10h 30 – Échange de partenaire.
Je dois enclencher les quatre roues motrices en grimpant la montagne suivant les feux arrière de la jeep de Karl le géant blond. En conduisant je raconte tout a Marie.
-Bof, fait-elle, on fait la même chose quant on visite un lieu historique a la recherche de fantôme, on leur fait de la pub.
-Wais mais y aurait put nous mettre au courant pour les comédiens.
-Cé sûr, mais le maire est pas le gars le plus brillant de la planète. Ce qui me fait chier ses que j’ai passé deux jours a repousser ses avances pour l’enquête plutôt que d’en profiter avec toi.
-Et oui ! Mais la ton enquête est sur la glace et ses couilles aussi.
-Pauvre lui, j’y est été un peut fort.
-On a tous entendue ça. Mais y ta montré quoi au juste si ses pas son zizi ?
Oh, une jolie grimace.
Le domaine était constituer de plusieurs bâtiment tapit sous la forêt tout en bois naturel et en pierre. On nous fit entrer dans une immense maison a air ouverte avec mezzanine décorer à la médiéval. On prit place sur un grand sofa devant un foyer gigantesque. Le feu nous réchauffa agréablement tandis que Karl nous servait Hydromel ou bière maison et que Viviane nous débarrassais de nos manteaux. Puis une fois assis tous les quatre elle raconta que son mari était supposer nous dire la vérité lorsque que je l’avais rencontrer à Montréal et que tout le monde pensait que l’on était au courant.
Pas miss Sally en tout cas, pensai-je.
-C’est pas grave, fit Marie, on c’est bien amuser en fin de conte. Mais le maire y vas se faire parler dans le toupet comme dirait Paul…
-En tout cas, lâcha Karl, le combat a matin wow ! Il leva ses deux pouces.
-Wais, rajouta Viviane, on aurait juré que votre dame voulait vous tuer Paul.
-Ben, fis-je, la dame était un peut fâcher parce que…
La je reçut un coup de coude dans les côtes.
Outch !
-Petite chicane de couple. Précisa Marie.
-Parlant de couple, Dit Viviane, un échange sa vous dirait ?
-Échange de couple ? Demanda ma blonde.
-Wais !
-Moi sa me vas. Fit-elle tout sourire en me regardant.
Elle avait envie de Karl et moi de la mairesse alors…
-Ok ! Fis-je déjà exciter.
-Parfait, fit Viviane en se levant et prenant Marie par la main pour l’entraîner rapidement avec elle par une porte donnant sur l’arrière de la maison. Ma blonde me regarda surprise avant de disparaître.
Shit !
Karl rit de bon coeur en se levant aussi et commençant a retirer ses vêtements.
Merde.
-Si on allait les espionner un peut Paul avant de leur sauter dessus les petites comique ?
-Oh, bonne idée. Dis-je soulager en me déshabillant aussi. Y a juste une dernière chose que j’aimerais savoir, y as pas d’enfant au village ?
-Pas assez pour que l’on est une école alors y passe la semaine a Seneterre et revienne la fin de semaine. 4h de route soir et matin, ce serait un peut trop, mais y vont être la pour l’halloween.
Karl avait un corps impressionnant couvert de tattoos runique lui aussi, tout en muscles et sa bite. Wow ! Un bon 10 pouces débander. Marie allait pas s’ennuyer avec lui et il fut bien impressionner par mon petit tattoo d’Homer.
Avec chacun une bière maison en main on prit la même porte, elle donnait sur un long couloir sombre en pente descendante, entièrement vitrer, traversant la forêt et pas chauffé. Le froid me saisit. Mes petites fesses se couvrirent de chaire de poule, celle plus grosses de Karl aussi. La pleine lune nous éclairait un peut à travers les arbres tandis que nous avancions. On arriva à un croisement mais mon guide continua tout droit. On descendit un escalier et le couloir se poursuivait au-dessus d’un petit lac jusqu’a une maison ronde sur pilotis. De la fumé sortait d’une cheminer et de grandes fenêtres fermer par des rideaux étaient éclairer.
-C’est la maison pour les invités, dit Karl, faite pas de bruit, même Viviane ne connaît pas le passage secret qu’on va prendre. Une fois a l’intérieur il ne faut pas parler, cool ?
-Cool !
