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Telle mère, telles filles ! Ch 4

Telle mère, telles filles ! Ch 4



CHAPITRE 4 : Cécile, l’ainée.

Quatre heures plus tard je dîne seul dans un petit restaurant sans femmes, pour reprendre un peu mes forces, pour reprendre surtout mes esprits.
Mes forces reviennent assez vite, mais mes esprits furent plus lents.
Quand je rentre vers onze heures, il me reste encore à comprendre comment tout ça m’est arrivé. Reprenons.

Donc je viens de retrouver ma sœur Marie, née d’un père Italien différent du mien, disparue de ma vie depuis des années et qui vivait de ses charmes (pour ne pas dire qu’elle faisait la putain, c’est quand même ma sœur !) et qui offre sans vergogne ses filles (ou les vend…).
Que je baise une de mes nièces, l’une de ses trois filles, c’est assez compréhensible. Depuis l’antiquité les jeunes hommes (et moins jeunes) ont couchés avec des filles de 16-17 ans que se soit leurs filles, leurs sœur ou leurs nièces.
Que ma salope de sœur, leur mère, habituée à partager les amants de ses filles, est sonnée chez moi aussitôt après, ça peut encore paraître tout naturel.
Mais pourquoi m’a-t-elle envoyé Lili ? Pourquoi m’a-t-elle aussi promis la visite de…

On frappe. On frappe une deuxième fois… Je vais ouvrir et une voix douce et tranquille me dit:

– II paraît que c’est mon tour ?

Je recule. Marie m’avait prévenu que Cécile était la plus jolie de ses filles, mais je n’espérais pas qu’elle le soit à ce point, et je le lui dis en pleine figure :

– Dieu que tu es jolie !
– Voulez-vous bien vous taire ! dit-elle tristement. Toutes les filles se valent.
– C’est toi… Cécile ? Ma…nièce….
– Oui. Je vous plais…tonton…
– Si tu me plais !

Elle m’interrompt pour me dire avec une sorte de soulagement et de lassitude :

– En bien, tant mieux, parce que moi, je me donne comme je suis. Vous savez, je ne suis pas coquette pour un sou, et si tu… si vous… Oh ! On se tutoie, hein ? C’est plus simple.
– Et on s’embrasse ?
– Tant que tu voudras. J’ai toujours rêvé d’embrasser mon tonton que je n’ai jamais connu.

Je lui prends la bouche passionnément. Le baiser qu’elle me rend a plus de mollesse que d’ardeur, mais il est de bon accueil. Elle dit seulement, quand je lui mets la main sous sa jupe :

– Doucement ! Laisse-moi donc me déshabiller.
– Crois-tu que j’ai le temps ! Devant une beauté pareille !
– Tu as toute la nuit.

Et sans hâte, avec la simplicité d’un modèle qui ôte ses nippes devant un peintre, elle enlève sa robe noire, ses bas, sa chemise et elle apparaît en tenue d’Eve devant moi, elle soupire :

– Tu vois bien que je suis comme les autres.

Elle est délicieuse. Moins brune de peau que sa mère, mais aussi noire de poils et de cheveux, bien en chair mais pas grosse et pas un gramme de graisse. Ses contours sont doux et tout en elle est douceur. Le regard, la voix, la peau, la caresse.
Quand elle est sur mon lit et entre mes bras elle murmure presque humblement :

– Je veux te faire plaisir… Tu n’as qu’à demander, je ferai ce que tu voudras et comme tu voudras.

Cette fois, une furieuse envie me saisit de posséder cette jolie fille par la voie la plus naturelle. Je lui dis ce que j’aimerais, que je veux son plaisir d’abord et le geste que je fais en caressant sa chatte lui laisse comprendre comment je l’entends.
Mais Cécile lève les sourcils et avec une grande innocence :

– Baiser ma chatte ? dit-elle. Faire l’amour… Oh ! Si tu veux, Mais si c’est pour mon plaisir… non ! Moi, tu sais, je ne suis pas une fille compliquée, je n’aime qu’une chose.
– Quoi ?
– Quand je baise, la peur que j’ai d’être enceinte me coupe toute envie de jouir. Je n’aime pas baiser. Je n’aime pas non plus qu’on me fasse minette, parce que ça m’éreinte. Maman adore ça, je lui fais et je ne veux pas qu’elle me le rende.
– Alors, quand tu veux jouir, comment fais-tu ?
– Je fais comme une jeune fille du monde… je me branle ! dit Cécile avec un triste sourire.

Je suis déstabilisé. Je veux être bien sûr de ce qu’elle vient de dire.

– Comment, tu n’es plus pucelle depuis des lustres, tu fais l’amour de toutes les manières, tu as tous les jours des hommes, des femmes, et… et tu te branles ? Je pourrais comprends cela d’une môme comme Chantal…mais toi qui as vingt ans ?
– Grand couillon toi-même, dit-elle, est-ce que tu ne sais pas que toutes les putains se branlent ?
– Cécile je ne veux pas que tu te traites de putain ! Il n’y a pas de pute dans notre famille !
– Pardon, dit-elle drôlement. Ne sais-tu pas que toutes les pucelles se branlent ?

Je souris à peine. Je suis agacé et légèrement énervé. Cécile insouciante, continue de la même voix lente et molle :

– Moi, je ne cache de rien. Devant n’importe qui, je me branle quand ça me prend.
– Et ça te prend souvent ?
– Évidemment… Je n’aime pas rester excitée, ça me fatigue… Ce matin avant de me lever je ne l’ai pas fait, mais l’eau de mon bidet étant chaude, mon bouton s’est mis à bander… alors, je me suis branlée.
– A cheval sur ton bidet ?
– Oui, ce n’était pas la peine de me recoucher. Ensuite après le déjeuner parce que… Mais tu vas te moquer de moi.
– Non. Dis tout.
– Lili s’est mise sous la table et elle m’a fourré un biscuit dans la chatte et il faut que je me branle dessus pour qu’elle le mange.
– Et comme tu es une bonne fille…
– Oh ! Mais c’est bien ça ! Je fais tout ce qu’on veut.
Enfin, après le dîner, on me parle de toi, il y a au moins huit jours que je n’ai pas couché avec un jeune homme, je pense à certaines choses et, alors… tout en causant… comme j’avais envie…

Sans achever sa phrase, elle glisse un doigt dans son entrejambes et, me tendant ses lèvres, elle commence paisiblement à se masturber.

– Ah ! Non ! M’écriai-je. Pas sur mon lit ! Quand j’ai par bonheur dans mes bras une aussi jolie fille que toi, ne comprends-tu pas que j’ai envie de la faire jouir moi-même ?
– Et ne comprends-tu pas que tu me ferais jouir si j’ai ta queue dans le derrière et ta bouche sur ma bouche pendant que je me branle ?
– Enfin ! Dis-je avec éclat, je ne peux pourtant pas vous enculer toutes les quatre ! J’ai envie d’une chatte moi ! D’une belle chatte baveuse et brûlante pour la noyer de mon foutre !

J’ai dit cette phrase avec tant de mauvaise humeur que la pauvre Cécile se mit à pleurer.

– Voilà bien ma chance, dit-elle. On dit que je suis gentille et c’est toujours moi qu’on engueule. Tu as été charmant pour ma mère et mes sœurs. Je viens pour toute la nuit, et dès les premiers mots j’ai déjà une scène.

Elle pleure doucement, sans aucun sanglot, mais n’en paraît que plus pitoyable. Je la prends dans mes bras, je balbutie :
– Cécile ! Ne pleure pas ! Je suis désespérer mais je m’excuse de t’avoir agressée.
– Et naturellement voilà que tu débandes ! dit-elle avec un air désolé qui me fait sourire malgré moi.
– Cécile ! Ma jolie Cécile !
– Non, je ne suis pas jolie, puisque tu débandes ! Tu as bandé pour maman, pour Chantal et pour Lili ; mais auprès de moi, voilà… voilà…et merde !

Les larmes l’étouffent. Je suis contrit. Je ne sais comment arrêter cette douleur peu raisonnable, quand Cécile se relève et, avec ce besoin de logique et de clarté qui est le propre des esprits simples. Elle reprend de sa voix lente et bonne :

– Je t’ai dit que je ferai tout ce que tu voudras. Tu peux jouir dans ma chatte, dans mon cul, dans ma bouche, entre mes seins, sous mes bras, dans mes cheveux, sur ma figure, jouis dans mon nez si ça t’amuse, je ne peux pas mieux dire, voyons? Je ne peux pas être plus gentille ?
– Mais, ma Cécile…
– Mais, mon chéri, tu me demandes quel est mon plaisir, eh bien, mon plus grand plaisir, c’est de me branler quand on m’encule. Nous sommes toutes les quatre comme ça, nous avons ça dans le sang, ce n’est pas ma faute. Ça vient probablement du fait que petites filles on nous a prises par le cul afin de ne pas nous déflorer et pour nous aider à jouir on se branlait. Et nous ne sommes pas les seules, mon Dieu ! Ce que j’en ai vu quand j’étais môme, des écolières et des arpètes qui me disaient en confidence :
– Moi aussi, j’aime bien qu’on m’encule.
– Alors…
– Alors fais de moi ce qu’il te plaira si c’est ton plaisir que tu cherches. Mais si c’est le mien, encule-moi et laisse-moi me branler toute seule. As-tu bien compris ?

Nos bouches se réunissent et le premier effet de la réconciliation est de me remettre aussitôt dans un état plus digne d’elle
Je cède à ce qu’elle veut, mais elle ne me prend pas au mot sur-le-champ et, après m’avoir rappelé qu’elle n’aime pas qu’on lui fasse minette, elle se met légèrement sur moi, tête-bêche.

C’est une bien jolie chose que le con de Cécile, peut-être parce qu’elle ne s’en sert guère…, mais non, car le second trou, dont elle se sert tant, est sans défaut, comme celui de Marie.
Toute molle et calme qu’elle soit, ma nièce Cécile est une jeune personne fort humide, une de celles qui disent : « Je mouille pour vous » comme une autre dirait : « Je brûle. »
Ses poils sont bien plantés, plus lustrés et moins longs que ceux de sa mère, mais ils croissent aussi à la naissance des cuisses et ils emplissent le sillon de la croupe.
Après tout ce que vient de dire Cécile, je ne veux surtout pas lui laisser de doute sur mes intentions.

J’ouvris ses fesses entre mes mains et je touche du doigt ce qu’elle m’offre… non je dois dire ce qu’elle me demande de prendre.
Ça me rappelle une jeune fille à qui j’ai fait cela et qui s’est écriée avec un frémissement de l’arrière-train :

– Oh, ta queue ! Ta queue ! Je veux ta queue !

Cécile mouille, non…coule beaucoup, mais ne frémit guère et ne crie pas. En outre, je pense qu’elle est plus habituée à donner des caresses qu’à en recevoir.
Par une méprise que sa profession peut facilement expliquer, elle prit mon geste pour un signal et comme elle ne lèche que mes testicules elle me met sa langue plus bas et titille mon trou du cul.

Cécile n’était pas vicieuse. La plupart des hommes ignorent tellement l’adolescence féminine qu’ils ne sauraient comprendre comment une jeune fille peut avouer son goût de se branler quand on l’encule et n’avoir aucun sens du vice. Les jeunes filles me comprendront mieux et cela me console, car il est évident que ce roman sera lu par les jeunes filles ou jeunes femmes plus souvent que par leurs amants ou maris.
Donc, Cécile n’a aucun sens du vice, heureusement pour elle et pour moi ; mais, elle est « sensible », comme dise les auteurs du dix-huitième siècle. Et, sans cris ni soupirs ni trémoussements de la croupe, elle se met à baver si abondamment que la petite Lili (vicieuse, celle-là) aurait trempé trois biscuits dans cette flûte mousseuse. Ça déborde sur la vulve et ça passe par-dessus les poils… Je me retire à temps.
Ce que je viens de voir me console de ne pas posséder Cécile par la voie inondée.

Quand on se retrouve côte à côte, un nouvel incident nous arrête. Cécile ne voulait rien choisir, ni proposer. Elle n’a ni goût, ni caprice, ni préférence, ni invention. Imaginer ou décrier, cela la fatigue.

– Pourvu que tu m’encules et que je me branle, dit-elle, je serai contente.
– Alors mets-toi la tête par terre et les deux cuisses sur le lit.
– Comme tu veux ! dit-elle simplement.

Puis, dès qu’elle comprend que ce n’est pas sérieux elle prend mon visage entre ses belles mains et me dit avec un sourire, sans amertume :

– Tu t’amuses quand tu te fous de moi ? Eh bien ! Continue toute la nuit et chaque fois que nous coucherons ensemble. C’est le plus facile de tous les jeux. Je crois tout ce qu’on me dit et je ne me fâche de rien.
– Tu es désarmante ! Lui dis-je.
– Je suis désarmée, répond-elle, parce que je sais depuis longtemps que je suis une pauvre fille.

Mot lamentable, mot tragique ! Je n’oublierai jamais le ton que prit ma nièce pour me dire ce mot-là. Et les femmes sont bien folles de croire qu’elles nous séduisent par l’art de s’embellir. Cécile faillit me prendre jusqu’au fond du cœur par cet aveu qu’elle me fait.
Nue devant moi, elle a la tête inclinée, les mains jointes sur le ventre au niveau de ses poils… Je crois que c’est la première fois que je la regarde.
Je ne voyais que sa beauté, comme son caractère, absolument sans fard. Ni rouge aux lèvres, ni broche aux cheveux, rien aux cils ni aux paupières. Je la trouvais si simple, si belle et si bonne, que je lui dis en la brusquant par les coudes et par les hanches :

– Tu n’es pas une pauvre fille…tu es bête Cécile, si tu ne crois pas tout ce que je vais te dire, m’entends-tu Cécile ? Mot à mot.
– Tu es belle de la tête aux pieds. Il n’y a pas un trait de ton visage, pas un poil de ton ventre, pas un ongle de tes orteils qui ne soit joli. Et tu es aussi bonne que belle. Je te connais, maintenant, et c’est à moi de te répéter : fais ce que tu veux sur mon lit. Je ne te défends qu’une chose, c’est d’injurier la fille que j’aime et contre laquelle je bande. Si tu la traites encore de putain et d’idiote…
– Non, dit-elle gaiement, je vais lui faire la cour, je vais la branler, elle en a envie. Et je vais lui ouvrir moi-même les fesses pour que tu l’encules.
– Montre-moi comment.

Elle est couchée auprès de moi. Elle se retourne sans aucun dessein de me proposer une posture, mais je me hâte de la prendre ainsi.
Et comme une professionnelle de la baise, dès qu’elle sent mon gland appuyer sur le creux de sa rosette elle pousse son cul vers moi et, avec une facilité extraordinaire, que je retrouverais à maintes reprises par la suite, ma queue pénètre au fond de ses entrailles.
L’anus de Cécile ressemble à ces gaines de poignards qui sont parfaitement étroites et ajustées, mais où la lame entre d’elle-même.

Pour le dire crûment, mais en termes clairs, aussitôt qu’on bande sous les fesses de Cécile, on l’encule malgré soi. Mais l’entrée est aussi ferme que souple et, par un ensemble de qualités qu’il serait indécent de louer outre mesure, on y pénètre plus vite que l’on ne peut en sortir et le secret de cette particularité est la maîtrise du sphincter.

Cécile enculée devient encore plus Cécile qu’avant. Plus molle, plus humide, plus douée, plus tendrement abandonnée. Je coulisse dans ce canal des plaisirs interdits par certains, surtout en famille, et qui ne connaisse pas cette merveilleuse sensation tout en pressant ses deux gros seins, régale pour mes mains.
Cécile tète ma queue dans son tunnel anal, la pressant quand elle veut se retirer, l’aspirant quand je me renfonce, plaquant son cul contre moi quand elle sent ma bite au bord de sa corolle. Une experte de la sodomie qui joue de son organe avec maestria !
Je me retourne un peu, de telle sorte qu’elle est presque couchée sur moi de dos, ce qui lui permet d’ouvrir les cuisses dans un grand écart. Je mets une main sur son pubis. C’est un lac !
Songeant qu’elle ne s’est pas encore branlée, je me demande quel phénomène va jaillir sous ses doigts quand elle aura fini.
Ses gémissements ont commencé à ma première pénétration et ils durent huit ou dix minutes, sans crescendo, avec une légère variante de ton entre l’aller et le retour dans son boyau.

