Marie, ma coiffeuse, revient au premier plan, car hier, elle m’a raconté sa « dernière »…
Le village étant un bourg dans lequel toute le monde se connait, mais ne se fréquente pas toujours, elle a recueilli les potins concernant la femme à Riri…
Riri, c’est le postier du village… 1800 âmes réparties dans 750 logements…
Pour la tournée journalière, ils sont deux facteurs, dont une factrice, Amanda, entrée il y a 3 ou 4 ans. Henry, lui, c’est 30 ans de tournées… Au début 600 habitants vers les années 80. Il était seul, heureux, et marié…
Sa femme Paula, brune d’origine italienne, au sang chaud, le surveillait étroitement…
Dans les fêtes de village, elle se lâchait, partageant la bonne humeur du Sud, et son côté coquine, mais en gardant un œil sur Henry…
Elle avait eu des doutes plusieurs fois, il restait plus longtemps en tournée certains jours, elle entendait des commentaires sur la fidélité de son époux… Mais rien de sérieux, juste de la jalousie…
Car elle était belle, et lui aussi.
Un couple qui avait fait deux beaux enfants, mariés maintenant et partis vivre leur vie à la Capitale…
Ses cheveux noirs de jais, encadraient un visage ovale, et les yeux perçaient comme des émeraudes, verts, grands, avec des cils si longs…
Un corps de rêve, malgré ses grossesses, fine et svelte, et pas bête…
Lui, aimait sa femme, mais il est vrai que parfois, les occasions l’emmenaient hors du cadre marital… Oh ! rien de bien grave, juste des flirts discrets, les remises de certains courriers nécessitent un endroit calme et une chambre fait bien l’affaire…
Marie, ma coiffeuse, me rapporta que ce bel homme attirait autant les jeunes divorcées, que les notables BCBG, les jeunes filles en quête d’expérience, et des femmes bien sous tous rapports, juste un peu délaissées côté lit conjugal…
Mais quel est le village dans lequel rien ne se passe ? Aucune aventure extra conjugale ? Pas même un flirt entre deux portes, lors d’un recommandé ?
Pour certains, le facteur est le seul lien avec la société… Le marché aussi les fait sortir de leurs tanières, le mardi. Car le seul commerce qui subsiste, c’est le bar, tabac, journaux, épicerie de dépannage, dépôt de pain pour les distraits et plus si affinité… Tenue par Ginette, 48 ans divorcée et souvent en couple en attendant mieux…
La coiffeuse tient aussi son rang, attire des clientes d’autres villages alentours.
Ici, pas de médecin, ni de garage, ni de banque…
Juste la mairie avec le Maire, brave cultivateur retraité, et l’église, avec Monsieur le Curé, qui va de village en village et n’officie chez nous qu’une fois par mois…
Il y a une dame, nommée par l’évèque, qui tient la cure et l’église, fait office de dame patronage avec des cours en semaine.
Douce vie, parfois monotone en hiver, mais si agréable, dans un esprit de bon voisinage, courant en campagne. L’entraide fait partie de cette vie, et va souvent au-delà, on s’invite aux veillées, échangent des légumes et des fruits, etc…
Paula n’est pas en reste, et si le traitement de son mari n’est pas très important, elle se débrouille pour lui faire de bons petits plats, surtout le dimanche…
Elle fait aussi son devoir conjugal avec passion, aimant les préliminaires et la douceur de son époux. Elle finit toujours par jouir bruyamment, sans se gêner, car ils vivent dans une ancienne ferme, isolée…
Riri est doté d’un pénis assez confortable, certaines diront une queue magnifique, un dard de concourt pour quelques-unes…
Lorsqu’elles en parlent chez Marie, on croirait que tout le village connait la queue de Riri le facteur… Jalouses et mauvaise langues se déchirent en toute mauvaise foi…
La rumeur a commencé avec la Germaine. Une ancienne cultivatrice, retraitée qui vend toujours quelques œufs et ses poulets dans le voisinage…
Colportant pas mal de fausses infos, elle disait un temps que la Paula ne passait plus sous la porte de l’église à cause de ses cornes !…
Des dames, bien sous tous rapports, avaient vu son mari fureter çà et là, avec ses copines lors de la préparation de la fête annuelle…
Il y avait plusieurs réjouissances en été, on fêtait les foins, la musique, les alpages, les traditions et une foire, marché aux bestiaux, qui était connue jusqu’à Paris !…
De fil en aiguille, la réputation de Riri, passant de bouche à oreille, déformée en sortant, enfla, et arriva aux oreilles de sa femme, justement, par une réflexion de Germaine, à la sortie de la messe…
– Bonjour, Paula, Riri n’est pas venu ? Ah, il est fatigué !… Son métier est exigeant, il marche beaucoup, et discute aussi… Il est si serviable que tout le monde l’adore… Il entre même dans les maisons pour voir si les gens n’ont besoin de rien… Oh, il est si beau, on le fait entrer volontiers…
Certaines se mettent en peignoir… Mais bon… Il fait si chaud, ici, l’été…
– Tu veux dire quoi, Germaine, par tes ragots ?
– Oh, rien… Juste de faire attention… Et ne sois pas étonnée s’il a des baisses de régime…
– Tu as des preuves ?
– Ah, hélas… Juste des allusions, vraies ou fausses… Mais il n’y a pas de fumée sans feu…
Paula garda cela pour elle… Sa rage contre Germaine amplifia, elle en rêvait la nuit et voyait son homme, nu dans la chambre de la Corine, celle de Michelle, de Sabine, et surtout d’Eva, la femme du contrôleur des postes… Une blonde pulpeuse, les yeux bleus, des seins bien hauts, opulents, avec des aréoles larges et sombres, souriante avec tous les hommes, et…
– Salaud !… Il me trompe ?
Elle commença à regarder ses cols, ses poches, ses mouchoirs, même ses slips…
Mais il la baisait encore, au moins une fois par semaine, le week-end, et c’était très bon…
Elle se demanda si elle serait capable de le tromper en découvrant une hypothétique trahison ?
Elle avait des occasions parfois, au marché, ou en vendant ses confitures aux touristes…
Abricots, pêches, fraises, cassis… Du bon, du bio, comme on dit…
Michel était son favori… Si elle devait le faire…
Il était commerçant ambulant et faisait les marchés du canton, miel, pains d’épices, des produits d’ici, il lui revendait ses confitures…
Elle renégociait souvent, le forçait à vendre, argumentant sur ses produits cuits au chaudron, à l’ancienne…
Elle avait failli une fois… Il lui avait payé un café, le bar était vide, et Sophie, la propriétaire, ne s’en faisait pas.
