Peu après l’installation dans le quartier, j’eus à remarquer cette jolie quadra. Ma jeune épouse marqua impitoyablement le caractère vulgaire de la voisine. « On n’a pas idée de s’habiller court et de rouler du cul. « Cela fut conclut du mot de pute. Je pus vérifier que les femmes du quartier en pensaient autant. Si je concédais l’aspect sulfureux du personnage, je n’en écoutais pas moins le signe de ma queue. Celle-ci indéfectiblement se dressait et bandait à son passage. Les gars du coin m’avouèrent le même effet.
Armand,le préposé des postes me confirma le premier que les apparences ne mentaient pas. Cette femme était une garce. D’un air entendu il me laissa assez entendre qu’il l’avait pu éprouver lui-même. Il y a cinq ans peu après qu’il fut arrivé sur le quartier, elle l’avait reçu en peignoir sur le pas de la porte et après qu’elle eût signé, l’avait invité à un café dans la cuisine. Les pans du peignoir s’écartèrent rapidement pour offrir une admirable nudité. Armand familier de ce genre de situation lui fit l’affaire en un instant.
Armand à l’instar d’un plombier ou livreur de pizzas collectionnait ce type de fortunes. Les salopes pullulaient. Elles se livraient en ces occasions se libérant par magie de toute pudeur. Ainsi Armand lui attribuait-il en homme d’expérience une belle note. Elle aimait la queue. Il lui était indifférent que son propriétaire fut tel ou tel. Il savait de ses potes et connaissances ceux qui avaient pu également l’attrapé. Il me montra du doigt mon bedonnant voisin, tout frais émoulu retraité de la SCNF qui de loin nous saluait..
Ce bon vieux avait eu les faveurs de la dame. Cela n’avait été guère compliqué. La repérant à un arrêt du bus il lui avait simplement proposé de la ramener sans intention vicieuse. Au contraire avait-il dit, il s’attachait à bien regarder la route et à ne point lorgner les cuisses. Celle-ci en pourtant eût vite fait d’user de procédés insanes et de le caresser au point qu’au bout d’un kilomètre, il bandait tel un âne et qu’elle lui proposa de le sucer. Dans un champ il crut devoir se soulager entre ses fesses et ses cuisses.
Les témoignages de la sorte abondaient. Telle une prostituée, elle semblait racoler. Elle acceptait volontiers qu’on l’invitât dans une voiture et le reste s’ensuivait. Son mari semblait indifférent à ce manège et toutes ces rumeurs. Cet homme timide et lunaire semblait vivre sur une autre planète. Il était vraisemblable qu’il avait renoncé à satisfaire aux appétits volcaniques de sa femme. Il faisait presque pitié et ceux qui usaient de sa dame se gardèrent toujours de l’affubler du terme infâme de cocu.
Tous ces faits auraient du me faire rentrer dans les considérations de l’épouse. Cette femme était une funeste et une malsaine. J’en devais détacher mes regards et n’y plus penser. Cependant il y eût ce jour où me croisant dans la queue à la boulangerie, elle me sourit après m’avoir dévisagé. J’eus droit à ces paroles : « Nous sommes voisins depuis peu. Nous n’avons pas encore fait connaissance. » Penaud je balbutiais des termes incohérents. Il me parut qu’elle roulait davantage du cul tandis qu’elle s’éloignait sur le trottoir.
La nuit j’eus songeant à elle, une irrépressible érection. Je me branlais sous le drap. Au matin je besognais ma femme en ne songeant qu’à elle. Plus tard croisant le voisin bedonnant je fus jaloux que l’imbécile ait obtenu ce que je désirais. Il était trop manifeste qu’elle me voulait au nombre de ses amants et ainsi m’ajouter à son tableau de chasse. J’avais conscience du futile et du néant de la chose. Une putain ne peut avoir de prix. Rouler dans le ruisseau, la belle affaire ! Je ne gagnerais qu’à me couvrir de ridicule.
Puis vint le jour fatal. J’en vins misérable moucheron à m’empêtrer dans sa toile. Au feu rouge je ne fis guère attention que celui-ci était près de l’arrêt de bus. Je vis qu’on me faisait signe . C’était elle. Je perçus un peu de ses paroles. Elle me demandait si je rentrais chez moi et pouvais la ramener. Je fus un instant tenté de mentir et de me débiner mais le Diable souvent tient les commandes de la raison. Peu après elle était à mes côtés saturant l’intérieur du véhicule de son puissant parfum. Mon regard lui dévorant ses cuisses.
