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Tel est pris

Tel est pris



Un vent faible et chaud m’accueillit à l’entrée de cette plage immense alors que j’avançais au milieu de parasols, de serviettes étalées et de jouets d’enfants éparpillés.

— Quelle foule !, pensai-je, et pourtant je suis venue tôt pensant être tranquille sur cette plage sauvage … en temps normal !.

Les vacances… J’entrepris de marcher quelques centaines de mètres espérant trouver un endroit où je pourrais être à mon aise pour profiter de ce chaud soleil estival. Je progressais au milieu de couples allongés, des odeurs de crème solaire se mélangeant dans l’atmosphère déjà chaude à celle des algues laissées par la marée haute. Rires étouffés, bavardages légers, Visages souriants, tout indiquait la légèreté et la joie de ce moment privilégié.

Cinq minutes plus tard, à l’extrémité de cette plage, séparée par des rochers imposants du reste de la foule estivale, je m’installai à une dizaine de mètres d’un couple d’une trentaine d’années, installés confortablement sur un tissu indien aux motifs d’ananas, sacs, vêtements, livres, crème solaire, et une bouteille de rosé disposés négligemment autour d’eux.

Le couple me jeta un œil amusé alors que je me déshabillais. Allongés sur le côté, se faisant face, ils semblaient minauder. L’homme laissait nonchalamment sa main droite glisser sur le côté et la hanche de son amie vêtue d’un bikini, jouant avec le nœud de son bas de maillot, faisant mine de le délasser. Il était légèrement corpulent, de forte taille et à la pilosité abondante sur le buste et les jambes. Deux tatouages polynésiens barraient chacune de ses omoplates. La fille, quant à elle, était un peu ronde et pulpeuse, ses longs cheveux bruns brillant au soleil s’étalant sur la cotonnade d’aspect soyeux, les épaules dorées légèrement fermées serrant sa poitrine opulente dont les pointes dardaient au centre des bonnets. Ses jambes croisées augmentaient le caractère proéminent de sa hanche arrondie. La peau lisse et régulière de son ventre disparaissait sous le tissu orange et rouge de son bas de maillot, glissé négligemment jusqu’à la limite de son pubis.

Je pensais que ce couple devait se dire des mots entendus et se caresser gentiment depuis un moment, l’air de rien, complètement détendu, mais glissant doucement vers un autre état plus langoureux. Allongé sur le dos, matant discrètement ce couple, je sentais l’excitation qui m’envahissait doucement alors que le soleil au zénith me faisait déjà transpirer. Je ne pouvais m’empêcher de penser aux sensations éprouvées par cet homme caressant sa femme complice, la vision du visage souriant et du corps demi-nu de cette fille amenant inexorablement mon sexe à durcir peu à peu, puis plus délibérément dans mon bermuda, en écho à mes pensées lubriques. La fille jeta un coup d’œil furtif vers moi alors que l’homme glissait ses doigts sous le lacet du maillot, puis sous le tissu lui-même, jusqu’au mont de Vénus proéminent, glissant inexorablement vers sa fente que je devinais de loin.

Puis elle me regarda plus franchement, l’air interrogateur et coquin. Une bosse bien nette et pointue trahissait mon érection que je ne cherchais pas à dissimuler à sa curiosité impudique. L’homme était maintenant concentré sur les allées et venues de ses doigts sur la chatte de la fille et pelotait ses seins en découvrant en partie les deux minuscules triangles de tissus de son soutien-gorge, laissant apparaître ses aréoles foncées et larges. Alors la fille me fixa au-dessus de l’épaule de son ami, comme pour m’inviter à partager les sensations de son sexe s’engorgeant peu à peu de désir. Je sortis ma queue décalottée de sa prison ; elle se dressa immédiatement, comme libérée et exaltant de désir, en écho au regard qui me fixait. Je caressais la hampe et soupesai mes couilles lourdes, pendant bas sur ma cuisse gauche du fait de la chaleur, et je commençai à me branler tandis que la fille me dardait toujours en souriant d’une manière lascive.

Je me levai, me débarrassant de mon maillot, et j’approchai du couple en continuant à me branler lentement. L’homme se retourna, s’arrêta, semblant surpris, le maillot tendu par l’excitation lui aussi, la transpiration ruisselant sur son crâne rasé et son torse musclé. Un échange de regards avec sa partenaire, quelques secondes de flottement, et elle lui indiquait d’un clin d’œil que la perspective de ma présence n’était pas pour lui déplaire.

Je m’allongeai derrière elle, commençant à lui caresser les cheveux, le dos, les fesses, les épaules d’où je fis rapidement glisser la bretelle de maillot pour libérer complètement sa poitrine. L’homme la fit alors s’allonger sur le dos, lui écartant les cuisses pour accéder à l’amplitude de son sexe, écartant le maillot sur le côté pour plonger sa bouche sur l’abricot parfaitement lisse de la fente duquel dardait le désir brillant de sa mouille mélangée à la transpiration. S’ensuivit une série d’ondulations lascives de la fille sous les coups de langue experte de l’homme qui visiblement savait chauffer sa chérie. La fille m’offrit sa bouche, et après quelques baisers où nos langues et nos respirations rapides se mêlaient avec délice, je me mettais à quatre pattes au-dessus de sa tête pour lui présenter ma queue brûlante qu’elle jaugea l’espace d’un instant, puis l’air satisfait happait avec délectation.

Alors que son homme s’affairait de sa langue sur son clito et lui doigtait maintenant le vagin avec vigueur, je l’aidais à enfourner mon bâton pendant comme une stalactite boursouflée en me baissant alternativement, lentement, puis plus vite, plus bs, jusqu’à la laisser engloutir ma queue jusqu’à la garde dans un râlement d’inconfort mêlé de plaisir. Dans sa gorge, mon gland turgescent et cramoisi d’excitation la fit tousser, puis elle cracha quand je me retirai partiellement, la bite dégoulinante de salive. Cinq secondes plus tard, elle me la reprit avec vigueur pour l’avaler de plus belle, bavant des commissures de ses lèvres, s’essoufflant à vouloir aspirer mon gland et serrer mon sexe comme dans une coquille fermée.

— Putain que c’est bon ! m’écriai-je en la soulageant pour lui permettre de respirer.

— Je veux avoir ta bite au fond de ma gorge ! Ton goût et ton gland gonflé à éclater, ça m’excite à mort !

Ni deux, ni trois, ma belle, et j’enfournai ma queue pour des va-et-vient plus amples de mes reins au-dessus d’elle, fermant les yeux de jubilation.

Je sentis soudain ma tête relevée par une main saisissant mon menton. J’ouvris les yeux et je trouvais à dix centimètres de mon visage le sexe de l’homme, debout, et les jambes écartées, me regardant fixement en dardant sa queue à l’horizontale. C’était un pénis épais et sombre, incurvé vers le haut, le gland large et le méat bien apparent. Il était poilu presque jusqu’à la moitié de la hampe, les couilles pendant à cinq centimètres, pareilles à celles d’un taureau.

Pris par un vertige étrange, au lieu de me dégager, j’approchais ma bouche de ce fruit défendu et je le pris en bouche. Son goût salé me surprit d’abord, puis je me mis à lécher la hampe jusqu’à la racine, à plonger ma bouche dans son aine pour sentir la transpiration du mâle. Je ne fis plus attention à la bouche de la brunette, entièrement accaparé par les sensations procurées par cette bite brute qui m’attirait. La curiosité m’amena à prendre une à une ses couilles en bouche, comme pour en extraire le suc et les distendre. L’homme ne bougeait pas, mais ses râles exprimaient une satisfaction qui me confortait.

Bizarrement, je sentis soudain quelque chose qui touchait mon anus en pressant légèrement. Je me retournai instinctivement pour ent****rcevoir la fille me caressant le trou du cul avec le doigt d’une main, le tube de crème solaire dans l’autre main. Elle me fit un clin d’œil et enfonça son doigt dans mon cul d’une phalange, doigt qui entra comme dans du beurre. Une agréable sensation me parcourut le fondement, si bien que je la laissai faire et je me retournai pour prendre en bouche cette grosse bite bien à propos qui chauffait tous mes sens.

Commença alors une escalade émotionnelle torride : entre ce sexe lourd que je suçais avec avidité, laissant couler ma salive au milieu des poils abondants qui collaient aux boules, et la brunette qui me doigtait de plus en plus sérieusement, les doigts lubrifiés largement de crème au monoï, je ne savais plus où j’étais. Alors qu’elle allait et venait de ses trois doigts entièrement fourrés dans mon cul, me branlant par moments la queue qui ramollissait par inaction, elle interpella son mec d’un « Il est prêt chéri pour ton vidage de couilles ! J’attends ce spectacle depuis des mois ! »

C’est alors que je repris quelques instants mes esprits et compris leur subterfuge ! Fuir immédiatement et garder un goût d’inachevé (quoique …) à cette rencontre, ou lâcher prise et me donner à ce couple diabolique ? …

Deux secondes d’hésitation…

Pas de renoncement ! J’étais pris alors que je croyais prendre, mais je ne renoncerai pas ! L’homme se positionna en levrette à mon cul et, après s’être graissé abondamment la bite de crème, il poussa sans ménagement son gland largement dilaté par mes caresses buccales contre mon anus à demi ouvert, jusqu’à ce qu’il passe d’un coup l’étroit goulet, m’arrachant un cri de douleur. Une pause de quelques secondes, mon anus luisant secoué de spasmes, et l’homme s’écrasa de tout son poids sur moi, enfonçant sa queue jusqu’à la garde et me maintenant fermement plaqué sur le sable. Je crus défaillir sur les premiers instants, une douleur aiguë me traversant le bas-ventre…

Puis je commençais à ressentir une joie d’être pris et dominé, laissant mes sens m’inonder, le cul bourré d’une queue plus qu’honorable qui me fourrageait le séant. Me relevant à quatre pattes, la fille en profita pour me branler de ses deux mains, l’une pour ma queue et l’autre pour mes couilles.

C’est presque à regret que j’entendis les râles de l’homme annonçant l’éjaculation toute proche, tout en me concentrant en vain sur ma recherche de jouissance que ma complice du début s’escrimait à faire venir à grands mouvements fermes de va-et-vient sur ma bite presque tuméfiée.

En guise de récompense pour avoir fait jouir son homme selon leur accord très privé, une fois retrouvées ma liberté de mouvement et l’intégrité de mon cul, elle me suça avec application avec de savants mouvements pour me branler jusqu’à ce que je vienne dans sa bouche en poussant de longs gémissements. L’ambivalence du plaisir du foutre giclant de ma verge, mêlé à la douleur sourde de mon cul rougi encore dilaté et suintant par mon trou ouvert de sperme mêlé de crème au monoï, est une expérience qui est entrée dans les annales de mes sorties à la plage !

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