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La porte aux fous plaisirs…

La porte aux fous plaisirs…



Huit heures trente, le 9 septembre :
J’arrive à la porte du château, je sonne et attends quelques secondes qu’une personne daigne m’ouvrir. Ce qui se produit… C’est une dame de trente ans environ qui me salue, et sachant pour quelle raison je viens ici m’entraîne à sa suite vers la demeure qu’on devine appartenir à une famille plutôt riche. Mais, avant de continuer ce récit, je tiens à me présenter à vous :
Je m’appelle Anne, j’ai 29 ans, je suis une femme assez grande de taille, et plutôt menue. Jusqu’à présent, je travaillais en intérim dans différents domaines alors que mon chéri lui était dans la police… et j’ai décidé récemment de le quitter pour changer un peu de vie, mais pour cela, je dois gagner pas mal d’argent donc j’ai épluché les petites annonces et j’ai trouvé celle qui devait changer ma vie il y a quelques jours, mais je ne le savais pas encore.
Huit heures quarante-cinq :
Je suis dans un grand salon à l’intérieur du château. J’attends depuis trois minutes quand une dame qui parait avoir la cinquantaine entre dans la pièce, se place en face de moi, et me dit :
– Bonjour, mademoiselle.
– Bonjour, madame.
– Alors comme ça, vous voulez travailler dans notre demeure ?
– Oui, j’ai vu que vous cherchiez quelqu’un pour la cuisine, ainsi que pour les travaux ménagers.
– Exactement… Avez-vous une lettre de motivation ?
– Heu. Oui… je vous la donne.
Après l’avoir lu avec la plus grande attention, la patronne reprit la parole.
– Bien. C’est ce que je recherche. Je peux vous prendre dès aujourd’hui si vous voulez.
– Cela m’irait très bien… je vous remercie vraiment !
– Alors sachez que je me nomme Mme De Thomas !… Je vais vous présenter à nos gens. »
La journée passa… j’entrai en contact avec tous les employés du château, qui me paraissait tous très sympathiques. Ces moments passés au service de Madame s’annonçaient comme merveilleux.
Deux mois après :
Je m’étais totalement intégré à l’équipe. Mais quelque chose me surprenait : on m’avait précisé que l’aile droite du château m’était interdite. Seule une aide-ménagère était autorisée à s’y rendre et bénéficiait d’une chambre dans cette aile alors que nous autres étions cantonnés dans l’aile gauche.
Les jours passèrent lorsque un soir de novembre, une averse de grêle endommagea la toiture sous laquelle je dormais et de ce fait, ma chambre était indisponible… Où pouvais-je dormir maintenant ? Mais de courte durée fut cette interrogation. L’aide-ménagère principale étant malade à cause de la fraicheur actuelle avait eu un arrêt de travail de quelques jours donc madame de Thomas m’autorisa à dormir dans sa chambre qui était voisine de celle où elle même passait ses nuits. Et de plus, moi dormant ici, elle me demanda de s’occuper de l’entretien de sa chambre, ce qui me plut vraiment. J’allais pouvoir découvrir cet antre qui m’avait toujours été invisible depuis mon arrivée.
Et quelque chose très vite m’interpella… il y avait dans son lieu de repos, une porte fermée avec un digicode, dont bien sûr je n’avais pas la combinaison. Curieuse de nature, je me demandais comment percer ce mystère. Que pouvait-il y avoir de si important derrière cette entrée surprotégée ? Pour le savoir, je mis en place un petit plan ingénieux : Il y avait entre nos chambres un mur en pierre avec un trou suffisamment petit pour ne pas alarmer la patronne mais suffisamment grand pour que je devine ce qui se passait dans la pièce. Mais, le problème était que ce trou ne donnait pas sur le digicode alors je décidais de placer un miroir sur la commode en face qui me ferait voir le lit et la porte protégée.
Le premier soir, la patronne était partie en visite alors je dus prendre mon mal en patience… ce fut le second soir qui changea toute mon existence : Comme je regardais par le trou, je vis soudain Mme de Thomas s’approcher de son lit mais au lieu de s’y coucher, elle se dénuda, posa sa robe de chambre et se retrouva ni plus ni moins qu’en tenue d’Eve… Je restais bouche bée devant ce spectacle qui ne s’arrêta pas là.
