Mes exhibs 02 : Une soirée au restaurant
Bonjour,
Comme je l’ai expliqué lors de mon premier récit, à la suite d’une chirurgie plastique sur ma poitrine qui était petite, je suis maintenant avec un 105 D, qui ravit mon mari Pierre, et qui me donne l’envie de me montrer.
Pierre l’a parfaitement compris, et cela nous a permis de relancer notre vie amoureuse de façon importante.
Ayant des jambes très acceptables, j’en ai profité pour raccourcir la longueur de mes jupes de façon significative.
C’est sous la demande non déguisée de mon mari que je l’ai fait. Mais je dois avouer que bien que les regards des hommes me gênent parfois cela me fait très plaisir d’être regardée, et désirée par ces hommes qui me croisent dans la rue.
La complicité que j’ai avec Pierre est très grande, et si je m’habille parfois de façon provocante pour sortir, c’est uniquement avec lui à mes côtés.
Si parfois alors que je suis habillée normalement et que je suscite l’envie chez des hommes, n’étant pas accompagnée de mon mari, je fais comme si rien était. Je lui raconte le soir à la maison, et cela nous sert parfois pour élaborer pour le futur, un scénario plus chaud en sa présence.
Mes premières petites exhibitions furent discrètes, un peu comme si je ne le faisais pas exprès.
Je vais vous raconter, la première fois que je suis allée au restaurant avec mon bustier décolleté balconnet.
J’avais mis ce bustier noir qui se porte sans soutien-gorge.
Il me serre la taille et le fait ressortir les seins comme des ballons de foot.
La poitrine un peu trop grosse pour ce décolleté est mise en exposition comme sur un plateau.
J’hésitais un peu, sentant que le dessus de mes auréoles étaient limite visible sur le dessus.
Je passe un tailleur, mauve très sympa, la veste juste tenue devant par deux boutons.
La minijupe assortie est serrée, droite. Mon mari, m’a demandé de la faire raccourcir un peu.
— Mi-cuisse cela ira. me dit -il ?
— Tu as de belles jambes, montre les un peu.
L’été je porte souvent ce type de minijupe, et mes jambes sont sympas, fines, bien que un peu musclées.
Comme il sait que je ne porte que des bas et des strings, cela le fait toujours un peu fantasmer.
Je joue le jeu, en mettant des bas noirs auto fixant, décorés avec une couture derrière, et une large bande de dentelle en haut. Je les monte suffisamment haut pour que la dentelle ne se voie pas avec cette minijupe quand je suis debout, droite.
Une petite paire d’escarpins à talons, normale ( environ 10 cm )Je marche depuis longtemps avec des talons de cette hauteur sans que cela me soit un difficile.
Je me maquille léger, avec un rouge à lèvres, assorti à mon tailleur mauve;
J’aime bien assortir les couleurs de mes tenues, et donc me passe du vernis à ongles de la même teinte.
En sortant de la chambre, habillée ainsi, je vois dans les yeux de Pierre que je lui plais.
Je me sens juste un peu anxieuse avec ce décolleté que je cache à peine avec ma veste de tailleur; le creux entre mes seins opulents, reste très visible.
Nous allons jusqu’à la voiture, et nous voilà partis. En m’asseyant, bien sûr ma minijupe remonte découvrant la bande de dentelle de mes bas. J’aurai peut-être dû mettre des bas plus discrets, mais cela me plait bien de faire voir que je ne porte pas de collants.
Dessous j’ai mon petit string ficelle noir assorti, en dentelle transparent.
Je sens la main de Pierre qui se pose sur ma cuisse. Tout en conduisant, il me caresse doucement en remontant. hummm j’aime sentir, ce contact doux.
Il remonte un peu plus, remontant encore plus ma mini. Je croise et décroise mes jambes, afin de le laisser faire comme si rien était. Le haut de mes cuisses nues est visible, mon string aussi.
— Chéri, tu exagères, les piétons vont me mater.
Sa réponse est simple et claire :
— Je sais, c’est pour cela que je le fais.
— Tu veux qu’ils voient mon string ?
— Et plus encore, déboutonnes ta veste.
Je me sens soudain en chaleur, mais je déboutonne ma veste de tailleur.
Les deux pans s’ouvrent et dévoilent complètement ce décolleté.
— Cela te va comme cela ?
— Pas plus, cela me convient pour l’instant.
— Comment cela pour l’instant ?
— Nous avons toute la soirée, pour nous amuser, et pour que tu te montres plus.
Je me rends compte que je suis en train de mouiller, à me dévoiler ainsi et à écouter ces paroles. Sa main continue de me caresser maintenant le minou. Je suis trempée.
Nous arrivons au restaurant, je remets de l’ordre dans ma tenue, bien que ma sortie de la voiture semble intéresser quelques passants sur le trottoir.
Sortir d’une voiture, avec une minijupe serrée, tout en restant d’allure sage, relève de l’exploit.
