J’étais invité au mariage d’un oncle. La cérémonie se déroulait à environ une heure de chez moi. En raison du grand nombre d’invités, j’ai accepté d’heberger dans mon appart une cousine du nord que je n’avais pas vu depuis huit ans, et ce malgré que je vive dans un studio.
Estelle est arrivée comme prévu la veille du mariage. J’ai eu un choc en lui ouvrant la porte. Elle avait énormément changé, elle était devenu une petite femme et avaient les formes qui allaient avec. Elle venait de fêter ses 22 ans, moi mes 27. Rousse, 1m70, mince, une poitrine oppulente, un décolleté plongeant et une mini jupe…
Je n’ai pas pu décrocher mon regard de son décolleté, et elle m’a demandé en rigolant si elle pouvait entrer. Je me suis excusé et je lui ai ouvert le passage. Elle est passée devant moi, j’en ai profité pour mater son cul. Quel régal..
Mais il fallait que je me calme, il s’agissait d’un membre de ma famille. Nous avons passé la soirée à discuter et rigoler, on se redécouvrait. J’apprenais au détour d’une conversation qu’elle étit célibataire depuis peu, son copain l’ayant quitté pour une autre.
Je me suis installé comme prévu un matelas gonflable sur le sol et je lui ai laissé le clic clac. Un minimum galant tant qu’à faire.
Avant d’aller me coucher, je suis allé prendre une douche. Alors que je me savonnais, Estelle est entrée dans la salle de bains, a commencé à se démaquiller et à se déshabiller. J’ai alors pu voir son corps magnifique, le temps qu’elle enfile une nuisette. J’étais quand même franchement géné aussi, sachant que le rideau de douche était translucide. Lorsque je lui ai fait remarquer elle a rigolé en disant que ça n’avait pas d’importance, qu’elle avait déja vu d’autres mecs à poil. Elle m’a même proposé de me savonner le dos, j’ai refusé car j’avais la gaule et c’était déja assez difficile à cacher.
Elle a eu l’air décue et est sortie de la salle de bains. J’ai alors attrapé une serviette que j’ai mis au bord de la taille et suis sorti de la douche. Assis sur le rebord de la baignoire, j’essayais de me calmer. C’est à ce moment là qu’elle est rerentrée, m’a regardé avec un petit air complice et m’a demandé d’oter la serviette. J’ai essayé de la raisonner, je ne pouvais décemment pas me mettre à poil devant ma cousine. Je ne savais pas trop quoi penser de son petit manège, j’étais troublé.
Elle a fait glisser sa nuisette au sol, et s’est donc retrouvée nue. Elle était intégralement rasée. Elle m’a dit qu’elle se foutait qu’on soit cousins, qu’elle voulait juste baiser. Assez interloqué, je l’ai laissé écarter les pans de la serviette. Elle m’a alors dit que c’était la première fois qu’elle voyait une bite sans poil (j’aime bien me raser intégralement de temps en temps), qu’elle trouvait ça nettement plus joli ainsi. Elle a balladé sa main droite le long de ma hampe et m’a malaxé les couilles. Je ne pouvais plus résister, je me laissais faire. Ca faisait quelque temps que je n’avais pas fait l’amour moi non plus.
Elle a commencé à me masturber, doucement puis de plus en plus vite. J’étais au bord de l’explosion, je l’ai arrété à temps. Elle a alors approché sa tête et m’a pris en bouche. C’était une bonne salope de suceuse, il ne m’a fallu que quelques minutes pour l’avertir que j’allais jouir. Elle a continué et au dernier moment, a dirigé mon jet sur sa poitrine.
Je lui ai proposé de retourner sous la douche pour nous nettoyer, ce qu’elle a accepté. Elle a attrapé le gel douche, en a mis dans sa main et a commencé à me l’étaler sur le torse. J’ai profité de la situation et ai fait la même chose. Je pouvais enfin toucher son corps. Je me suis longuement attardé sur sa poitrine, avant de la positionner les deux mains appuyées contre le mur, dos tourné à moi. D’emblée, j’ai carésisé sa chatte qui était déja toute mouillée, j’ai joué avec son clitoris de longues minutes, avant de lui introduire deux puis trois doigts. Elle prenait son pied, gémissait de plus en plus. Elle m’excitait et j’ai eu à nouveau une érection. Je me suis mis à genoux et ai léché sa chatte, son clito et même son anus. Ses jambes tremblaient de plaisir, elle appréciait le traitement visiblement.