Ils étaient seuls dans un coin du cani…
Elle avait senti la main de Michel sur son cou, l’avait regardé…
Il buvait ses yeux, il bavait d’envie d’elle !…
La main était descendue lentement dans son dos, ses reins, il était tout contre elle…
Elle l’avait senti respirer son parfum, ses lèvres dans ses cheveux…
Elle avait frémi… Que c’était bon d’être désirée par un beau garçon…
Si elle tournait la tête, elle allait sans doute rencontrer ses lèvres, presque sur les siennes…
Elle hésitait à tenter le hasard qui déciderait à sa place…
Les lèvres étaient contre son oreille, arrivaient doucement, semant quelques baisers furtifs…
Elle se tourna lentement… Elle attendit… Elle était trempée de désir d’un coup, elle avait chaud…
Elle sentait couler sa chatte, se disant que tout fonctionnait bien…
Alors un petit flirt sans conséquence, juste pour voir si elle plait encore, au bout de 20 ans…
Les lèvres quittèrent leur doux nid de sa nuque et de ses boucles odorantes…
Elle ne respira plus, souffle coupé, yeux fermés…
Elle humecta les siennes avec sa langue, attendant le baiser…
Son ventre se vidait, elle en avait envie, elle tremblait…
Une envie sauvage, délirante…
Au point de commettre la bêtise ?
Elle n’avait jamais connu autant d’excitation, ne s’était jamais, depuis son mariage, laissée aller comme cela… Elle ouvrit les yeux…
Les lèvres se posèrent sur les siennes, les mains la pressèrent contre lui, ils échangeaient leur salive, une main se posa sur sa poitrine, elle se cambra, lui signifiant son désir, acceptant la main… et le reste…
Elle pensait qu’il allait la prendre sur cette banquette, écartelée, quasiment violée, ou il l’inviterait ailleurs pour l’emmener dans les bois ou dans son fourgon…
« Oui, oui, prends mes seins dans tes mains, caresse ma vulve, ouvre ma chatte, je te donne tout, mon Michel chéri… Emmène-moi où tu veux, je te suivrai partout et serait tienne… »
Elle entendit le « gling » puissant de la porte d’entrée que l’on pousse, on venait…
Elle se reprit en sursautant…
Ils regardaient ensemble par la fenêtre, maudissant l’intrus que la patronne avait servi au bar…
Elle se leva, le fixa dans les yeux, puis elle partit sans se retourner…
Elle avait juste eu le temps d’apercevoir la bosse sur le pantalon de Michel, qu’elle s’apprêtait à effleurer…
Elle le croisa souvent dans ses rêves, il la prenait debout dans un coin de ce bar désert, en campagne, dans une forêt, en voiture ou en camion…
Elle pouvait enfin toucher ce qu’elle avait deviné et la faisait fantasmer…
Elle se voyait passagère, les cuisses écartées, la main de Michel fouillant sa culotte…
Elle glissait une main vers la chose qui l’obnubilait chaque nuit…
Elle était différente de celle de Riri, plus longue, elle devait sentir le thym, la lavande, tous les produits régionaux que Michel vendait…
Au matin, il lui semblait n’avoir pas dormi longtemps…
Et c’était celle de Riri qu’elle tenait serrée et qu’elle agitait en tous sens, jusqu’à l’explosion…
Il était content de cette nouvelle habitude… Même si c’était rapide…
20 ans de mariage sans l’ombre d’un nuage… Amoureuse, certes, comblée, Riri se montrant endurant, ils avaient glissé au fil de l’eau vers les films X, et les sites pour adultes, avec des choix de vidéos classés par thèmes…
Il lui arrivait de s’y rendre seule, surtout depuis Michel…
Elle ressentait son corps vibrer à l’apparition d’images crues, exactement comme dans ses rêves…
A moins que ce ne soit l’inverse et qu’elle avait rêvé ce qu’elle regardait sur son ordinateur, des sexes énormes, des coïts fabuleux, avec de belles femmes et des hommes bien montés… Elle rêvait de tenir une bite si longue et si large, noire, qui labourait leurs partenaires et les faisaient crier de plaisir… Les noirs avaient une solide réputation, surtout à la campagne…
Paula avait recommencé à se masturber dans l’intimité de son salon, lorsqu’une séquence lui plaisait et l’emportait… Elle entendait jouir la fille, même si c’était une actrice X, c’était prenant, réel, elle voyait le sexe énorme lui donner ce plaisir qui lui manquait, car en déclin…
Mais surtout l’émoi, la nouveauté, cette passion qui s’éteignait… On voyait aussi des actes tabous, des mamans avec des ados, qui revivaient leur jeunesse en s’enivrant de sexe dans les bras d’un jeune homme déjà bien doté…
Des femmes aussi, très actives, et puis de tout, mélangé, pas très bien filmé souvent… Elle passait ainsi de séquence en séquence, jusqu’à vivre une vidéo qui l’accrochait, cuisses écartées, et elle se faisait jouir avec ses doigts, jusqu’à ressentir un orgasme l’emporter, le même que la femme sur l’écran et au même moment, ressentant le sexe de l’homme se délivrer…
Elle n’avait jamais parlé de sexe avec ses amies, ses voisines, sa coiffeuse…
Marie avait l’art et la manière pour soutirer les confidences de ses clientes… Chacune ayant un jardin secret qui parfois devait être arrosé…
Elle revit Michel au marché, sentant son cœur battre plus fort… Elle n’y tint plus et se confia à Marie…
– Comment me délivrer de mes tourments ? Il me plait, mais je n’ai pas besoin de tromper Riri, tant qu’il est sage… Riri est inventif et sur internet, on trouve de quoi alimenter nos fantasmes… On n’a plus le rythme d’antan, mais ça me va bien et lui aussi est ravi, enfin je crois… Et puis le plus dur est fait, deux beaux enfants, on pense à la retraite, encore 20 ans… Parfois je m’ennuie un peu, j’ai mes poules et mon potager, je fais mes confitures… Et internet depuis quelques mois…
– Tu es une femme normale et tes besoins viennent de ton subconscient… Tu rêves de sexe, Michel fut le déclencheur… La mise à feu a eu lieu, mais pas la suite, question de pas de chance… Il bavait devant tes formes, tu étais dans ses bras, prête à franchir le pas… Grand ou petit pas ? On ne le saura jamais, mais cela t’a marqué, tu as regardé et pensé à un autre homme…
Tu rêves de faire l’amour avec lui…
Cela montre une insuffisance dans ton couple, dans ta libido, qui réclame plus, ou différent…
– Différent ?
