Trio i****tueux
Nous avons loué un studio où nous nous retrouvons pour trois jours d’un grand
WE. Pour le moment, nous ne sommes que trois, toi mon neveu John d’amour, moi
ta tante Lolo et ta maman Edwige.
Ton papa et ton oncle ne nous rejoindrons que le lendemain et durant cette
nuit à venir nous serons tous les trois. J’ai ma chambre, toi mon chéri tu as
la tienne juste à côté de la mienne et celle de ta maman se trouve au même
palier.
Je suis dans mon lit, je ne dors pas, je suis trop en manque de toi et comme
nous l’avions convenus tous les deux, je viendrais te retrouver dans ta chambre
pour profiter d’une nuit de sexe une fois que ta maman sera endormie .
L’excitation et l’envie, le désir nous empêchaient de fermer les yeux et
heureusement ma soeur aînée avait prétexté d’être fatiguée pour aller se
coucher assez tôt. J’avais gardé juste mes bas dim up noirs pour t’exciter
encore plus et je me caressais doucement en pensant à toi.
Je n’ai pu me retenir plus longtemps et je me suis levée seins et chatte nue
juste avec mes bas pour me diriger directement dans ta chambre dont la porte
était entrouverte comme nous l’avions convenu.
Je suis arrivée sur le palier, j’ai vue ta lampe de chevet allumée me
montrant que tu ne dormais pas, et que de ton côté aussi tu attendais aussi ma
présence et surtout mes orifices. Je suis entrée dans ta chambre, repoussant la
porte entrebâillée sans la fermer afin de ne pas faire de bruit pour ne pas
réveiller ta maman.
Je me suis approché de ton lit et tu avais les yeux grands ouverts et fixés
sur mes tétons déjà tout dressés et mon triangle noir de poils qui masquait mes
lèvres.
Je me suis accroupie, cuisses écartées te dévoilant ma chatte ouverte et
trempée et je t’ai fait un doux bécot sur tes lèvres douces.
Tata Lolo viens sur moi que je lèche le jus de ta chatte pendant que tu me
suces la queue. Ca fait trop longtemps que j’attends de goûter à nouveau ton
jus.
Moi aussi mon chéri John, j’ai envie de sucer ta queue comme tu n’as jamais
encore été sucé par ta tante Laurence.
Mais il ne faut pas faire de bruit et jouir en silence, car ta maman ne dort
pas trop loin et il ne faudrait pas la réveiller par nos cris de plaisir.
Je tire sur le drap et je découvre ta queue bien bandée, tu es nu sous le
drap. Je m’allonge au dessus de toi offrant à ta bouche d’adolescent ma chatte
toute luisante de mouille ; alors que je pose mes lèvres sur le bout de ta
queue et te décalotte le gland jusqu’à enfourner ta bite entièrement dans ma
bouche jusqu’à sentir tes petites couilles bien pleines. Tu me lèches la chatte
comme un amour mon chéri John, je coule dans ta bouche alors que mes lèvres
quittent ta jeune bite pour glisser ma langue entre tes fesses sur ta rondelle
vierge.
Nous sommes dans notre monde à nous deux, celui du sexe et de l’i****te et nous
t’entendons pas la venue de ta maman qui se présente nue devant nous.
Surpris et ne sachant que faire et que dire. Nous sommes stoppés dans nos
ébats et j’ai toujours ma langue entre tes fesses et toi la tienne sur ma
chatte.
Nous ne disons rien, je me dis que si Edwige est nue devant nous et n’a
exprimer aucune colère, ni surprise à nous voir tous deux de la sorte en train
de forniquer, c’est que ta maman participerait bien à nos jeux sexuels.
Je me lève laissant ma place, et j’invite ta maman à venir nous rejoindre,
elle ne dit mot et s’allonge, cuisses écartées, la chatte déjà luisante de
plaisir, sur ton lit trop étroit pour nous trois.
Tu regardes sa fente gonflée d’excitation, sa toison est plus étendue que la
mienne, ses poils sont plus clairs et ses lèvres se dévoilent aisément sous le
duvet de sa chatte. Ses seins un peu plus tombants que ceux de ta tante
Laurence ont de larges aréoles foncés et des bouts très longs.