L’eau continuait à ruisseller sur nos corps (la pomme de douche était accrochée au mur), cétait l’extase. Je me suis relevé, ai présenté ma bite à l’entrée de sa chatte et suis rentré d’un coup sec. Je l’ai pistonné ainsi de longues minutes, malaxant sa poitrine également. Elle hurlait de plaisir, me disait de la défoncer. Je la traitais de petite salope, de bouche à bites, elle adorait ça. Je n’ai pas mis longtemps à éjaculer une seconde fois, dans sa chatte cette fois. Elle s’est retournée, m’a embrassé à pleine bouche et m’a remercié.
On s’est finalement couchés ensemble sur le clic clac, elle a mis la tête sur mon épaule et on s’est endormit comme ça, nus tous les deux. J’ai été révéillé au mileu de la nuit par une sensation bizarre mais agréable au demeurant. Il m’a fallu quelques instants pour comprendre qu’elle était en train de me sucer, dans mon sommeil ! Visiblement elle n’était pas rassasiée la cochonne. J’ai fait semblant de continuer à dormir, pour voir jusqu’ou elle irait. Avec sa bouche pulpeuse il ne m’avait pas fallu longtemps pour bander à nouveau. Elle gémissait et j’ai compris qu’elle se masturbait en même temps. Je ne la voyais pas, les lumières étant éteintes, quel dommage.
Elle a fini par s’installer sur moi à califourchons, guidant mon sexe dans le sien. Mon pénis est à nouveau entré sans difficulté. Elle m’a dit qu’elle savait que je faisait semblant de dormir, qu’aucun homme ne pouvait resister à ce traitement. J’ai eu un petit rire et me suis excusé en précisant que j’avais trouvé la situation très excitante.
Elle a commencé à monter et descendre sur ma bite et avait mis ses deux mains sur mon torse. Je lui triturais la poitrine, me mordait les lèvres pour ne pas hurler de plaisir. Elle est ensuite venue blottir sa poitrine contre mon torse, tout en continuant le mouvement. J’ai alors pris le relais et ai accéléré les va et vient tout en l’embrassant. J’adorais cette sensation, ce tabou qui était brisé. Je ne voulais pas que ça s’arrête, surtout pas.
Je l’ai mise en levrette et je l’ai pilonée, elle mettait sa tête dans l’oreiller pour ne pas hurler. J’en profitais pour lui mettre de grosses fésisées. J’ai fini par jutter sur son cul dans un râle indescriptible. On s’est à nouveau endormis l’un contre l’autre, comme deux amoureux.
Le lendemain on s’est réveillés tôt pour se préparer. J’ai enfilé mon smocking, fait mon noeud de cravate pendant qu’Estelle mettait une robe superbe. On a pris la route, j’étais au volant. Difficile de ne pas parler de ce qui s’était passé, elle m’a demandé si je regrettais. J’ai répondu que non même si la situation était bizarre. Elle m’a alors dit qu’elle avait adoré braver cet interdit, qu’elle était prête à recommencer quand je le voudrais. En disant ça elle avait placé sa main gauche sur mon sexe et très vite, une bosses a déformé mon pantalon. Elle a alors ouvert la braguette, et a sorti mon engin. Elle m’a masturbé avant de se pencher et de me prendre en bouche. Dur de se concentrer sur la route, mais pas le choix. On avait pas le temps de s’arrêter. J’ai fini par lui demander de me lacher, parce que si j’éjaculais ca pouvait tacher les vêtements. Elle m’a souri et m’a embrassé avant de remettre le matériel en place tant bien que mal.
Nous sommes arrivés à la mairie, avons fait comme si de rien n’était. Après le banquet nous sommes rentrés chez moi. Elle était censé repartir le lendemain mais a finalement passé une semaine de plus chez moi sans que personne ne le sache. J’allais bosser et je la retrouvais le soir pour des parties de jambes en l’air endiablées.
Estelle s’est mariée récemment, j’ai bien évidemment été invité. J’ai pu discuter avec elle, elle m’a dit qu’elle ne prenait pas autant son pied avec son mari qu’elle avait pu le prendre avec moi. Je ne sais pas si elle a dit ça pour me faire plaisir, mais ce qui est sûr c’est qu’elle hantera mes nuits durant de longues années.
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