– Oui, changement, évolution, sans aller vers l’adultère suivi, nombre de femmes ont eu des aventures d’un soir, ou même de quelques minutes, éblouies, lassées ou désireuses de changement… Les jeunes font l’amour le premier jour, d’autres avec plusieurs partenaires, d’autres encore échangent, découvrent très tôt les plaisirs du sexe dans tous les domaines… As-tu connu des femmes, fait l’amour avec ?
– Non, pas eu le loisir… Mais c’est vrai que j’y ai pensé en regardant des scènes… Pourquoi pas se laisser caresser par des doigts féminins qui savent où aller sur le corps d’une autre femme et lui procurer ce qu’elle aime ?
– Tu vois… L’attrait de l’inconnu, vers la quarantaine, le désir qui enterre les tabous et la morale… On se permet plus de pensées, on s’ouvre et on aimerait connaître… Mais ?
– Ah, Marie… Tu en sais des trucs… Tu es une Psy… Je me sens moins coupable…
– Au point d’essayer ?
– Sans aller trop loin ? Pourquoi pas ? Juste un aperçu… Un peu plus concret que le dernier essai…
– Michel ?
– Oh, non, pas tout de suite… Tu parlais de femme… J’ai entendu dire que tu…
– Oh, je suis en couple et mon copain aime aussi les femmes… J’ai parfois mis des femmes en contact, il n’y a pas longtemps encore… Certaines sont directes avec moi, et j’ai des occasions, mais je reste hétéro dans l’âme, avec des tendances lesbiennes parfois, on dit bi… Cela te dirait de commencer par une vente de produits cosmétiques ? Femmes de tous âges, tout niveau social, bonne moralité, mais comme nous… A la recherche de plaisir… De quoi vivre des fantasmes…
– Si tu viens…
– C’est direct…
– Depuis que je te connais, tu me plais… En tant que coiffeuse, et j’aime ta personnalité, ton humour et tu es jolie… Alors à commencer… Et puis ce n’est pas tromper son mari que de prendre un café et flirter entre femmes…
Elle fit sensation lorsqu’elle entra dans le salon, plein de monde pour un lundi, inhabituel car fermé…
Jour de réunion, on savait qu’elle présentait des produits féminins, épaulée parfois d’une commerciale, qui vantait ses casseroles ou ses soutiens-gorges…
Elle fit monter les cinq personnes dans son studio, et autour d’un canapé elle présenta la première pièce…
Elle en profita pour servir ses invitées, et se présenter. Mais elle connaissait toutes les femmes présentes… Certaines venaient pour la première fois, ouvrant de grands yeux en la voyant si à l’aise en petite tenue, argumentant sur ses sous-vêtements haut de gamme…
Elle était déjà sensuelle par nature, mais là !…
Petits seins fermes galbés dans des balconnets qui les pigeonnait un peu, quant au slip, c’était limite brésilien, échancré, taille haute, qu’elle aimait porter parfois sur des collants…
Le café devint boissons fortes, puis alcool…
Elles bavardaient et étaient impatientes d’essayer à leur tour…
Marie présenta tous les modèles, finissant par de la soie, des pièces arachnéennes, vues dans certains films x ou très érotiques…
L’ambiance changeait, on sentait des effluves étranges, les paroles devenaient osées…
Marie vit Sandra, une femme la trentaine, essayer l’ensemble le plus cher… Elle était canon, presque nue, passant entre ses copines, les toisant de son mètre 79…
Elle s’arrêta vers la belle brune qu’elle connaissait un peu, mais ne savait pas ce qu’elle cherchait…
Ce fut instantané… Les deux femmes dansèrent une samba torride, ondulant leurs corps, se frôlant et finissant dans les bras l’une de l’autre, pour un baiser sans équivoque…
L’après-midi battait son plein, Marie était ravie, 5 clientes et 8 ventes…
La femme à Riri venait de passer de l’autre côté, embrassant une autre femme pour la première fois, elles faisaient « connaissance » dans le sofa du fond, tandis que deux autres couples évoluaient sur le large canapé, et sur l’épais tapis devant la cheminée, jonché de coussins et d’oreillers…
De torride, cela devenait orgiaque, les murmures devenaient râles, et les gémissement montaient en sonorité…
Carine et Lily se retrouvaient, Marie les avait invitées auparavant, elles remettaient cela, se connaissant, écartelées et nues, belles et désirables, s’embrassant souvent entre deux étreintes, échangeant leurs positions, offertes…
Marie, avait gardé le meilleur… Célia, jeune mariée de trente ans, déçue, qui venait souvent vers elle et lui racontait ses déboires conjugaux…
Célia se laissait faire, écartelée, offerte à Marie qui léchait sa chatte consciencieusement, Célia feulait son plaisir, s’ouvrait, lui rendit sa caresse par un 69, elles jouirent ensemble…
Carine et Lily vinrent les rejoindre et le duo devint quatuor…
On vit quelques jouets sortir des sacs à main, certaines aimant la sodomie préféraient les objets dédiés, électriques et très représentatifs du sexe mâle…
Célia eut un orgasme entre les mains expertes de Marie et Lily, aidées par Carine, prise en sandwich, Célia se libéra, embrochée, enfilée, deux gros objets la portèrent simultanément au summum de l’extase…
Déchirée, ouverte, elle jouissait entre les trois femmes, attirant les regards envieux des deux nouvelles…
Paula, la femme à Riri était défaite… Elle venait de jouir d’une femme pour la première fois…
Elles avaient passé en revue les bases de l’acte lesbien, léchage, intrusion, partage de sexe, se frottant l’une à l’autre, écartelées, leurs sexes ouverts emboités, dégoulinant de cyprine…
Des baisers très doux, puis très chauds, les avaient emportées… Offerte à tour de rôle, écartelée, elles avaient déliré leurs orgasmes, emplissant la pièce de leurs râles… Aigus et puissant, ou sourds et vibrants, elles se libéraient, se comprenant et échangeant à merveille…
Epuisée, elles buvaient un jus d’orange, puis reboostées, elles rejoignirent le quatuor…
La belle brune emporta les suffrages et les cinq princesses la laminèrent, la laissant endormie et offerte, terriblement sensuelle et impudique…
Marie pensa aux photos, mais s’en garda… Elle en prenait parfois de ses amantes pour sa collection intime…
Paula venait de réussir son examen, elle avait hautement vendu sa peau, en rendant caresse pour caresses aux cinq autres furies avides de sensations nouvelles…
Le salon était méconnaissable, jonché de culottes, de soutifs, de mouchoirs en papier, les coussins en désordre, des verres renversés sous les chocs des étreintes…
Toutes les six finirent enlacées, enchevêtrées, s’embrassant à qui mieux-mieux, gémissant leur désirs, osant recommencer le meilleur… Se frottant à d’autres sexes, suçant des chattes délaissées, s’occupant de clitoris rouges de désir, se laissant téter en ressentant son plaisir exploser…
Marie aperçut des anus encore dilatés, après leurs séances multiples et des pénétrations profondes…
Elles se rhabillaient, regrettant de quitter ce lieu de plaisirs, cette explosion des sens, cette symbiose, en toute sécurité et camaraderie…
Les filles vinrent la remercier, caressant ses formes, lui redisant combien c’était extra, et qu’elle devait le refaire, comme un traitement médical…
Leurs baisers brûlants attisaient de nouveau son désir…
Paula resta l’aidant à ranger…
– Alors, tu as aimé ton initiation ?
