vraie vie. Elle pendait jusqu’à mi-cuisse. Elle avait un peu la forme d’une bouteille de coca-cola : boursouflée et large sur la longueur tandis que son prépuce charnu s’apparentait à un goulot.
Son père aussi laissa tomber son pantalon. Sa queue ressemblait à celle de son fils, mais sous la peau abondait de grosses veines dilatées. Ses couilles par contres paraissaient beaucoup plus gonflées. Vieux, obèses, empestant la sueur, il ne devait pas avoir souvent l’occasion de les vider.
Aucun des deux n’était velu. Seuls quelques poils frisés blonds ou blancs voilaient leur pubis.
Ils empoignèrent leur membre imposant et l’écrasèrent sur le visage de ma femme. « Tiens, suce » A tour de rôle ils enfonçaient leur gland entre les lèvres de Lucile. Le vieux lui pétrissait les seins d’une main potelée. C’était un spectacle impressionnant de voir ces deux membres grossir dans la bouche de ma femme résignée. Ces deux Priapes ventripotents ne ressemblaient à rien de ce que j’avais vu sur internet. A la fois d’un aspect repoussant et d’une vigueur étourdissante.
Au bout de quelques minutes, ils déplacèrent mon épouse et l’allongèrent sur la table. Le plus jeune lui enleva la culotte et s’approchât de moi toujours en érection. J’eu un geste de recul. « Tiens » dit-il en m’écrasant la culotte humide sur le visage « Regarde comme elle est trempée. Ça va nous faciliter le travail »
Lucile était sur le dos, le sexe à la merci de ces malandrins. Le fils se mis debout entre ses jambes en appuya son gland cramoisi contre la vulve de mon épouse « Nooon, ça ne va jamais rentrer » supplia-t’elle. Le père, pour la museler, lui enfonça sa bite dans la bouche. Elle s’étouffa. Il ressorti sa bite toute visqueuse de salive et continua à faire quelque vas et viens.
Le fils riait en me regardant « Tu vas voir comme elle va se régaler »
Lentement il forçait sa grosse bite entre les lèvres distendu de sa chatte. Il ne faisait pas d’à-coup, juste un mouvement continu. A mi-course, il ressortit puis la repénétra un peu plus profondément.
Rapidement, les protestations de ma femme firent place à de petit soupirs «Elle n’a pas été longue, tu as vu comme elle est excitée ? » Me dit’il. Il la baisait à fond et chaque mouvement arrachait un petit cri à mon épouse. En même temps, elle léchait goulument la bite du vieil obèse. Elle avait dû l’att****r à deux mains pour pouvoir la sucer correctement. Le vieux s’impatienta « Dépêche-toi, moi aussi je veux la baiser ! »
Le fils augmenta la vitesse, ma femme criait de plus en plus fort et ne pouvait plus se concentrer sur la vielle bite colossale. Son corps se cambra tandis que le jeune expulsait tout son sperme au fond de son vagin.
Il retira sa queue molle et gluante de mon épouse. Pendant quelques secondes un fil de liquide séminal relia la pointe son gland au clitoris de Lucile.
Le vieil obèse se plaça à son tour devant ma femme et enfonça sa bite veineuse dans sa chatte dilatée. « C’est bon, qu’est-ce qu’elle est étroite ! » dit-il. Il la baisait beaucoup plus lentement que son fils. A chaque mouvement il ressortait complétement sa queue. Les veines ondulaient tout le long de ce chibre épais. Ma femme se convulsait, elle n’en pouvait plus « Plus vite, mets-moi ta grosse bite ». J’étais abasourdi ! Elle était complément hypnotisée par ces deux gros sexes et avait oublié combien notre situation était critique.
