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L’ambitieuse

L’ambitieuse



Attention cette histoire est une pure fiction. Les faits et les personnages, ainsi que leurs noms, ci-dessous ont tous été inventés de même que certaines situations au demeurant surréalistes correspondant à des fantasmes populaires.
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Bonjour, moi c’est Lisa Zwarosky. Quand je vois d’où je viens, ce que je suis devenu et surtout ce que j’ai fait pour y arriver …. Et bien je n’ai pas honte. J’ai pris ma petite revanche sur la vie et je dis merde à ceux que ça dérange.

Tout d’abord il faut placer le contexte. Issue d’un milieu modeste, d’origine polonaise, pour une raison que j’ignore encore aujourd’hui, mon père s’est barré de la maison j’étais gamine. Déjà ça commence mal. Ensuite ma mère, 2 ans plus tard, dépourvue de ressources, a perdu ma garde et j’ai été confié à la DDASS. Encore une bonne nouvelle. Ce qui fait que je me suis retrouvé Ballottée de famille d’accueil en famille d’accueil.

Au niveau garçon quand j’ai perdu ma virginité, le mec m’a fait le coup du magicien : « on baise et tu disparais ». Ceux qui ont suivi n’ont pas été mieux car ils me jetaient comme un vieux kleenex. Bref, Rémi sans famille au féminin, c’était moi.

Scolairement j’étais juste moyenne, limite médiocre. Je passais chaque classe de justesse même si j’ai redoublée plusieurs fois. Au lycée, j’avais une amie, Jessica, aussi brillante que moi à l’école (autant dire aussi médiocre toutes les 2). Quand je suis rentrée en seconde, elle avait été désignée pour être une sorte de marraine pour moi. Vu ma situation, le proviseur avait jugé que ce serait une bonne chose étant donné qu’elle s’en sortait en étant dans une situation similaire à la mienne. On avait sympathisé et elle m’avait raconté son parcours qui était aussi chaotique que le mien. Elle m’avait coaché pour ne plus me faire manipuler par qui que ce soit et m’avait donné de l’assurance. Certains diraient que j’étais devenue une vraie garce. Moi je dirais une femme indépendante qui sait ce qu’elle veut.

Constamment je la voyais obtenir presque tout ce qu’elle voulait. Elle n’avait peur de rien. Je savais qu’elle avait ses « petites affaires » louches au sein même du lycée mais je ne voulais pas y participer. Pour me faire de l’argent de poche je faisais des baby-sitting. Ça ne faisait pas grand-chose mais c’était déjà ça. Pour ne pas être inquiétée je savais qu’elle était liée avec des pions et avait même passé un accord avec le proviseur.Lequel me direz-vous ? Et bien c’est simple. Elle le suçait une fois par semaine dans son bureau pour être tranquille. Ce vieux briscard avait bien compris l’avantage qu’il pouvait en tirer.

Utiliser mon cul pour me faire de l’argent … j’avoue y avoir pensé mais je ne voulais pas le faire comme ça et surtout pas avec le proviseur. C’est lors d’un baby-sitting que j’ai fini par sauter le pas. Je gardais un petit garçon de 5 ans, chez lui et tout allait bien. Quand les parents sont revenus d’une soirée, après m’avoir payé, le père me proposa de me raccompagner chez moi. C’est durant le trajet qu’il s’arrêta dans un petit chemin.

– Pourquoi on s’arrête ?
– Pour mieux faire connaissance … dis-moi, combien tu prendrais pour coucher avec moi ? me demanda-t-il en caressant ma cuisse.
– Pardon ?
– Tu m’as bien entendu. Combien tu veux pour coucher avec moi.
– Je ne fais pas ça.
– Bah voyons. Tu serais bien la 1ère. Tiens je te file 100€
– J’ai dit non.
– 150
– Vous êtes sourd ?
– Je te propose 200 et on fait ça ici et maintenant.

L’idée de me faire du pognon aussi facilement était tentante d’autant qu’il me chatouillait le nez avec les billets qu’il tenait dans sa main. Je devais peser le pour et le contre.Déjà j’étais presque majeure (je sais c’est la honte en 2e, merci à mes redoublements). Mon sens moral ayant pas mal baissé au contact de Jessica et n’étant plus une oie blanche depuis plusieurs année ça ne me dérangeais pas tant que ça finalement. Et puis, à y réfléchir je ne risquais pas grand-chose s’il se protégeait. S’il me balançait j’en ferais de même auprès de sa femme.

– Ok pour 200 mais avec préservatif.
– Pour 200 tu pourrais au moins sucer sans capote ? je suis marié tu risques rien.
– Bon ok mais pour le reste c’est couvert … et je n’avale pas.
– Ok bah c’est parti.

Après m’avoir donné les billets, De sa main, il entraîna ma bouche sur son sexe qu’il avait déjà sorti. J’alternais les va et viens et léchage de gland. Je le sentais soupirer des « ah oui c’est bon » ou encore « va z y continu ». Au bout de quelques minutes, il m’a relevé, m’a touché la poitrine et m’a aidé à me déshabiller. Après avoir abaissé son siège il m’a fait venir sur lui pour que je m’empale sur son manche. Avec ses mains il m’a fait aller et venir sur lui tout en me galochant de temps à autre jusqu’à éjaculation. Alors que je me remettais de cette petite séance surprise, lui se reculotta et remis sa voiture en état pour me ramener.

Sans le vouloir je venais de trouver un bon moyen d’arrondir mes fins de mois. Bien sur il fallait rester vigilante et ne pas provoquer ouvertement la chose. Au bout de quelques semaines, j’avais quelques familles clientes régulières dont les papas s’accordaient un petit extra avec moi. Mais aussi d’autre disons plus conventionnelle. En général pour aguicher le papa je mettais un chemisier avec un décolleté plongeant et je bombais le torse pour mettre en avant ma poitrine. Si il est réceptif tant mieux, si il sait contrôler ses hormones tant pis. Comme client, (oui je dis client car c’est comme de la prostitution volontaire qu’on l’admette ou non) j’avais de tout car ça allait du quarantenaire athlétique et cheveux grisonnant au trentenaire bedonnant, joufflu et chauve. Et parfois ils me payaient juste pour se faire sucer. Du moment qu’ils me payaient, je n’étais pas regardante sur leur exigences.

J’ai fait ça durant mes années de seconde et première. A la fin de mon année de 1ère, J’ai passé avec difficulté l’épreuve de français du BAC. Quelques jours plus tard, c’était au tour de Jessica de passer les autres épreuves du BAC. Je savais qu’elle était aussi paumée que moi mais elle ne s’en faisait pas plus que ça. Après avoir toutes les 2 passé nos épreuves, on s’est retrouvée devant un verre pour en discuter. Elle se considérait un peu comme ma grande sœur et voulait me prodiguer ses derniers conseils aux cas ou elle obtenait son diplôme.