Je me positionne à genoux à côté de ton lit à hauteur de ma soeur et de ta
maman
< John, lèches lui la chatte comme tu sais si bien le faire à tata Laurence >
Tu glisses ta tête entre ses cuisses et sent le parfum musqué de sa chatte et
tu commences à appliquer la pointe de ta langue sur ses grandes lèvres toutes
gonflées de désir.
Tu redoutais un peu qu’elle n’accepte point cette caresse mais au contraire
elle tend son con vers ta bouche pour que tu la fouille encore plus avec ta
petite langue si douce que je connais si bien.
Je te regarde faire alors que je sens une main parcourir mon corps, elle
caresse mon sein et pince mon téton entre deux doigts puis descend sur mon
ventre pour arriver à la fourche des mes cuisses et venir fouiller mon con
trempé alors que tu as la tête entre les cuisses de ta maman, je sais que ce ne
sont pas tes doigts qui me fouillent et je ne pensais nullement qu’ Edwige, ta
maman et ma soeur avait des goûts de sexe envers les femmes et encore moins
envers sa soeur Laurence.
Ta maman Edwige retire ses doigts de ma fente et les porte à sa bouche
goûtant à ma mouille ce qui n’a pas l’air de lui déplaire bien au contraire.
Elle a des soubresauts de plaisir et son corps se tend parfois comme un arc,
je sais que tu n’y es pas étranger et que tu vas arriver à lui donner la
jouissance comme tu la donnes à ta tata Lolo lorsque tu la lèches.
Ces soubresauts sont de plus en plus fréquents et Edwige passe sa main
derrière mon cou ce qui m’oblige à me pencher vers elle et sans me demander si
je le désir ou pas, elle colle mes lèvres sur les siennes et cherche à me
fouiller la bouche avec sa langue. Elle arrive à ses fins et mélange sa langue
à la mienne dans un baiser profond comme nous le faisons parfois tous les deux
mon chéri John. C’est la première fois qu’une femme et de plus ma soeur glisse
sa langue dans ma bouche.
Je ne savais pas que ta maman aimait l’amour au féminin et également que
l’i****te ne la dérangeait nullement car embrasser avec la langue sa propre
soeur est déjà un geste i****tueux. Et nous sommes loin encore d’être étonnés
par le comportement de ta maman.
Elle vient de m’embrasser aussi chaudement car tu es arrivé à la faire jouir
avec ta langue sur sa chatte.
A présent elle me laisse un peu de côté pour s’occuper de toi.
Tu as la queue toute bandée et si dure, une forte envie que l’on s’occupe de
toi. Ta maman t’attire vers toi et prends ta queue entre ses doigts pour
commencer à te branler doucement, décalottant ton gland d’où perle déjà une
goutte tant sa caresse est douce et le fait que ce soit la première fois
qu’Edwige te touche la queue de la sorte t’excite encore plus mon petit John.
Ses caresses s’attardent sur ta queue et tes couilles pleines, sont regard est
fixé dans le tien.
Mon fils, je t’ai bien vue te faire sucer la queue que tu as fort belle et bien
montée pour tes douze ans, maman aussi va te sucer et goûter à ton jus et puis
tu me montreras tout ce que ta tata Lolo, ma salope de soeur a pu t’apprendre
tout ce que vous avez déjà fait ensemble.
Vraiment tout maman Edwige ?
Oui mon fils chéri, tout.
Ma soeur se met à emboucher ta queue et te suce profondément, elle sait le
faire aussi bien que moi et sans mal elle arrive à te faire pousser des cris de
plaisir, de jouissance alors que tu te vides dans sa bouche, des longs et
abondants jets de sperme bien liquide et elle n’en perd point une goûte,
t’avalant avec délice tandis que je te regarde jouir pour la première fois avec
ta maman.
Comme Edwige t’a demander de lui montrer tout ce que nous nous faisons toit
et moi mon chéri John, tu prends l’initiative.
