Histoires de sexe mobiles Premières histoires de sexe

Après midi

Après midi



Je suis professeur de Math dans un lycée à Montpellier et j’aime bien m’y rendre parfois à vélo. Dans les embouteillages de la ville le matin, on peut passer dans le couloir cyclo et autres petits détours. J’aime aussi le prendre pour faire des courses rapides à mi par exemple. Jeudi 7 juin, il faisait chaud, j’ai laissé ma veste dans la salle des prof et je suis allée faire un petit tour chez Lidl. J’ai une grosse poitrine et quand j’enfourche mon vélo cela me fait des sensations. On va dire que mon minou sur la selle me procure divers mini débuts d’orgasme avec ma jupe. J’aime quand je pédale, mes seins s’entrechoquent et bougent dans mon soutif. Je me sens libre et sexy. Le regard des hommes ainsi que celui des femmes sur mes nénés leur font sourire sûrement pensent-ils ou elles, quelle belle paire à toucher et à embrasser. Il faut dire comme il faisait chaud, j’avais mis un string ficelle du plus bel effet et un bandeau pour ma poitrine. Sur la route, la selle excitait à chaque petit soubresaut de ma roue mon minou et je me sentais légère. A travers mes lunettes de soleil, je mate bien les hommes que je croise ainsi que les femmes. D’ailleurs ces dernières osent parfois un petit compliment ‘’jolie robe’’ ou ‘’superbe tenue’’ – je comprends que l’allusion est surtout sexuelle. Moi-même j’ai envie de répondre :’’ton petit cul dans ce jean slim est à croquer et que ma langue sur tes tétons excitant salope’’, ou ‘’si je descends de mon vélo et que je soulève ta jupe pour un doigt dans ton minou, tu deviens de suite mon esclave’’.
Donc ce jeudi en question, j’arrivai à fière allure sur l’avenue des Etats du Languedoc, après être passée devant la station en évitant une mamie et un pépé, puis une poussette, j’ai failli tamponner un grand chauve qui venait dans ma direction. Généralement je continue mon chemin or ce jour j’ai fait demi- tour et je suis venue m’excuser. Je l’ai tapoté sur l’épaule vu qu’il écoutait de la musique à fond. Il s’est retourné, ses yeux se sont posés sur moi et je me suis sentie toute chose. Il me regardait dans les yeux, à chaque instant on me parle, on regarde dans les yeux et sur mes seins par la suite (ils sont attirants et ils pointent un peu à travers le bandeau). On a discuté de tout et de rien, je sentais une chaleur descendre de mes seins et à mon pubis telle une lave volcanique. Ni de une, ni de deux, je lui ai dit direct :’’ j’ai envie de vous embrasser’’ et il m’a répondu :’’avec plaisir’’. J’ai posé mon vélo et contre la clôture de la Résidence où nous étions, il a pris l’initiative. Il m’a coincé contre la clôture et a passé sa langue tout autour de mes lèvres, j’en frissonnais. Puis nous nous sommes embrassés comme des bêtes, ma main sous son tee shirt, lui caressant le torse et les seins et lui, pinçant sous mon chemisier mes tétons et de l’autre main mes fesses. J’ai senti de suite une grosse bosse vers l’entrée de mon sexe. Je lui ai murmuré à l’oreille :’’ j’ai envie de ta bite en moi’’ il m’a dit ‘’ d’accord, accompagne-moi j’habite à Antigone.
Nous nous sommes lâchés et il m’a aidé à reprendre mon vélo pour aller chez lui. En chemin, il m’a dit, j’aimerai que tu enlèves ton string. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, j’ai obéi, et j’ai fait glisser mon string de mes fesses à mes pieds. J’avais le minou et les fesses à l’air en poussant mon vélo, lui, il a plié son string et mis dans sa poche. Il y avait un peu de vent qui soulevait ma robe et qui faisait prendre l’air à mon cul et à mon sexe. C’était doux. J’aurai voulu enlever mon bandeau pour avoir les seins à l’air mais mon chemisier était blanc et transparent. A travers le bandeau, mes seins pointaient et on voyait le bout des tétons. Excitée j’étais. Arrivés devant la porte de son immeuble, il m’a laissé passer la 1ère, j’ai senti sa main caressé mon beau fessier, ma chatte mouillait de l’autre côté. Nous sommes rentrés dans l’ascenseur, j’ai osé mettre ma main sur son sexe, et sortir un sein. Mon sein était beau et mon téton avait envie d’une langue affectueuse et douce. Le vélo était entre nous, il put me caresser le téton, ce qui a déclenché en moi, une violente pulsion à le violer de suite. Il habitait au fond du couloir, j’ai tenté une expérience, j’ai enlevé mon chemisier, ma jupe et j’étais nue dans ce couloir à pousser mon vélo devant les yeux et la bite excitée de mon inconnu. Il tremblait un peu à trouver la bonne clé tandis que je lui disais ;’’ j’ai de la chance d’avoir trouvé