– Alors, le français, ça c’est passé comment ?
– Pas évident. J’ai choisi la facilité. J’ai pris résumé et discussion, la dissertation j’ai rien capté au sujet et le commentaire de texte je choisis jamais c’est trop dur.
– Et l’oral ?
– Bah je me suis un peu planté j’ai confondu certains textes.
– Et l’examinateur ? t’as pas essayé de … le charmer ?
– Euh … non ce n’est pas dangereux ça ?
– Bah faut pas se faire choper et faire ça avec un mec célibataire, sans alliance. Moi par exemple l’année dernière pour le français je ne me suis pas gêné.
– Comment t’as fait ?
– Bah déjà faut être la dernière de la journée. Sinon le candidat suivant va tout voir lors de sa préparation.
– Logique
– Et durant ta préparation, et même l’épreuve, tu essais de l’aguicher en comprimant ta poitrine comme ça, tu fais des va et viens avec ton stylo dans ta bouche,… enfin bref je te laisse trouver toute seule. Et puis après, suivant s il est réceptif ou non, faut trouver un moyen d’amener la chose. Moi par exemple je lui avais fait du pied.
– Et ça marche vraiment ?
– Il m’a mis 15. Mais c’est un peu la roulette russe. J’ai eu du bol car le mien était un petit jeune qui débutait, sans expérience donc un peu de notre âge. Faut savoir juger le mec. Mais toi déjà tu as plus de chance que moi.
– Comment ça ?
– Tu t’appelles Zwarosky. Avec ton nom « Z » « W » tu seras surement dernière de la journée.
– Ah ouais ! mais je ne sais pas si je tenterais le coup.
– Faut avoir l’audace. Et puis faut se méfier. y a des examinateurs qui semblent être intéressés et puis en fait ils te donnent rendez vous l’année prochaine parce qu’ils t’ont recalé.
– Donc il faut plus analyser le langage du corps plutôt que les paroles. Sinon, toi, comment c’était ?
– La philo, j’ai rien capté, les maths ça passait, et les autres je ne sais pas. Et pour les oraux je pouvais rien tenter car je suis tombé sur presque que des femmes et le seul mec, j’étais en milieu d’après-midi.
– Ok bah j’espère que tu as réussi
– Moi aussi. Bon je vais y aller
– Ok a plus.

Je savais déjà qu’elle se tapait le proviseur mais je ne savais pas qu’elle tentait sa chance avec les examinateurs du BAC. Moi je ne sais pas si j’aurai eu le cran de le faire. Je gagne du pognon avec mes petits extras et ça me conviens car mon objectif ce n’est pas le sexe mais plutôt gagner du pognon et m’en sortir. Et si pour réussir il faut donner de ma personne, je m’y résoudrais.

La rentrée de septembre, c’était la dernière année avant le BAC. C’était aussi la dernière année ou je serais obligé de subir mon foyer d’accueil. Jessica étant partie vers d’autres horizons avec son BAC en poche, je me retrouvais seule. Toutefois je comptais bien appliquer ses conseils à la lettre. Avec mes petits extras de baby-sitting, je m’étais constitué un bon petit pécule que j’avais placé et que je comptais bien faire grossir et fructifier. Il fallait aussi que je m’attaque à mon dossier de bourse. Compte tenu de mes capacités scolaires j’avais envisagé une formation de secrétaire après le BAC.

Au moment de Noël, les formalités administratives étant faites, Il fallait que je mette un bon coup de collier sur les études. A la fin de l’année c’est le BAC et ce n’est pas avec un 2ème et 3eme trimestre aussi désastreux que le 1er que j’y arriverai. Pour m’aider j’avais quand même acquis le soutient de 2 profs qui me donnait des cours « particuliers » : le prof de math et d’anglais. Pour le prof de math, j’avais pu négocier après qu’il m’ait contacté pour du baby-sitting. Autant vous dire que la négociation s’est déroulée sur la banquette arrière de sa voiture. Quand au prof d’anglais, comme je lui plaisais, Il m’a proposé des cours de langue gratuits en échange de la possibilité de pouvoir utiliser la sienne … Pour quoi faire, je vous laisse deviner. Je savais que ce n’était pas ça qui me donnerait mon BAC mais si ça pouvait me permettre de progresser suffisamment pour l’avoir ou encore minimiser la casse, c’était déjà ça.

Le prof de maths était un homme d’environs 35 ans, assez athlétique et plutôt bien foutu. Ses cours particuliers n’allaient pas forcément être si désagréables. Tout le contraire du prof d’anglais. Un gros porc adipeux, un poil vicieux, d’une cinquantaine d’année, connu pour reluquer les jambes des lycéennes. Mais bon si j’étais obligé de le subir pour avoir mon BAC, C’est un sacrifice que j’étais prête à faire. Jusqu’au BAC ma vie était rythmée entre mes séances de baby-sitting, que ce soit avec les enfants ou leurs pères, et mes cours particuliers. Même si je devais refréner les ardeurs du prof d’anglais un peu trop libidineux à mon gout, ça allait. Au moins, il assurait sa part du marché et je progressais dans les 2 matières.

Le moment du BAC étaient arrivées, Les épreuves écrites étaient chiantes au possible et pas forcement évidentes. Pour l’anglais et les math ça allait. Merci à mes 2 amants. La philo, j’ai rien capté alors j’ai appris toutes les citations et je les ai toutes balancées même si c’était hors de propos. Les maths m’ont indirectement aidé pour la physique, et pour la biologie … disons qu’on est tombé sur un sujet intéressant : La reproduction des mammifères. Avec ce que j’avais fait récemment je m’y connaissais un peu.

Après les écrits c’était les oraux. Avec ce que j’avais fait cette année pour améliorer mes résultats, je n’étais plus aussi timorée quand à la possibilité de séduire un des examinateurs pour obtenir une bonne note.

1èr oral, l’espagnol. En entrant dans la salle, je constate que l’examinateur …. est une femme. Le genre vieille chouette de 60 piges à l’aire sévère. OK donc c’est foutu pour celle là. Je passe mon épreuve, pas trop rassurée du résultât.

3 jours plus tard, l’histoire géographie. Je constate que, comme pour l’autre oral, je suis la dernière à passer. J’entre et là je constate que c’est un homme. 30, 35 ans. Il est habillé d’un costume noir, chemise blanche. La 1ère chose que j’ai constaté c’est sa forte corpulence. Il me faisait penser au chroniqueur de l’émission de foot diffusée le dimanche en début de soirée sur une chaine cryptée. Ce même chroniqueur connu autant pour ses critiques assassines que pour son surpoids. En m’approchant de lui pour qu’il me donne mon sujet, je constate qu’il ne porte pas d’alliance. 1er bon point. En me tendant mon sujet et en levant les yeux vers moi, je vis qu’il était mal à l’aise et ses yeux s’étaient fixés un très court moment sur ma poitrine. Il faut dire que j’avais mis un chemisier au décolleté plongeant, juste au cas où. 2ème bon point, il semblait être réceptif à mes « arguments ». J’allais alors m’assoir dans la salle en ondulant légèrement des fesses.

Durant la présentation de l’autre candidat, je voyais l’examinateur me regarder furtivement. Alors que je préparais mon sujet, je suçais l’embout de mon stylo en lui faisant faire des va et viens dans ma bouche. Au moment où je regardais l’examinateur, je vis son regard se détourner de moi. Il rougissait à vu d’œil. Je constatais aussi, de loin, qu’un début d’érection dans son pantalon le gênait tellement qu’il ouvrait et serrait les jambes à intervalle réguliers pour essayer de calmer cette chaleur sur son entrejambe. Il était mal à l’aise et je comptais bien en profiter.