Le fils, toujours à poil, s’approchât de moi. Sa bite avait repris des proportions un peu plus normales et le foutre qui avait séché sur sa bite se craquelait. « Tu te régales » Dit-il en attrapant brusquement ma bite à travers le pantalon « Mais ! Tu bandes ! ». Il arrachât mon short. Ma bite bondit. En temps normal elle est un peu plus grande, mais, impressionnée par ces deux males, elle ne devait pas mesurer plus de 15 centimètres. Je me sentais ridicule devant ces deux mastodontes mais je ne pouvais pas contenir ma petite érection. « Papa, regarde ce lombric ! » Dit-il avec un rire méprisant « Je comprends pourquoi cette chienne est folle de nous !»
Le père dis à ma femme « Ne t’inquiète pas, on va te donner une bonne dose pour toute l’année. Tu aimes me sentir au fond ? » Ma femme gémis « Oooh oui ! C’est vraiment booon ! » Le vieux continua sans pitié « Qu’est-ce que tu préfères ? Ma grosse bite ou le petit cornichon de ton mari ? » Ma femme haletait, je ne pouvais pas entendre ce qu’elle disait. Le vieux n’était pas satisfait « Plus fort, que ton mari puisse entendre » « J’aime votre grosse bite, bien plus que son petit cornichon » cria-t’elle. Je n’en croyais pas mes oreilles.
Le fils me dit d’un ton provocateur, « Nous explorons des zones où tu n’as jamais pu aller. Une fois terminé, elle ne pourra plus oublier le bon air de la campagne. Ecoute comme elle apprécie»
Lucile hurlait de plaisir tandis que le vieux déchargeait sa semence en elle. Ses grosses couilles s’agitaient comme pour pomper un maximum de sperme à l’intérieur de ma femme. Un pensée me traversa la tête en un éclair : heureusement qu’elle prenait la pilule car sinon ces deux salops l’auraient engrossée.
Le vieux retira sa bite encore boursoufle de mon épouse qui gisait sur le dos, les lèvres béantes. Peu à peu elle retrouvait sa respiration. Quand le fils passa à proximité d’elle, elle tendit la main vers sa queue pour la caresser puis l’agrippa et attira le fermier vers elle. C’était surréaliste, elle léchait ce morceau de chair flasque avec gourmandise. Le taureau qui reprenais de la vigueur lui dit « Continue, maintenant je vais t’enculer »
« Je vous l’interdit » Criais-je « Elle ne pourra pas, jamais nous n’avons … » « Jamais ? » trancha le vieux surpris « Viens par ici !» Les deux étalons m’agrippèrent et me couchèrent de force sur la table, à coté de ma femme. « Puis qu’elle est vierge, tu vas nous la préparer »
Ma femme, ayant compris le manège des deux hommes, se mis au-dessus de moi en position 69. Son entrejambe empestait la sueur et le foutre. L’épaisse semence des deux inséminateurs perlait de sa chatte. Le liquide ocre s’égouttait lentement sur mon visage tandis qu’elle trémoussait sa croupe. Elle était extrêmement excitée et coquine. Moi oubliant l’humiliation de la situation je recommençais à bander. Elle s’approcha de mon sexe dur et lui donna quelque coup de langue. « Ne le suce pas » Dis le plus jeune « Il faut qu’il soit concentré sur ce qu’il te fait » Elle se releva, à califourchon au-dessus de ma tête, et écarta ses fesses de ses deux mains. Sa chatte s’ouvrit et le fluide visqueux coulât de plus belle sur mes lèvres serrées. « Avale ! » Cria le vieux en me frappant une fois de plus dans le ventre. Instinctivement ma bouche se desserra. J’absorbai une bonne tasse de cette liqueur condensée, j’avais du mal à déglutir tant elle était pâteuse.
