On sonne à la porte. Agnès et Claire-Lise, deux étudiantes de 18 ans, se tiennent sur le palier, un dossier à la main.
-Bonjour Monsieur, nous cherchons à rassembler 5000 francs pour financer notre voyage de fin d’année au Boukhistan.
Hubert, le jeune retraité, dodeline de la tête.
-Franchement, Mesdemoiselles, s’il fallait aider tout le monde…
-Qu’est-ce que c’est, Hubert? dit une voix féminine depuis la pièce voisine.
-Rien, deux étudiantes…pour leur voyage d’étude, ou quelque chose comme ça.
-Eh bien, fais-les entrer, dit la femme en s’approchant.
La petite dame rondelette sourit aux jeunes filles.
-Vous savez, mes petites, on n’a pas trop le sou…bonne chance à vous.
-Attendez, attendez, lance Claire-Lise. Vous ne savez pas ce que nous pouvons vous offrir. Pour 50 francs, on peut branler Monsieur…ou vous, Madame, de bonnes caresses avec nos doigts. Pour 100 francs, on le suce..
-Ou on vous lèche, précise Agnès.
Le couple se regarde.
-C’est vrai que nous manquons un peu de piment depuis quelques temps, depuis qu’on entend plus notre fille gémir dans la pièce à côté, pendant que son copain lui monte dessus.
-ça c’est vrai, acquiesce la dame. Qu’est-ce que tu en penses, Hubert?
-Oui, mais 100 francs, on ne les a pas comme ça…
Sa femme a les yeux qui brillent.
-Mais si, dans le pot de thé, je garde toujours une réserve. Allez, entrez mes chéries. Comment vous appelez-vous?
-Moi, c’est Agnès, dit Agnès.
-Moi, c’est Claire-Lise, dit Claire-Lise. Alors, qu’est-ce que vous voulez qu’on vous fasse?
-Je suis sûr qu’il doit déjà bander, ce vieux cochon, à l’idée de se faire sucer, dit la petite dame. Dis que je me trompe, vieux vicieux?
-Et avec la main, c’est 50 francs? demande le vieux monsieur à Claire-Lise.
-C’est cela. Vous voulez que je vous fasse une branlette?
-Va pour une branlette…on peut s’installer au salon? Comment comptez-vous faire?
-Installez vous sur votre canapé, je vais me mettre à côté de vous, et je vais vous branler.
-Et je pourrai voir vos seins?
-Non, dit Claire-Lise. C’est juste une branlette.
-Et moi, je regarde, dit la petite dame. Il n’aura qu’à reluquer mes nichons.
Claire-Lise commence à branler le retraité. Elle est habillée de manière tout à fait quelconque. Elle n’est ni belle, ni laide. Châtain clair, les cheveux mi-longs…l’air un peu trop sérieuse… mais elle branle bien. Sa main est douce. Ses mouvements sont lents, mais jouissifs.
-C’est bon comme ça?
L’homme ne répond pas, il grogne de plaisir. Sa femme, en face dans un fauteuil, les regarde avec des yeux vicieux. Sa bouche est entr’ouverte.
-Vas-y, Geneviève, sors tes nichons…s’il-te-plaît..excite-moi.
La dame ne se fait pas prier. Elle se masse les seins.
-Et vous, Madame, vous ne voulez rien? demande Agnès.
-Non, chérie, merci, ça ira.
Anne-Lise branle toujours, imperturbable, sérieuse, concentrée.
Geneviève s’échauffe, et brusquement déboutonne sa chemise. Elle tente de dégrafer son soutien-gorge, qui peine à contenir deux globes laiteux très évasés.
-Attendez, je vais vous aider.
Agnès s’empresse de dégrafer le soutien-gorge. Les deux gros seins, libérés, tombent un peu, mais ils semblent exciter la jeune fille, qui les prend dans ses mains.
-ça vous plait de voir qu’on caresse ainsi votre femme, n’est-ce pas? dit la branleuse d’une voix toujours douce.
L’essoufflement de l’homme parle de lui-même.
-Oh, et puis merde, j’en ai trop envie, lance Geneviève, les yeux brillants.