Bientôt ce fut à moi de passer l’épreuve. Je me suis assise devant lui avec un sourire charmeur. Et je commençais à faire mon exposé. A la fin il me posa des questions en bégayant légèrement. Voyant la fin approché, j’ai décidé de passer à l’attaque.

– Excusez-moi monsieur mais vous ne vous sentez pas bien ? vous faites une allergie ? Vous êtes tout rouge.
– N….non non je vais bien merci.
– Non parce que … et là je fis semblant de faire tomber mon stylo.

En me baissant pour le ramasser sous la table, je voyais sa bosse au niveau de son entrejambe qui avait vraiment gonflée. C’est là que j’ai décidé de rentrer dans le lard en commençant par lui faire du pied.

– C’est moi qui vous fais de l’effet comme ça ?
– De quel effet vous parlez ?
– Ne faites pas l’innocent j’ai vu votre érection sous la table. Vous bandez comme un âne. Ça ne doit pas être facile de marcher avec ça. Vous allez vous faire remarquer. Si vous voulez je peux vous aider.
– Comment ça ? Que voulez vous dire ?
– Un échange de service. Je fais quelque chose pour vous et vous faites quelque chose pour moi.
– Ah ….. Et que voudriez-vous ?
– Je pense qu’un petit 15 serait pas mal.
– Je ne sais pas … ce que vous me demandez c’est interdit.
– Peut-être mais vous en avez envie autant que moi visiblement.

Je lui pris la main pour me caresser la joue et là, troublé, je le vis ravaler sa salive et réajuster sa cravate. Il était abasourdi de ma proposition et ne savait plus où se mettre. Il était à 2 doigts de craquer ça se voyait. Il était comme un puceau à son 1er rendez vous galant ne sachant pas trop comment réagir.
– Je ne sais pas. Je ne veux pas avoir d’ennui.
– Voila ce que je vous propose : vous réfléchissez à ce que vous voulez de moi et je vous dégonfle cette bosse disgracieuse.

C’est à ce moment là que je me suis glissé sous la table. Je lui aie déboutonné son pantalon. Il ne réagissait pas alors j’ai continué en défaisant la fermeture éclaire de sa braguette. Toujours rien, il ne me repoussait pas. J’en ai alors déduis qu’il était d’accord. Au moins pour une petite pipe. J’ai alors sorti sa queue, il était dans la fourchette basse de la moyenne nationale au niveau taille mais ça allait le faire. Il fallait juste que je soulève d’une main son ventre proéminent pour accéder à son engin. C’est après les premiers coups de langue que je vis ses mains soutenir son ventre. Je n’avais plus à le faire et ça confirmait son désir de se faire sucer. C’est là qu’il me fit une proposition. Le vouvoiement avait laissé place au tutoiement.

– Ok je te mets 15 si tu promets d’avaler. Je ne veux aucune trace.
– C’est d’accord.
– J’ai une autre proposition si tu veux.
– Laquelle ?
– Je te mets 18 si tu accepte de passer la nuit avec moi. J’ai jusqu’à demain pour poster mes notes définitives. Je loge à l’hôtel et je repars chez moi demain. Ça te laissera toute la nuit pour me montrer tes talents et me convaincre.
– Marché conclus.

Il avait bien compris qu’il pouvait avoir plus qu’une simple pipe et moi je ne rechignais pas sur quelques points supplémentaires. Vu mon niveau scolaire tout était bon à prendre. Je me remis à ce que j’avais commencé et peu de temps après je sentais sa respiration haletante s’accélérer. Puis dans un soupire rauque de plaisir, je l’ai senti se déverser dans ma bouche. Comme convenu, j’ai tout avalé et nettoyé son engin avec ma langue.
Après avoir réajusté nos tenues. Nous nous sommes séparés. Il m’avait donné l’adresse de l’hôtel et son nom. Il avait prévu de m’emmener dîner au restaurant avant de s’occuper de moi dans sa chambre. A 19h j’arrive à la réception pour m’annoncer.

– Bonjour pouvez vous m’indiquer la chambre de monsieur Tréault, je …
– Oui, vous devez être son épouse ? Il nous a prévenu de votre arrivé. Il est à la chambre 215.
– Merci.

J’étais un peu décontenancée. Elle m’avait appelé son épouse ? Avais-je bien entendu ? Quoi qu’il en soit j’allais avoir ma réponse. J’étais devant sa porte. Je frappe et je le vois en train de se préparer. Du coup je lui demande pourquoi l’hôtesse m’a appelé « son épouse ». Il me répondit que c’était pour justifier ma présence dans sa chambre cette nuit mais qu’il espérait bien que je devienne son épouse rien que pour cette nuit. Je lui devais bien ça et puis il n’était pas méchant je pouvais lui offrir ce petit plaisir.
Après un bon dîner au restaurant, qu’il a réglé en bon gentleman, nous nous sommes dirigés vers son hôtel. Pour donner le change au près de la réception je lui roule une galoche à l’entrée et lui m’accompagne à la chambre en me mettant la main au fesses. A peine la porte de la chambre refermée je le sens derrière moi ses bras enserrant ma taille et lui m’embrassant dans le cou. Je me retourne et là il me fit une révélation qui ne me surprit pas tant que ça finalement.

– Avant de continuer, il faut que je te dise ….Voila… Je n’ai jamais …. Enfin tu vois quoi …

Il venait de m’annoncer qu’il était encore puceau à 35 ans. Quand je disais qu’il était comme un puceau à son 1er rendez-vous j’avais tapé dans le mille. Pas facile à avouer effectivement. En même temps j’aurais dû m’en douter. Déjà avec un physique comme le sien ce n’est pas facile de se lever une fille. Et puis sa réaction et son impression de malaise lors de mon épreuve du BAC, il donnait l’impression de ne pas connaitre et d’être complètement perdu. Mon 18 je le voulais et lui avait vu en moi l’occasion de passer un cap dans sa vie. Mine de rien c’était courageux et touchant de sa part.

– Ne t’inquiète pas et laisse moi faire.

C’est alors que je le pousse allongé sur le lit. J’enlève mon chemisier, ensuite ma jupe, puis mes sous vêtements sous ses yeux. J’étais nue devant ce gros puceau qui avait presque le double de mon âge, et de mon poids aussi. Autant faire de sa 1ère fois un bon moment, il n’en sera que plus satisfait et me donnera mon 18. J’ai donc sorti le grand jeu avec un numéro d’élève soumise au désir de son prof. Etant donné là où on en était autant envoyer la sauce.

– Si je suis gentille avec vous monsieur le professeur, vous me donnerez une bonne note ?

Ayant compris où je voulais en venir il se prit au jeu. Un sourire malicieux apparaissait sur son visage.

– Si tu fais plaisir à ton gentil professeur je serais très généreux.
– Et que voulez vous que je fasse monsieur.
– Surprend moi, c’est à toi de me convaincre. Mais attention je veux qu’on utilise ça. Dit-il en sortant une boite de préservatif de sa poche (surement acheté au distributeur de la pharmacie en face, juste après l’épreuve du BAC).