L’anus plissé de Lucile se frottait contre mon nez. Ma respiration chatouillait sa raie moite. Cela puait la transpiration mais c’était agréable. Je commençais à lui lécher le pourtour, puis petit à petit j’enfonçais ma langue dans son trou. Jamais je ne lui avait fait ça et son frétillement me faisait comprendre qu’elle se régalait. Je ne pouvais pas voir ce que faisaient nos deux bourreaux, mais j’imagine qu’ils se préparaient pour prendre ma femme. Apres quelques minutes d’effort je l’avais complétement enduite de bave et son anus s’était un entrouvert.
« C’est bon, tu es prête » Dis le plus jeune. Ma femme se releva sur les genoux pour que je puisse me dégager. « Toi tu restes là » Dis le père en me bloquant contre la table « Profite du spectacle et prends de notes ! »
Le fils se rapprocha du cul de mon épouse, la bite dans une main. Il crachat dans l’autre et enduisit son gland de salive. Sa bite poisseuse était à dix centimètre de mon visage. Il poussait contre l’anus de ma femme qui petit à petit s’étirait. Elle se penchât un peu plus et couchât sa tête sur mes couilles. Avec ses mains elle s’écartait un peu plus pour faciliter la pénétration de ce gland volumineux. Petit à petit, son sphincter s’adaptait à cette agréable intrusion. Quand le gland fut à l’intérieur, il l’empoigna par les hanches et continua sa progression.
Une fois que sa grosse bite avait disparu dans le cul de ma femme il me dit « Tu vois comme tout est rentré ? » Il commença à bouger. Ces lourdes couilles se balançaient devant mes yeux à la cadence de ses coups durs. Chaque fois que leur corps se rencontrait un « Smack » sonnait, comme pour rythmer leurs mouvements.
Etait-ce dû à la proximité ? J’avais l’impression que sa bite grossissait encore plus. Je sentais qu’ils étaient prèt à jouir. Ma femme criait de plaisir. Il se mit à rugir, l’agrippa encore plus fort puis explosa dans un grand orgasme. Mon épouse secouée de crampes gémissait. A chaque mouvement un peu de sperme venait m’éclabousser le visage. Il continua à l’empaler pendant une bonne minute. En se retirant, sa bite encore un peu dure me effleura la tête.
Je regardais l’anus béant de ma femme qui était déjà lubrifié pour la prochaine pénétration. Elle attrapa mon petit sexe toujours en érection et le serra. C’était douloureux. « Mon amour – me dit-elle – je vois que tu prends autant de plaisir que moi ! »
Pendant ce temps le vieux avais pris position. Je ne pouvais pas voir son visage à cause de son ventre tendu mais sa grosse queue était juste au-dessus de mes yeux. Le gland était énorme et remplis de sang avait repoussé son prépuce en arrière. Les veines qui vibraient tout le long de sa queue lui donnaient un aspect monstrueux. Ses couilles massives continuaient de s’agiter, on avait l’impression qu’elles nageaient dans ses grosses bourses fripées. Elles devaient contenir assez de liquide pour inséminer toutes les femmes de la région. Il cracha dans la raie de ma femme mais une bonne partie de sa salive me tomba sur le visage.
Il s’enfonça lentement. A chaque aller-retour, il l’enculait jusqu’à la garde. Ses couilles pendantes venaient frapper sur mon front. Ma femme devenait folle, elle répondait à ses poussées pour obtenir un peu plus de sa grosse bite. La table grinçait et ma femme faisait des « Oooh ! » et des « Ouiiiii ! ». Jamais elle ne s’était comportée de la sorte avec moi. Le vieux ne s’arrêtait plus. Ma femme avait dû jouir 4 ou 5 fois. Il me dit « Tu aimes voir ta femmes se faire enculer par une grosse bite hein ? Tu as vu comme je la remplis ? Maintenant qu’elle a gouté à ma queue, plus jamais tu seras à la hauteur avec ton petit cornichon ! » « Vous ne vous en tirerez pas comme ça » Répondis-je « On va porter plainte pour viol »
« Pour viol ? » S’écrièrent les trois autres. Le silence se fit. Le vieux arrêta même de pilonner mon épouse.
