Dans ma vie de débauchée j’ai rarement résisté à mes pulsations sexuelles.
Depuis toute petite j’ai tenu un journal intime puis adulte j’ai continuée à consigner les faits de ma vie ce qui me permet maintenant de me repasser ces moments plus ou moins avouables.
Ecrire meublait notamment mes soirées de solitude car mon mari était souvent en déplacement pour son travail.
Le problème c’est que souvent quand j’écrivais en me remémorant mes ébats sexuels du moment je devais me masturber, me doigter ou me servir d’un gode pour apaiser les envies qui montaient dans mon ventre.
Jamais Pierre mon mari n’a cherché à voir ce que contient le coffret fermé à clé qui recèle mes secrets et le récit de mes frasques.
Mon amie Martine et moi, comme deux bonnes salopes, multiplions les relations sexuelles avec des hommes de différents milieux.
J’ai appris par Didier un de mes généreux amants qu’un événement spécial se prépare et j’en parle à mon amie.
Un groupe de personnes d’un bon milieu, adepte de parties fines envisage d’organiser un marathon du sexe et recherche des femmes endurantes.
Nous savons que lorsque ils se réunissent le buffet est bien garni et qu’ils sont friands de nouveautés pour agrémenter leurs ébats, en plus ils sont très généreux avec leurs invitées.
A l’affût de nouvelles expériences nous décidons de postuler pour leur soirée qui sort de l’ordinaire bien que nous sachions qu’il n’est pas question de faire l’amour mais juste de faire éjaculer le maximum de fois des mâles.
Recommandées par Didier ils acceptent avec empressement notre participation, de la viande fraîche les intéressent.
Le jour dit nous soignons notre tenue afin de leur faire bonne impression tout en sachant que ce n’est pas la vue de notre tenue qui les intéresse.
Nous nous rendons à l’adresse indiquée et nous sommes reçues dans une grande et belle demeure située au milieu d’un grand parc arborisé et fleuri.
Nous sommes un peu intimidées en entrant dans les lieux qui respirent l’aisance et sont très bien meublés et décorés.
Une personne nous accueille puis nous dirige vers une grande salle annexe.
A l’intérieur sur une grande table nous apercevons de la victuaille et des boissons.
Dans pièce d’un côté sont disposés des fauteuils et des chaises, de l’autre des plaids sont étalés sur (je suppose) des matelas.
Didier nous présente aux personnes des deux sexes déjà présentes, nous buvons un verre de champagne en attendant que tout le monde soit arrivé.
Deux femmes habillées en soubrettes font le service.
Quand tout le monde est arrivé, pendant que nous buvons un verre, un homme prend la parole, il récapitule comment la soirée va se rérouler et rappelle le règlement.
L’organisation semble bien au point.
L’ordre de passage des hommes est tiré au sort car ils sont une vingtaine, donc nettement plus nombreux que nous les femmes qui sommes nettement minoritaires d’autant plus que plusieurs participantes se sont désistées au dernier moment.
Avant toute pénétration ils doivent mettre dans une soucoupe posée près de nous un jeton numéroté permettant de savoir combien de rapports chacun d’eux aura eus et combien de fois chacune des femmes aura été pénétrée.
Il est demandé aux participants et participantes de se déshabiller puis aux femmes de s’allonger sur les plaids.
Côté hommes il y en a de toutes les âges, tailles et corpulences, idem concernant leurs sexes qui vont du petit au très gros.
Nous sommes six femmes allongées pratiquement côte à côte. Il y a en plus de Martine (couchée à ma droite) et moi, Karine une fausse blonde un peu enveloppée à forte poitrine, Nadine une brune longiligne à petits seins, Fanny (couchée à ma gauche) une black avec des jolis seins en forme de poires et une toison bouclée, Anna une fausse rousse pas très grande mais bien proportionnée.