Alors je me mis à le chevaucher, assise au niveau de la ceinture. Son regard ne se détachait pas de ma poitrine. Je savais qu’il n’attendait qu’une chose : y mettre les mains. Et c’est exactement ce qu’il a fait quand j’ai guidé ses mains jusqu’à l’objet de son désir. Il m’empoignait mes 2 globes avec gourmandise et ne semblait pas vouloir les lâcher. Je commençais alors à défaire son nœud de cravate, puis sa chemise, bouton après bouton de haut en bas. Puis après lui avoir caressé la bedaine, Je me suis reculé, le faisant lâcher prise, pour m’occuper de son pantalon. Il savait qu’il allait avoir droit à une 2eme fellation. Une fois le pantalon baissé et le caleçon aussi, je me suis positionné sur lui, mon entrejambe sur son visage, mon visage sur sa queue pour ce que je supposais être son 1er 69.

Alors que je lui pompais le dard, pas trop fort pour ne pas le faire partir trop tôt, je sentais ses coups de langues hésitants et maladroits. En même temps, il découvrait mais il s’en sortait honorablement. Quand je me suis sentis suffisamment humide, j’ai repris ma position sur son bas ventre, déroulé une capote sur son gland et me suis fait pénétré en m’asseyant dessus. Ses mains reprirent leur places sur ma poitrine et alors que je commençais à onduler du bassin je le voyais murmuré ses mots « ça y est, enfin ». Il était touchant.
Je continuais mes va et viens quand il me demanda d’arrêter. Que ce passe t’il ? J’ai fait quelque chose de mal ? Rien de tout ça il voulait juste prendre la direction des opérations, et accessoirement se débarrasser du reste de ses vêtements. Du coup je me suis retrouvé allongée sur le dos et lui sur moi me recouvrant de toute sa masse. Et quand je dis masse c’était de circonstance. Il pesait son poids le cochon. Je sentais sa respiration quand il me limait, sa tête sur mon épaule. Il y prenait plaisir (valait mieux, je ne m’étais pas donné tant de mal pour le décevoir). Il s’arrêta pour me relever et me prendre en levrette. Là c’était déjà plus agréable. Je n’ai senti son poids que lorsqu’il a reposé son surplus de graisse abdominale sur mes fesses avant de reprendre sa besogne. Il y allait avec entrain. Reprenant le jeu du prof et de l’élève soumise, il me demanda une nouvelle fantaisie.
– Mademoiselle, vous êtes très gentille, mais pas assez.
– Que faut-il faire pour que vous soyez satisfait ?
– Et bien vous avez un autre petit trou et j’aimerai bien l’essayer.
– Je vous laisse faire ce que vous voulez mais ne me soyez pas violent c’est tout ce que je vous demande.

Il se retira et se présenta devant ma rondelle. Il eut un peu de mal à rentrer. Il faut dire que sa tige était comme lui : grasse et épaisse. Une fois entré, il commença à me limer le derrière en laissant échapper un « c’est encore meilleur par là ». Il continua jusqu’à ce qui jouisse dans mon derrière. Il parti jeter le préservatif à la poubelle et revint me rejoindre. Il me regardait avec les yeux pleins d’étoile, réalisant à peine ce qu’il venait de se passer.

– Alors heureux d’avoir sauté le pas ?
– Oui ça fait tout drôle. J’ai l’impression de changer de vie.
– J’imagine. Je ne veux pas être terre-à-terre mais …
– Tu veux parler de ta note ?
– Oui
– On va régler ça de suite.

Il prend son ordinateur portable et se connecte en wifi sur un des sites sécurisés du rectorat. Après s’être identifié il tombe sur la liste des notes à rentrer de la journée. Il rentre celle qu’il avait déjà et arrive sur la dernière ligne correspondant à mon nom.

– Donc on avait dit combien ? 18 c’est ça ?
– Oui c’est ça.

Sur la case me correspondant je le vois taper « 1 » puis il me regarda, me souris et tape « 9 » et clic sur le bouton « valider ». On avait dit 18 et il m’avait mis 19. J’étais ravie et surprise.

– Tu le mérites. T’as été géniale.
– Merci c’est gentil.
– C’est moi qui te remercie. Grace à toi je suis VRAIMENT un homme.
– Tu m’as touché et je me suis dit qu’avec ta proposition je te le devais et puis je suis sur que c’était aussi agréable pour toi que pour moi. Bon moi je suis crevée.
– Oui moi aussi. Aller dodo.

On s’est endormi nus dans le lit recouvert d’un simple drap. Lui allongé sur le dos et moi blottie contre lui, ma tête sur son épaule. Le lendemain après une bonne douche on est descendu et une fois à sa voiture, il me regarda un peu ému.

– Je suppose qu’on ne va pas se revoir ?
– Non désolé. Si j’ai fait ça c’est pour la note. Je ne te l’ai pas caché. Et puis physiquement t’es pas mon type (je n’allais pas lui dire qu’il était moche). Mais rassure- toi. Tu trouveras surement quelqu’un. Il y a des femmes qui aiment les nounours.
– Merci, je m’attendais un peu à cette réponse. Bon aller je te souhaite bonne chance à toi pour la suite et encore une fois merci pour cette nuit.
– Au revoir.

On s’est séparé amicalement sans se rappeler ni garder contact.

15 jours plus tard c’était les résultats du BAC. Comme tous les candidats j’étais nerveuse. Avais-je fait tout ce qu’il fallait pour l’avoir du 1er coup ? Je n’en savais rien mais si je passais au rattrapage je doutais de pouvoir réussir. J’ai eu du mal à accéder aux listings. Il y avait tellement de monde qu’on se serait dit au 1er jour des soldes. Quand j’y arrive je scrute les noms jusqu’à voir en bas d’une des dernières pages : « Lisa Zwarosky : reçu(E) ».

J’étais folle de joie. J’avais toujours trouvé ridicule ces effusions de joie tous les ans à la TV. Mais là, je comprenais cette euphorie que ressentent les élèves de terminale en fin d’année. C’est à ce moment que je senti une main sur mon épaule. C’était ma copine Jessica. Après avoir récupéré mon bulletin de note au bureau, on est parti boire un verre au bar d’en face. Après les banalités, elle me questionna sur mes notes car elle était intriguée surtout pour le 19. Elle était hallucinée de ce que j’avais fait pour y arriver mais en même temps elle était fière que je sois devenu indépendante et plus forte que je l’étais à notre rencontre. On s’est séparée après quelques verres en se promettant de se revoir plus tard.

Pour moi, ce n’était pas fini. Ma vie d’étudiante allait commencer. J’avais été admise pour ma formation de secrétaire de direction. J’avais obtenu une bourse de la région. Il me fallait trouver un logement si possible pas cher. En attendant je continuais les baby-sittings au maximum car une fois étudiante, j’aurai déménagé et perdu ma « clientèle ». Il me fallait aussi trouver un petit boulot car la bourse d’étude c’est déjà bien mais ça ne fait pas tout. Après tout mon but restait le même : tout mettre en œuvre pour réussir et gagner de l’argent pour améliorer ma condition.