La porte d’entrée donnait sur une autre et entre les deux il poussa doucement sur une des décorations près du plafond et le mur de droite s’ouvrit vers l’intérieur. On entra, je refermer doucement derrière moi, on se retrouva dans le noir absolu. Puis de minuscule plafonnier s’allumèrent tous les deux pieds environs. Je vis un long passage circulaire le long du mur extérieur de la maison et c’était juste assez large pour les épaules de Karl et, heureusement, c’était chauffé. Tant mieux, je ne sentais plus mes orteils. On fit une vingtaine de pas et le couloir tourna à angle droit vers le centre de la maison. On grimpa quelques marches, encore quelque pas et on redescendit pour entré dans une petite pièce circulaire ou trois grandes fenêtres donnaient sur tout l’intérieur. La cuisine, le salon ou brûlait un bon feu de cheminée et la chambre. Ici aussi c’était à air ouverte. Des glaces sans teint devinai-je. Les filles étaient dans le lit et s’embrassaient et se tripotaient déjà nue. Wow ! Au centre de la petite pièce ou nous étions, il y avait un grand banc circulaire, on s’y assit vers la chambre pour profiter du spectacle en buvant notre bière tranquillement et il se mit à pleuvoir, on l’entendait clairement crépiter tout la haut sur le toit.
Ce n’était pas la première fois que je regardais ma belle grande Marie baiser avec une autre femme mais c’était toujours aussi excitant. Je bander rapidement, tout comme Karl et son membre était de loin le plus gros que j’avais vu ailleurs que dans un film. Une longue bite recourber et comme moi il se masturbait lentement en profitant du spectacle.
Viviane avait toujours ses mini tresses de pubis et avait attacher ses longs cheveux noirs en queue de cheval. Les deux femmes étaient mince, sexy, bandante a mort. Étendue l’une sur l’autre elle s’embrasait, se frottait, se caressait et roulait sur elle-même en s’étreignant avec passion dans le grand lit pubis contre pubis. Leur langue pointue se croisait et s’agitait dans leur bouche, les mains pressaient des seins, des fesses ou frottait des sexes humide et ouvert.
Y as pas de plus beau spectacle que celui de deux femmes qui prenne vraiment du plaisir a baiser ensemble, pas seulement pour éxiter un homme.
Leurs petits orteils commencèrent a se replier ou se dresser, la pointe de leurs seins était tendue au maximum et elle se les sucèrent a tour de rôle avant que Marie ne se retrouve sur le dos jambe écarter avec Viviane accroupie entre ses cuisses nous offrant une vue splendide de son cul tandis quelle léchait la plote mouiller de ma blonde ou y enfonçait des doigts. Marie se tordait de plaisir et gémissait même si on ne pouvait l’entendre.
Puis au bout d’un moment on eu droit a l’inévitable 69. Je dut lâcher ma bite pour ne pas jouir tellement le spectacle quelle nous offrait était excitant, érotique, magnifique.
Au bout d’un long moment, Karl me dit à l’oreille.
-On va les rejoindre ?
J’acquiescer en terminant ma bière et on s’en retourna par ou on était venu.
11h15 – A quatre.
Quant on se pointa à l’entré de la chambre, Viviane leva la tête, ses yeux brumeux regardant nos sexes palpitant, Marie aussi et elle sourit en disant.
-Wais, sa bande vite cé gars la ou ben vous vous êtes amuser ensemble !
-Ouuu… Lâcha Viviane.
-Y voulait me mettre ça dans le cul, dis-je en pointant la bite de Karl, mais… Popa y as dit non !
Karl rit en me donnant une claque dans le dos a m’en décrocher les poumons.
Elle rirent aussi tandis qu’on embarquait dans le lit. Marie agrippa aussitôt la bite du géant et commença à le sucer du mieux quelle le pouvait tandis que Viviane me faisait la même chose.
Au bout d’un moment je me retrouver sur le dos épaule contre épaule avec Marie. Le géant lui tenait les jambes en l’air et la besognait avec force, pendant que Viviane se démenait empaler sur mon sexe. J’en profiter pour frencher ma blonde ce que je n’avais pas fait depuis longtemps. Karl la culbutait avec tant de vigueur que ces seins lui revolaient sous le menton.
Puis les filles se replacèrent en 69, Marie par-dessus Viviane, Thor baisant ma blonde tandis que Viviane lui léchait les couilles ou le sexe et celui de Marie, moi baisant Viviane ou me faisant sucer par ma blonde en me regardant dans le miroir bomber derrière lequel on les observait tout à l’heure. Je fini par jouir dans la bouche de ma belle grande rousse qui avala tout et Karl jouit en elle un peut plus tard.