Maman puisque tu veux tout savoir de ce que tata Laurence m’a appris et ce que
je lui ai fait aussi aimé et découvrir, tu n’as qu’à te laisser faire par ton
fils John. Commence par te mettre sur le dos cuisses largement écartées que je
te prenne la chatte et me vide en toi maman chérie.
Puisque tu en veux tu vas en avoir, car tu es loin de connaître encore tout ce
que nous faisons.
Edwige écarte les cuisses comme tu le lui as ‘ordonné’ et sa chatte, sa vulve
béante de mouille t’est toute offerte.
Tu te glisses entre ses cuisses comme tu l’as déjà fait avec ta tata et tu
lui lèches sa belle moule de femme aux poils trempés par la cyprine qui s’en
écoule, puis tu écartes le cul maternel pour glisser ta langue sur son
oeillet.
Tu lui lèches le cul aussi bien que tu l’as fait avec moi mon chéri et ta
maman apprécie selon ses soupirs de plaisir. Pour la combler totalement et
comme elle demande à savoir ce que nous avons pratiqué déjà tous les deux mon
amour, tu viens te glisser entre ses cuisses, la bite toute dure et tu lui
enfonces d’un coup ton sexe dans la chatte ouverte qui n’attend que ça.
Elle gémie non pas de douleur, mais de plaisirs.
Tu t’enfonces à fond dans son vagin et fais de longs et profonds vas et vient
dans la gaine brulante et humide de son con.
Je suis un jalouse de te voir ainsi remplir la chatte de ta maman de ton sperme
que j’aime tant alors que je ne peux que vous regarder.
Toi qui es en train de vider tes petites couilles pleines dans le ventre de
ta maman Edwige, et moi qui ne demande qu’à m’offrir, à donner tout de mon
corps pour toi et avec toi mon chéri John.
Ta maman se met à jouire dans de longs cris alors que tu lui emplis le con de
ta semence et je me dis en moi, j’espère qu’il ne va pas féconder sa maman
tant tu as paru te vider longuement et intensément dans son ventre.
Alors que tu as fortement éjaculé dans la vulve de ta maman , elle
s’adresse à moi tandis que ton sperme commence à couler entre la raie de ses
fesses tant tu l’as inondée.
J’ai pu aussi bien voir le plaisir que tu as eu de te vider dans le ventre de
ta maman.
Lolo viens me lécher un peu pour essuyer le sperme de ton petit neveu John.
Je n’ai même pas le temps de répondre qu’Edwige me colle la tête entre ses
cuisses et je lape le trop plein de sperme qui coule hors de sa chatte et ma
langue curieuse va même jusqu’ à son oeillet entre ses fesses.
Lécher le cul d’une femme et de plus celui de ma soeur est pour moi quelque
peu nouveau et un peu répugnant mais comme c’est ton sperme à toi mon chéri je
me libère de ce tabou, et je suis ravie de pouvoir goûter un peu de ton sperme
encore tiède et je trouve que le cul de ma soeur est très sensible sous ma
langue agile.
Puisque ta maman veut tout savoir de nos pratiques i****tueuses, tu nous
demandes à toutes deux de nous allonger sur le dos cuisses écartées.
Tu ne me laisses pas de côté et je m’empresse d’écarter largement mes cuisses
t’offrant ma chatte mouillée comme jamais. Je ne sais pas encore ce que tu vas
nous faire subire mais je suis prête à tout avec toi mon John chéri.
Maman tu veux voir ce que j’ai déjà fait avec tata Laurence, pour toi ça va
encore mieux glisser car tu es pleine de mon sperme.
Tu commence par introduire tes doigts dans le vagin de ta maman et de ton autre
main tu fais de même avec ma chatte, trois doigts puis quatre, je sais à
présent que tu vas nous mettre à chacune ta main entière dans la chatte et je
me rappel la fois où tu m’avais fait mon premier fist, tu m’avais rendu folle
de jouissance.
Pour ta maman Edwige c’est une découverte qu’elle apprécie, bien que ta
main ne soit pas encore entièrement dans son con. Malgré l’absence de sperme
dans ma chatte tu arrives mon chéri à me pénétrer aisément tant je suis excitée
et tu parviens en premier à mettre ta main entière dans la chatte de ta maman
puis dans la mienne. Tes mains sont dans nos cons et tu nous fouilles la chatte
très fortement et profondément.