Nous entrons dans cette brasserie. De me sentir excitée, j’ai l’impression que tout le monde me regarde.
Le maître d’hôtel nous dirige vers une table, il n’a pas manqué de plonger son regard entre mes seins, bien qu’ayant refermé un bouton de ma veste, le paysage semble lui plaire.
Pierre, me propose la place sur la banquette, de telle façon que je me retrouve face à la salle.
Au passage il me chuchote à l’oreille :
— Tu ne touches pas ta jupe en t’asseyant laisses la remonter, je veux voir la dentelle du haut de tes bas.
— Ok, je suis d’accord
— Tu ne la tires pas vers le bas de toute la soirée
— Ho canaille, les voisins vont profiter du spectacle
— Si tu y touches tu auras un gage que tu ne pourras pas refuser.
— D’accord.
A ce moment j’ai envie de jouer ce jeu, stupide mais qui me trouble.
Ayant déjà marché pour venir à ce restaurant, ma minijupe laissait déjà voir un peu la dentelle de mes bas alors que j’étais debout. Je faisais attention de ne pas la tirer alors que le réflexe féminin, nous le fait faire habituellement avant de s’asseoir.
Je m’assois, l’effet recherché est atteint, ma minijupe remonte en haut de la bande de dentelle de mes bas. Mes deux voisins latéraux, n’ont pas manqué de voir le haut de mes cuisses ainsi voilées.
Je ne cesse de regarder mon mari dans les yeux. Les siens brillent, mais les miens aussi.
Je comprends de plus en plus que ce petit jeu d’exhibe me plait, me trouble, et que nous n’en resterons pas là.
Pierre commande deux coupes de champagne. Il sait que je bois que très peu, ne supportant pas l’alcool, mais j’aime le champagne cela me désinhibe un peu.
Mon mari l’air de rien me dit :
— Tu devrais déboutonner ta veste, tu te sentiras mieux.
— Tu as raison.
Et joignant le geste à la parole je défais le dernier bouton de ma veste qui s’ouvre un peu plus.
Je sens que cela ravie mon mari, mais aussi les deux types qui sont aux tables voisines, me faisant face.
Je bois une gorgée de champagne en plus !!!!!!!
Le maître d’hôtel vient prendre les commandes, je vois à ses yeux qui replongent sur mes seins que le nouveau panorama ne lui est pas indifférent.
Le repas, se déroule tranquillement, alors que mes voisins continuent de mater mes jambes et ma poitrine;
Pierre me demande de croiser et décroiser mes jambes.
Je sens ma mini qui remonte insensiblement plus.
Je me sens troublée, mais n’y parait rien.
A un moment comme par réflexe je tire sur ma minijupe.
La sanction tombe immédiatement.
Pierre me dit :
— Un gage.
Je ne peux rien dire mais c’est vrai que ma mini était si haute que mon string devait se voir facilement pour certains se trouvant en face.
Je regarde crânement mon mari
— Ok quel est le gage ?
— Tu vas aux toilettes et tu vas ôter ton string. Tu le mettras dans ma poche au retour discrètement.
— HO c’est un film déjà vu que tu me fais faire ?
— Oui, mais ce passage du film me plait bien, donc madame l’actrice en route pour la scène.
Non seulement j’ai envie de lui faire plaisir à mon andouille de mari mais cela me trouble, pour ne pas dire plus.
Je me lève donc, tire sur ma mini pour la rendre moins indécente et me dirige vers les toilettes.
Je ne reste pas très longtemps dans les toilettes, ôtant mon string, mais aussi m’essuyant le minou qui commençait sérieusement à mouiller.
Je reviens dans la salle, j’en avais profité pour remettre ma minijupe à un niveau plus correct.
J’arrive à côté de mon mari, me penche un peu pour glisser discrètement mon string dans sa poche de veste.
A ce moment mon mari me glisse à l’oreille :
— Tu as un deuxième gage, quand tu es partie aux toilettes tu as encore tiré sur ta jupe.
— Ho canaille tu exagères. Bon quel gage ?
— Je pense que tu as chaud, tu devrais ôter ta veste ton bustier te va très bien sans veste dessus.
Je sens la panique me venir aux joues. Après tout c’est ce qu’il veut, et je suis dans une brasserie où personne ne me connaît.
Le plus naturellement du monde, avant de m’asseoir, j’ôte ma veste de tailleur comme si j’avais une bouffée de chaleur. ( J’ai cette bouffée de chaleur). Je me tourne et m’assoie ce coup-ci, sans tirer ma mini. Elle remonte à nouveau dévoilant la dentelle de mes bas. Mais là, je sens ma chatte à l’air libre, si proche de la limite de cette minijupe.
Je me sens la gorge sèche.
Je regarde mon mari dans les yeux.
— Chéri, tu me sers un verre, j’ai soudain très soif.
— Je me doute à te voir ainsi.
( haa le salaud il en remet une couche. je l’adore )
Je n’ose pas regarder les tables aux alentours, mais la température est montée à côté aussi.
