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Histoire de slips.1

Histoire de slips.1



Slip kangourou ou mini-slip (1).
Juste une histoire ou phantasme qui m’est arrivée lors de ma carrière. A chacun d’en retirer et imaginer ce qu’il veut.
A cette époque je participais souvent à des missions d’échanges avec des membres d’autres pays. Il était courant que comme logements nous disposions de chambres dans des hôtels confortables. La plupart de ces chambres étaient occupées par deux hommes. Les lits étaient de type jumeau, donc totalement séparé les uns des autres mais l’un contre l’autre. À cette occasion donc je faisais chambre commune avec mon collègue Guy, âgé d’une trentaine d’années. Chaque soir après une petite ballade digestive je rentrais dans la chambre et prenais le plaisir à pouvoir bénéficier de la salle de bain à mon aise, mon collègue terminant son travail beaucoup plus tard.
Nous étions dans un pays chaud et donc pour dormir, un drap ou rien du tout était suffisant. Afin de ne pas avoir trop chaud juste un slip nous suffisait. Comme nous nous connaissions depuis un bon bout de temps cela ne posait pas de problème.
Le deuxième soir, j’avais bien remarqué que lorsque celui-ci se mettait en slip pour rejoindre la salle de bain, il me regardait par intermittence et que lorsque son regard tombait sur mon slip la poche du sien augmentait nettement de volume. Il portait toujours un slip kangourou blanc de taille basse avec une belle poche sur la partie avant. Pour ma part, je portais la plupart du temps un mini-slip de sport blanc.
Le troisième jour au soir alors que je m’étais allongé sur le lit toujours uniquement revêtu d’un mini-slip blanc, je voyais nettement que même avant de se déshabiller, il y avait déjà une déformation de l’avant de son pantalon. Il regardait régulièrement dans ma direction et surtout vers mon bas ventre. Tout en retirant en dernier lieu son pantalon, il se tourna complètement vers moi. Aucun doute sur ce qu’il se passait dans son slip, la poche était totalement déformée par son sexe. De mon côté, la vision de la déformation du slip kangourou provoqua dans mon mini-slip un gonflement. Souriant il partit vers la salle de bain content de l’effet qu’il avait produit. Comme il restait un bon moment dans la salle de bain, je finis par m’assoupir les programmes de la TV n’étant pas des plus intéressants.
Lorsqu’il revint de la salle de bain, je me réveillais et je m’aperçus qu’il ne bandait plus. Je fis emblant de continuer à dormir mais je l’observais entre mes cils. Il revint vers le lit de son côté restant debout devant celui-ci et observait principalement mon slip qui moulait parfaitement ma bite pas totalement au repos. Il pouvait parfaitement deviner la forme de mon gland et la forme de mon engin. C’est ainsi que je vis tout à coup sa main se porter vers la poche de son slip et se mettre à caresser doucement l’emplacement de son membre toujours tourné face à moi. Il ne lui fallut pas très longtemps pour qu’il se mette à nouveau à bander.
De mon côté faisant toujours le dormeur, ma bite se mettais à grossir dans mon petit slip. Son vit dans son slip déformait maintenant totalement la poche du sous-vêtement. A un moment donné il attrapa sa bite toujours dans le slip kangourou et la positionna dans une position plus confortable, tête vers le haut. Chez moi le fait de voir toute cette action me faisait maintenant bander, mon mini-slip était totalement déformé, mon gland s’était légèrement décalotté et je m’étais mis à mouiller. Il faut dire que quand je bande j’émets assez rapidement des gouttes de liquide séminal. Voyant cela je crois que cela devait l’exciter car il se mit nettement à se branler par-dessus son slip. Je voyais ses doigts qui faisaient des allers retour sur sa colonne dans son slip. De mon côté mon slip étais carrément inondé et une auréole devait se dessiner à l’emplacement de la pointe de mon vit. Tout à coup je le vis se crisper et je compris qu’il se mettait à juter dans son slip avec de petits grognements de satisfaction. Comme il s’asseyait pour reprendre son souffle, je fis semblant de me réveiller et me levait pour me diriger vers la toilette afin d’aller y vider ma bourse qui étais prête à exploser. Il ne me fallut pas plus de quelques allers retour sur ma tige pour éjaculer avec force mon trop plein. De son côté mon collègue étais retourné dans la salle de bain pour se rafraichir. Il en revint vêtu d’un slip blanc immaculé. Nous nous couchâmes et passèrent une très bonne nuit.

Le soir suivant, même rituel mais cette fois je décidais de ne pas faire l’hypocrite et de rester les yeux grands ouverts. Je prends ma douche et m’installe ensuite sur le lit comme les jours précédant, mais cette fois-ci en mettant confortablement ma bite dans mon mini-slip c’est-à-dire, non pas recourbée vers le bas, mais bien sur côté lui permettant ainsi de se déployer totalement sans aucune gêne. La forme de ma bite était ainsi aussi nettement plus visible, mais c’était bien le but.