Ma soeur et moi avons le visage tourné l’une vers l’autre et nous nous
regardons. Nos bouches sont toutes proches et Edwige à nouveau me colle ses
lèvres sur les siennes, je ne résiste point quand ses lèvres se posent sur les
miennes et que de sa langue elle me fouille la bouche et enroule la sienne à ma
mienne dans un baiser profond.
Pourtant je ne suis pas bie mais me faire embrasser à ce moment même par ma
soeur me procure un certain plaisir sans tabou. Je réponds très fort à son
baiser et je l’embrasse avec volupté car je suis sur le point de jouire alors
que ta main ma fouille profondément le con.
Il en est de même pour ta maman et ma soeur. Nous jouissons toutes deux ne
même temps très fortement et lorsque tu retires tes mains de nos chattes tu
offres à ma bouche celle qui a pénétrer la chatte de ta maman et tu donnes à
Edwige celle qui m’a donner tant de jouissance. Nous léchons mutuellement tes
doigts, pour moi la mouille de ma soeur et vice-versa.
Edwige a encore deux choses à découvrir de nos jeux sexuels, tu ne l’as as
encore prise par derrière, l’enculer comme j’aime que tu me prennes le cul et
le summum sera de lui faire goûter nos jeux de pisse. Pour lui prendre le cul
comme elle veut tout connaître de nous deux toi mon neveu chéri et ta tata
Laurence, je te laisse prendre l’initiative afin que tu lui enfiles ta tige, ta
bite à nouveau toute dressée pour lui fourrer son cul. Tu t’es déjà vider dans
sa bouche et son con, il ne te reste plus qu’un trou à combler.
Maman tu veux continuer à savoir ce que tata et moi faisons ? si oui tu dois me
donner ton cul.
Oui mon fils chéri, je veux tout savoir de vous, tu vas me prendre par le cul,
ton papa le fait et je veux que mon fils connaisse au moins une fois le fait
d’enculer sa propre maman. Ta tante aime bien aussi que tu l’encules ?
Oui maman, tata Laurence je l’encule, elle aime que la prenne par le cul et je
vais te montrer comment je lui prends le cul
Tu fais mettre ta maman en position de levrette alors que je me trouve toujours
allongée sur le sol et ma soeur se trouve juste au dessus de moi. Je ne vois
rien de ce que tu peux faire à ta maman, mais elle me décrie les choses que tu
lui fais.
Lolo, John te lèche la rondelle avant de te piner le cul, il est en train de me
lécher le cul et il a la langue si douce, c’est toi qui lui a appris ?
Non Edwige, c’est lui seul qui m’a enculé sans que je lui dise comment faire et
il sait le faire en douceur. Tu aimes ?
Oui c’est trop bon , je sens à présent son gland contre ma rondelle qui
s’enfonce et il ne fait pas mal bien au contraire. Têtes moi les bouts ma
salope de Lolo pendant qu’il me la mets dans le cul;
Je prends ses tétons entre mes lèvres et je lui tête les seins comme quand tu
étais bébé. Ce n’est pas très aisé de lui sucer les bouts quand tu te mets à
lui défoncer le cul, tes coups de butoir la font bouger et je sais au moment
où tu éjacules dans son cul et que vous prenez votre plaisir. Ses tétons
quittent ma bouche, Edwige relève son torse et pousse un cri de jouissance si
fort que je sais qu’elle sent ton sperme chaud lui envahir les intestins.
Tu viens d’enculer ta maman et elle à eue une jouissance terrible. Rassasiés
par cette folle conduite de sexe et tous trois comblés, nous décidons d’aller
prendre une douche. La baignoire est assez grande pour accueillir deux
personnes allongées et une troisième debout ou à genoux au dessus de nous.
Tu me demandes mon chéri de m’allonger dans la baignoire alors que ta maman
reste debout en dehors et tu lui demandes à nouveau :
Tu veux vraiment voir ce que ton fils John à fait, une chose à que ta soeur
Lolo ne connaissait pas et qu’elle partage à présent avec moi ?