Une autre, Julie est assise sur un fauteuil, elle attend vêtue d’une jupe et avec la poitrine nue que les hommes viennent à elle pour les remettre en forme avec ses mains et sa bouche. C’est sa période de menstrues et elle ne peut donc être pénétrée par un pénis.
Des serviettes de toilette sont posées à côté de chaque femme pour les hommes qui ne doivent pas éjaculer dans notre vagin.
Debout à nos pieds et impatients les six premiers hommes guettent le signal pour se ruer sur nous. Rien qu’à regarder notre corps et notre sexe offert ils bandent déjà car nous les attendons les jambes écartées.
La vue de notre corps et surtout de notre intimité offerte leur fait de l’effet.
Le départ est donné, rapidement mon premier partenaire met un jeton dans la soucoupe, s’allonge sur moi et sa queue me pénètre sans précautions, heureusement que la situation m’excite car ma chatte est humide et de plus je l’ai lubrifiée avant de venir.
Les va-et-vient de son pénis dans mon vagin commencent, je donne des bons coups de reins pour l’accompagner et en finir rapidement et c’est ce qui arrive au bout de quelques minutes, j’ai à peine le temps de sentir la verge coulisser dans mon intimité qu’il se retire et éjacule dans une serviette.
Il met un autre jeton, qu’il tenait dans sa main, dans la soucoupe et me pénètre de nouveau car il bande toujours et ne veut pas attendre qu’une autre chatte soit libre. Nous remuons de concert, je caresse son torse et son dos pour maintenir son excitation.
Il n’est pas trop long avant d’éjaculer de nouveau, les mouvements rageurs de mon bassin ont pour but de raccourcir la durée de notre étreinte.
Il se lève et va boire un verre en attendant de se faire masturber et sucer par Julie qui est prête à remettre son pénis en forme pour être d’attaque quand une chatte sera disponible. L’attente est trop longue ce qui a pour effet de le faire débander.
Il devra encore se faire masturber au bon moment avant de d’avoir un nouveau rapport sexuel.
Pendant ce temps rapidement un autre homme s’est allongé sur moi et comme le précédent me pénètre et me délaisse après avoir également joui deux fois.
Un troisième partenaire se couche sur moi et sa grosse verge coulisse dans mon intimité en écartelant les chairs. Je donne le maximum d’amplitude à mes coups de reins et j’accélère le rythme des va-et-vient de la queue dans mon intimité en l’obligeant à suivre ma cadence car je veux qu’il éjacule au plus vite pour que le plus d’hommes possible me passeront dessus ce qui est le but de cette soirée.
Les verges d’hommes différents se succèdent dans mon intimité dés que je suis disponible.
Les aller-retour incessants des queues dans mon vagin me font de l’effet et sont rythmés par les clapotis de ma mouillure, en vain j’essaie de penser à autre chose pour limiter l’intensité du plaisir dans mon ventre.
A ma gauche Martine gémit de plus en plus suite aux pénétrations successives et au bout d’un moment son corps remue de plus en plus et à un moment elle commence à râler et c’est le début des orgasmes pour elle.
Remis en forme par Julie les mâles continuent sans relâche à nous défoncer à tour de rôle, les étreintes sont de plus en plus longues et leur durée est variable selon les individus.
Comme ma chatte est sans cesse occupée et que les mâles ne me laissent pas de répit, je commence à fatiguer et à avoir très chaud, j’ai le dos en sueur. Le plaisir augmente dans mon ventre, je ne peux plus me maîtriser et moi aussi je finis par être emportée par des orgasmes.
Nadine qui est très bruyante et n’arrête plus de jouir depuis un moment n’est plus en état de continuer, le regard dans le vague elle se lève et en titubant va s’affaler sur un fauteuil pour récupérer.
Martine râle beaucoup et emportée par les orgasmes de plus en plus rapprochés ne bouge plus que par intermittences quand elle se fait défoncer.
Fanny supporte sans broncher les assauts des mâles, elle ne jouit pas et enchaîne les pénétrations comme une machine.
