Le mariage est un événement qui permet de célébrer l’union de deux êtres qui s’aiment. C’est aussi une occasion pour la famille et les amis de faire une belle fête, mais c’est également une opportunité pour les célibataires comme moi de faire une bonne rencontre.
En juillet 2009, j’ai assisté au mariage de Cyril et Arielle, un couple d’amis, et il m’est arrivé une histoire un peu folle.
13h50, samedi, la journée est ensoleillée et nous sommes tous réunis devant l’entrée de la mairie dans la commune des parents de la mariée, qui se trouve à une soixantaine de kilomètres de chez moi. En compagnie de Gérald, mon pote avec lequel je suis venu en voiture, nous attendons l’arrivée d’Arielle. J’en profite pour passer en revue les effectifs féminins présents. Elles sont toutes bien guindées et certaines sont très jolies, mais aucune ne rivalise avec les demoiselles d’honneur, qui viennent de débarquer avec la future épouse. Elles sont toutes les trois resplendissantes dans leur belle robe vert pastel. Je les ai déjà rencontré une ou deux fois auparavant, puisque ce sont les meilleures amies de la mariée, mais jamais elles ne m’ont tapées dans l’oeil comme aujourd’hui. Difficile de faire un choix, si je devais en faire un à ce moment-là.
La journée se passe à merveille, l’échange des alliances et la cérémonie à l’église se font dans la joie et la bonne humeur. Le vin d’honneur, le repas et les animations enchantent tous les invités. L’alcool ayant coulé à flot toute la journée, les esprits s’échauffent et naturellement c’est lors du bal que les choses basculent.
Céline, l’une des demoiselles d’honneur, est la première à se distinguer. La belle brune a été surprise à flirter avec Bertrand, un collègue de travail de Cyril. Cela ne m’étonne guère, car ce dernier lui a fait du gringue pendant une bonne partie de la journée.
Ma situation évolue un peu plus tard. Nous ne sommes plus qu’une trentaine de jeunes, frères, soeurs et amis des mariés, désirant faire la fête jusqu’au bout de la nuit. Certains discutent à table en sirotant des boissons alcoolisées, d’autres fument à l’extérieur en bavardant et les plus vaillants d’entre nous dansent sur la piste.
Sur un rythme entraînant, Jessica, une autre demoiselle d’honneur, me prendre la main et m’attire contre elle pour m’inviter à danser. Sur un air latino, nous bougeons ensemble collé-serré.
– Tu danses bien, me dit-elle.
– Merci, je te renvoie le compliment.
Ravi d’avoir une cavalière aussi belle que douée, j’entreprends de la faire tourner sur elle-même. Malheureusement alcool et équilibre ne font pas bon ménage. La petite blonde glisse et tombe au sol en m’entraînant dans sa chute. C’est le fourire général.
Je l’aide à se relever.
– Ca va, tu ne t’es pas fait mal.
– Non, c’est bon, rien de grave, par contre, tu me dois une autre danse pour la peine.
– Pas de soucis.
Nous dansons sur une deuxième, puis une troisième chanson. Des regards, des sourires, nos corps qui se rapprochent et nous nous embrassons. Nous passons le reste de la soirée ensemble à papoter, danser et se bécoter.
Nous souhaitons tous les deux finir la nuit ensemble, mais Jessica ne vivant pas dans la région, a pris ses quartiers chez Céline. Elle m’invite donc à dormir avec elle chez son amie, ce qui ne dérange absolument pas cette dernière qui a également invité son nouveau partenaire. Nous sommes donc rentré tous les quatre à pied.
Nous buvons un dernier verre dans le salon de notre hôte, puis chaque couple commence à fricoter dans son coin. Mais très rapidement, Céline qui a grimpé sur les genoux de Bertrand, se lève et entraîne son amant dans sa chambre en nous disant qu’elle ne peut plus se retenir et qu’il faut qu’elle baise.
– Elle a l’air chaude ta copine, dis-je à Jessica une fois seuls.
– C’est pire que ça, dit-elle en souriant, elle ne pense qu’à ça.
– Et pas toi?
– Si bien sûr, mais beaucoup moins qu’elle.
– Ok, on va se coucher?
Aussitôt dans la chambre, la petite blonde retire ses chaussures blanches à talons avec un énorme soulagement.
– Oh la vache, qu’est ce que ça fait du bien.
– Je te fais un petit massage si tu veux.
– Pourquoi pas, mais pas longtemps, on a autre chose à faire, dit-elle espiègle.
Elle allume la lampe de chevet, éteint celle du plafond, retire les épingles de son chignon pour libérer sa longue chevelure, dézippe sa robe et la laisse glisser jusqu’à ses chevilles. Je suis émerveillé par ce que je vois. Elle ne porte qu’un tanga rose et noir très sexy et son corps est divin. Des petits seins tous ronds avec des petites auréoles et de minuscules tétons, un ventre plat aux abdos légèrement dessinés, des fesses fermes bien arrondies et de magnifiques jambes galbées. C’est une sportive assurément.
Elle s’installe sur le lit en s’adossant aux gros coussins, pendant que je me déshabille, ne gardant que mon boxer. Je la rejoins sur le lit et prends son pied que je masse sensuellement.