Je sens mes seins maintenant découverts à moitié sur la partie supérieure.
Le dessus de mes aréoles dépasse un peu.
J’allais remonter un peu mon bustier pour limiter ce dépoitraillage, quand mon mari, me dit discrètement :
Pour le haut, c’est comme pour le bas, si tu y touches c’est un gage ;
— Hooo tu aurais pu me prévenir.
— C’est le jeu
— Ok, heureusement que nous sommes au milieu du repas sinon je me retrouve toute nue pour sortir du restaurant, à la vitesse où vont les gages.
Je reste ainsi avec les pointes des seins à la limite de sauter hors du balconnet.
Le maître d’hôtel se régale à chaque fois qu’il vient nous voir. Je trouve même qu’il vient bien souvent.
Pierre me fait un clin d’œil pendant que le serveur me sert. Il bande le pauvre. Il n’ose plus se redresser.
Je recommence à mouiller comme une folle.
Bien que faisant attention à ne pas trop bouger, ma minijupe remonte à nouveau plus haut que mes bas.
Pierre me fait le coup classique en me murmurant à l’oreille :
— Je vais laisser tomber ma fourchette par terre. Je voudrais voir ton minou épilé. Alors laisse tes cuisses ouvertes.
— Petit vicieux, tu sais que je mouille en ce moment. C’est ce que tu veux voir ?
— Bien sûr, mais je veux que les voisins le voient aussi. Tu resteras les cuisses non croisées le temps que je te le dise.
— Tu es fou, je vais me faire arrêter pour atteinte à la pudeur ?
— Je viendrais avec toi au commissariat pour témoigner ;
— Canaille. Ok mais pas trop longtemps
— Ok
Je décroise mes jambes. Immédiatement je sens les regards qui étaient à l’affût qui se tournent vers moi, ou plutôt qui plongent entre mes cuisses.
Pierre fait durer le plaisir, il ne se baisse pas encore. ( haa le salaud. hummm je mouille de plus en plus cela doit se voir.
Pierre laisse tomber sa fourchette et se penche pour la ramasser.
Mais là il n’avait pas prévu que le serveur qui était très proche, ne manque pas une telle occasion et se baisse accroupi pour ramasser la fourchette.
Je ne bouge pas de la position que j’ai, les cuisses écartées.
Haaaa je suis folle de faire cela et d’aguicher ainsi ce pauvre serveur.
Il n’est pas le seul à avoir une telle vue sur mon minou qui s’ouvre malgré moi.
Je sens les regards des voisins qui me transpercent entre les cuisses.
Pierre, s’est redressé. Il est rouge. Il me souffle juste :
— Reste ainsi encore un peu comme convenu.
— Tu es fou, je vais me faire violer en sortant.
— Reste encore trois minutes comme cela
Ces trois minutes me semblent une éternité, le serveur me serre le café, haaa il voit ma poitrine à moitié dévoilée et ma chatte en même temps.
Haaa que j’ai chaud.
Pierre me fait un signe pour que je croise mes jambes.
Je les serre, je sens mes lèvres qui se frottent
Haaa je vais jouir dans ce restaurant, en serrant les cuisses, haaaa ouiiii, il voit à mes yeux qui se troublent que je jouis, je serre la bouche pour ne pas échapper un cri.
Je regarde à nouveau Pierre dans les yeux.
— Tu te rends compte de ce que tu me fais faire ?
— Le plus à plaindre c’est moi, je suis à la limite de jouir dans mon pantalon.
— Bien fait pour toi. Alors paye l’addition et sortons d’ici si tu veux que je calme ton incendie.
— Je ne peux pas, je bande comme un fou, cela va se voir.
— Ça c’est mon gage, tu sors avec ton pantalon déformé.
— Ok mais tu ne tires pas sur ta mini pour sortir.
— Tu crois que je peux le faire ? ( c’est sûr, je ne reviens jamais dans cette brasserie )
Nous nous levons. Je repasse ma veste de tailleur. Le maître d’hôtel s’est empressé de me la tenir ( un dernier coup d’œil entre mes seins, hummmm ))
Et je marche vers la sortie. Je sens tous les yeux tournés vers moi, ils matent tous le haut de mes cuisses nues au-dessus de mes bas. Hhaaaa je lutte pour ne pas tirer sur cette minijupe devenue indécente.
Il y a des murmures dans la salle. Ils savent tous que je suis sans culotte sous cette minijupe qui s’est tant remontée. Hummm que j’aime cette sensation.
Arrivés sur le trottoir, mon mari m’embrasse avec fougue. Il bande comme un fou. Il me dit vient allons à la voiture, je ne vais pas résister jusqu’à la maison pour te violer.
Je ne regarde pas les gens qui doivent me mater dans la rue. J’ai trop envie encore.
Arrivés au parking. Mon mari me viole bien comme il disait.
Mais quel viol consenti.
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