– Ce fut magique, sublime, je me suis sentie sur une autre planète avec des sensations nouvelles, et des orgasmes de folie que je ne pouvais réfréner… J’ai donné aussi, goûté aux charmes de ma partenaire, m’en délectant, ressentant mes propres caresses dans mes organes…
– Et à plusieurs ?
– Ce fut dément, chacune apportant son petit plus, ses râles, ses désirs, s’offrant sans pudeur, sans gêne, allant au bout de leurs délires et de leurs plaisirs… Les femmes que tu as sélectionnées sont vraiment divines… Elles se complètent en étant du même niveau social et intellectuel…
Marie la prit dans ses bras et elles refirent l’amour toutes les deux…
Paula aimait monter sur le bassin de l’autre puis frotter son sexe en fusion sur son bas-ventre, puis croisant ses cuisses en ciseau, venait coller sa chatte grande ouverte, sur le sexe béant de sa partenaire, en criant son plaisir, en appuyant son clito en se frottant avec fougue…
– Je t’aime… J’avais envie de toi !… Je suis prête… Je veux Michel maintenant, je veux sentir sa queue en moi, qu’il me baise, je deviens salope et garce… Je veux tromper Riri… Il me trompe depuis longtemps en douce, avec les salopes du village, je suis cocue !
– Tu es sacrément excitée… Passe une bonne nuit et reviens demain, on parlera…
– Oh, oui… J’aimerais me donner à lui devant toi… J’aimerais qu’il nous savoure toutes 2, qu’il me fasse tout, qu’il explose ma chatte et mon cul à grands coups de bite, pour oublier ma vie de femme de facteur, dans un bourg perdu au milieu de nulle part, où jamais rien ne se passe…
Ici, tout le monde baise avec tout le monde pour passer le temps, sauf moi, pauvre conne !…
Ce fut simple, Michel n’attendait que ça… Elle se rendit à son stand, au marché…
– Tu sais l’autre jour, je suis partie sur ma faim…
– Moi aussi…
– Viens après le marché, vers 14h00 chez mon amie la coiffeuse, sur la place…
– Oui, je connais, juste manger un bout avec mes copains, et j’arrive…
Michel est surpris… Ou alors il a été très bon l’autrefois… Il l’a chauffée, petit baiser, elle allait craquer, elle devenait chatte contre lui, juste ce qu’il faut, bandante à mourir… Il la sentait couler de désir… Même si elle disait le contraire, elle en avait envie…
Putain ! Elle va craquer cette fois, chez son amie coiffeuse, elle a tout préparé…
Et si la coiffeuse venait aussi ? Deux femmes pour lui tout seul, son rêve…
Les niquer ensemble, les voir se gousser, en fourrer une tandis qu’elles s’embrassent, se lèchent, se font jouir l’une et l’autre et moi qui les baise à tour de rôle, les envoyant au paradis en déclenchant leurs orgasmes de chattes en chaleur…
Il bande déjà à les imaginer, le suçant toutes les deux, prenant sa bite dans leurs gorges, leurs mains triturant ses couilles, et se branlant en l’attendant…
Il en rêve encore au bistro, à l’apéro avec ses copains, puis partageant une tête de veau vinaigrette, un délice !…
A 14h00, il est détendu, il n’a pas exagéré la boisson, juste ce qu’il faut, et un rayon de soleil lui ouvre la porte… Magnifique blonde, cheveux courts, svelte, yeux transparents, petits seins hauts perchés, sans doute très durs, pointes qui se dressent au premier contact…
– Marie… Paula est là, vous désirez un café ?
– Michel, non merci j’en sors…
Son petit cul passe devant et il aperçoit Paula, assise sur le sofa…
La femme à Riri ! Quel pied ! Quel canon, qu’il a failli baiser l’autre fois…
Elle se lève et lui minaude un bonjour, le regardant droit dans les yeux, un large sourire sur ses dents parfaites, ses cheveux encadrant son visage de Madone…
Elle est habillée d’une robe courte, fleurie, d’espadrilles, en se levant il a un aperçu ses longues cuisses…
– Bonjour Michel… Surpris ?