Elle dit « Mais enfin mon amour, je n’ai jamais pris autant mon pied. Tu devrais plutôt remercier ces messieurs ! »
« Je ne comprends pas » Dis-je en sanglotant
« Tu ne peux pas comprendre car tu n’es pas à ma place » répondis elle
« Tu veux être à sa place ? Tu veux y gouter ? » me dis le vieux en rigolant. Il retira sa queue dans un grand bruit de succion. Ma femme se releva.
Il se mit sur le côté et fit glisser sa queue gluante plusieurs fois sur mes lèvres serrées. Il m’enduisait le visage de foutre encore chaud. Ensuite, il posa ses couilles sur moi et m’ordonna «Lèche salope ! » Ses bourses fiévreuse couvraient ma bouche et mon nez. J’essayais d’inspirer mais je n’y arrivais pas, tout au plus j’avalais de sa sueur par les narines. Je m’étouffais Finalement j’ouvris ma bouche. Timidement ma langue commença à répondre à ses attentes. « Tu vois comme tu aimes ça ! »
Il fit pivoter ma tête et força sa grosse bite contre ma mâchoire. Comme j’étais récalcitrant, ma femme écrasa mon pénis de sa main pour me faire coopérer. Il commença à enfoncer son gland. Pour me relaxer ma femme branlait mon sexe douloureux. Petit à petit, ce membre monstrueux s’enfonçait dans ma gorge. Il utilisait ma bouche comme un vagin. Il allait bien au-delà des amygdales et plus d’une fois j’ai dû cracher des glaires… « Tu verras, après ça tu seras un autre homme » Dis t’il en rigolant. Du coin de l’œil, je vis que son fils en érection prenait des photos avec un téléphone mobile. « C’est ta punition pour ne pas savoir faire jouir ta femme » dit-il en se masturbant. Mes testicules tuméfiés me faisaient mal. Jamais je n’avais eu une érection aussi longue. « Tu es une petite suceuse. Tu l’aimes ma grosse bite, hein petit pédé ! » Me dit le vieux. Ma femme accéléra son mouvement et un fin jet de sperme jaillis de mon pénis. Quelques gouttes virent sur mon visage et sur la grosse bite du vieux qui en fut surpris. « Tu m’as souillé, tu vas le regretter» dit-il en rigolant. Son fils se rapprocha. Sa bite frappait mon visage tandis qu’il se branlait frénétiquement. Il éjaculat abondamment sur mes yeux et sur mon nez. Avec son gland, il étalait le liquide musqué sur mon visage. J’en avais même dans les narines. Le vieux sortit un peu sa queue de ma bouche mais laissa le gland à l’intérieur. Il commença à se masturber. « Avale tout, tapette ! ». Il propulsa une bonne dizaine de giclées. De ses mains fermes, il empala un peu plus ma tête sur son sexe pour lâcher les derniers flots au fond de ma gorge. « Ça, c’est pas comme ton lait écrémé. Tu verras comme c’est nutritif ». Ma bouche était pleine de sa semence épaisse. Son jus dense collait à l’intérieur de mes joues. Sa grosse bite poisseuse m’empêchait de respirer. J’essayais d’avaler. J’avais chaud, je suffoquais. Je perdis à nouveau connaissance.
Je me réveillais dans la voiture. Il faisait nuit et ma femme conduisait. Elle me sourit et me fit un baiser sur le front. « Tu as vu, ils ont aimablement réparé notre voiture »
Je repensais à ces bites de cheval qui avaient pilonné ma femme. Je ne sus que dire.
Sur notre chemin du retour une semaine plus tard, Lucile voulu repasser par la ferme, mais il n’y avait personne.
Depuis, chaque année, pour son bon plaisir nous retournons en vacances an Ardèche … et moi je m’arrange en secret pour que la voiture tombe en panne.
Date : 17/06/2013 17:21
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