Oui mon chéri montres-moi sur ma soeur ce que tu as pu lui faire accepter de
toi.
Tu entres dans la baignoire et te positionne au-dessus de moi, ta bite est
molle et tu décalottes ton gland. Je sais moi, ta tata Laurence que tu vas me
faire goûter à ta pisse et je suis prête déjà à accueillir tes jets chauds et
jaunes de pisse sur mon corps de haut en bas. Quelques gouttes de liquide doré
fusent sur mon ventre puis ce sont des jets que tu diriges d’abord sur mes
seins et plus haut sur mon visage.
Ton urine chaude se déverse sur mes cheveux et vient inonder ma bouche que
j’ai grande ouverte avalant tes flots de pisse dorée. Voyant cela ta maman est
quelque peu étonnée par cette pratique mais n’est pas dégoûtée pour autant.
Mon fils John, tu goûtes aussi au pipi de ta tante ?
Oui maman, c’est moi qui lui ai fait découvrir mon goût pour l’urine et après
y avoir goûté et aimé nous échangeons nos pipis. Maman tu nous as surpris tata
Lolo et moi alors que nous pensions que tu étais endormie.
Mon John, je me suis levée parce que justement j’avais envie de pipi et je me
rendais aux toilettes quand j’ai aperçue la porte entrebâillée de ta chambre,
la lumière, et que je vous ai vue toi et ta tante en train de vous lécher
mutuellement. Du coup je ne suis pas allé faire pipi et là après tout ce que je
viens de vivre avec vous deux j’ai toujours cette envie que je n’ai pu
assouvir, me vider la vessie qui est pleine.
Je vais m’allonger à coté de tata Laurence et tu vas faire sur nous si tu as
envie tant que ça, moi je serais très heureux que ma maman Edwige me fasse pipi
dessus et de te boire aussi.
Ta maman n’opposant aucun refus à ta proposition se mis debout dans la
baignoire alors que nous étions tout les deux allongés côte à côte. Se plaçant
au dessus de ton torse imberbe et de mes seins, des premiers jets de pisse
fusèrent de sa chatte qu’elle écartait de ses doigts, nous dévoilant son méat
urinaire, ce geste d’une grande obscénité nous remplissait d’excitation,
soudain elle inonda nos torses dénudés, puis elle se déplaça, remontant
jusqu’à ce que son urine atteigne mon visage. Sous la pression de ces jets
puissants et chauds, je cherchais de l’air et pour cela j’ouvris la bouche ce
qui donna comme résultat que j’avalais une rasade de pisse de ta maman et de ma
soeur Edwige.
A part la tienne c’était la première fois que j’avais en bouche une autre
urine que la tienne mon neveu John et elle n’était pas désagréable à avaler
avec son goût quelque peu sucré.
A son tour, ce fut à ta maman suivant ton désir, de se coucher dans la
baignoire et je pu me ‘venger’ sur elle de ce qu’elle m’avait faite boire son
urine et je ne me privais pas de l’arroser copieusement.
Tu en fis de même sur nous lorsque je me suis allongée aux côtés de ta maman,
ma soeur. Tu avais encore bien des réserves car tu t’es vidé longuement sur
nous deux, nous arrosant copieusement de ta douche dorée. J’ouvrais
grand la bouche pour avaler le plus possible ton liquide d’amour et chaud et
j’en gardai une bonne goulée dans ma bouche une fois que tu avais émis tes
dernières gouttes. Edwige avait les cheveux et le visage tout mouillés de ta
pisse et pour combler le tout ne sachant si elle avait bue ne serrait-ce que
une gorgée de ton liquide doré cette fois c’est moi qui me tournai vers ma
soeur et portai mes lèvres aux siennes.
Dés qu’elle ouvrit la bouche je fis couler dans sa gorge les gorgées de ta
pisse divine que j’avais gardé en moi afin d’en faire profiter ta maman qui
n’eue d’autre recours que d’avaler ton liquide encore chaud et sucré. Nous
avions réussi à lui faire connaître notre amour de l’urine puisqu’elle voulait
tout savoir de ce que nous faisons tous deux en matière de sexe.