– Aaaah…Huumm…Aaaahhhh…Huummm

Elle semble insouciante de dissimuler son plaisir et surtout de le crier comme une actrice. Elle se branle si lentement que sa main paraît immobile, et moi-même, comprenant assez qu’elle aime ces voluptés calmes, je ne fais dans ses chaudes entrailles que des mouvements de faibles amplitudes.

Vers la fin, prise d’un scrupule qui la dépeint tout entière, elle tourne vers moi un œil languissant et me dit doucement :

– Veux-tu que je te parle ? Tu vois je suis contente quand tu m’encules ! Je déguste avec grand plaisir ta grosse queue que je peux magner à ma guise. Aimerais-tu que je te dise tout ce que je sens pendant que j’ai ta queue dans mon trou du cul ?
– Non. Dis-moi seulement quand…
– Quand je jouirais ?
– Oui.
– Quand tu voudras. Aussi souvent que tu voudras. Je l’ai fait en t’embrassant avant que tu m’encules et je suis prête à recommencer.
– Tout de suite ?
– Mais oui. Tu ne vois donc pas que je me branle « autour» ? Je sais me maintenir juste au bord. Quand tu me diras de jouir, je jouirai. »

Ces choses-là ne se disent pas. Je lui fis comprendre que je l’attends et c’est son plaisir qui devance le mien de quelques secondes mais qui se prolonge pourtant davantage, car les femmes jouissent plus longtemps que nous.

Pour la première fois Cécile me fait part de son orgasme en couinant légèrement plus fort.

– Ouiiiii… je jouiiisss…Ne bouge plus…enfonce toi encore, ouiiiii… comme çaaaa…ta queue est bonne…ooohhh !

Elle jouit vraiment et c’est une femme qui mouille énormément quand elle a son orgasme car ma main est dégoulinante de jus.

La minute qui suit ne nous sépare point. Cécile reste dans mes bras et me regarde en silence avec cette expression de gratitude que tous les amants connaissent

– J’aime tes seins, leur fermeté et la douceur de ta peau, lui dis-je en les caressant
.
Et je n’ai dit que cela en espérant que je vais trouver quelque chose de mieux, quand elle m’interrompe avec une exclamation de surprise :

– Oh ! Que tu es gentil ! C’est maintenant que tu aimes mes seins, mon chéri ? Tu viens d’enculer la pauvre Cécile et tu n’en es pas dégoûté ?
– Dégoûté ? Mais tu es folle. Je t’aime encore plus.
– Si tu savais ce que c’est que la vie d’une putain…
– Je t’ai défendu de te traiter ainsi.
– Alors qu’est-ce que je suis depuis plus de dix ans qu’il me passe, tous les jours, quatre ou cinq hommes sur le derrière et que n’importe quelle gousse peut me frotter son cul sur la gueule? Si je te dis que toutes les putains se branlent, c’est qu’elles ont des raisons pour ça. Quand on fait le métier, on se branle ! Autrement on ne jouirait guère. En tout cas, on sait une chose, quand on a tout fait pour plaire à un homme et qu’il a fini de décharger, on n’est plus qu’une putain et une fille de putain.
– Ma pauvre Cécile, comme tu dis, je t’assure que…
– Et je ne suis pas habituée qu’on me fasse des compliments sur mes nichons quand on vient de m’enculer, voilà ! Et qu’on reste encore raide et bien enfoncé dans mon cul qui commence à adorer ta queue de jeune baiseur.

Elle a encore les larmes aux yeux. Je ne sais que lui répondre. Et dans ma tête :
« L’aimerais-je assez pour me faire aimer d’elle ? »

Afin de me laisser le temps de la réflexion et de mieux connaître ma compagne de lit, je pose une ou deux questions auxquelles Cécile répondra par toute une histoire :
Celle de sa vie.

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