Guy rejoignant la chambre après son boulot, me découvre donc avec le matériel bien exposé en vue toujours emballé bien entendu dans mon mini-slip. Un premier coup d’œil de sa part m’indique qu’il a déjà repéré l’objet de sa convoitise, sa braguette montre déjà clairement une déformation. Il ôte ses vêtements en terminant comme toujours par son pantalon tout en se tournant totalement vers moi, ceci afin que je puisse bien me rendre compte de son état d’excitation. Il ne m’en faut pas plus pour que de mon côté ma bite commence à gonfler dans mon mini-slip. Tout en étant déshabillé, il continue à me regarder et tarde à se rendre vers la salle de bain. Ma bite à atteint son développement total soit un bon 16 cm de longueur pour 4 cm d’épaisseur et s’est totalement décalottée sous le tissus. Mon gland est devenu totalement visible sous le tissu et rase le bord de l’élastique. De son côté, la poche de son slip forme une véritable tente de cirque. Nous ne disons toujours rien mais nous nous observons de plus belle laissant monter l’excitation. Après quelques instants ainsi, sa main comme le jour précédant, se dirige vers la poche de son slip et fait pivoter sa bite pour lui donner plus d’aisance, à ce moment là il me dit « Excuse-moi, je bande et quand je bande je dois me branler ».
Je lui réponds « Pas de problème, vas-y, cela ne me dérange pas. Comme tu vois de mon côté je ne suis pas au repos mais également excité. A te voir bander ainsi dans ton slip, je ne peux pas m’empêcher de bander aussi. Tu t’en es d’ailleurs bien rendu compte, je pense ».
Sa réponse « Oui. Depuis le premier jour à te voir ainsi dans ton petit slip laissant détailler tes bijoux de famille, à chaque fois je bande et je dois me branler, car autrement je cours avec des couilles remplies. Et de plus à voir ainsi dans ton slip, tu as une belle queue. Je voudrai bien la toucher mais je n’ose pas ». Entretemps ma bite qui était bandée juste à la limite de l’élastique se met à lâcher des gouttes de liquide transparent. « Tu mouilles à voir l’auréole au bord de ton slip » ajoute-t-il.
« Oui, et je crois que cela ne va pas cesser à te voir ainsi bander ainsi de ton côté je vois que tu en es au même stade ». A ce moment sa main retourne sur son slip et se met à caresser l’avant de son slip. Je lui faits signe de venir plus près de moi. Il contourne le lit pour se mettre face à moi. Maintenant j’ai devant moi son slip kangourou déformé et tendu par sa bite. Je tends ma main et la dépose sur son paquet « Tu vois c’est pourtant simple, il suffit d’avancer la main et tu peux tâter tant que tu veux ». De mon côté je sens une tige archi tendue et raide comme de la pierre. Le contact de ma main sur son slip lui a arraché un soupir de plaisir. Je me mets à masser doucement l’engin toujours caché dans le slip. Une auréole nait sur le dessus de la poche. Je l’invite à toucher mon slip. « Vas-y ne te gêne pas puisque tu me laisse bien toucher le tien ». Entretemps, j’ai glissé un doigt par la braguette du slip et lui caresse le fil de la bite. Sa main tremblante se pose en douceur sur la bosse de mon slip et caresse le frein de ma bite la faisant dégorger de plus belle. Le dessus de mon slip est littéralement détrempé. Ma main ne reste pas inactive et remonte vers le bord de son slip. Mes doigts s’insinuent sous l’élastique et plonge dans la poche afin d’y cueillir la bite. Un gros soupir vient ponctuer la possession de l’engin. Je me mets alors à faire des mouvements de va et vient sur la tige. Je veux lui baisser l’élastique et lui retirer le slip pour découvrir l’engin mais Guy me demande de ne rien faire et de continuer à branler sa queue dans son slip. Suite au frottement de sa main sur mon slip mon gland est sorti de mon mini-slip franchissant l’élastique. La vue de mon gland et ma branlette de sa tige font qu’il ne lui faut pas longtemps avant que je sente les soubresauts de sa tige. Je ne recueille au creux de la main plusieurs giclées de jus laiteux. De mon côté, je sens que ma tige se contracte et un premier jet des plus puissant sort de mon gland pour aboutir sur le dessus de ma poitrine près de mon épaule, les suivants s’écrasant sur mes pectoraux en terminant par mon ventre. Au moment de sa jouissance Guy à lâché ma queue et à regarder avec envie mon éjaculation.
Après cet exercice, Guy se rend à la salle de bain pour se rafraichir de mon côté j’essuie les jets de ma jouissance.
Peu après, il rejoint la chambre et se couche également sur son lit. Nous laissons uniquement une petite veilleuse allumée et nous en profitons pour un peu discuter. Bien vite nous revenons sur le sujet premier de la soirée. A savoir le fait de se branler. J’apprends ainsi que Guy est plutôt attiré vers les garçons de puis son plus jeune âge. Il me raconte que lorsqu’il allait au bassin de natation, rien que le fait de voir ses copain de classe en slip de bain le faisait déjà bander. Plus tard, à chaque fois qu’il allait à la piscine, il bandait tellement qu’il se branlait en nageant et éjaculait dans son slip de bain. Nul ne pouvait ainsi se rendre compte de son émoi.
