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Mon histoire – Partie 18 – Caro 1

Mon histoire – Partie 18 – Caro 1



Mars 2015

En Février, nous avons fêté les 18 ans de Caro
C’est maintenant une très jolie jeune fille. Elle a hérité de sa mère les yeux bleus et la blondeur , de sa tante le teint mat . Quant à moi je lui ai légué une stature qui finit de lui procurer beauté naturelle et charme incontestable .
Mince, coquette jusqu’au bout des ongles, elle a également un caractère affirmé.

Ces derniers jours, elle a changé. Un peu plus renfermée, rêveuse par moments, on dirait bien qu’elle a quelques soucis.
J’ai mis tout cela sur le compte du lycée, l’année de terminale n’est pas de tout repos, ou des premiers émois amoureux.
Je lui ai tout de même demandé si elle avait des problèmes , et qu’elle pouvait nous en parler librement.
Elle m’a rassuré, mollement.
Véro a essayé , elle aussi , d’en savoir plus, sans succès.

La semaine dernière, en allant, en pleine après midi, chez des clients, je l’ai vue sortir de l’immeuble ou habite Alain.
Mon coeur s’est serré dans ma poitrine .
J’ai essayé de dédramatiser les choses, de relativiser un tant soit peu, en me disant qu’il n’était pas le seul habitant des lieux, qu’elle pouvait être allé voir une copine … N’empêche, j’ai eu un drôle de pressentiment.

Le soir, mine de rien, pendant le repas, je lui ai demandé comment s’était passée la journée parcequ’elle avait l’air fatiguée.
– oh tu sais, rien de spéciale, on a eu 4 heures de philo cet apres midi,, alors ça use.

Bien le doute est levé ! Elle nous cache quelque chose .
Mais que faire ? lui en parler ? elle va nier ou mentir . La surveiller ? la contraindre ? ce n’est pas dans mes principes d’éducation et puis cela ne servirait qu’à la braquer .
Je me sens un peu désarmé, ne sachant ni que dire , ni que faire .
J’en parle à Véro qui est très inquiète .

– Il faut faire quelque chose. On doit savoir. Pourquoi tu n’en parlerais pas à Pierre ?

Pierre c’est mon pot, mon ami, mon frère .
Nous avons grandi ensemble, nous sommes du même âge, nous étions voisins.
Fils unique lui aussi, nos deux solitudes de jeunes garçons et d’adolescents se sont réunies. Nous avons tout partagé, nous n’avons pas de secrets l’un pour l’autre.
Après le bac, pendant que je rentrai en fac de droit, Pierre s’est engagé dans l’armée.
Son physique et ses aptitudes exceptionnelles, tant physiques, qu’intellectuelles que mentales l’ont amené dans les forces spéciales ou il a fini gradé.
Bien entendu, je n’ai pas su, grande muette oblige, tous les détails de sa carrière mais, à mots couverts, lors de ses permissions qu’il passait chez moi, il m’a fait comprendre la dangerosité, la rudesse de ses missions lointaines nimbées du secret absolu .

Il y a peu de temps, il est retourné à la vie civile, créant une agence de « renseignements », employant d’anciens commandos comme lui, et n’ayant qu’un seul et unique client: une officine gouvernementale qu’on aurait du mal à trouver dans l’organigramme de l’état. Bref … !!

Toujours célibataire, il adore mes enfants qui le lui rendent bien. C’est le parrain de Caro, Vincent l’appelle tonton.

Ce samedi, les gosses étant chez leur mère , nous l’avons invité à souper. Véro a tenu à convier Corinne également. Elle connait beaucoup de monde, a beaucoup de ressource et pourrait nous être utile .

Pierre arrive le premier, pile à l’heure.
– Alors les amoureux ? Tout roule ? demande t il en nous embrassant
– Nous ça va , mais on a quelque chose à te dire ..Plus tard..Pour l’instant, prenons un verre.
Peu de temps après, Corinne fait son apparition.
Très élégante à son habitude, mélange de charme et de beauté, elle s’avance.
Nos invités ne se connaissent pas , nus faisons les présentations.

Jamais je n’ai vu mon ami comme ça. Lui d’habitude si sur, si à l’aise, en société , reste bouche bée.
Je lui donne un discret coup de coude pour qu’il se reprenne. Véro a du mal à ne pas rire, elle s’est aperçue de tout.
Corinne, quant à elle a aussi un comportement inhabituel. Elle minaude comme une gamine boutonneuse.
Il faut dire qu’elle a devant elle un gaillard d’un mètre 95 . Ses 110 kilos de muscles transparaissent au travers d’une chemise qu’il porte apprêtée. Châtain très clair, le teint bronzé, les traits fins mais durs de l’homme qui a vécu, il a un succès certain auprès de la gent féminine .