– Un peu… je pensais t’avoir perdue à jamais…
– Ce fut si chaud ces quelques minutes, que j’en ai parlé à ma psy, Marie… Je n’avais jamais parlé de moi, de mes rencontres, de mes sentiments, de mon mari, ni de sexe d’ailleurs… Mon éducation… Mais Marie est si finaude qu’elle a décelé le changement…
J’ai craqué et lui ai raconté notre « rencontre »… Peu de choses à se mettre sous la dent par rapport à ce qu’on entend ici… Les ragots les plus chauds, les cocufiages, avant qu’ils se produisent !… Ah, les femmes Michel !… Marie s’est prêtée au jeu, se disant que quand on est plus de fous…
– Elle a eu raison… J’ai fantasmé depuis ton rendez-vous… Je suis charmé d’intéresser ta psy…
– Tut, tut, Michel, je ne suis qu’une oreille attentive, pour des femmes qui cherchent à trouver la petite bête, faire leur intéressante, amuser la galerie… Loin de moi d’aimer cela, mais c’est une partie de mon fond de commerce… Alors…
– Installe-toi entre nous, on va te raconter…
En fait de raconter, ce sont nos mains qui racontent une histoire…
L’histoire d’une rencontre d’un homme avec 2 belles femmes, venues pour le connaitre un peu plus qu’au marché…
Les deux partenaires s’embrassent rapidement, les soupirs montent, les habits descendent, et dans ce monde de consommation rapide, nos amies se retrouvent nues, admirant le sexe bandé et caressant cette artifice masculin très prisé…
Bouches, mains, Paula fait l’effort la première de venir entre les cuisses de son ami, pour le sucer, en s’offrant à sa copine, écartelée, histoire de l’exciter…
Echanges entre femmes, échanges de postures, 69 et des poussières, le ton est donné…
Chacune a tout loisir de découvrir la queue de Michel, Paula avait raison, plus longue, meilleur goût que celle de Riri, un délice ! Marie ne lui avouera jamais cette comparaison…
Paula s’installe sur lui et se prend sans ambages, tant elle en a rêvé… Le roi du marché, le prince des confitures et produits du Terroir…
Marie vient les aider à avoir un coït parfait, puis caresse ardemment les bourses de Michel et le clito de son amie…
Les premiers râles, suivis de mots insensés, onomatopées délirantes, Paula se lâche, jouit, recommence, laisse Marie le savourer, puis elles se donnent chacune à leur tour, en levrette, il les prend à la suite les portant chacune au bord de l’extase, les laissant pantoises…
Elles se goussent quelques minutes, puis reviennent charmer le beau garçon, se délectant de baisers, de fellations, le portant aussi près de la délivrance…
Un temps mort, boissons fraîches, regards doux, caresses…
Paula est excitée, les yeux vifs, brillants, cela me parle…
Allongés dans le grand lit de 180 cm de large, ils découvrent les plaisirs du trio, Marie prépare Paula pour la sodomie d’usage et celle-ci, s’offre sans rechigner, adepte et passionnée par le sujet…
Il la prend longuement, enfilant sa bite dans l’anus dilaté, les doigts de Marie, en lesbienne accomplie, viennent charmer sa chatte libre, jouer sur son clitoris, et ces deux actions ensemble, la portent à un orgasme vibrant et sonore…
Marie prend la suite et se laisse aller, elle aime la sodo aussi, il la pratique avec tendresse et douceur, puis plus macho et enfin se libère en elle, la baisant comme une catin, son orifice distendu, laissé vacant, et dégoulinant de sperme…
Paula vient sucer, lécher, nettoyer les traces de cet assaut sauvage, offrant son derrière à leur amant…
Marie embouche le sexe, et le dirige vers le vagin ouvert, les doigts ouvrent, et la porte est franchie, et malgré sa libération récente, il reprend vigueur et la fait jouir copieusement…
Il change même d’orifice et reprend Paula par l’anus, lui procurant un nouvel orgasme…
Marie les aide, les soutient, suce, lèche, ouvre, s’écartèle devant eux, se masturbant délicieusement, pour les tenir excités…
Paula ressent alors les effets pervers de cette exposition, il grossit soudainement, durcit, et éjacule, la fourrant comme un dément, la démontant, explosant dans sa chatte en jets saccadés…
Elle jouit en ressentant le sperme gicler dans son vagin, elle crie, pleure, délire, embrasse Marie, se donne à Michel, jouissant dans ses bras, Marie à son côté…
Michel est vanné, ses deux amantes de part et d’autre, épuisées et comblées aussi, deux heures de lutte intense, deux heures de sexe entre gens bien élevés et connaisseurs…
Seules, les deux amies reviennent sur leur performance…
– Quel homme !
– Quel pied !
– Il nous a baisées comme un chef toutes les deux, j’ai joui comme s’ils étaient deux…
– Moi aussi, mais je n’ai pas ton expérience…
– Oh, il suffit de recommencer à quatre, ma chérie…
– Pourquoi pas, maintenant que c’est fait, je peux aller plus loin dans ma vengeance…
– Tu exagères, non ?
– Si !… Mais j’ai joui vraiment, j’ai adoré être prise par devant et par derrière, il est doux et dur à la fois, il varie, nous entraîne, puis ralentit, revient, change… Je suis vannée, j’ai mal aux reins… Riri va le voir que j’ai baisé, non ?
– Prends une bonne douche, il n’y aura plus aucune trace après ta toilette intime…
– Tu es une amie… J’ai de la chance, ici, c’est plutôt le contraire, jalousie, perfidie, saloperies…
– Oh, tu as vu que certaines ne sont pas si méchantes, elles partagent nos valeurs…
– Et d’autres nos mecs… Les deux anciennes, j’ai aimé, elles ont baisé sans complexe, ouvrant le bal des vocalises… De plus elles sont canon !…
– Et ma petite Célia ? Tu as aimé ?
– Ouais. Si jeune et déjà cocue… Il lui faut un nouveau mec à celle-là, pour qu’elle comprenne que le monde est plein de queues, pour vivre sa vie… Elle est trop jolie pour devenir lesbienne, bi serait déjà mieux…
– Tu as raison, je l’ai adorée… Elle suce une chatte comme un chocolat glacé, et jouit en même temps, car elle ressent en elle ce qu’elle fait aux autres… Comme nous toutes… Elle aime le sexe, les sexes… J’ai été surprise lorsqu’elle m’a parlé d’elle, de son mec, de sa déception, elle m’a émue. On a flirté dans la réserve, quelques minutes… Elle pleurait de plaisir de se laisser sucer et lécher par une langue complice, elle tremblait dans mes bras… Alors je lui ai dit que j’organisais des ventes, pour que certaines femmes en rencontrent d’autres dans la même situation, et puissent s’aider entre elles et se réconforter en toute liberté et sécurité… Elle a vite compris et m’a juste demandé si elle pouvait me réserver le premier « contact », elle n’avait jamais fait cela avant…
– Délicate attention… Elle est douce de ce que j’ai pu voir… Elle est sympa aussi, pas bégueule comme certaines jeunes femmes qui se croient le centre du monde.
– Elle réagissait au quart de tour dans la réserve, j’ai vite compris qu’elle cherchait son plaisir, jouir, se libérer de ses frustrations, d’ailleurs, elle a volé de ses propres ailes…
– Elle l’a fait, et bien fait…
– Tu veux la revoir en petit comité ?
– Je ne dis pas non, juste nous, avant qu’un mec lui mette le grapin dessus ?
– Oui… Pour ton Michel, on verra la suite après… J’ai une idée…
Le rendez-vous est dans un restaurant de la ville voisine…
Les trois amies papotent, buvant rosé et mangeant pizzas…Célia est en beauté…
Au bout de deux heures, rassasiées, un peu éméchées, Marie offre le café dans son studio…
Les trois femmes s’embrassent, se tordant, s’offrant, et finissent nues dans le grand lit…
Paula goûte le minou merveilleux de Célia, trop vite passé en revue la dernière fois… Célia est soumise à ses deux amantes, s’offre, prend, caresse les deux sexes en même temps, puis se donne encore, avec des baisers langoureux, des râles merveilleux de sonorité et de volume…
Véritables chattes, nous nous complétons, nous jouons le jeu de ce trio magique, aux odeurs de parfums enivrant, mêlées à nos effluves sexuelles…
Parfait accord, chacune entre en transe, « travaillée » par les deux autres, et atteint l’extase en vibrant de plaisir…
Célia délire véritablement, elle ne connaissait pas les positions lutines que Paula lui fait prendre, ni ce genre de rencontres, juste trois femmes excitées, après quelques verres de rosé, qui ouvrent la voie du sexe, se livrant corps et âmes.
Ronrons délicieux, chattes exténuées, anus visités, nous restons ensemble un grand moment…
– Mince ! Riri doit être rentré ! Au secours…
– Tu veux qu’on te raccompagne Paula, il n’est que 18 heures…
– Je sais il rentre vers 17…
– Paie nous un verre chez toi, genre apéro…
– Vous ne manquez pas d’air les filles… Mais je ne veux pas qu’il ait de soupçons… Alors je veux bien…
Et nous voilà en goguette chez notre amie, dans sa ferme isolée… La voiture de Riri est là, il nous salue, il a entendu 2 véhicules…
– Oh, tout ça pour moi ? Sympa les filles… La mienne est intacte… Bon. Un apéro ?
– Volontiers… Oui, on voulait te dire combien ta princesse est gentille. On a fait quelques boutiques, et nous a offert le restaurant… Oh, pas cher, tu la connais et nous sommes simples, juste de quoi rire et boire du rosé…
– Ah, et cet aprem ?
– Re shopping, et rigolades dans les boutiques…
– Parfait, tenez, servez-vous… Vous restez manger ? Je peux décongeler et vous proposer un barbeuc ?
– On ne veut pas vous déranger, tu te lèves tôt…
– Mais non, les filles, allez, acceptez, on se connait bien et on va faire la fête ce soir tous les cinq…
Riri est beau comme un astre, Paula me sourit, il regarde Célia, la nouvelle qu’il ne connaît pas… Elle se présente, il situe son adresse…
– Ah, oui, je vois, au fond de la rue, c’est tranquille… Et ton mari, il fait quoi ?
– Cocu… Comme tout le monde…
Il a du mal à encaisser, puis comprend qu’elle se moque de lui…
– Oh, tu es coquine, j’adore, on va s’entendre Célia. Comment tu as connu Paula ?
– Par Marie, notre coiffeuse…
– Tu sais je t’ai parlé des ventes que Paula faisait parfois, des ventes privées, du cosmétique, des sous-vêtements, etc…
– Oh, là, là… Ça doit papoter là-dedans…
– En effet, et j’y suis allée ce matin… On a fait la vente, puis on s’est dit qu’on pouvait continuer toutes trois, les autres sont parties…
– Vous avez bien fait, ici, les occasions de s’amuser sont rares…
– Et toi tu t’amuses de ton côté Riri ? Tu as ta collègue maintenant…
– Oh ! Un tue l’amour… Pas belle, grasse, et stupide… Chez moi on disait un cageot…
– Ah, tu aimes plus distingué ?
– Exact, mais je n’ai besoin que de ma Paula pour la bagatelle…
– Oh ! Certaines disent que tu fais des extras, en visitant tes clientes…
– Les radoteuses ? La Germaine et ses groupies, les grenouilles de bénitier aussi…
– Elles ne sont pas méchantes, justes un peu courtes…
– Bien dit ça… Je fais le feu…
– On va aider ta femme…
Riri est vache de bonne humeur… Il sifflote en allumant, met des charbons, et sort la viande, puis monte ses brochettes, ses saucisses…
La nouvelle est super bandante… Célia !… Un petit cul, des seins menus, un œil coquin !
La Marie est superbe aussi, j’ai du bol ce soir, 3 femmes pour moi… 3 Chattes… De quoi s’occuper toute la nuit, putain… Cela fait longtemps que j’ai pas baisé à plusieurs… Surtout toute une nuit… Et si en plus elles se gouinent, ce serait le pied !…
Popaul est en jachère, Paula a des doutes… Je fais gaffe depuis 15 jours. Mais là, c’est le loup dans la bergerie, ou plutôt les brebis dans la tanière…
Je vais voir si ça prend… La Célia a l’air à point, elle m’a à la bonne… On pourrait danser un peu après… Je pourrais la serrer contre moi… Elle aime ça flirter… Elle a un mari… Elle aime le sexe… Si elle boit, elle sera moins braquée pour quelques caresses… Et puis il y a la piscine, petite, mais ça va… Pourquoi pas jouer ensemble, je pourrais la toucher… de partout, puis… Putain ! Ses seins sont menus et fermes… Son petit cul est super bandant et sa chatte doit être à point quand elle boit… Elle doit s’ouvrir pour un rien… Je sens déjà sa main sur ma queue sous l’eau… Quelle salope !… Oh je vais me la taper, je sais où elle habite maintenant…
– Tu es prêt chéri ?
– Oui, ça cuit mon amour !…
Prêt à les fourrer, elle et sa copine coiffeuse, je m’occuperai de son gazon frisé, Marie salope comme certains disent au bar du village…
Elle a un mec, mais n’a pas froid aux yeux, certains se la sont payée après la fermeture, rideau baissé, elle suce comme une reine…
Le Jean, il a dit qu’elle a ouvert sa blouse devant lui, en terminant son rasage… Elle était nue… Ses seins libres, les pointes dressées…
Alors il s’est levé, il l’a embrassée en caressant les seins offerts, elle se frottait contre lui en gémissant comme une chatte, puis elle l’a sucé, et elle a enlevé sa blouse et elle s’est empalée sur lui en se dandinant sur le fauteuil… Elle était en chaleur… Elle se godait avec sa bite !
Et ensuite, il l’a prise en levrette dans le même fauteuil, il grinçait parait-il…
Elle jouissait sous ses coups de queue, le voulant en elle, il l’a défoncée et a déchargé…
Elle est bonne quand elle est en manque… Son mec doit la délaisser de temps à autres… Alors elle papillonne… Le Jean ne ment jamais, il n’exagère pas non plus… La Marie, elle aime les filles, c’est pour ça qu’elle a fait coiffeuse, pour s’en offrir de temps en temps, en douce…
Putain, elles me font bander !… Le feu c’est bon, ça cuit, on peut prendre l’apéro…
– Hé, les filles, un tour dans la piscine pour l’apéro ?
– Je n’ai pas de maillot,
– Moi non plus…
– Je peux vous en prêter, et puis ici, c’est souvent topless, pas de vis-à-vis…
– Nous on veut bien, on aime la liberté…
– Allez, venez choisir dans ma gamme…
Quand Riri les voit revenir, il lui semble regarder un sitcom…
Putain, c’est pas vrai ! Elles sont à loilpé… Oh, la Célia !
Des seins maousse au départ, des aréoles brun/rouge, des tétons dressés, sa culotte est mini, je vais craquer mon short… !
Et l’autre, la Marie, pareil, à poil presque, sa culotte est quasi un string, c’est vrai que je l’ai déjà flirtée, mais Paula ne s’en doute pas… Ses seins sont adorables, pleins, hauts, des seins pour des mains honnêtes…
Quand à ma Paula, elle fait comme elle a dit, topless aussi, mais ses seins je les connais, et sa chatte aussi, même que je la délaisse un peu ces temps-ci… Rien de bien méchant, juste de quoi assouvir ma libido de mâle… Mais aussi, on dirait qu’elles se passent le mot et viennent m’exciter, s’offrir comme des chiennes en chaleur, me recevant en peignoir, ou dévoilant leurs charmes sans complexe… Je ne suis qu’un homme et parfois…
J’entends des rires, elles sont dans la piscine… A moi !
Il coupe le feu, les apéros seront à point juste dans 10 minutes…
– Allez, 10 minutes de récréation… Les apéros seront OK…
Un plouf me répond, et des rires, des glouglous…
– Alors, tu bandes en regardant mes copines ?
– Heu !… Non, juste… Elles sont canon !…
– Et moi ?
– Oui, toi aussi… Mais, elles, enfin trois ensemble…
– Tu serais un peu court non ?
– Faut voir…
– Je te fais un deal, essaie d’en pécho une, et si tu y arrives, je me montrerai bonne joueuse… Mais moi aussi, j’aurai droit à une compensation… Et puis du sexe, rien d’autre, on en a parlé déjà… Ton désir de partager pour mieux nous rapprocher ensuite…
– Oui, tu es certaine ? Je peux les draguer ?
– Elles sont assez libres dans leurs couples, comme nous non ?
– Ah ?
– Je ne te colle pas pourtant, je te laisse la bride, et tu en profites, ne nie pas, on t’a vu et revu… Mais je ne serai pas cocue longtemps sans me donner un peu d’air à mon tour…
– C’est de bonne guerre, mais il n’y a rien eu de grave… Deux trois flirt entre deux portes… Pas de quoi… Et toi aussi, parfois tu te lâches, on m’a dit avec ton mielleux…
– Oh ? Pas vrai !… Parfois on boit un café pour patienter, mais c’est tout…
Riri fixe ses beaux seins qui tressautent lorsqu’elle bouge… Il a compris qu’elle savait ses incartades… Oh, pas d’amour, juste de la compassion ou des occasions entre adultes…
Paula lui plait toujours…
Il regarde dans la piscine Célia qui lui fait des signes, et Marie, hautaine, belle à pleurer…
Il doit plonger pour éviter la gourme… Ce désir qui le prend parfois et il se met au garde à vous, avec des images X dans les yeux…
Elles l’entourent, ses yeux bleus les charment, Paula est remontée finir le repas, toute mouillée, l’eau dessinant ses fesses dans son nouveau maillot…
Il sent une main… La caresse est volontaire, elle serre son membre et l’agite doucement… La propriétaire c’est Marie, elle a plongé et n’est pas réapparue…
Putain, la vache, elle a sorti ma bite et la suce… Elle a du souffle, la revoilà…
Les yeux doux de Célia s’approchent, elle lui demande ce qu’il aime chez les femmes…
– Tout ce qui est consommable !… Mais aussi, l’esprit, l’éducation, le sourire, et des petits détails qui me font craquer…
– Comme quoi les détails ?
– Le caractère affirmé, certaines vont droit au but, j’aime la franchise aussi, la gentillesse, celles qui me charment…
– Et si on n’ose pas ?
– C’est en dehors du cadre alors… On risque de se rater…
Il sent une main dans la sienne, qui remonte et se loge sur un sein doux, tendre…
– Et là ?
– J’apprécie la volonté, l’honnêteté…
– Passe chez moi après ta tournée, demain…
Elle se colle, se frotte, Marie la regarde et vient près d’eux, se rendant compte de la situation…
– Je crois que c’est l’heure de l’apéro, les brochettes vont être cuites…
Tout le monde sort, Riri est scotché par le culot de ces femmes venant l’exciter ouvertement, quasiment sous le nez de Paula…
Pala a mis la table, celle de la terrasse, à côté du barbecue. Elle apporte les salades, l’apéritif c’est de la Sangria, maison, que Riri aime faire en été…
Les filles se sèchent un instant, puis prennent place, Paula face à son mari et les deux autres de par et d’autre…
– Alors vous avez apprécié la baignade avec mon mari ?
– Oui, très excitant comme bain…
– On adore jouer dès qu’on est dans l’eau…
– Des jeux pour adulte alors… On a une belle vue d’ici… Hein Marie ?
– Je ne sais pas, un réflexe… On est si détendu ici, c’est la liberté…
– Oui, liberté pour libertines… Mais je ne voulais pas de cela se passe dans ton dos.