Je vis madame commencer à se triturer le bout des seins comme si elle voulait en faire sortir du lait. Ses doigts s’agitaient avec force sur ses globes terminés par des tétons très pointues, elle commença à soupirer mais s’arrêta rapidement…. devant cette séance de pelotage, je dois avouer que mon entrejambe m’appelait moi-même au plaisir. Je sentais mon vagin mouiller et bien que je n’aie jamais été attiré par les femmes, je me sentais m’évader vers de sommets de jouissance. Frénétiquement, je descendais ma main sous ma culotte et entamai une savante masturbation… sans comprendre, sans me comprendre. Pourquoi avais-je envie de doigter ma nénette moi qui avais une vie sexuelle tout à fait semblable à celle de millions d’autres ?… Je ne pouvais répondre alors que mon corps se cambrait sous les caresses, dus aux titillements clitoridiens que je m’imposais… Mais alors que je me branlais comme une catin, je vis soudain madame se rendre toujours nue vers le digicode et appuyer sur quatre touches que je reconnues non pas pour les avoir vu mais par rapport aux fréquences sonores. La porte s’ouvrit, madame y entra et elle se referma soudain. Une heure passa quand j’entendis cette dernière s’ouvrir enfin :
Madame en sortit à poil mais quelque chose avait changé : elle avait sur son visage et sur ses seins, que je situais vers le 95 D, une sorte de crème blanche et cela en grande quantité… Je ne comprenais pas ce que cela pouvait être lorsqu’une idée perverse me traversa l’esprit : et si c’était du. Sperme ?… Je rigolais, il devait s’agir de savon mais alors comment expliquer que madame se soit lavée puisque peu de temps avant, elle sortait de la salle de bains ?
Je continuais à la regarder : elle se rendit vers son lit et laissant traîner ses doigts sur son torse nu, elle les mit un par un dans sa bouche dans des bruits de succions très indiscrets mais qu’elle devait penser sourds à mes oreilles. Son autre main lui servait à se caresser le minou, lentement, sensuellement… Et moi, je me disais : demain soir, elle sera absente. Je tenterais de rentrer dans sa chambre, je ferais le code et je découvrirais ce qui peut l’avoir dévergondée à ce point.
Je me réveillais le matin vers 7 heures, encore émoustillée autant qu’intriguée par ce que j’avais vu hier soir. Comment expliquer que ma patronne après être passée nue derrière cette porte en soit ressorti maculée d’une crème blanche qui laisse penser des choses coquines sur son occupation dans ce lieu secret, du moins censé l’être car j’avais le projet d’aller voir l’envers du décor !
La journée passait lentement, je savais que la patronne n’était pas là ce soir. J’irais donc faire semblant de me coucher dans ma chambre, mais au lieu de ça, je franchirais la porte aux fous plaisirs !
Vingt-deux heures…
Je passais la porte de la chambre de Mme de Thomas et dans un silence pesant d’angoisse et d’excitation, je m’approchais de la porte pour taper le code fébrilement !… Deux… Cinq… Neuf… Quatre.
Était-ce le bon ?… Je me posais la question quand le verrou sauta, alors je franchissais rapidement le seuil de la pièce qui s’alluma à mon passage. Ce que je vis me figea sur place !
Il y avait trois hommes, attachés, avec des casques sur les oreilles et des masques sur les yeux…ils ne m’avaient même pas entendu entrer, sans doute que le casque devait diffuser un son assez fort. Mais ce qui me choquait surtout, c’était leurs vêtements… tout simplement parce qu’ils n’en avaient pas. Oui, ils étaient tous nus. Je pouvais voir leurs queues molles qui étaient maintenu dans un anneau prolongé par un bras qui rejoignait une machine assez imposante !… A quoi ce matériel pouvait-il bien servir ? Je me posais la question, alors que je sentais mon sexe s’humidifier peu à peu. J’essayais de ne pas y prêter attention, toujours plongé dans ma réflexion.
