J’ai d’abord pensé que ces deux femmes qui avaient repris la maison des voisins étaient des gouines mais un jour que je les ai croisées dans la rue, elles se sont présentées comme deux sœurs. Elles avaient effectivement une certaine ressemblance. L’une était blonde et l’autre brune. Ça m’a rassuré, d’autant plus qu’un jour que j’arrachais des carottes dans mon jardin, Carole la blonde m’a abordé en me disant que ça doit être meilleur que dans le commerce et je lui en ai donné une douzaine. Elles les a prises mais elle a pris la plus grosse qu’elle a eu l’air d’admirer et j’ai risque une plaisanterie en lui disant que ça se mange. La voisine a paru interdite puis elle a ri et elle m’a dit qu’elle n’a pas l’habitude de se servir de ça.
Par la suite, elle a fait parfois allusion à ces carottes. Je lui ai donné des poireaux puis des fruits de mes arbres. La femme avait l’air sympa. Un autre jour, quand elle est venue me voir dans le jardin, elle avait mis un décolleté qui ne cachait rien de ses seins car elle avait une belle poitrine. J’ai fait une plaisanterie comme quoi elle n’a pas besoin que je lui donne des melons et elle a compris tout de suite en me demandant si je ne trouve pas qu’ils sont trop gros. Je lui ai dit qu’ils ne le sont jamais assez.
– Ah, vous trouvez, m’a répondu la voisine ?
– Vous faites du combien, ai-je insisté ?
– F ou G, ça dépends, m’a-t-elle répondu ! Vous vivez seul ?
Elle devait bien s’en être rendue compte depuis le temps.
– J’ai soif, a ajouté la voisine !
Je l’ai dit que je vais chercher des verres et elle m’a répondu de ne pas me compliquer et elle a ajouté qu’elle n’a pas peur d’aller chez moi. J’ai écarté le trou qu’il y avait dans le grillage et elle m’a suivi puis une fois dans ma maison, j’ai posé la main sur sa hanche.
– Je bois d’abord, m’a fait la voisine !
J’ai rempli son verre et elle l’a avalé tout d’un coup puis elle m’a demandé où on fait ça.
– Vous aimez ça ?
– Oui, j’aime bien, m’a répondu la voisine ? Pas vous ?
Je l’ai emmenée dans ma chambre et elle s’est déshabillée tout en me demandant si je vais retirer mes habits. Je me suis déshabillée et je l’ai rejointe sur le lit et là, elle m’a prévenue qu’elle n’arrive pas à être amoureuse, qu’elle aime le sexe et elle a ajouté qu’un jour dans une soirée, elle avait fait l’amour avec trois hommes, l’un après l’autre.
– Et ensemble, lui ai-je demandé pour la provoquer ?
– Ensemble ? Vous avez de drôles d’idées, m’a répondu la voisine ? Tiens pourquoi pas ! Je n’y avais jamais pensé !
J’avais découvert que c’était une fausse blonde même si elle avait été rasée. Ses poils repoussaient sur son ventre. Elle avait aussi un anneau au clitoris. Je me suis enfoncé. Je ne sais pas comment est la chatte d’une femme qui a eu beaucoup d’enfants, mais c’est l’impression que j’en ai eu tellement c’était facile de m’enfoncer. Après, elle m’a dit que c’est plus excitant de faire ça en levrette et elle s’est mise à quatre pattes pour me présenter ses fesses et j’ai pu continuer. Elle m’a demandé si je ne trouve pas que c’est mieux. Cette salope se baisait toute seule sur ma bite. Je bougeais à peine et elle s’empalait sans arrêt.
– Ah, c’est bon, m’a-t-elle gémi !
Je lui ai répondu qu’elle est une vraie pute mais elle n’a pas réagi puis elle m’a dit qu’elle veut se mettre dessus et je me suis laissé faire. Maintenant, elle me faisait face. Elle a guidé ma bite dans son vagin mais après deux ou trois passes, je lui ai demandé si je peux la lui mettre dans l’anus. Elle s’est arrêtée de bouger et elle m’a demandé si je veux vraiment.
-Attends, m’a fait la voisine !
Elle a guidé ma bite dans son anus et ça a été aussi facile que dans sa chatte.
-Tu aimes ça, m’a-t-elle demandé ?
– C’est surtout toi, ai-je fait ?
– Non, c’est toi ! Tu semble aimer ça, enculer les femmes !
Je lui ai fait pendant un petit moment puis elle s’est remise en levrette et j’ai recommencé à l’enculer puis j’ai joui sur ses fesses et elle est allée dans la salle de bains où je n’ai pas tardé à la rejoindre.
– J’espère que ça t’a plu, ma demandé la voisine ?
Je lui ai répondu que c’était pas mal ! Elle m’a demandé ce que je fais comme boulot. Elle m’a écouté lui répondre sans dire un mot et je lui ai demandé ce qu’elle fait comme travail.
Elle est restée silencieuse un petit moment puis elle m’a répondu que c’est ce qu’elle vient de faire avec moi. Je ne voulais pas comprendre.
– Tu es putain, ai-je fini par lui bafouiller ?
– Ce que tu es vulgaire, m’a-t-elle répondu ! Je rencontre des messieurs !
– Call-girl alors ? Tu travailles seule ?
– Parce que tu crois que j’ai besoin de quelqu’un, m’a demandé la voisine ?
– Non, mais…
Je l’imaginais, avec son petit carnet et son téléphone…
– C’est ma sœur qui gère, a-t-elle fini par m’avouer ! Moi, je n’ai jamais appris à faire grand chose. Quand nos parents sont décédés, elle m’a recueillie et comme elle n’a pas pu me cacher ce qu’elle faisait, j’ai accepté puis quand avec l’âge elle a eu de moins en moins de clientèle, j’ai pris la suite !
– Et ça te plaît ?
Elle s’est mise à rire.
– Je te l’ai dit ! Je n’ai jamais été amoureuse et faire l’amour, c’est mécanique ! Pas besoin de rêver. Il y a une demande et je suis là pour la satisfaire !
– Et ça paie bien, lui ai-je demandé ?
Elle m’a répondu que je veux tout savoir avant de me dire que pour cette fois c’est gratuit puis elle s’est rhabillée. Alors, quand j’ai envie d’elle, je prépare un panier garni et je fais le numéro qu’il y a sur sa carte de visite et je me soulage avec elle, mais elle ne veut pas que ce soit trop souvent pour que je n’y prenne pas habitude.
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