Une fois le Bac en poche, ce qui n’a pas été facile, Je me suis mise à la recherche d’un logement, un petit chez moi. J’en avais marre de mon foyer d’accueil …. Et c’était réciproque. J’ai donc feuilleté les petites annonces mais les loyers étaient vraiment trop chers. C’est dans un journal gratuit que j’ai fini par trouver. Bien sur à la lecture il était évident qu’il y avait anguille sous roche :

« Cherche JF, libre moralement et décomplexée pour location studio meublé loyer gratuit contre service »

On ne pouvait pas être plus explicite pour dire « héberge JF gratuitement contre faveurs sexuelles ».Je sais que c’est la galère pour les étudiants de trouver un logement. Y en a vraiment qui en profite. Mais compte tenu de ce que j’avais déjà fait pour mon BAC, je n’étais plus à ça près. Et puis la perspective d’un loyer gratuit n’était pas à négliger pour une étudiante. Bien sur il fallait aviser selon les conditions. J’entrepris alors de contacter le propriétaire.

– Allô
– Bonjour monsieur, je vous appel au sujet de l’annonce parue dans le journal concernant la location d’un studio meublé.
– Oui ?
– Je voulais savoir comment ça ce passait …
– Et bien tout dépend si vous acceptez ma proposition.
– C’est-à-dire ?
– Et bien un câlin de temps en temps contre le studio. Au moins une fois par semaine.
– Mais je ne paierai pas ?
– Ah vous ne paierez rien du tout. Ni chauffage, ni électricité, ni eau. Vous paierez le loyer en nature.
– C’est bien ce que j’avais compris.
– Mais sinon vous êtes ?
– Excusez moi je ne me suis même pas présenté. Je m’appelle Lisa. J’ai 20 ans et je viens d’avoir mon BAC.
– C’est bien ça et vous êtes comment ?
– Je suis brune, mais au besoin je peux me faire une couleur. Je fais 1m65, ….
– Et vous faites combien en poitrine ? 85b ?
– Plus. Je fais du 90c
– Ah … intéressant. Vous êtes épilé ? intégral ?
– Ticket de métro.
– Ça va alors. Tant que ce n’est pas la forêt vierge. Sinon je suppose que vous avez de l’expérience avec les hommes ?
– Oui quand même (je n’allais pas tout lui raconter non plus).
– Vous pratiquez l’anal ?
– Ça m’arrive. J’aime assez.
– Bien. C’est rare de trouver une jeune fille qui aime. Je crois qu’on va faire un joli couple. Si vous aimez le sexe et bien … moi aussi.
– Un couple ? C’est une locataire ou une fiancée que vous cherchez ?
– Un peu des 2 on verra avec le temps.
– Oui c’est ça on verra. C’est possible de visiter ?
– Oui bien sur. Vous êtes libre quand ?
– Tous les soirs après 19h.
– Ok, demain 19h ça vous va ?
– C’est parfait.
– Bien je vous envoi l’adresse par SMS. On s’attend devant la porte de l’immeuble.

Le lendemain à 19h15 j’arrive à l’adresse indiquée un peu en retard. C’est un immeuble bourgeois style 19ème siècle. Au loin je vois la grande porte. Devant un homme attend, 1m70, un peu rond du bas ventre, la cinquantaine, une petite moustache fine et élégante, cheveux grisonnant, habillé d’un jean et d’un blouson en cuir par-dessus un Pull over en laine. Il n’arrêtait pas de regarder sa montre et de regarder autour de lui. Il m’aperçu m’approcher de lui et un grand sourire est apparu sur son visage.

– Vous êtes Lisa ?
– Oui. Donc c’est vous que j’ai eu au téléphone ?
– Exactement.
– Je suis désolé du retard et de ne pas vous avoir prévenu. Mon portable est tombé en panne de batterie et je …..
– Ce n’est pas grave. L’important c’est d’être venu.

J’avais bien remarqué qu’il me scrutait de haut en bas et vu son sourire, je lui plaisais. Il m’a fait passer devant lui dans l’escalier pour me mater les fesses. Son argument pour ne pas prendre l’ascenseur : il est en panne …sauf que durant notre ascension quelqu’un l’a appelé et utilisé enfin bon. Il ouvre la porte du studio et me fait entrer. Il m’explique qu’il habite dans l’appartement en face et qu’en cas de problème il sera disponible facilement. Le studio est neuf, rénové est meublé. Bon c’est du meuble suédois en kit mais c’est correct. Je le vis s’asseoir sur un coin du canapé en me regardant sous toutes les coutures.

– Alors ? ça vous plait ?
– Oui c’est très bien. Je crois que je vais accepter.
– Parfait ! On va pouvoir passer aux « formalités administratives » alors. Venez me rejoindre dit-il en tapotant de sa main sur le canapé.

Je m’assoie à sa droite. Il se rapprocha de moi. Me colle même. Il passe son bras dans mon dos pour faire ressortir sa main au niveau de mon sein droit qu’il commence à palper. De son autre main il dirige mon visage vers le sien et m’embrasse à plein bouche. Je passe mes bras autour de son cou et lui me lâche mon menton pour déboutonner mon chemisier. Après cette bonne galoche. Je le vois se lever baisser son pantalon et me présenter son sexe devant ma bouche. De sa main droite il me rapproche la tête et j’enfourne sa tige pour la sucer. Je l’entends pousser des gémissements de plaisir. Visiblement il aime. Il se retire et me demande de l’aider à déplier le canapé clic-clac. Il s’allonge dessus et je reprends là ou j’en étais.

– Ma jolie, ça se voit que t’as de l’expérience (il n’imaginait pas à quel point).
– Je peux faire mieux encore.
– Tu va me montrer ça.

Il se releva, je me mis à 4 pattes, les fesses bien offertes et en évidence. Sans préambule j’ai sentis son gland près à forcer ma rondelle. Quelques gouttes de salive sur son gland et je me retrouvais embroché comme une truie lors d’un méchoui. Il était loin d’être délicat. Il ne voyait que son propre plaisir sans savoir s’il me faisait mal ou pas. Après m’avoir besogné à une cadence assez poussée et m’avoir tapissé le colon de sa semence, il se retira et se rhabilla. J’en fis de même.

– Bon bah tu emménages quand tu veux. Si tu le veux encore bien sur.
– Ok
– Pour le loyer je te laisse choisir le jour qui te convient. Si possible dans la semaine car le weekend j’ai mes enfants et mes petits enfants qui passent me voir. Si au bout de 7 jours je n’ai rien eu, je viendrais le prendre moi-même. Et si je n’ai rien tu dégages sauf si tu me préviens ou que t’as une bonne raison.
– On fait comme ça.

Très honnêtement, je ne comptais pas rester très longtemps ici. C’était juste le temps de trouver mieux. D’autant qu’en plus de ne penser qu’à lui, il avait des envies bizarres. Il voulait que je l’appelle « Papa » et que je me comporte avec lui comme si j’étais sa fille. Il voulait simuler un i****te sans prendre les risques des conséquences judiciaires si ça se savait. A ce niveau là même le prof d’anglais qui avait le même âge que lui était plus agréable à subir. Il était peut-être gras et vicieux mais au moins il me faisait jouir et ne semblait pas atteint d’une certaine pathologie mentale comme lui. Heureusement qu’il ne m’a pas demandé de simuler un petit fils. Je n’aurais jamais supporté de me faire engrosser par ce mec. J’ai des limites. Il y avait au moins un avantage avec ce propriétaire. C’est que nos rapports ne duraient pas longtemps.