– Tu as de très jolis petons.
– Merci, c’est gentil.
Je m’occupe ensuite de l’autre, je masse son talon, fais des mouvements circulaires avec mes pouces sur sa voute plantaire, puis je le porte à ma bouche. Je donne un baiser à chacun de ses orteils, puis je les suce à tour de rôle. Cela l’émoustille beaucoup car elle soupire en se caressant les seins. Décidé à passer aux choses sérieuses, je lâche son pied et m’avance vers elle, mais elle me stoppe en plaquant sa main sur mon torse.
– Attends, tu as l’air d’être un mec assez ouvert et j’aimerais te demander quelque.
– Vas-y, je t’écoute.
Elle hésite un instant et se lance.
– Bon voilà, je suis très voyeuse et très joueuse et là je suis complètement saoule et j’ai envie de me lâcher, donc est-ce que tu veux bien te masturber devant moi?
– Aucun problème si ça te fait plaisir. Moi aussi j’adore mater, c’est très excitant.
– Cool, j’ai eu peur que tu trouves ça bizarre.
– Il n’y a rien de bizarre, tant que les personnes sont consentantes.
Je vire mon boxer et Jess s’écrie immédiatement en observant mon sexe dressé.
– Oh trop bien, tu t’épiles entièrement, je kiffe trop.
– Ca veut dire que ça te plait ?
– Carrément, je déteste les poils.
– J’en déduis que tu es toute lisse aussi.
Elle se dépêche d’enlever son tanga et écarte les cuisses pour m’exhiber sa minette.
– Oui je suis toute lisse et toute humide.
Nous nous masturbons ensuite mutuellement l’un en face de l’autre. Nous nous sourions en nous complimentant.
– Hum tu m’excites, tu es trop belle.
– Toi aussi tu m’excites, j’adore ton corps et ta belle queue. J’ai très envie de te voir éjaculer.
– Et moi j’ai très envie de voir tes petites fesses.
Docile, Jessica se retourne et se met à quatre pattes.
– C’est bien comme ça?
– Oui c’est super, tes fesses sont parfaites.
– Merci ça fait plaisir de l’entendre.
Je me branle de plus en plus vite, pendant que ma partenaire se tripote le clitoris énergiquement.
– N’oublie pas de me prévenir quand tu vas jouir, balance-t–elle.
– Je n’oublierais pas, promis. Ecarte tes fesses, ça va me faire venir plus vite.
– Hey oh petit vicieux, ce sont mes fesses ou mon trou du cul que tu veux voir.
– Bah maintenant que j’ai vu tes fesses, je veux voir ton trou du cul.
– Ok, mais c’est juste pour regarder, car je te préviens tout de suite, je ne pratique pas la sodomie.
– Oui, oui, pas de soucis.
Elle écarte ses fesses en grand et me dévoile sans honte sa rosette légèrement foncée.
Je jubile en voyant ce magnifique paysage possiblement vierge de tout intrusion. Ma main s’agite sur mon chibre à toute vitesse, je suis surexcité en me disant que j’arriverais peut-être à la convaincre de me laisser entrer dans son merveilleux cul. Cet à ce moment-là que je ressens mon coeur s’emballer et ma tête bouillonner.
– Ca va venir.
Jessica se retourne illico et m’encourage en reprenant ses caresses intimes.
– Vas-y, lâche-toi, je veux voir comment tu gicles.
Je grogne de plaisir libérant un premier jet de sperme qui s’étale sur mon torse, les autres s’enchaînent et percutent mon bas-ventre, mes couilles, mes cuisses. Au même moment, j’entends ma nouvelle amie gémir bruyamment, les cuisses resserrées et la main toujours sur son sexe. Elle est en train d’avoir un orgasme, alors que mon gland régurgite les dernières gouttes de sperme qui s’écoulent le long de ma hampe jusqu’aux boules.
Quelques minutes après notre petit délire manuel, notre affaire s’envenime. Des baisers langoureux, des caresses bien ciblées, nous redonnent l’énergie nécessaire pour éviter de sombrer dans les bras de morphée. De nouveau au garde à vous, Jess entreprend de me tailler une bonne pipe. Je savoure ce traitement confortablement installé, allongé sur le dos, les bras croisés derrière la tête, posée sur un coussin. Je ferme les yeux et n’entends plus que les bruits de succion.
Soudain la porte de la chambre s’ouvre.
– Je vois qu’on s’amuse bien ici.
J’écarquille les yeux pour me rendre compte que Céline est sur le pas de la porte, une bouteille d’eau à la main et vêtue d’une courte robe de chambre entrouverte qui laisse transparaître toute sa féminité. De bons gros lolos aux larges auréoles et une minette aussi lisse que sa camarade.
Jessica à peine étonnée de cette intrusion, s’arrête de me sucer et lui rétorque:
– Tu croyais quoi, qu’on jouait au scrabble? Et d’abord qu’est ce que tu fais là?
– J’avais soif et j’ai eu envie de faire ma curieuse.
– Coquine. Il dort le tien ?
– Non il m’attend, mais j’avoue que là tout de suite, j’ai plutôt envie de rester jouer avec vous.
– Bah qu’est ce que tu attends?
Aussitôt, la belle brune ferme la porte, pose la bouteille, fait tomber sa parure polaire et vient sur le lit pour seconder sa copine.
Les deux nanas me pompent l’une après l’autre. Je gémis de plus en plus en sentant leur bouche coulisser successivement sur mon pieux, ainsi que leurs mains sur mon ventre, mes cuisses ou mes couilles.
Jessica ne tient plus et s’accroupie dos à moi pour s’empaler sur ma queue. Elle monte et descend, ondule parfois pendant que son amie lui caresse les seins en l’embrassant passionnément. Céline se met ensuite sur le côté et nous regarde baiser en se masturbant à deux doigts. Alors que Jessica tréssaute toujours sur mon dard en couinant, je ne cesse d’observer la brune qui pétrit et lèche ses gros seins en me fixant avec un regard pervers.
– Je t’excite hein? Tu as envie de me baiser avec ta grosse bite salopard.
Visiblement beaucoup plus salope que son amie, je lui confirme que j’ai très envie de la défoncer. Elle se positionne alors à quatre pattes et me nargue pour que je vienne la prendre. Ma soif de nouveauté me pousse à changer de partenaire et c’est avec un plaisir non-dissimulé que je saisis mon sexe gluant pour l’enfoncer dans la chatte brûlante de la jeune femme aux gros seins. Je la tiens par les hanches et la ramone puissamment en levrette. Ses jérémiades incessantes m’encourage à la culbuter encore plus fort et cela excite Jessica, qui vient se mettre devant sa copine en écartant les jambes pour que cette dernière lui broute le minou.
Nous prenons tous les trois notre pied, mais malheureusement notre séance de luxure est interrompue par l’entrée de Bertrand, légèrement en colère. Troublé et à priori déçu par ce qu’il se passe en face de lui, il s’exprime grossièrement en fixant Céline d’un regard noir.
– Putain, t’es vraiment un grosse salope. D’abord tu me fais poireauter et ensuite je te retrouve en train de te faire baiser.
– Oh ça va, t’énerve pas, répond-t-elle. Si tu n’es pas content, tu te casses.
– Non, mais je pensais que…
– Non, mais quoi? Tu as le choix, soit tu viens t’éclater avec nous, soit tu vas te coucher ou soit tu te barres.
Bertrand ne réfléchit pas bien longtemps et finit par nous rejoindre sur le lit. Céline réussit à le calmer en lui suçant la bite et notre trio se transforme en quatuor.
Les couples initiaux se recréent. Je besogne »ma » Jess en missionnaire pendant qu’à côté de nous Céline chevauche énergiquement son amant, qui a définitivement compris que tout ça n’est qu’une histoire de sexe.
Les filles couinent de plus en plus fort, puis nous échangeons de partenaire. Je reprends où j’en étais avec la brune, c’est à dire en levrette, pendant que les deux autres sont dans la même position en face de nous. Dans l’excitation générale, je caresse l’anus de Céline avec mon pouce pour tester sa réaction. Elle me laisse faire, alors je poursuis mon investigation en écartant ses fesses pour lui lécher la rondelle. Elle extériorise son plaisir en me disant que c’est trop bon. Sans demander mon reste, je pointe mon gland sur son anus et je pousse lentement. L’endroit est difficile d’accès, mais je persévère. Lorsque que je suis entré entièrement, je fais de petits va-et-vient qui finissent par devenir de plus en plus amples. Je l’encule en douceur et les vocalises des demoiselles d’honneur sont de plus en plus sonores. Jessica est la première à jouir sous les assauts de Bertrand qui est un peu mieux monté que moi. Céline ne tarde pas à l’imiter alors que je la sodomise en profondeur, mais elle en veux encore, contrairement à la jeune blonde qui nous observe, épuisée.
Céline, et son appétit vorace, fait signe à Bertrand d’approcher. Elle le suce goulûment pendant que je suis toujours dans son cul et tout à coup, elle nous réclame tous les deux. La chaudasse souhaite être prise en sandwich. Nous nous mettons donc en situation. La jeune femme se met à califourchon sur mon compère masculin qui est allongé sur le dos. Pénétrée par devant, elle exulte de bonheur lorsque je m’insère dans son rectum et elle ne tarde pas à atteindre l’orgasme. Les deux queues qui s’agitent en elle, l’a font partir en vrille et elle crie sa jouissance sous les yeux de Jessica, presque admirative de sa capacité à encaisser nos coups de reins. Sa façon de jouir est si excitante que je finis par me vider dans son cul en rugissant de plaisir. Fatigué par tous ses efforts, je me retire et les laisse terminer seuls leur corps à corps. Jessica et moi les regardons en se calinant, jusqu’à ce que Bertrand éjacule en elle en grimaçant.
Après cette partie de débauche, Bertrand et Céline ont regagné leur chambre. Je me suis couché auprès de Jess, en me disant que j’allais avoir peu de sommeil et que le retour de noces allait être difficile.
A suivre.
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