Mais soudain, je vis apparaître un rai de lumière sous la porte que j’avais refermé… Mon dieu ! La patronne était de retour. Je cherchais très vite un interrupteur pour éteindre la lumière, le trouvai et plongea la salle dans la nuit. La panique me gagna et ce encore plus quand je vis l’ombre de ses pieds devant l’entrée. Je décidai de me cacher au fond de la pièce derrière un siège. De ma position, je pouvais voir ce qui se passait. La patronne, comme hier, était nue. Je pouvais voir ses formes généreuses et sa belle chatte. Et, comme hier, je me remis de plus belle à mouiller. Mais Mme de Thomas, pendant ce temps-là, s’était approché d’un pupitre avec des boutons dessus que je n’avais pas vu en rentrant. Je la vis appuyer sur des boutons, et alors sans que je ne comprenne pourquoi, je m’aperçus que les hommes se trémoussaient et que leurs quéquettes grossissaient peu à peu… Cela dura quelques minutes à l’issue desquelles la patronne appuya sur un nouveau bouton qui fit bouger les bras terminés par les anneaux. Ces messieurs avaient droit à une branlette en règle pendant que madame les regardait un par un, se gardant bien de toucher ces jolis membres qui me paraissaient bien bandés. Le charmant exercice prit vite fin, du moins pour deux de ces messieurs :
On pouvait voir devant eux le sol, maculé de sperme…Je ne comprenais pas comment ils avaient pu bander avant qu’elle n’enclenche les bras métalliques, plus généralement, je ne comprenais rien à ce qui s’était passé devant moi… Qui étaient ces trois hommes ?… Pourquoi étaient-ils-la ?… Comment madame se retrouvait là, à poil, en train de mater des sexes poisseux de sperme ?… Je cherchais l’explication, mais mon regard se dirigea vers le troisième homme que madame avait détaché et entraîné vers un recoin de la pièce…
Elle le fit s’asseoir sur un siège, puis lui enlevant masque et écouteurs, le regarda droit dans les yeux… Il n’avait toujours pas éjaculé, était-ce pour ça qu’elle l’avait pris avec elle ? Ce fut pendant cette interrogation que je la vis empoigner cette verge puis la caresser délicatement pour qu’elle retrouve de sa superbe… Cela ne tarda pas, et soudain, madame se mit de dos à lui et posa son sillon fessier sur sa bite ! J’avais déjà entendu parler de la branlette grecque, mais n’en avais jamais vu jusqu’alors. L’homme avait l’air d’apprécier au vu de son regard et de ses soupirs. J’étais moi-même surexcitée et avais passé une main sous mon sous vêtement pour me caresser la chatte !… Caresses habiles, honteuses, mais délicieuses ! Mon autre main, elle palpait mon sein gauche !… Je sentais mon téton darder sous l’effet de ce pelotage mammaire ! Mais je ne devais pas jouir, de peur que madame de Thomas ne m’entende. Je ralentissais donc mes caresses, frustrée, mais toujours curieuse de ce qui se passait devant moi sur ce siège.
La séance avec le troisième homme continuait, madame remuait son cul de plus en plus vite et je voyais bien que ce cher monsieur allait bientôt lâcher le yaourt !… Cela ne tarda pas, et je fus bouche bée de voir la patronne s’enduire les fesses et les seins avec le sperme qui avait giclé de cette bite qui avait déjà commencé à rétrécir !
L’homme fut replacé, avec masques et écouteurs à sa place… Madame alla de nouveau au pupitre, selon moi, pour tout désactiver puis toujours nue sortit de la pièce. J’étais seule dedans, et ne pouvant pas échapper à l’appel du plaisir, je recommençais mes caresses sur ma nénette en feu. Mon vagin réclamait des doigts, et je lui fis ce plaisir… Pas besoin de chercher un fantasme lointain, le fait d’avoir assisté à tout ce que je vous ai conté était plus puissant que ce que mon imagination pouvait inventer.
Le doigt âge dura peu de temps… Et dans un cri que j’essayais de calmer, je jouis enfin. Je me sentais pantelante, chaude comme la braise. De mes nichons jusqu’à mon sexe, tout n’était qu’excitation a****le. Je décidai de me doigter à nouveau dans ma chambre mais il fallait d’abord sortir de la pièce et donc passer dans celle de la patronne. Si cela se passait comme hier, j’avais des chances de passer sans me faire remarquer puisque madame apparemment s’endormait vite.
Alors, très discrètement, j’ouvrais la porte :
La chambre était dans le noir, j’étais rassurée… Je marchais avec mille précautions quand soudain, la lumière s’alluma. Madame était là, devant moi et me regardait avec un air fâché qui me glaça le sang. M’avait-elle vu dans la pièce, qu’allait-elle me dire ?… Je ne plus y penser car elle prit la parole :
– Alors vous êtes contente d’avoir maté mes actes pendant toute la soirée ?
– Pardon, madame !… Pardon !
– J’imagine que vous vous demandez pourquoi ces hommes sont ici, enfermés et soumis à ma volonté !
– Heu… Je dois avouer que je me posais la question.
– Alors, je vais vous expliquer.
– Comme vous avez pu le voir, j’ai dans cette pièce plusieurs hommes. Ils sont arrivés depuis une semaine, c’est à peu près la durée moyenne de passage ici. J’ai pour mission d’en faire des objets sexuels, prêts à se soumettre à la moindre demande. Je commence donc par leur infliger deux ou trois jours de chasteté forcée. Après, je leur place un bandeau sur les yeux de façon à ce que la vue ne les détourne pas de cet objectif d’en faire des soumis. Puis arrive le casque sur les oreilles, qui leur diffuse des musiques quelconques. Et passés ces trois jours, tout change car je les prends en main sévèrement. Vous m’avez vu appuyer sur un bouton… Par ce geste, la musique est remplacée par des bruits explicites d’actes sexuels.
– C’est donc pour cela que leur sexe a grandi aidé par cette machine.