J’avais entrepris des démarches pour un appartement en HLM. Avec les APL je n’aurai plus grand-chose à payer pour le loyer. Encore fallait-il que ça passe. Bon pour le logement c’était réglé. Du moins temporairement. Il me restait à trouver un boulot pour faire un complément de revenu.

J’y avais réfléchi et lors du visionnage d’un reportage dans un magazine de société, j’ai trouvé. C’était un boulot qui me permettrait de faire des rencontres, suivant la clientèle, des contacts professionnels, une paie plus que valable avec parfois des cadeaux un peu comme des pourboires. Ce boulot c’est escort girl. Je sais ce que vous aller dire : ce n’est pas bien de vendre son corps. Oui mais c’était une décision volontaire. Vu mon passif, c’était presque dans la continuité. Et puis dans ce métier on côtoie des hommes influents, des patrons, … S’ils ont besoin d’une secrétaire ça permet de faire des touches ou du moins des relations. Et puis comme avec l’examinateur du BAC, si je me montre plus que gentille, je peux espérer un bonus en plus de la paie. De toute façon, en ces temps de crises, je n’allais pas être la seule dans ce cas. Certaines étudiantes le font déjà.

J’ai fini par trouver l’adresse d’une agence d’escort d’envergure nationale, la plus prisée de la ville. Autant taper dans le haut de gamme. J’arrive et je suis accueillie par un couple : La directrice et son adjoint. Elle était du style un peu Madame Claude, la cinquantaine, habillée classe et distinguées, menu de taille, bien proportionnée, chevelure brune un peu claire et bouclée. L’adjoint à peu près du même âge, me faisait penser à la caricature typique du producteur de film pour adulte : bedonnant, perdant ses cheveux grisonnant mais essayant de cacher sa calvitie naissante, sourire Ultrabrite, teint légèrement bronzé, chemise satin col ouvert laissant apparaitre son double menton ainsi qu’une chaîne en or à grosse maille autour de son cou sans compter les poils qu’il avait sur le torse. C’est la patronne qui commença les hostilités.

– Bonjour mademoiselle. Donc vous nous avez contactés par mail afin de faire parti de notre grande famille.
– C’est exactement ça
– Je suppose que vous savez en quoi consiste le métier ?
– Oui. Il s’agit d’être l’accompagnatrice d’un ou de plusieurs méssieux pour égayer et donner une touche féminine à des repas d’affaire austères et ennuyeux.
– Accompagner, oui, c’est à peu de chose près la définition.
– Bien sur je n’aborde pas le fait de pouvoir « tenir compagnie » à ces méssieux plus tard dans la soirée.
– Oui n’abordons pas ce sujet. Ce que les filles font après le rendez vous reste de l’ordre du privé.

Ma remarque semblait la dérouter. Je n’étais pas idiote. Je savais que ça pouvait faire aussi parti du boulot. C’est alors qu’on entendit une dispute dans les bureaux. La directrice, énervée par tout ce barouf, parti voir ce qu’il se passait en oubliant de fermer la porte.

– Qu’est ce qu’il se passe ici ?
– C’est Rachel, elle estime que la prime qu’elle a perçue pour la nuit passée avec son client n’est pas suffisante.
– Pourquoi ? elle demande combien ?
– 1000 €
– Et bien donnez lui ce qu’elle demande. C’est une de nos meilleures filles je ne veux pas qu’elle parte à la concurrence.
Je voyais le visage de l’adjoint fuir mon regard. Il essayait de se cacher. La directrice revint en prétextant un problème de comptabilité. A la tête de son adjoint et à mon sourire moqueur, elle comprit que nous avions tout entendu. Elle essaya de se justifier mais j’avais envie de lui dire « arrête de ramer t’attaques la falaise ».

– Ce n’est pas la peine de vous justifier, madame. J’ai parfaitement compris ce que j’ai entendu. Si vous pensez que la possibilité de passer la nuit avec des clients va me faire fuir au contraire.
– Ah ? Vous avez déjà connu ce genre d’expérience ?
– On peut dire ça.

C’est à ce moment que je leur racontais ce que j’avais fait pour avoir mon bac : Les baby-sittings, mes cours particuliers, l’examinateur du BAC, … Il me regardait avec des yeux exorbités mais semblaient ravis.

– Excusez moi de vous demander ça mais … tout ce que vous venez de dire, N’est pas vrai n’est ce pas ?
– Si c’est la stricte vérité.
– Et bien …. Vous au moins vous n’avez pas froid aux yeux. Dit l’adjoint.
– C’est pourquoi je pense correspondre au genre de fille que vous recherchez.
– Il faut savoir que nous avons une clientèle haut de gamme. Très select.
– Oui et alors ?
– Il faut être impeccable et se rendre disponible.
– Pas de soucis.
– Une chose : bien sur l’histoire du « supplément nocturne » c’est officieux et il ne faut pas l’ébruité. Officiellement la prestation s’arrête à la porte du restaurant.
– C’est compris (quelle hypocrisie, je vous jure).

Ils se regardèrent l’un l’autre, parlèrent entre eux à voix basse et l’adjoint pris la parole alors que sa patronne quitta la pièce.

– Bon je pense qu’on va vous prendre à l’essai pour l’instant.
– Merci
– Mais avant vous allez passer un petit teste d’aptitude.
– C’est-à-dire ?

Et là je vis l’adjoint se reculer de la table et ouvrir sa braguette. Comprenant ce qu’il voulait dire je me dirigeai alors vers son pieu dressé qui n’attendait que mes lèvres. En l’absence de consigne spécifique, je l’ai sucé, léché et branler comme je l’avais déjà fait des centaines de fois (à y repenser ça fait presque peur). Puis il m’a plaqué sur le bureau les fesses en l’air. Il m’a prise en levrette et sodomisée mais sans jouir. Bizarre. Il a voulu me fister mais là j’ai refusé.

– Ainsi donc vous avez des limites ?
– Oui quand même.
– Bon Ce petit test m’a permis de voir un échantillon de vos capacités. Je pense que vous aurez du succès dans notre société.
– Tant mieux. Mais je voudrais savoir. Vous m’avez testé mais ni vous ni moi n’avons jouis.
– Comme vous le dites ce n’était qu’un test pour avoir un aperçu de votre comportement et vos aptitudes. Le but, pour moi, n’était pas de prendre du plaisir surtout pas avec ma femme dans le bureau à coté comme patronne.

Ainsi donc, il était le mari de la patronne. Et c’était elle qui portait la culotte visiblement. Ok admettons. Mais je doutais qu’il ne profite pas un peu de sa position. Et j’avais raison car une fois m’avoir remis le dossier à remplir ainsi que la liste des pièces à fournir en me raccompagnant il me susurra à l’oreille.

– Tiens mon numéro. Si jamais un soir tu t’ennuies je serais ravi de te tenir compagnie. On terminera ce qu’on a commencé.