Avec le temps et lorsqu’il était émoustillé par la vue ou la forme de l’un ou l’autre sexe masculin, il plongeait sa main dans sa poche de pantalon et se branlait ainsi doucement sans se faire remarquer. Il lui arrivait ainsi de juter dans son slip. Ayant pris l’habitude de faire ainsi, il avait continué cette pratique.
Je lui demandais alors « Et quand tu as juté dans ton slip, j’ai vu que tu te change à chaque fois, lorsque tu pars ainsi en échange, tu dois en avoir beaucoup avec toi ».
Guy – « Oui et non, tu vois, si c’est possible je change de slip, si j’en ai plus j’en lave l’un ou l’autre comme on fait d’ailleurs quand on part en mission pour un certain temps ».
– « Oui, c’est plus facile et cela permet d’avoir un bagage plus léger. Mais tu as déjà avoir vu d’autre gars en slip lors d’autres missions ».
– « Ben oui, mais c’est la première fois, que j’ose faire ainsi car tu es le premier qui ne va pas se saouler chaque soir ».
– « Tu n’a pas eu de chance d’avoir des mecs qui picolent ».
– « De toute façon, il aurait encore fallu que se soit des gars ayant une vue d’esprit ouverte comme toi. Je m’en suis douté lorsque tu étais sur ton lit uniquement en mini-slip qui ne cachait rien en fait. Les autres quand ils rentraient beurrés, ils se couchaient et ronflaient directement certains même ne se déshabillant même pas. Tu penses bien que ce n’est pas cela qui m’aurait fait bander. Avec toi c’est différent, je me suis sentis directement à l’aise ».
– « J’ai bien vu, je vais t’avoué que hier soir j’ai vu quand tu t’es branlé dans ton slip. J’aurai bien voulu déjà te toucher mais j’ai eu peur de te contrarié. De mon côté cela ne me gêne absolument pas. Je me branle régulièrement et ne te tracasse pas ce n’est pas la première bite que je vois. J’ai une petite préférence pour les bites mais c’est la première fois que je me retrouve ainsi en mission avec quelqu’un qui n’est pas gêné de sa nature ».
Guy – « Aujourd’hui, c’est la première fois que j’ai vu un autre homme adulte éjaculer. C’est magnifique rien que d’y penser je sens que je recommence à bander ».
– « Ne te gêne pas, vas-y fais-toi plaisir »
Comme nous étions tous les deux uniquement en slip sur notre lit, dans la pénombre, je pouvais voir que la poche de son slip se gonflait doucement.
– « Ca ne te gêne pas de me raconter comment tu as vu d’autres bites lorsque tu étais en mission » me demanda-t-il.
– « Si tu veux. Je n’en ai pas vu des masses. Mais un jour alors que nous étions au Danemark, j’ai pu entrevoir la bite d’un jeunot. Les douches chez les danois sont des douches communes pour les logements. Ce sont de grandes salles ou l’on se déshabille d’un côté et sur le mur en face il y a les douches. Comme j’étais déjà dans le local, un jeune gars est entré. Il s’est déshabillé et est venu à côté de moi pour se laver sous la douche. Moi j’étais tourné vers le mur afin de ne pas trop montré mon service trois pièces. Le jeune fit de même, mais je voyais bien qu’il était un peu gêné de devoir prendre sa douche en présence de quelqu’un d’autre plus âgé. Comme je te l’ai dit j’étais très intéressé par la vue de son service trois pièces. La réaction de ne fit pas attendre de mon côté, ma bite se mit à gonfler doucement. Le jeune ne savait ou il devait regarder mais comme je ne faisais rien pour ne pas montrer mon engin, il se mit à mater ma bite. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire il se mit à bander dur. De mon côté j’y arrivais aussi. Nous voilà donc tout deux avec une trique au gland décalotté. C’est à ce moment là que je me suis mis à savonner ma bite. Le gars me regardait et moi je savonnais de haut en bas ma bite. En fait je me branlais à fond. Voyant cela, il s’est mis à faire de même en se tournant vers moi. J’ai pu ainsi voir sa bite. Un beau morceau comme le mien mais avec le gland circoncis. La branlette n’a pas duré longtemps et il a lâché plusieurs jets puissants qui ont arrosé mes jambes. De mon côté, quelques instants plus tard je faisais de même. Peu après nous nous sommes rincés, rhabillé et avons quitté la douche tout cela sans rien dire. Je ne l’ai plus jamais revu ».
– « Cela ne te dérange donc pas que je bande à côté de toi sur mon lit ».
– « Absolument pas, pour moi j’en ai eu assez pour aujourd’hui, je crois que maintenant il vaut mieux dormir car demain je me lève tôt. On pourra en reparler demain soir si tu veux. Et en détails si cela t’intéresse ».
– « Ok merci, j’essaierai d’être de retour un peu plus tôt demain, bonne nuit ».
Et ce fut tout pour ce soir-là.

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