Pour changer, j’ai envie de vous raconter un truc qui m’est arrivé au lycée. Avec une copine, on aimait allumer les mecs. Il faut dire qu’on roulées toutes les deux et pas du tout farouches. Un matin, avant les cours, j’aperçois Angélique avec les yeux cernés. Je lui demande :
« T’as une tête pas possible ce matin ? T’as baisé toute la nuit ? »
Elle me sourit en me répondant :
« Tu ne crois pas si bien dire ma chérie. »
Toute excitée, j’insiste pour qu’elle me raconte son aventure. Comme nous sommes très complices, elle se fait un plaisir de me narrer ses frasques nocturnes.
« Hier, j’ai allumé deux mecs qui aurait pu être mes pères. Il étaient craquant. Alors que je la pousse à m’en dire plus, un pion qui a entendu notre début de conversation vient nous voir en nous disant :
« Vos histoires de jambes en l’air, vous les gardez pour chez vous ! Depuis le temps que ça dure vos coquineries à l’école, il est temps d’y mettre un haut-là. Direction le bureau du proviseur ! »
Angélique coupée dans son récit devient rouge de honte et moi je suis frustrée de ne pas savoir comment c’est terminée son aventure.
Dans le bureau du proviseur, le pion lui expose notre comportement et nos propos. Il nous jauge avec un air pincé et réprobateur.
« Votre comportement n’est pas compatible avec la rigueur de notre établissement jeunes filles ! Je vais réunir le conseil de classe pour statuer de votre sort. Mais j’opte déjà pour une exclusion définitive de l’école. »
Il prend le téléphone en nous disant :
« Je téléphone de suite à vos parentes pour leurs faire part de votre conduite ! »
Nous nous regardons paniquées, rouge de honte, une boule au ventre, ne sachant pas comment nous sortir d’une telle situation. Au grand jamais nos parents ne doivent être au courant de nos bêtises. Et être virée du Lycée, je n’ose même pas imaginer la suite.
En remarquant notre confusion, le proviseur racroche le téléphone et d’un ton ferme nous dit :
« Avons que je prévienne vos parents, racontez-moi ce que m’a rapporté le pion en détail et qui semblait si intéressant. »
D’une voix blanche Angélique c’est mise à terminer le récit qu’elle avait commencé dans le préau.
« Heu… Et bien… Je.. Hier, deux hommes dans vos âges m’ont dragué Monsieur. »
Là il rentre dans un colére noir en lui lançant :
« Racontez pas de bêtises. Je sais que vous n’êtes qu’une petite allumeuse et que vous méritez une punition sévère ! Alors je veux la vé-ri-té ! »
Tremblante, Angélique reprend son récit alors que je me sens devenir humide de la voir dans cette situation délicate :
« Bien Monsieur. En fait c’est moi qui les ai allumé Monsieur. »
Elle marque un temps d’arrêt et moi trop impatiente de connaître la suite, je lui chuchotte :
« Bon bah alors, tu te lances?? »
Gênée, Angélique reprend :
« Bééééééé, je ne sais pas trop comment… Ils m’ont proposé de boire un coup chez l’un d’eux. Je.. Ben…Je les ai suivi. C’est quand je suis entré dans le salon du type, l’un d’eux m’a rapidement enlevé ma culotte pendant que l’autre virait mon tee-shirt. Sans que je ne puisse faire quoi que ce soit, j’avais déjà un zizi dans la bouche et derrière l’autre voulait rentrer son truc où vous savez. Il ont profité de moi Monsieur. Je vous jure ! »
« Oui bien sûre et c’est pour ça que sembliez si contente de raconter votre histoire à votre copine au lieu de prévenir les flics ! »
Angélique est rouge de honte et moi je jubile. Ma culotte est toute mouillée d’imaginer ma copine prise comme ça par deux hommes mûres.
« Je .. enfin.. Voilà Monsieur. »
Je lui glisse à l’oreille :
« Il ont joui ? T’as avalé ? »
Mais elle ne me répond pas. Elle a un regard fixe qui m’intrigue. Je le suis pour m’apercevoir que le proviseur à une trique du tonnerre. Le récit de ma copine a du le mettre dans tout ses états. Je ne sais pas ce qui me prend à ce moment. Es-ce le récit humiliant de ma copine qui m’a excité ou une envie irrésistible, quitte à être virée de tenter le coup de la dernière chance mais, j’att**** la cravate du proviseur et lui roule une péle qui le laisse pantois.
Après cet instant de surprise, Il reprend les rennes et lance, en changeant de ton :
« Vous êtes deux petites salopes qui méritent une punition sévère, mais je vais adapter la punition à votre comportement ! »
On se regarde avec Angélique. Prises à mon jeu, le proviseur, change son fusil d’épaule et on se demande ce qu’il veut dire par là. En deux temps trois mouvements, il retrousse nos jupes, En léve sa ceinture et commence à nos corriger les fesses. Nous chouinons et lui demandons d’arrêter.
