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Le chantage de mon patron – Damaris 2

Le chantage de mon patron – Damaris 2



Mon patron a baisé ma femme chez moi, sous mes yeux à la suite d’un abominable marché, mais qui me permettait d’éviter la prison.
Damaris m’appelait de chez lui.

Il l’avait emmené chez lui pour qu’elle passe la nuit avec lui.
Il ne lui avait permis de mettre ni soutien-gorge ni corsage, en fait, elle fit la route le buste dénudé après avoir sucé sa bite et avalé son foutre.

Damaris me demanda si je l’entendais clairement, je dis que oui, elle avait posé le récepteur et évoluait dans la pièce où ils se tenaient.
François voulait que j’entende ce qui se passait, c’est tout ce qu’elle me dit.

J’entendis alors François lui ordonner de virer sa jupe et sa petite culotte.
Il lui dit qu’elle était une gentille petite femme bien obéissante et une bonne petite salope pour exécuter ainsi, à la lettre, ses ordres.
Je savais que très bientôt ma copine allait se faire baiser pour la première fois par un autre que moi.

Déjà qu’elle avait avalé du foutre pour la première fois,
Je ne parvenais pas à croire en ce qui nous arrivait, mais c’était de ma faute, c’était moi qui avais détourné des fonds de la compagnie.

Si seulement j’avais su ce à quoi devrait accepter ma copine pour m’épargner la prison. Ma chérie allait non seulement se faire baiser par mon patron, mais aussi par d’autres hommes quand il le déciderait.
Elle allait lui servir de jouet sexuel tant qu’il aurait envie de ses charmes.

Et ce ne serait pas tout, j’entendis François lui dire :
– « Couche-toi sur le dos et tu écartes les cuisses en grand! … Tu n’es plus que ma petite pute dorénavant! … Tu seras ma salope! … t’as compris? … »

Au travers de ses reniflements et de ses sanglots j’entendis Damaris approuver :
– « Oui… Je… Je ferai tout… Tout ce que vous voudrez! …. »
– « Et maintenant Je vais te baiser et jouir en toi » lui annonça Dan.
Je savais qu’il disait cela pour mieux me torturer.
– « Dis lui ce qui se passe! … »
– « Il me baise! … » j’entendais les claquements des ses couilles venant frapper sa croupe.

– « Dis-moi que tu es une salope! … Dis-moi que tu n’es qu’une petite pute! … Dis-le! … »
– « Je… je suis une salope… Une pute! … » cracha-t-elle d’une voix tremblante.
– « C’est bon, rappelez le vous tous les deux! ….’ s’exclama François hilare.
Il dit quelques minutes plus tard :
– « Dis lui ce que je te fais! … »
Damaris pleurnicha :
– « Mon chéri il.. Il jouit dans mon ventre! … »
– « Et maintenant suce le reste et nettoie ma pine ma salope! … » entendis-je François lui intimer.
– « Bonne nuit toi, passe la prendre demain à 6 heures et demi! … Sois exact au rendez-vous ni en avance, ni en retard, à 6 heures et demi-pétant… « 
Sur ce il reposa le téléphone.

Je me demandais bien ce qu’il allait lui faire au cours de cette nuit. Je me haïssais d’avoir condamné ma femme à faire cela. Cependant je ressentais un début d’excitation à la savoir baisée, utilisée pour le plaisir d’un tiers.

Le lendemain matin j’arrivais à l’heure exacte à la maison de François. Je m’étais vêtu pour aller travailler et avais amené quelques vêtements pour Damaris.
Alors que j’appuyais sur la sonnerie, François hurla :
– « Entre! … » j’ouvris la porte et pénétrais dans la maison.
François ajouta:
– « Viens par ici! … »
Je me dirigeais vers l’endroit d’où provenait sa voix et arrivais à sa chambre, la porte était ouverte.
– « Entre! .. » m’invita Dama suavement. Elle était étendue toute nue sur son lit, il était tout aussi nu.
– « Dis à ton mari ce que tu voudrais qu’il fasse! …. Allez, dis le lui! … »
Damaris me regarda et dit :
– « Viens ici et lèche ma chatte! … » je voyais de grosses larmes perler dans ses yeux je savais qu’il la forçait à me dire cela.
Je savais tout autant que je devais m’exécuter.
Sous les yeux de François.
Comme je me plaçais entre ses cuisses et que je commençais à lécher sa fentine, je me dis qu’il venait tout juste de la baiser.
Du foutre s’écoulait de son trou vaginal.

– « Plonge ta langue profondément en moi! … » me précisa-t-elle.
Je lui obéis docilement.
Lorsque j’en eus fini, elle ajouta :
– « Ce n’est pas tout! …. » et elle se retourna pointant son cul dans les airs.
– « Lèche mon trou du cul! … » poursuivit-elle le visage enfoui dans un oreiller.

– « Je ne crois pas qu’il t’ait entendu! … » intervint François cyniquement.
Damaris tourna la tête vers moi et répéta :
– « Lèche mon trou du cul plein de foutre! … je me penchais sur ses fesses.
Je lui léchais l’orifice anal, je lui enfonçais même la pointe de ma mangue dans son trou du cul.
– « Plus profond! .. » s’exclama-t-elle.
Je m’exécutais servilement.

Lorsque j’eus terminé, François prit la parole.
– « Damaris va se préparer à se rendre au pôle emploi maintenant? … Assieds-toi et attends un instant pendant que je déjeune… As-tu aimé le tien ? …. »
Dama se leva et se rendit dans la salle de bain. Elle prit une douche rapide, se coiffa et se maquilla.

– « Je t’ai amené quelques affaires… » lui dis-je d’une voix sourde.
– « Je n’en ai pas besoin… » me répondit-elle.
– « J’ai apporté mes affaires hier soir… « 
– « De toute manière je dois porter ce que François m’a préparé ce matin… »

Elle sortit de la salle de bain vêtue de la jupe qu’elle portait hier soir, une jolie jupe en jean qui s’arrêtait une quinzaine de centimètres au-dessus de ses genoux, un chandail rose qui se boutonnait sur le devant et ses loafers noirs.

Je remarquais d’emblée qu’elle ne portait ni bas ni soutien-gorge, ni culotte devinais-je instantanément.

Sa jupe était jolie, le seul ennui c’est qu’elle ne portait pas de culotte en dessous.
Son chandail était joli, mais elle ne portait pas de soutien-gorge en dessous.
Lorsqu’elle bougeait ses nichons se balançaient au rythme de ses pas, on distinguait clairement ses mamelons au travers du fin lainage.

J’étais ébahi.
– « Emmène-moi au pôle emploi! .. » Soupira-t-elle.
– « Nous n’avons pas la possibilité de lui désobéir! … .
Elle rassembla ses affaires et nous partîmes.

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