Etait-ce une réelle proposition ou un autres teste ? J’ai croisé tellement de mecs tordus aux idées mal placées que je pouvais me poser des questions. Je n’ai pas donné suite.

Il me fallu quelques semaines pour assembler toutes les pièces. Déjà il me fallait demander une attestation sur l’honneur à mon logeur comme quoi il m’hébergeait. N’ayant signé aucuns contrat, il me la donna en échange d’un câlin supplémentaire pour la semaine. Mais ce qui demanda le plus de temps c’était le certificat médical et surtout le teste de dépistage VIH et sérologie pour prouver que j’étais parfaitement saine. Entre temps une réponse m’était parvenue. Celle de l’office HLM. J’allais pouvoir déménager sous 15 jours. Donc Exit le proprio avec ses idées bizarres. Comme je n’avais pas grand-chose, j’avais prévu de lui faire un sale coup. Un truc du genre « à demain » et je me barre durant la nuit. Résultat il se pointe le lendemain et …. Il n’a plus qu’à dormir sur la béquille. Je n’aurais plus qu’à fournir à l’agence mon nouveau justificatif de domicile une fois installée.

Ma formation de secrétaire de direction était à ma portée. Je m’en sortais nettement mieux et par moi même sans coucherie. Ça faisait plaisir. Je n’aurais jamais cru dire ça un jour mais je remercie ce gros porc de prof d’anglais de terminale. Mes progrès dans la langue de Shakespeare, m’étonnaient moi-même. Je n’avais que peu d’effort à fournir pour me mettre au niveau. Si j’avais su je l’aurais peut-être considéré autrement ….. Non je déconne. Lui et sa lubie de vouloir m’attacher pour pouvoir me faire subir les pires outrages, non merci. Ses chaines et ses cordages, il n’avait plus qu’à se les mettre là où le soleil ne brille jamais.

Il ne me fallu pas attendre 15 jours après mon inscription à l’agence d’escort pour être contacté. Une soirée était prévue. 4 jeunes commerciaux, du genre jeunes loups aux dents longues, ainsi que leur chef de services avait contacté l’agence pour passer une bonne soirée en compagnie de jolies dames après d’éprouvantes négociations commerciales. Après m’être tapé des gros et des vieux (par rapport à moi en tout cas) J’avais dit que je n’étais pas très difficile au niveau partenaire. Je me fais belle et, toute pimpante je me rends au restaurant où m’attendait la directrice de l’agence et mes 4 collègues de la soirée.
Avant que les clients arrivent, elle nous fit un petit briefing.

– Bon Les filles, vous êtes presque toutes débutantes dans le métier. Je vous explique. Vous allez diner avec eux. Chacune accompagnera l’un de ses méssieux. Lisa, tu m’as dit ne pas avoir de préférence ? pour l’âge, la corpulence …
– Oui j’ai dit ça. J’arrive à m’adapter facilement.
– Très bien tu t’occuperas du chef de service.
– OK
– Les autres vous vous partagerez les petits jeunes.
– Bien madame répondirent les autres.
– Je serais au bar en cas de problème.

A ce moment là Les 5 clients arrivèrent au restaurant. J’ai de suite su qui était mon partenaire. 50 ans, ossature lourde, Cheveux poivre et sel mi long plaqués en arrière. Il arborait fièrement 2 grosses baccantes qui se recourbaient aux extrémités comme les moustaches début 20ème siècle. Il était très élégant dans son costume gris et portait une paire de lunettes en demi-cercle sur le nez comme les instituteurs du début siècle derniers. Ceux qui l’accompagnaient avaient des allures de boys band sur le retour et devaient avoir mon âge. Ils portaient tous le même costume noir à la mode. Le responsable du groupe s’avança pour les présentations. Il savait qu’il serait « servi » le 1er, privilège de la fonction.

– Messieux bonsoir.
– Bonsoir madame fit mon futur partenaire d’une voix éraillée
– Je suis Madame Gisèle. Laissez-moi-vous présenter vos hôtesses pour la soirée. Tout d’abord Lisa.
– Bonsoir monsieur. Lui dis-je en m’avançant vers lui et en lui tendant ma main qu’il baisa comme un gentleman.
– Ensuite nous avons Aïcha, Marie, aurore et Olga. Je vous laisse vous asseoir et faire connaissance.

Le serveur nous conduisit à notre table, une grande table ovale. Une fois assis, chaque duo commença à faire connaissance.

– Alors vous c’est Lisa ? Moi c’est Marcel.
– Enchanté. J’ai un oncle qui s’appelle marcel (ce n’est pas vrai mais ça met en confiance).
– Ah oui ? et il est aussi séduisant que moi ?
– Ah non. Vous êtes beaucoup mieux.

Rien qu’avec ces phrases je l’avais quasiment dans ma poche. Il faut dire que depuis le début je lui envoi des appels de phares. Si après le dîner il n’a pas compris ou il ne tente rien avec moi, c’est qu’il est gay … ou aveugle. Au bar je voyais Gisèle qui me regardais et qui avait compris mon manège et s’en amusait vu son sourire.

Le serveur arrive avec les apéritifs et après avoir trinqué avec les autres j’ai trinqué avec Marcel en le regardant profondément dans les yeux. On s’est tout de suite compris et il a su que j’allais lui faire passer une bonne soirée…. Et une bonne nuit. Ensuite les plats se sont succedés. Durant presque tout le repas, Marcel avait sa main qui se baladait entre ma cuisse et ma culotte qu’il caressait furtivement. Gisèle, de loin, voyait que le bras du client s’était légèrement décalé et semblait deviner ou se trouvait sa main. J’ai bien remarqué qu’elle était abasourdie de me voir me faire tripoté par cet homme qui avait 30 ans de plus que moi quand j’ai levé les yeux de mon assiette pour lui faire un clin d’œil. Elle comprit très vite que ce que je lui avais dit lors de mon entretien d’embauche chez elle était vrai. J’étais devenu ce genre de femme qui n’avait pas peur d’utiliser le sexe pour obtenir ce qu’elle voulait. Elle leva son verre en ma direction comme pour me signifier que j’avais tout compris et je lui ai répondu avec un sourire. Du coup elle ne me surveillait plus. Elle savait que j’irais jusqu’au bout, au bon vouloir du client. Contrairement à certaines de mes collègues qui semblait mal à l’aise. Un des petits jeunes bénéficiait d’une partenaire tout aussi réceptive que moi. La petite Marie semblait avoir les mêmes intentions que moi. D’ailleurs elle et son partenaire avait remarqué les attouchements de mon voisin de table et savaient ce qu’il se passait entre mes cuisses.

Juste avant le trou normand, Marcel me glissa à l’oreille « dans 2 minutes aux toilettes homme » et s’absenta prétextant une aigreur d’estomac. Moi je fis semblant de renverser un peu de vin blanc sur le bas de ma robe. En réalité je l’avais retroussée pour que ça ne tombe pas dessus. Ce qui me donna un prétexte pour rejoindre mon partenaire aux toilettes. Il m’entraîna dans l’une des 2 cabines, me mis à genou pour avoir une fellation comme un petit aperçu de ce que je lui réservais cette nuit. Sachant que je devais faire vite, j’y ai mis tout mon savoir faire et il a très vite jouis dans ma bouche. J’ai alors mouillé un coin de ma robe avec de l’eau pour simuler un nettoyage et suis revenu seule, suivi 30 secondes plus tard par Marcel qui avait un sourire béat sur son visage.