– Je sais, Marie, j’ai apprécié. En fait Riri était à son aise et je voulais voir sa réaction. J’ai vu la vôtre et j’ai compris… Ce n’est pas sa faute, mais de celles des femmes. Il les rend folles… Juste de les regarder, dans les yeux, les fixer, les désirer ouvertement… Donc vous avez régi toutes les deux, Célia à sa façon, Marie à la sienne… Sans préjuger de quoi que ce soit, vous avez agi selon votre désir…
Merci les filles, j’ai adoré… Alors on ne va pas dire quoi que ce soit, juste qu’il n’est pas bon de refreiner nos envies, je suis absolument pour partager mon Riri avec vous, en toute liberté sexuelle… On aime le sexe toutes les trois, alors après diner, vive l’amour, le sexe et la fornication… Mais d’abord, à la nôtre !
– Merci Paula… A la tienne, on va faire la fête… Et pardon…
– Merci Paula, tu es géniale, je ne pensais à rien quand j’ai plongé…
– Merci ma chère femme pour ce piège que j’ai apprécié malgré tout… J’ai hâte d’avoir soupé… Je vais chercher les brochettes apéro, puis faire cuire la viande.
Les trois femmes se regardent, Marie vient embrasser Paula tendrement, Célia se colle au duo, caresse les seins de Paula, embrasse ses amies…
– Moi aussi j’ai envie d’être au dessert…
– Tu parles, je me suis sentie guidée… C’était bon, mais trop rapide…
Elles rient beaucoup en finissant le saladier de Sangria… Brochettes de fruits macérés, de viande au goût exotique, on passe au rosé de Provence, avec les magrets de Canard, chips, des fruits, des glaces…
Ils vont s’allonger au bord de l’eau pour boire le café que Riri descend avec un superbe plateau illuminé, comme traversé de néons, superbes la nuit…
Puis il se glisse contre sa femme, et il l’entraîne dans l’eau, invitant les copines…
Les slips tombent, c’est la bain intégral !
Il se cache, puis se retourne, le sexe dissimulé bandé comme un taureau…
Elle se précipitent, Marie attend un instant et donne un long baiser à Paula…
Riri est soufflé de voir sa femme embrasser une autre femme… Il prend Célia et l’embrasse en la caressant lui mettant le feu de partout partout…
Célia se laisse porter dans l’eau, écartelée, il la goûte appuyée à la margelle, elle veut lui donner une fellation, c’est lui qui s’offre accoudé aux barreaux, le sexe vers les étoiles…
La têt eva et vient, tandis que des gémissements proviennent de l’autre côté, Paula et Marie se touchent sans réserve, se masturbent, puis sortent de l’eau, et continuent dans le patio, sur les matelas leurs jeux lesbiens…
Riri la prend sans attendre, elle jouit très vite et il en profite, il la baise, explose sa chatte, elle gémit et se lâche, coincée dans un angle sur l’escalier qui permet des positions variées…
Il la prend en levrette, et lui procure un orgasme qui fait se relever les deux autres…
Célia gémit, pleure, crie, se laisse fourrer, s’écartèle, le veut encore, le prend en amazone, écartelée, devenant hystérique par tant de plaisir…
Il la calme et la sodomise, lentement, tendrement, elle s’offre, jouit de nouveau, belle, femme, soumise, se laissant prendre par son amant… Il se libère en râlant…
Elle vient de subir la Loi de Riri, jouissant pleinement, traversée par un plaisir intense, rare, elle a du mal et le laisser s’en aller vers Marie qui est venue prendre son tour…
Marie c’est la source, sa chatte ouverte par Paula suinte de cyprine lorsque sa langue vient la fouiller… Les premiers instant délicieux, font place à l’envolée, elle gémit en jouissant, il l’excite par le clitoris, et l’anus combiné, lui prouvant combien il a envie d’elle… Elle se laisse transporter dans son monde, après une fellation de reine, elle se donne avec intensité et passion, il la prend dans toutes les positions, lui offre plusieurs orgasmes, sa chatte rosée et son petit cul devenant le centre de soirée… Riri n’en peut plus de la baiser, elle en redemande, assoiffée de sexe… Elle devient tigresse et le griffe, elle monte sur lui, se cambre et se pénètre de nouveau, face à lui et lui fait l’amour en l’embrassant, jouant de ses mains sur ses seins, Célia et Paula viennent l’aider à mettre à mort leur matador…
Il éjacule en rugissant, planté dans son vagin dilaté par la verge décuplée par le plaisir des trois femmes…
Riri devient leur maître, il prend Paula devant les deux autres en plein soixante-neuf…
Puis cela repart, Célia veut encore de la bite à Riri, elle l’avale dans sa gorge et masse les bourses énormes, deux belles couilles de concours, elles avaient raison les médisantes…
Putain que Riri est un bon coup, il baise si bien qu’on n’arrêterait pas de se faire baiser, enculer, transpercer, sodomiser, délecter, défoncer…
– Oh, oui, viens encore !… Défonce-moi, j’adore ton sexe Riri…
La nuit est bien avancée lorsque la première entend son portable…
Marie n’en croit pas ses oreilles, elle avait rendez-vous avec son ami ce soir, au restaurant…
Elle explique, non, elle ne rentrera pas sur le village, elle est en ville avec d’autres amie chez qui elle va dormir, enfin finir cette nuit…
Célia a oublié de rentrer… Elle l’avait rassuré dans un message qu’elle dînait avec Marie et Paula…
– Et puis merde, on s’en fiche, je ne le veux plus, je veux Riri…
– Oui, moi aussi, Riri comme amant, pour nous trois…
– Et Michel ?
– Ah, oui… Michel aussi, il sent la ruche, le miel, la lavande, vous verrez les filles il est comme Riri, il nous sublime…
Et Riri reprend sa femme par derrière, à plat ventre sur un matelas, il la lutine, sa bite entre et sort en cadence de son anus dilaté, elle se cambre pour mieux la ressentir exploser en elle et jouit bruyament….
– Oh, oui, mon Riri, tu es le meilleur des amants, baise-moi encore, j’aime te voir prendre Célia si douce, feuler dans tes bras, se donner sans calcul, Marie si tendre, t’offrir sa chatte en gémissant son plaisir…
On t’aime mon Riri, toutes les trois et les autres du village aussi, tes coups de queue en passant pour soigner leur libido, leur détresse, leur solitude, pour tromper leur mari ou se donner quelques minutes de plaisir…
Tu es le sex-symbol du village…
Marie avait été sa première pourvoyeuse, il avait été son premier amant, elle lui indiquait les femmes en mal d’amour, délaissées, cocufiées, grâce aux confidences glanées au salon…
Mais c’était il y a si longtemps…
FIN
Marika842010
Juin 2019
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