Il se fit très tard et nus avons pris tous trois une bonne douche pour nous
nettoyer vraiment. Je pensais de ce fait que j’allais pouvoir passer la nuit
avec toi mon chéri John ou avec ta maman Edwige au moins mais ce ne fut pas le
cas. Je ne saurais que dire sur le comportement de ma soeur, si c’était de la
jalousie ou autre mais elle avait quand même bien profitée et admise nos
relations de cul i****tueuses à trois mais non seulement sa décision fut
intransigeante et ferme. Tu devais réintégrer seul ton lit et moi le mien.
De plus devant toi elle me fit part de cette chose :
Ma chère soeur Laurence, tu as bien su déniaiser mon fils John au point de le
dépraver totalement sexuellement. Tu crois que je n’ai jamais remarquée que
quand tu venais chez nous avec tes jupes courtes et que tu montrais tes cuisses
et ta culotte alors que John était présent il ne se privait pas de regarder
entre tes cuisses ma chère soeur .
Lolo.
IL y en a un autre qui ne se privait pas non plus de te reluquer. Ton cher
beau-frère, qui n’arrête pas de te mater et même une fois de te caresser les
cuisses alors que nous étions en repas de famille et j’ai bien vue sa main se
poser sur tes cuisses. Au début peut-être tu as essayé de le repousser mais il
n’a pas eu beaucoup à insister pour que tu le laisses te peloter les cuisses.
Nous avons passé un bon moment entre nous trois mais je devrais te punir pour
avoir dévergondé mon fils John sexuellement et ta punition sera peut-être
agréable ou pas.
Que veux- tu dire par punition Edwige ? Tu as bien prie ton plaisir avec John
et moi aussi ce soir et même je me suis laissée faire par tes côtés lesbiens
alors que je n’avais jamais connue ce plaisir avec une femme et qui plus est ma
propre soeur. Mais je me rends compte que nous sommes toutes les deux de
grandes vicieuses ;
Cela c’était tout à l’heure ma chère Lolo et en parlant de punition je ne dirai
rien, mais tu devras en contre- partie te faire baiser par mon mari , ton beau
-frère, comme une chienne, car il me parle souvent de toi, même quand il me
baise, il a une envie folle de te prendre par tous les trous.
Ce n’est qu’un jeu Edwige de me dévoiler à ton mari, et il m’a juste caressé
les cuisses sans plus. Car il n’est pas très attirant et il doit être assez
pervers comme homme. Je pense que cela ne lui déplairait nullement de se faire
sa belle-soeur Laurence, bien au contraire. Et en effet, c’est un pervers, il
ne manque jamais d’inspirations, et tu vas pouvoir préparer tes belles fesses,
d’ailleurs je vais te faire une confession, j’ai adorée te manger la chatte et
je participerai à ton éducation, quand Claude te prendra en main, car il arrive
demain, et je crois que cela va bien te plaire.
Et même si tu as raison, ma chère soeur Laurence, tu dois quand même payer
quelque part ce que tu as fais avec mon fils John et c’est lui alors qui va
décider si je t’envois ton cher beau-frère se satisfaire avec toi et John
pourra même vérifier discrètement que cela s’est passé.
Bien sûr tu es présent lors de cette conversation et rien ne t’échappe, ta
maman le sait, et c’est pourquoi elle ne s’est pas privée de le dire en ta
présence.
C’est John qui va décider de ta punition si tu vas la subire ou pas. Tu serais
encore bien capable de prendre du plaisir si mon mari venait te baiser alors
que je préférerai le contraire mais avec toi Laurence on ne sait pas.
John me dira sa décision dés demain matin. A présent tout le monde au lit et
dans son lit respectif.
J’ai bien entendu les propos de Maman, je reste très excité par le déroulement
de cette soirée, bien sur, mon amour pour Lolo est intacte et rien au monde ne
pourrai m’en détourner, mais cette nouvelle expérience à trois m’à ouvert les
sens, et mon naturel curieux en matière de sexualité me commande d’aller plus
loin dans ces jeux sexuels avec ma tante adorée ; Et puis je la connais trop
pour savoir son gout pour l’innovation, et si mon père est si pervers, il va
sans doute initier ma tante à de nouvelles pratiques et peut-être me faire
participer .
Maman que j’ai si bien baisé en compagnie de ma tante Lolo, vient me voir dans
ma chambre, je ne dors pas, et je suis nu sur le lit.
Elle-même n’est revêtue que d’une simple nuisette qui laisse apparaître son
pubis à l’abondante toison et qui dévoile ses fesses, qui tiennent encore pas
mal ( Maman à cinquante deux ans ), elle s’approche de mon lit et découvre que
ma queue est à moitié tendue, elle s’assoit sur le lit et se penche vers moi
pour m’embrasser,
Tout naturellement elle colle ses lèvres sur ma bouche et me roule un patin qui
me met dans tous mes états, je bande et la vicieuse me prend la bite et me
branle doucement.
< Alors mon petit tu la baises depuis longtemps ta tante, >
Je ne réponds pas car je suis tétanisé, < Tu peux me le dire après ce que nous
avons fait ce soir plus rien ne sera comme avant, et il faudra que tu
m’accordes un peu de temps mon fils chéri >
Ce faisant elle se détache de mon visage d’adolescent et me prend la queue en
bouche et commence à me sucer en me caressant les couilles ; ne jouis pas petit
vicieux, je la veux dans mon cul, mais avant dis-moi, je peux en parler à ton
père, hein tu veux bien, et puis tu sais ta tante et moi, nous sommes faites du
même bois, c’est une grande amoureuse, mais moi je suis une vicieuse, et c’est
ton père qui m’a tout appris, il m’oblige à des pratiques sexuelles inavouables
et il adore les petites filles de dix à douze ans, et c’est moi qui les
prépares avec ma langue et ma collection de godes ceinture ;
Tu veux bien qu’il baise et qu’il encule ta douce tatie, tu sais tu seras
invité et tu verras comme elle prendra du plaisir.
Maman m’enjambe et elle place elle-même mon gland tendu sur sa rondelle, puis
elle se laisse retomber sur mon ventre, j’ai les couilles à ras de son anneau,
puis elle monte et descend sur ma petite tige.
< Vas-y petit monstre encules ta Maman, fais moi tout ce que tu fais à ta
tante, je veux que tu me fasses jouir, ah baiser avec son propre fils, quel
bonheur, Edwige , ma mère se comporte comme une catin, elle se triture le clito
et se tord la pointe d’un sein, j’ai du mal à me retenir, je me concentre pour
ne pas envoyer la purée au fond de la gaine tiède de l’anus ;
Soudain ma mère pousse un cri de bête et je sens de grosses déflaquées qui
m’inondent le ventre, alors je laisse partir le flot de sperme qui me taraude
les bourses, je jute dans le cul maternel, je jouis à mon tour, Maman se laisse
aller et je sens qu’elle pisse de bonheur sur moi, qui est toujours la queue
fichée dans son cul.
Je viens de comprendre, pourquoi elle voulait que je retourne dans ma chambre.
J’ai les larmes qui me remplissent les yeux, je pense à ma Lolo, j’ai
l’impression de l’avoir trompée, Lolo je t’aime.
Et puis je me pose la question, comment papa vat-il réagir, de plus je sais que
c’est un vrais pervers, je l’ai souvent entendu fessée Edwige ma mère la nuit
après l’avoir baisée….. mais il me semblait qu’elle avait l’air d’aimer ça,
alors ?
En fait, il ne s’est rien passé le lendemain, nous sommes rentré à la maison
moi avec Lolo, et maman chez elle, car il nous restait quelques jours de
vacances, Claude appela deux jours plus tard pour dire à ma tante avec un peu
de mystère dans la voie, Laurence, bonjours, votre séjour avec ta soeur à été
excellent d’après ce que je sais, et bien c’est décidé, c’est moi qui viendrai
vous chercher, mais j’arriverai le vendredi soir, ça nous laissera un peu de
temps libre, d’accord Lolo.
A mon petit neveu vicieux, celui qui m’a innitié, celui avec qui je partage
tous mes fantasmes, même les plus débridés, mais sachez que ce ne sont que des
fantasmes. Merci petit chéri.
N’oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes …
forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison
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