Au moment ou il passa devant Gisèle, je pus lire sur les lèvres de ma patronne « Non, elle n’a pas osé ? ». Elle comprit que si lorsqu’elle me vit m’essuyer le coin de ma lèvre quand Marie m’a fait remarqué qu’il m’en restait une goutte. La fin du repas arriva et j’étais un peu pompette Il faut dire que Marcel a passé le début du repas à remplir mon verre de vin dès qu’il était vide. Il arrêta de le faire après notre court séjour aux toilettes mais l’effet des verres que j’avais déjà bu commença à se faire sentir.
Le repas était fini chacun raccompagnait sa partenaire à la sortie. Marcel m’aida à marcher droit (à l’époque je tenais moins bien la boisson). Il appela un taxi, direction son hôtel. Une fois que nous étions hors de vision des autres, Marcel m’a galoché durant tout le trajet. Une fois dans sa chambre il m’attrapa par un bras me plaqua contre lui et avec ses mains écarta les pans de ma robe sans rien déchirer afin de faire jaillir mes sein au grand jour. Etant nue en dessous, il m’embrassa, ses 2 mains sur ma poitrine, et me fit basculer sur son lit. Il m’enleva ma culotte et commença à défaire son pantalon. Il voulait aller trop vite alors je l’ai freiné.

– Tu es si pressé de me prendre ? Tu ne veux pas qu’on s’amuse un peu avant ?
– Qu’est ce que tu proposes ?
– Laisse-moi faire.

Je le mis sur le dos le chevauchant, lui retira sa cravate pour lui attacher les mains avec aux montants du lit.

– Oh, mais tu es une petite vicieuse.
– Et encore tu n’as rien vu.
– Oh mais J’ai hâte de voir ça.

Je me suis alors reculé et j’ai déboutonné son pantalon dans lequel il commençait à être à l’étroit.

– Où en étions-nous déjà ? Je ne m’en souviens plus. Le mieux c’est de tout reprendre à Zéro.

Et je lui refis une fellation digne de ce nom cette fois. Pas juste un truc vite fait dans les toilettes d’un restaurant. Je le sentais savourer ce moment avec délectation. Je voulais bien me faire voir par le client (foutre aussi). Comme ça, si les clients commentent nos prestations, je serais bien notée et ainsi rappelée pour d’autres soirées. Ce qui me fera gagner plus d’argent pour améliorer ma condition. Il était en transe, les yeux fermés passant sa langue sur ses lèvres. J’aurais bien continué mais je sentais qu’il pouvait partir à tout moment alors j’ai arrêté pour prendre un préservatif dans mon sac (mon kit d’urgence), lui ait mis sur la verge et déroulé avec la bouche sur toute la longueur et me suis assis sur lui. Pendant que je me déhanchais sur lui je lui retirais ses vêtements (dans la mesure du possible). S’étant rendu compte que les liens n’étaient pas très bien serrés, il n’eut aucuns mal à se libérés. Une fois les mains libres, il me retourna allongée sur le dos et, après s’être débarrassé du reste de ses fringues, me recouvris de son corps massif et musclé. Il se prit au jeu du dominant-dominé.

– Alors comme ça on veut jouer les grandes ?
– S’il vous plait ne me faites pas de mal monsieur.
– Je vais te montrer qui c’est qui commande.

Il me mit sur le ventre et présenta son gland au niveau de mes fesses.

– Je vais t’apprendre les bonnes manières.

Juste après ces paroles il força mon issue de secours et commença ses va et vient. Il m’avait cerné et savait qu’avec moi il pouvait aller loin. Il fini par jouir dans mon anus et après avoir retiré sa fine protection de caoutchouc, me remis sur le dos et me présenta son gland encore maculé de sa semence pour que je le nettoie avec ma bouche.

Une fois propre il me roula une pelle en me remerciant et m’invita à prendre ma douche avec lui. J’ai fini la nuit avec lui sachant que Gisèle m’attendait le lendemain à 14h.

Quand je me suis réveillée, il était déjà habillé assis sur une chaise à me regarder dormir. Je me suis levée, rhabillée et il me tendit 2 enveloppes. L’une pour l’agence et l’autre pour moi. Dans la mienne l y avait 500€ en liquide. Il me précisa que c’était un petit bonus, un cadeau pour ma prestation qui était allé au delà de ses espérances. Nous sommes sortis de la chambre et je suis rentré chez moi.

A 14h, j’étais revenu à l’agence avec mes collègues de la veille. Marie qui était aussi délurée que moi et qui avait passé une aussi bonne nuit que la mienne, me questionna sur ma soirée. Je lui ai répondu « secret professionnel ». Ce qui l’a fait rire.

Gisèle arriva chacune d’entre nous a eu droit à une entrevue privée pour faire un bilan personnalisé de la soirée sauf pour Marie et moi qui sommes entrées en même temps et en dernier.

– Mesdemoiselles, je vous adresse toutes me félicitations. Les clients ont été plus que comblés de vos 2 prestations surtout toi Lisa.
– Merci. A ce propos, Marcel … enfin je veux dire le client m’a donné ceci pour vous.

Elle ouvre l’enveloppe qui contenait un chèque avec une lettre manuscrite. Après l’avoir lu, elle me regarda fièrement.

– Et bien, je ne sais pas ce que tu lui as fait mais il te veut à chaque fois que tu seras disponible quand il fera appel à nos services.
– Ce sera avec plaisir mais pourquoi ne pas avoir envoyé un mail et un virement ?
– Parce que le chèque est à son nom. Ce n’est pas compris dans la facture envoyé à son entreprise. Et un mail ça laisse des traces.
– Oui effectivement. Attendez ça veut dire que ce sont des entreprises qui vous contacte ?
– Oui parfois. Certaines grosses boites ont même un budget pour ce genre de prestation.
– Donc ce n’est pas une rumeur ?
– Et non. En tout cas compte tenu de vos performances d’hier soir, même si Marie est restée plus discrète, vous serez très bientôt recontactées.
– Parfait alors … mais et les autres ?
– L’une était timide et maladroite, une autre a été jugée trop frigide, et la dernière est rentrée chez elle en laissant le client se la mettre derrière l’oreille.
– Ouh Elle, elle va ne pas faire long feu.
– Je l’ai déjà rayée du listing.
– Bon je vous souhaite bonne journée et à très bientôt mesdemoiselles.

Le lendemain, l’agence m’avait viré 500€ pour ma soirée ainsi qu’une prime exceptionnelle pour ma performance. Quasiment chaque semaine j’étais convoqué pour des soirées d’affaire à tenir compagnie à des hommes de condition aisée. Il n’était pas rare que j’y recroise Marie. Avec ce boulot je me faisais plus d’argent que ma bourse d’étude. Ma formation de secrétaire se déroulait à merveille, ma condition s’améliorait et je ne vivais plus dans la misère. Toutefois la rencontre que j’allais faire quelques mois plus tard allait bouleverser mon existence à tout jamais.

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