Nous prenons l’apéritif en discutant de choses et d’autres .
Par moments , Véro et moi avons l’impression d’être seuls dans la pièce, de parler dans le vide tant nos invités se scrutent , s’évitent du regard, se cherchent en même temps.

Profitant d’un instant ou les filles sont parties chercher boissons et tapas, Pierre me dit, l’air de rien,
– Je ne connaissais pas Corinne . Elle est seule ?
– Oui, tu sais je t’en ai parlé, c’est l’amie de Véro ..
– Ah ok ! Je vois !
– Elle te fait de l’effet ?
– Oui … Beaucoup !!
– Fais gaffe quand même. Tu sais elle est libérée, libertine et je ne sais pas si..
Pierre me coupe :
– Comme l’était Véro avant d’être avec toi !

Oui, il a raison !

Les filles revenues, la conversation se fait plus grave et nous leur expliquons notre préoccupation.
Je vois le visage de Pierre se fermer, son front se plisse, des rides apparaissent entre ses sourcils.
Il est très en colère et quand il est en colère ….

– Je m’en occupe . Nom, prénom , adresse ? Rendez vous ici, dans 2 semaines, même heure .La situation sera éclaircie . Vous aurez tous les renseignements.

Quelque peu rassérénés, nous profitons de la soirée.
Il est tard maintenant. Nos hôtes ont un peu abusé de la boisson et nous leurs proposons de rester coucher à la maison. Nous avons deux chambres d’amis.
Bientôt tout le monde est au lit .
5 minutes ne se sont pas passées que nous entendons quelques gémissements dans la chambre voisine.

Véro me dit :
– Voilà, c’est parti. On ne va pas fermer l’oeil de la nuit.
– Tu crois que ..
– J’en suis sure, Corinne est sous le charme et quand elle veut quelque chose. . !
– Elle ‘aura pas trop de mal je pense .
– Oui, je crois aussi…

Les gémissements se transforment en petits cris étouffés.

Ma coquine disparaît sous la couette. Je sens sa langue descendre le long de mon torse, fouiller mon nombril.
Elle lèche maintenant mon sexe érigé comme s’il s’agissait d’une glace.
Ses lèvres entourent mon gland. Elle aspire, suce, enfonce profondément ma queue au fond de sa gorge .
Déchaîné, surexcité, je la relève. Ma bouche trouve la sienne.
Elle a le gout de ma bite. J’adore . Je la couche sur le ventre et ma langue trouve l’entrée de son petit trou.

– Oui, prends moi par là .. !!
Un doigt plein de sa mouille s’introduit dans son puits. Un autre le rejoint. La voilà bien lubrifiée.
Elle est à quatre pattes, ma queue pointe sa cible, je pousse , la pénètre à la hussarde.
Elle crie la douleur de son plaisir. Elle couine sous mes va et viens . Ma main caresse sa chatte inondée.
Elle hurle de volupté.
Mon sexe se gonfle, je pousse une dernière fois. Les vannes s’ouvrent.

– woauouu !!! S’écrie t elle en me sautant au cou, c’était bonnnn !!

De l’autre côté de la cloison, les deux amants ne se retiennent plus et nous pouvons profiter de leurs ébats.
Avec ce boucan, inutile d’espérer dormir. Nous descendons nous rafraîchir, laissant les choses se calmer à l’étage.

Quelques dizaines de minutes plus tard, Pierre nous rejoint.
– Ah, vous êtes là ? J’espère qu’on ne vous a pas trop dérangé ?
– Non du tout, tu penses ! fais je en me marrant.

Véro remonte nous laissant entre mecs.
– Alors ? Raconte .
– Raconter quoi ?
– Ne te fais pas prier .
– J’étais tout juste couché que la porte s’est ouverte. Corinne est rentrée , elle m’a souri sans parler . Je lui ai souri aussi .
Elle s’est déshabillée lentement en me regardant droit dans les yeux. Tu peux pas savoir dans quel état ça m’a mis.
Complètement nue, elle s’est avancée . J’étais complètement fasciné. Elle m’a embrassé et elle m’a dit qu’elle avait eu envie de moi dès qu’elle m’avait vu. Je lui ai répondu que moi aussi…
Et puis voilà, tout y es passé, fellation, cunni, etc. Enfin bref, la totale.. Je vais pas te faire un dessin !
C’était comme une évidence, comme si nos corps vibraient à l’unisson.
– Bon je suis content pour vous, c’est une chic fille..
– Oui, je sais ce que tu vas me dire . Entre deux rounds on a un peu parlé de nous.Elle m’en a dit assez pour que je puisse confirmer ce que tu m’as raconté. On verra bien..
– Si les choses sont claires …

Nous sommes remontés.

Les cris ont repris de plus belle jusqu’au petit matin …

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