Elle se relève, défait sa ceinture, laisse tomber sa robe, baisse sa culotte, et la voilà nue, petite poularde grassouillette, la touffe encore noire.
-j’ai envie de me faire lécher.
Le ton est impératif.
-D’accord, Madame, dit simplement Agnès.
Geneviève se rassied, écarte un peu les jambes. Agnès s’agenouille, et fourre son visage dans la touffe.
-oui, oui, ouiiii, lance-t-elle, en montant dans les aigus. Attends, ce sera mieux comme ça.
Elle avance les fesses vers le bord du fauteuil, et s’écarte bien les cuisses.
La jeune fille lèche la grosse dame.
.-Salope, tu ne m’avais jamais dit que tu rêvais de te faire bouffer la chatte par une gamine.
-Eh bien oui, j’ai envie de me faire bouffer…vas-y…bouffe-moi… par une gamine! Hein, tu es une bonne gamine, tu aimes lécher une vieille chatte pleine de jus, dit-elle à Agnès, toujours sagement agenouillée. Je pourrais être ta maman.
Agnès s’interrompt pour retirer quelques poils coincés sur sa langue.
-Je crois qu’elle n’aime pas tant que cela bouffer de la chatte, lance soudain Anne-Lise, sans s’arrêter de branler. C’est plutôt moi que ça exciterait.
-Tu veux qu’on échange? dit Agnès à sa copine. Madame, ça ne vous fait rien si c’est Anne-Lise qui vous lèche?
– Oh oui, bonne idée, c’est toi qui va me lécher, dit-elle en fixant Anne-Lise avec convoitise…bon sang, vous me faites mouiller comme une salope, les filles. Bien sûr que j’aimerais qu’Anne-Lise me le fasse.
-ça ne vous fait rien, Monsieur, si je vais m’occuper de votre femme? Vous verrez, Agnès vous branlera très bien.
A peine les deux jeunes filles ont-elles échangé leur fonction que la tension monte d’un cran dans le salon aux couleurs ternes. Il faut dire que la langue d’Anne-Lise vibre comme une folle, virevolte sur le con de la grosse dame soupirante.
-Ah! C’est encore meilleur que ta copine! C’est trop bon ce que tu me fais, petite gouine! Il faudra que tu viennes toutes les semaines me faire mouiller comme une salope.
-Tournez-vous, Madame.
Geneviève, à genoux, présente son gros fessier à la langue fouineuse de la jeune fille, qui passe ses mains fines sur les cuisses grasses, et dont le visage disparaît, comme aspiré par la raie velue de la vieille dame.
-Je vais jouir, je vais jouir, prévient Geneviève.
-Putain, Geneviève, je ne t’ai jamais vue comme ça. Tu vas me faire gicler. Attends, j’arrive, je veux te prendre.
-Reste où tu es, c’est sa langue que je veux. Fais-toi branler, reste où tu es.
Claire-Lise, maintenant des deux mains les fesses écartées de la grosse dame, continue de lui laper le vagin avec des bruits obscènes.
-Venez, Monsieur, venez, suggère Agnès d’une voix complice et conciliante. Vous allez gicler sur ses fesses.
L’homme se lève, et l’étudiante finit de branler le mari éconduit, en dirigeant la queue vers l’arrière-train de sa femme.
Il gicle quelques gouttes en couinant, tandis que la langue de Claire-Lise achève d’aspirer les dernières coulées spasmodiques du vagin de la vieille dame.
Les deux retraités se regardent, assommées par le plaisir.
Toujours toute nue, Geneviève se rend d’un pas ferme à la cuisine ondulant son gros fessier, faisant balloter ses formes maternelles. Elle revient avec l’argent promis.
-Tenez, les filles…vous m’avez fait un bien fou…vous resterez bien un instant?
-Ce serait avec plaisir, mais on a rendez-vous, dit Agnès.
-Remarquez, ce n’est pas loin, on n’a qu’à monter deux étages, précise Claire-Lise.
-La dame seule du troisième, avec les cheveux blancs…si ça se trouve, elle nous attend déjà sur son lit, et commence déjà de se caresser.
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