« Arrêtez !!!! On fera tout ce que vous voulez !! »
Il s’est arrêté en caressant nos petits culs d’une main tremblante. Puis il a sortit sa bite en nous disant :
« Sucez-moi petites salopes ! »
Angélique, pourtant plus expérimentée que moi reste figée. Je me penche vers l’engin, le prend maladroitement dans ma main et me prenant par les cheveux, il me force la bouche, en disant à ma copine :
fous-toi à poil et caresse-toi la chatte et les nibards ! »
Fébrile, me regardant sucer le proviseur, elle se met nue. Équipée comme elle l’est, Je me doute bien qu’il ne va pas rester longtemps dans ma bouche pour essayer ses gros seins. Après lui avoir fouillé généreusement la chatte, il quitte ma bouche pour se faire une cravate de notaire entre les seins opulents d’Angélique. Nous voyant docile, il s’assoit dans le divan et nous ordonne :
« Sucez-moi la queue ensemble ! »
Même si je n’en étais pas à ma première pipe, le faire sur l’ordre du proviseur et avec ma copine me met dans un état de honte et d’humiliation comme je n’ai jamais connu.
Je ne suis pas sûre de bien la faire et Angélique qui a plus d’expérience que moi se met à rigoler et me dit :
« Mais non Michèle ! Tu fais n’importe quoi ! Ma parole on dirait que t’a jamais pompé un mec ! Regarde comment je m’y prends. »
Je suis vexée qu’elle me joue ce jeu devant le proviseur qui est amusé de nous voir nous chamailler sur sa queue. Dés qu’elle s’occupe de la verge du proviseur, celui-ci enfonce le clous en disant :
« Huuum… Angélique on voit la différence avec Michèle Tu suces comme une pro petite salope. Michèle prends exemple et après tu essayera d’enfaire autant. Si tu ne t’applique pas tes fesses chaufferons ! »
Je regarde avec la plus grande attention comment s’y prend Angélique. Puis elle me dit :
« Bon Ma chèrie, t’as compris ? Alors à ton tour et applique toi bien. J’ai pas envie qu’il nous punisse plus !! »
Quand je commence à le pomper, il pousse un grognement de plaisir. Angélique m’encourage et me dirige. Le proviseur me complimente sur ma façon de sucer et commence à m’insulter.
« Petite pute tu apprends vite ! C’est bien pompe à fond t’es une bonne avaleuse de bite salope ! »
Malgré sa vulgarité, je trouve ses propos flatteurs. J’y touve même un certain plaisir à être traitée comme une pute. Je suis surprise quand il me demande :
« Vous vous êtes déjà bouffée la chatte ensemble, Michèle ? »
La bouche prise par son engin, je ne peux lui répondre et c’est tant mieux. Mais c’est Angélique qui lui donne la réponse en se mettant à me lécher la fente et aggacer mon clito.
Ce vieux vicieux de proviseur profite au maximum de deux petite salope qu’il tient par son chantage d’exclusion de l’école. Trop excité, il nous lance brusquement :
« Les salopes vous êtes trop bonnes ! Viens sur ma bite Michèle ! J’vais m’lacher dans ton petit vagin de jeune chienne en chaleur ! »
Je suis si excitée que je me lève et m’assoie sur son pieux qui s’enfonce dans ma chatte détrempée et préparée par ma copine. Angélique me présente son coquillage et alors que le proviseur m’enfile, je bouffe la chatte gourmande de ma copine.
En quelques secondes, je la fais décoller et ses cris déclenchent l’éjaculation du vieux qui se lâche dans mon jeune vagin. De me faire mettre par le proviseur me fais à mon tour monter au septième ciel. Tout mon corps se convulse de façon anarchique et je suis prise de spasme incontrôlables.
Le proviseur se retire de ma chatte et nous dit :
« Vous êtes vraiment de bonne salopes. Je ne vais peut-être pas vous virer , mais il faudra être très gentilles avec moi ! Nettoyez-vous la moule et après filez ! »
On c’est mise en 69 et nous nous sommes nettoyé le minou devant ce vieux voyeur. Franchement, je préfère être humiliée que d’être virée. Dans ce 69 de plaisir, j’ai l’impression de me donner en spectacle dans une chorégraphie devant ce vieux cochon jouant au dominateur. Humiliée et honteuse du plaisir que j’y prends, je continue à la lécher pour lui donner du plaisir autant qu’elle m’en donne. Il faut aller jusqu’au bout pour que le proviseur ne nous punisse pas. De toute façon, au point ou on en est. C’est pas le moment d’abandonner.
Nous nous sommes ensuite rhabillées, attendant une sentence. Nous sommes soulagées quand nous l’entendons dire :
« Bon les putes ! Maintenant vous retournez en classe ! »
Nous sortons du bureau en se demandant à quelle sauce nous serons mangé par ce profiteur.
Ajouter un commentaire