Sa robe en effet était courte inconsidérément . Ce mois de juin chaud ne justifiait pas qu’on lui vit la culotte pour peu qu’elle se baissa. Autre détail, la culotte, un string en l’occurrence, était ostensiblement transparente. Sans peine on pouvait considérer le dessein de sa chatte. Plus d’une fois affectant de chercher dans son sac sur la banquette arrière, elle me laissa le loisir de mater l’entrecuisse. Le but fut atteint que je bandais douloureusement. Une sueur perlait mon front. On eût dit qu’elle me brûlait le cerveau.
Babillant, elle passa peu après à de l’impertinence. Elle vint à mon épouse. « J’ai l’impression que votre femme ne peut m’encadrer. » J’en convins. Je pus ajouter qu’elle était une jalouse invétérée. Il était trop tard car je m’enfonçais à mesure. Je percevais son regard fixé sur moi et que je n’osais affronter. Sa main fut bientôt sur ma cuisse. Celle-ci remontait inexorablement vers une bosse caractéristique qui trahissait mon émoi. La salope me branla. Peut-être étais-je sur le point d’exploser ou de souiller mon pantalon.
Je ne pus que ranger la voiture sur le bas côté pour me jeter sur elle. Ses lèvres étaient prégnantes, brûlantes. Elle était une créature infernale. Pauvre légume jeté dans une marmite, j’y devais cuire ou griller. Elle suçait d’une façon farouche. La pipe fut longue. Avec ses lèvres, sa langue et l’entier de la bouche, elle savourait mon fruit. Depuis l’armée et la fréquentation de prostituées, on ne m’avait prodigué une pareille fellation. Je me retins d’exploser, escomptant bien jouir du reste.
J’obtins pourtant d’aller plus loin sous un gros bouquet d’arbres car la garce n’avait scrupule qu’on nous vit et que son cul fut admiré. En effet elle me concéda que son plaisir était accru de savoir alentour nombre de voyeurs et de patentés vicieux. Cela au contraire me coupait les effets. Le cul pour moi devait demeurer un acte discrétionnaire. J’en vins à retrouver cependant un style plus bestial que je ne pouvais assouvir avec l’épouse. Je louais le divin créateur d’avoir inventé de pareilles salopes.
La mienne ce jour-là n’eût de cesse et après quelques saillies à me vider complètement les couilles. Entre temps j’avais pu sans vergogne effectuer des aller-retours dans sa chatte et son autre trou. L’anus encaissait placidement tous mes coups de bite. Elle m’exhortait à l’insulter et à la traiter de pute. J’avais peu d’effort à faire pour cela. Je songeais à tous ceux qui auparavant l’avaient pareillement baisé . Je pourrais peu m’en vanter. Sauter une telle créature relevait du conformisme. A cet égard je crus devoir la sermonner.
Quelle mouches me piqua ? Revenu à un reste de scrupule, je lui représentais qu’elle faisait passer son époux pour minable. J’ajoutais qu’on la traitait elle-même de pute. Elle traînait leur couple dans la boue. Je la vis enragée. Je ne manquais pas d’air. Je venais de la sauter et faisais mon curé. Elle jeta le nom funeste de Tartuffe. Elle avait mille fois raison. Je considérais trop tard le ridicule de mes propos. Je demandais qu’elle m’excusât. J’arguais que je n’avais jamais trompé ma femme. D’où mon émoi, mon dérapage.
C’était pur mensonge mais elle me crut. J’avais deux, trois maîtresses au bureau. J’étais loin d’être ce petit saint affiché. Le long du chemin, je fus branlé et sucé de nouveau. Je criais en riant que je n’avais plus de goutte de sperme. Elle me dit que nos demeures étaient contiguës et que je n’avais que le mur à franchir pour venir la sauter. Son homme s’absentant souvent. Ce que je fis deux jours plus tard ma femme étant parti à sa gym. Un texto m’informait que le chemin était libre. J’eus droit à la baiser dans leur lit.
Je puis me vanter que durant un mois je fus un peu un amant attitré. Je crus ainsi me l’attacher et l’avoir guéri. Je n’en eus pas moins la conviction qu’elle continuait à monter dans d’autres voitures et à y faire des cochonneries. Armand me confirma notamment que son truc était d’aller lever sur l’aire proche de l’autoroute. Les routiers dont nombre d’étrangers lui passaient dessus. Elle avait trop le feu au cul. Rien n’y ferait. Je n’avais pu avec ma modeste pompe éteindre un incendie. Aussi devins-je à force amer et jaloux.