On tomba tous les quatre exténuer dans le grand lit. Marie bien blottie dans les bras de Karl moi dans ceux de Viviane qui dit en soupirant.
-C’est vrai, vas y avoir le spécial de minuit.
-C’est quoi, demandai-je ?
-Bof, fit-elle, je m’en rappelle put, que mon idiot de mari s’arrange avec ça, si on allait se baigner ?
Je frissonner juste a entendre sa.
On se retrouva tous ensemble dans un spa surplomber d’un toi et chauffé près de la maison éclairer par des flambeaux a boire de l’hydromel. C’était génial avec la pluie qui tombait sur la forêt.
-Viviane, lui demandai-je, ton mari m’as amener une griffe et je lai fait analyser et sa n’appartient à aucun a****l connu…
-Celle de son grand-père.
-Son grand-père avait des griffes, c’était un loup-garou ?
Elle rit, les autres aussi.
-Ben non Paul, y travaillait au Manitoba et la ramener quand y est revenue au Québec. C’est une griffe de dinosaure y paraît. Un T-Rex même, tu peux la garder y en as toute une broîte.
-Cool. Et j’y pense, le vieux avec la marchette c’est le père de ton mari ?
-Wais, un vieux vicieux pourquoi ?
-Ben lui pis çé chum on essayer de me faire accroire qu’en arrivant au village l’autre soir on avait pas frapper un chevreuil, ni un orignal, mais autre chose.
-Des conneries Paul.
-Viviane ? Fit Marie à son tour.
-Ouais !
-Pourquoi ta repousser mes avances ce matin et la, ce soir…
-Parce que je me suis trouver idiote de ne pas avoir accepter. Bon y as tu d’autres questions les curieux.
-Non, moi sa vas, fit Marie en sortant une des ses longues jambes de l’eau. On l’admira tous.
Karl perdit un peut la tête et lui sauta dessus.
-Moi j’en est une autre Vivi.
-Quoi mon beau Paul, fit-elle en embarquant sur moi.
-Les deux gros yeux lumineux qui nous observe la bas sous les arbres ses quoi ?
-Bof, une grenouille, une marmotte, un chevreuil, ou un loup…
Ça langue se faufila dans ma bouche…
Il était une heure du matin quand on rentra à l’auberge. Tout était calme et tranquille dans le village et il pleuvait averse. Le spécial loup-garou avait du être annulé. Après une bonne douche chaude on se glissa sous les couvertes nu avec une bonne coupe de vin avant le dodo et la porte s’ouvrit.
Marie se cacha les seins en voyant entré Miss Sally qui referma la porte et s’approcha du lit, le regard fixe en traînant les pieds. Visiblement son mari ne lui avait pas parler. Elle commença à se déshabiller, doux Jésus.
Je regarder Marie en bandant sous le drap. Je lui avait apprit quelle jouait la comédie mais pourtant elle dit.
-Paul, réveille la !
-Ben, ses dangereux y parais de réveiller une somnambule.
-Wais, cé vrai ! Fit-elle en regardant Sally déjà nue qui contournait le lit avec ses gros seins qui ballottaient. Elle souleva le drap et grimpa par dessus marie et s’installa entre nous et fixa le plafond en agrippant ma bite pour me masturber sous la couverte et visiblement masturber Marie aussi car elle plissa les yeux.
-Qu’est ce qu’on fait minou ? Lui demandai-je.
Marie sourit en posant sa coupe et dit.
-Bien, elle est superbe la belle Sally si on en profitait pour lui faire des petites chatouilles.
-Oh, et des petits becs mouillé tout partout mais surtout sous les genoux et les coudes.
Miss Sally sourit. Tien ! Tien !
Toc ! Toc ! Toc !
On sursauta tous les trois.
-Vous avez vu ma femme ? Demanda le faux aubergiste a travers la porte.
-Non. Criai-je en même temps que Marie et on rit tous les trois en entendant le mari s’éloigner.
Mon coeur cognait à toute allure en repensant à la hache.
Deux jours plus tard on rentra à Montréal. Le tournage était terminé, le maire avait disparue, voyage de pêche y paraît. On rentra dans la métropole escorter par une envolé d’oie sauvage, sa fit la hune des journaux.
Petit Jésus.
J’espère que vous avez apprécier. Si vous voulez une autre aventure avec Marie et Paul dite le moi. J’aime bien ses personnages.
Merci !
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