– Exactement… La machine les trait au rythme que je décide. Au bout de quelques séances comme ça, ils bandent sur une simple stimulation. Et quand ils repartent, ils s’en vont chez des maitresses qui s’en serviront pour des jeux sexuels… Ils seront l’objet du jeu ou assistant seulement !
Je comprenais maintenant le fin mot de l’histoire… Et je dois avouer que mon entrejambe coulait de plaisir devant ces explications chaudes. Mme de Thomas s’en aperçut très vite :
– Quand à toi, Anne, (surprise, elle me tutoyait), je n’apprécie pas trop que tu te mêles de mes affaires. Je vois à tes cuisses qui bougent fortement que tu es excitée. Tu es une voyeuse, une mateuse, rien de plus, et tu mériterais bien une punition. Qu’en penses-tu ?
– Oui peut-être, dis-je avec détachement.
Je prenais tout cela pour une blague… En fait de punition, je pensais que je serais renvoyé vers un travail moins sympathique dans le château mais la suite me donna tout à fait tort :
– Allez, baisse ce pantalon.
– Pardon ?
– Tu as très bien entendu, pétasse… Je veux voir ton joli petit cul.
– Mais madame…
J’étais troublé devant cette situation mais je ne pus pas me poser mille questions. Madame qui avait quitté sa place s’approcha de moi et me dit sèchement :
– Dorénavant, je serais ta maitresse… Tu m’appelleras madame en public et maitresse quand nous serons en privé. Alors je te conseille de m’obéir sans discuter. Pour la troisième fois, baisse ton froc. Tu as sans doute peur mais tu mouilles tellement que tu dépasseras tes inhibitions.
– Oui, je vais vous obéir… je vais le baisser.
Et je me retrouvais en string devant cette dame qui m’apparaissait tellement supérieure maintenant. Quand elle me demanda de pencher mes bras de façon à les attirer contre mes pieds, j’acceptais sachant à quoi je m’exposais.
– Maintenant, ma petite, je vais te fesser avec fermeté… Et tu compteras les coups, ne te trompe pas, je te le conseille.
– Oui, MAD… Heu maitresse !
– Parfait… Allons-y alors !
Clac…
– Aïe !
– Dis donc, t’ai-je autorisé à te plaindre ?
– Non.
– Alors tais-toi… Compris ?
Clac…
-Deux…
Et huit autres fessées vinrent s’achever sur mon petit derrière bien rougi. J’en avais les larmes aux yeux, mais ma maitresse sut trouver comment me calmer… Enfin, si on peut dire !… Ses mains avaient quitté mon fessier, quand je les sentis faire glisser mon string puis se poser sur ma chatte inondée de cyprine… J’eus un mouvement de recul quand elle commença à me caresser.
– Non, laisse toi faire… Tu as encaissé les dix fessées, tu as souffert pour mon plaisir et comme je suis juste, je veux te rendre la pareille avant que ta vie de soumise commence pour de bon. Tu verras, ça va être bon.
Je n’avais pas encore répondu que déjà ses doigts agiles titillaient mon clitoris et s’enfonçaient dans mon puits d’amour. Un doigt âge dans les règles de l’art.
– Tu les sens, salope ?… C’est bon de se faire doigter la chatte hein ? Surtout quand elle est bien baveuse comme ici. As-tu des phantasmes à partager avec moi ?… Ça t’aidera sans doute à prendre ton pied.
– Je ne vois pas, maitresse.
– Tu ne vois pas où tu ne veux pas voir ?… On a tous des phantasmes, toi comme les autres.
– Non, je n’en ai pas.
– Tant pis pour toi alors….
Et maitresse continua son toucher mais malheureusement, elle s’arrêtait juste avant que mon orgasme se déclenche me laissant toujours plus frustrée… Au bout de dix mn comme ça, je souffrais et l’avouais à celle-ci:
– Maitresse, je n’en peux plus.
– Alors avoue tes phantasmes et ce sera fini.
– J’en ai peut-être un mais si sale…
– Dis le… Et vite !
– Il y a quelques temps, j’étais attiré par les sexes d’hommes. Vous me direz que c’est un phantasme des plus normales mais là où ça devient sale, c’est que je m’imaginais en train de tenir leurs queues pendant qu’ils se soulageraient aux toilettes.
– Hé ben voilà ce que je voulais entendre… Tu as un phantasme pas si isolé que ça… Tenir une bite pendant qu’elle laisse couler la pisse, c’est sympa ! En tout cas, ta sincérité doit être récompensée.
Alors, maitresse se remit à me doigter furieusement… Son autre main courait sous mes habits pour me caresser les lolos aux tétons durcis. Je mouillais, mouillais, mouillais… Et soudain, lâchant un flot de cyprine, je montais au septième ciel pendant que ma dominante s’était placé devant moi et me léchait du bout de la langue mes aréoles toutes sensibles.

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