J’encourrais le risque de céder aux maladresses et d’alerter ma femme. Inéluctablement se dessinait la catastrophe. Heureusement survint l’événement qui me dessilla les yeux. J’avais entrepris depuis peu l’activité coupable de la suivre et de l’espionner. Au bout d’une semaine j’en sus assez et notamment une certaine après-midi. Elle arborait une de ses robes courte et légère. Confinant à l’obscène car inconsidérément transparente quand elle marchait au soleil et dans la lumière. On y voyait son corps et ses sous-vêtements.
Sûre qu’elle attirait le chaland. Tel l’étron les mouches. J’étais en colère. J’eus un instant la tentation d’aller courir pour faire une scène et la ramener chez elle. Je me tins coi pourtant et planqué tel un lâche. Je voulais vider ma coupe jusqu’à la lie. Je n ‘attendis guère longtemps. Au début furent éconduits des jeunes et des morveux. Elle acceptait rarement de baiser avec ce type de bourrins et d’impatients. Elle tint par contre conversation avec un petit gros dans le rayon fromages. Tous les deux souriant tels larrons en foire.
Elle avait un trémoussement caractéristique du cul. Ils s’éloignèrent badinant. A présent ils étaient au rayon « Animaux ». L’endroit était désert. Il lui caressait la croupe. Derrière un poteau ils disparurent. J’eus idée qu’ils s’embrassaient. Puis d’un coup il lui prit d’abandonner son caddy. Tous deux résolus se dirigeaient vers la sortie à dix pas de distance laissant accroire qu’ils ne se connaissaient. Il la suivait ainsi dans la galerie. Lui claudicant, elle roulant du cul. Hormis moi personne n’y vit du mal.
J’étais tout en émoi. Je dus faire effort de ne révéler ma présence. L’un l’autre au parking prirent leur voiture. Ils n’allèrent qu’au bout de celui-ci dans un endroit sordide près d’une décharge. Il y avait peu loin deux, trois ouvriers œuvrant à un chantier. Muni d’une paire de jumelle, je pouvais voir assez du spectacle. J’avisais cependant peu loin un lieu en surplomb où je pouvais mieux scruter. J’y demeurais ainsi dans la voiture à l’abri des vitres teintées. Je souffrais avec honte d’une érection incongrue. ,
Je voyais sa chevelure blonde dessus le ventre gros et poilu du monsieur. Il faisait cela vitre baissée au su de tout le monde. Les ouvriers mataient par là. Elle administrait une de ses pipes fameuses. Le vieux bouche ouverte suffoquait dans cette chaleur. J’eus idée qu’il pourrait défaillir. C’eût été une bonne blague et un fort beau scandale. Deux des ouvriers s’étaient entre temps approchés : un black, un beur. Ils avaient une mine goguenarde. Ils avaient bien compris. Une salope effectuait devant eux un numéro.
Soudain les portes s’ouvrirent. Le couple passait derrière pour la suite des opérations. Cheveu ébouriffé, elle avait la robe relevée et le string baissé. On lui voyait le cul. Elle jeta un regard effronté vers les autres. Le vieux un peu interloqué de leur présence baissa la tête. Il n’avait prévu ce genre de spectateurs. Elle à présent avait les cuisses écartées On lui voyait les jambes et les deux pieds en l’air. Il y avait dedans un air comique. Le vieux dont on voyait le cul besognait la salope.
Les deux types s’étaient encore approchés pour pouvoir goûter du moindre détail. La garce n’adorait rien tant que d’être vue et savourée. D’autant que les malotrus branlaient maintenant leur bite. Elle les regardait droit dans les yeux. En effet elle avait adopté la levrette. Le vieux poussant derrière et qui peut-être l’enculait. Je n’y tins plus. Ses deux cons m’empêchaient de bien voir. J’étais fou et furieux à la fois. Peu de temps après je vins rejoindre leur groupe. Ainsi vins-je branler ma bite avec eux.
Elle souriait m’ayant reconnu. Elle baissa la vitre plus avant invitant le black à venir. Celui-ci immisça sa carcasse entière. Le vieux de mauvais gré dut lui céder une place. Cela tourna à l’orgie. Les trois hommes se succédèrent et même l’entreprirent ensemble plusieurs fois. A une invitation du black je fis un signe de dénégation. Je refusais la partouze. Je me branlais ainsi désabusé. La pute poursuivait tout en me toisant. Nous eûmes le lendemain une violente dispute. Elle me jeta : « Idiot. C’était plus fort que toi ! »
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