A force d’être pénétrée et de subir des accouplements de plus en plus longs je ne suis plus non plus très lucide après des jouissances qui me laissent sans force.
Je mouille beaucoup et les aller-retour des queues dans mon vagin font que la cyprine coule dans la raie de mes fesses.
Les hommes ne veulent rien lâcher et doivent se donner de plus en plus de mal (et certains beaucoup plus que d’autres) pour arriver à jouir car ils ont déjà visitées plusieurs vagins et éjaculé plusieurs fois chacun alors leurs coups de reins sont violents, des queues tapent dans le fond de mon vagin et les testicules frappent contre mes fesses.
Le plus difficile à supporter ce sont les partenaires qui ont déjà bien jouis dans d’autres chattes et qui viennent me pénétrer et après m’avoir défoncée éjaculent puis présomptueux me pénètrent de nouveau bien que leur érection ne soit plus très satisfaisante, je dois beaucoup m’activer et accompagner leurs coups de reins par des mouvements rapides et importants de mon bassin.
Je ne veux pas m’avouer vaincue et je continue à accueillir dans ma chatte des pénis qui y restent de plus en plus longtemps ce qui fait que le plaisir ne baisse pas dans mon ventre et celui dont la verge défonce mon vagin reste indifférent aux spasmes et jets de cyprine qui accompagnent mes orgasmes de plus en plus rapprochés trop occupé car il est trop occupé à atteindre sa propre jouissance.
De temps en temps les serveuses apportent aux femmes un rafraîchissement que nous buvons sans nous relever contrairement aux hommes qui ont tout le temps de se servir au buffet.
Nadine aide maintenant Julie à remettre les hommes en forme en les masturbant et leur faisant des fellations, mais au fur et à mesure que le temps passe ils sont de moins en moins nombreux. Arriver à l’érection est de plus en plus difficile pour eux et certains n’y arrivent plus.
C’est un concert de gémissements et de râles, sous les assauts répétés et les étreintes de plus en plus longues les femmes éprouvent beaucoup de plaisir et jouissent plus fréquemment.
Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé entre la première pénétration et le moment ou les ébats cessent faute de combattants mâles mais j’ai perdu la notion du temps, je suis épuisée et bien que je les essuyais de temps en temps j’ai les fesses trempées par ma mouillure et ma cyprine.
Nous regardons tous Fanny qui supporte l’assaut du dernier mâle encore capable de bander, leur étreinte dure longtemps. La sueur coule sur leurs corps et fatigués ils grimacent, Fanny pousse des cris et son partenaire souffle beaucoup.
Ils ont du mal mais s’acharnent pour réussir à conclure et restent un moment l’un sur l’autre à récupérer en respirant fort après que l’homme aie eu un semblant d’éjaculation.
Après un moment de répit pendant lequel nous reprenons des forces, direction les salles de bain puis nous nous rhabillons.
Une personne donne les résultats:
Les hommes ont eus entre 4 pour le moins fort et 9 rapports pour le meilleur avec une majorité de 5 rapports.
Pour les femmes Fanny s’est fait prendre 22 fois, moi 21 et c’est Nadine qui s’est fait prendre le moins de fois handicapée par ses multiples jouissances.
Après avoir reçues notre récompense nous nous restaurons et buvons profitant du buffet dressé sur la grande table.
Je m’approche de Fanny.
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<<ça fait plus de 10 ans que je tapine et il faut voir le nombre de clients que je fais certains jours>>.
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Je ne sais pas quoi lui répondre.
Ils envisagent d’organiser sur le même principe un marathon de la fellation, sans moi car je veux bien me faire défoncer le cul ce qui se répare facilement avec des crèmes et du citron mais je ne veux pas passer plusieurs jours avec la bouche et la mâchoire endolories par de nombreuses fellations et assauts de pénis dans cet orifice.
Un à un les participants quittent les lieux, nous en faisons autant après avoir reçues des propositions de rendez-vous de la part d’hommes qui n’auront pas de soucis pour rémunérer très largement nos services.
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