la bonne queue car je suis mouillée et excitée, mes seins ont envie et mon sexe a trop trop envie’’. Aussitôt la porte franchie, il a déposé mo vélo et m’a sauté dessus. Il s’est mis nu et je me suis accroupie pour lui faire une pipe de ouf. J’ai commencé à avaler direct son pénis, à lui lécher les boules et à contrôler la tige au fond de ma gorge. Je suçais comme une folle la tige tendue, il me disait :’’ oui grosse salope, pompe-moi’’. Je le pompais doucement et plus vite, de la bave sortait de ma bouche car j’avais envie de l’engloutir, d’avaler cette bonne pipe. Puis je l’ai branlé de ma main en remontant vers sa bouche, caressant son torse et suçant ses tétons en les mordillant un peu. J’ai vu que son appart donnait sur plusieurs autres. J’ai poussé le rideau ouvert la fenêtre et penchée sur la rambarde afin que mon sexe et anus soit en évidence. Il m’a pris par le petit abricot tout en caressant mes fesses. Mes seins ballotaient devant la rambarde et je vis 2 hommes qui mataient. Cela m’a excité encore plus pendant qu’il me bourrait le sexe, je suçais mes seins pour mes voyeurs. Je passais ma langue sur le contour de mes lèvres et je me caressais les cheveux. Je suis par la suite appuyée les mains face au mur afin que les deux voyeurs puissent apercevoir mes fesses. Contre le mur, j’ai touché mon clito en pensant à un mes voyeurs qui m’embrassait les seins et me touchait le bas ventre. Puis il m’a remis face à la fenêtre ouverte et j’ai écarté mon fion afin qu’il me sodomise tout en bougeant mes gros seins à l’attention des 2. Je n’avais pas bien regardé mais en dessus de l’appart de mon baiseur, un couple faisait à peu près la même chose. J’ai pris mon inconnu et je l’ai mis sur le lit et je suis montée pour le chevaucher, contrôlant la cadence. J’avais envie de ses mains écrasant mes seins mais il ne me tenait que par les cuisses. J’ai dû inventer dans ma tête que le mec m’embrassait les seins et écrasait mes nénés pour trouver un peu de jouissance. Après quelques coups de queue, il sortit de moi pour éjaculer sur mes seins. Il m’a poussé de côté et m’a dit de me rhabiller. Ce fut un peu choquant car je n’avais pas pris mon pied. Il me dit que je devais partir car sa copine arrivait après. J’ai dû m’habiller à la va vite et m’enfuir comme une voleuse. En bas de lui, jetée comme une vulgaire chaussette, et comme je ne reprenais qu’à 15h30, j’ai appelé mon ami Fred pour qu’il puisse venir me chercher. Il est arrivé et j’ai pleuré dans ses bras. Il comprenait que j’avais eu un pépin. On est revenu chez moi et enfin je l’ai raconté ce qu’il s’était passé. Il a été compréhensif comme d’habitude, il m’a dit de prendre une douche, il a mis mes vêtements dans la machine à laver puis il est monté me rejoindre dans la douche. Nous nous sommes caressés et embrassés. Il m’a déposé sur le lit et s’est mis face à moi nu. Il m’a caressé le corps, la poitrine, caressé le minou, les jambes et j’ai fait de même avec lui. Nous nous sommes embrassés et enlacés pour oublier ce triste souvenir. Il m’a dit :’’ ne sois pas triste, je vais m’occuper de ton minou et tu seras peu enjouée’’. Il est descendu vers mes seins en les écrasant et en mordillant les tétons, ma chatte mouillait terriblement. Il m’a embrassé le ventre si chaud pour arriver à mon humide entrée. Les quelques poils sur le dessus, il a passé la langue dessus et à attient mon clito, il l’a sucé doucement et a embrassé mes jambes. J’avais des picotements dans mon sexe, il a mis deux doigts à l’intérieur, c’était hyper chaud et m’a donné les doigts à sucer. Il a pris sa bite, il l’a entré en moi sans rien dire, hummmm quel délice cette grosse bite. Puis sa bite est sortie, ma caverne ouverte, il a engouffré sa langue qui me léchait et suçait tout. Je transpirais de bonheur. Il me donna quelques doigts à sucer et je les ai ‘presque’ mangés. J’ai ouverte entièrement comme une huitre et il allait avec sa langue au plus profond de moi mon corps montait de plus en plus, j’ai eu des mini orgasmes, puis je sentais venir de loin un des plus puissants. Mon corps était haut sur le lit et sa bouche avalait ma mouille et était collée contre mon sexe. Il ramonait ma cheminée, j’ai écrasé moi-même mes seins, il me tenait par les fesses et allait avec sa langue tout plus loin en moi. Et après mille langues, j’ai poussé le plus long des soupirs de jouissance. Il est retombé près de moi et je l’ai tenu contre moi. J’ai mis sa bite au chaud dans mon sexe pour le remercier de ce très beau cadeau.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire