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Soumission sans contrôle (4)

Soumission sans contrôle (4)



Le chapitre précédent :

Je finissais donc de nettoyer ses couilles après m’être occupée de sa queue. Sans me laisser une seule seconde de répit il s’empressait de coller ,contre son cul, ma tête. Plus exactement « ma gueule de chienne, il faut bien que je serve à quelque chose.

Il appuyait de plus en plus fort sur ma tête histoire que j’aille le plus profondément possible, apparemment il aimait se faire bouffer le cul c’était indéniable, je restais de longues minutes comme ça. Il en profitait pour m’indiquer : Je ne sais pas quel est le meilleur en fait. Soit ta langue sur mon cul, ou le fait de savoir que t’es qu’une merde qui accepte ça je suis vraiment partagé.

Après quoi il se retournait affichant un grand sourire : Tu sais il y a un truc que j’adore faire sous la douche. Avant d’avoir terminé sa phrase je recevais un gros jet d’urine en plein sur le visage, et dans ma grande stupidité sous l’effet de surprise j’ouvrais la bouche par réflexe, me retrouvant à en avaler sans le vouloir.

« Putain mais t’aurais vu ta gueule, déjà que tu respires pas l’intelligence alors là on aurait dit une demeurée ». Il éclatait de rire avant de me fourrer sa queue dans la bouche, me signifiant qu’elle n’allait pas se nettoyer toute seule.

Une fois la douche terminé, alors qu’il se rhabillait, il me dit alors « Pas besoin de t’habiller tu t’en doutes et tu vas te déplacer à quatre pattes maintenant ce sera plus marrant ».

L’humiliation allait crescendo et je ne faisais rien pour stopper tout ça au contraire j’y prenais goût. Se sentir possédée, j’étais en train de m’abandonner et ça me plaisait. Je ne pouvais même pas me sentir coupable en pensant Fabien car je n’y pensais pas une seule seconde.

Alors que je sortais dans la salle de bain, à quatre pattes, avec cette sensation désagréable du carrelage froid qui envahissait mon corps, il me stoppait net.

Il était en grand écart au-dessus de moi, une jambe derrière moi, l’autre sur ma tête plaquée au sol.

« Sérieusement déjà habillée ton cul me faisait bander mais là à poil, t’es vraiment une putain de bonne chienne. En plus avec tes gros seins mous qui se gifle parfaitement t’imagines pas. »

Il entrecoupait régulièrement sa tirade de grosses fessés qui me faisait gémir de douleur tant il ne retenait pas ses coups.

« T’es vraiment typiquement le genre de pute qu’on se dit, elle je la défonce. T’as du frustrer tellement de mecs, mais ne t’inquiètes pas on va ratt****r ça je vais te présenter à des potes, tu vas voir y a tellement de mecs qui vont te passer dessus que Franck ne va plus toucher les bords quand il te baisera »

J’ai eu le sentiment le plus horrible qu’il soit. Cette sensation de dégoût qui m’envahit en pensant à ce qu’il venait de dire. Et pourtant aucune objection de ma part, tant l’excitation que ça m’avait provoquée me parcourait.

Il finit par me laisser relever la tête. Il avait un mètre dans le placard pour mesurer toutes mes mensurations.

« Je vais acheter ce qu’il faut pour que tu soit présentable, tu vas voir tu vas adorer »

Il serrait énormément le mètre sur mes seins et mon cul, histoire de faire en sorte que les vêtements soient bien serrés.

« Fabien rentre à quelle heure ?

– Vers 18 heures

– On a du temps alors c’est bien ça, t’as de quoi faire à manger ?

– Oui.

– Dorénavant ce sera avec Maître, Monsieur ou tout ce que tu veux d’autres me montrant le respect que me dois que tu t’adresseras à moi, compris grosse pute ?

– Oui Maître

– Bien fait à manger pour deux et magne toi le cul salope et fais un truc froid style salade.

– Bien Maître

Je m’affairais alors nue dans la cuisine pour nous préparer à manger. Il était sorti quelques instants pour téléphoner, il ne voulait pas que j’entende. Cela devait être personnel ou pour le travail m’étais-je dis.

Au bout de 10 minutes je mettais la table, servait les assiettes et m’asseyais à côté de lui pour manger. Grosse erreur.

Il me tira la tête en arrière, par les cheveux. Il me mettait des gifles sur mes seins, qui volaient dans tous les sens

« Mais putain de merde tu te crois sale pute ?! Tu crois vraiment que c’est pour toi la deuxième portion ? Et que t’aurais mangé assise à côté de moi ? T’es vraiment qu’une grosse conne. »

Il m’obligea à me remettre au sol à quatre pattes, j’avais les seins tout rouge, encore chaud de gifles reçues.

« De un t’aurais mangé parterre dans une gamelle ou au sol carrément comme une chienne. Ensuite je crois que tu n’as pas compris ce qui t’attends. Ce que tu as préparé la c’est pour un pote que je viens d’inviter pour t’essayer. Par contre n’aie pas peur tu vas bouffer hein, simplement toi c’est sur sperme que tu vas bouffer connasse tu m’as compris

– Oui Maître. Cette fois-ci c’est sur la joue que je recevais une gifle

– Tu comptes t’excuser quand pour ce que tu viens de faire ?

– Pardon, je suis désolé Maître

– Putain faut faire toute ton éducation Inutile de te dire que mon pote fait l’effort de venir, il t’offre sa queue donc t’auras intérêt à être très gentille avec lui et le remercier comme il se doit on bien d’accord là-dessus ?

– D’accord Maître »

Plus encore que la punition, c’est de le décevoir qui me faisait le plus peur à cet instant. Je ne voulais pas que ça s’arrête j’étais entraînée là-dedans si rapidement que mes sensations, mes ressentis prenait le dessus sur ma raison, ma fidélité ou même ce que je n’avais plus ma fierté.

« D’ailleurs va dans la chambre et attends à quatre pattes derrière la porte je viendrais te chercher quand il sera là. Je vais te présenter comme il se doit, comme une bonne chienne à disposition »

Je m’exécutais, j’avais de nœuds au ventre tant j’étais tiraillé entre le stress et l’excitation. J’ai du attendre comme ça un bon quart d’heure, avant que je n’entende toque à la porte.

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