Histoires de sexe de voisins Histoires de sexe gratuites Histoires érotiques

Un déjeuner très hard

Un déjeuner très hard



J’ai été initié fort jeune aux plaisirs entre hommes. Mon « maitre » étant bien plus âgé que moi, j’ai toujours eu une préférence pour les plus « matures ». Mais comme beaucoup sans doute, en tout cas dans les années 80/90, je n’ai pas osé m’affirmer Gay et je suis entré dans la norme hétérosexuelle. J’ai eu des copines, une épouse, un enfant, un divorce, des femmes encore et encore. J’en faisais grande consommation sans modération. Mais j’ai toujours eu un manque. Certes, je donnais du plaisir à mes partenaires et elles me le rendaient bien mais il y avait un manque, encore et toujours.

Cette petite histoire se passe alors que j’étais marié. Il est vrai que j’avais des doutes sur la fidélité d’Isabelle, mon épouse. Je la savais prompte à ouvrir les cuisses pour se faire apprécier, tant sa confiance en elle était faible. J’ai été cocu, c’est certain mais je m’en foutais. Je me construisais professionnellement et ce n’était pas ma priorité. Il y avait belle lurette que je ne lui faisais plus l’amour mais que je la baisais. Et malgré tout, je restais fidèle jusqu’à ce que… un collègue plus âgé, ouvertement gay, m’invite sans raison aucune à partager chez lui son repas de midi. J’avais à peine 30 ans, lui un peu plus de 50.

Je suis consultant et il faisait partie des consultants les plus intelligents du bureau. Je l’admirais intellectuellement mais il m’était indifférent physiquement.

Nous voilà donc parti pour aller chez lui. Découverte d’une maison bruxelloise magnifique. Un intérieur divinement décoré. Décoration qui incluait des petits et moins petits phallus stylisés ainsi que des revues homo très ostensiblement posées sur la table du salon. Tous connaissaient son homosexualité, il n’avait donc aucune raison de se cacher, encore moins chez lui.

Il me dit de me mettre à l’aise, me proposa un verre de vin que j’accepta et se mit à réchauffer notre repas. Alors qu’il était en cuisine, je parcourais les lieux. Mes souvenirs me revenaient à mesure que ma queue grandissait dans mon slip. Et puis zut… je me lance. Je prends en main un des plus gros phallus, le caresse d’abord et vais rejoindre mon hôte dans la cuisine.

Moi : Bel engin, je trouve cela très beau
Lui : J’aime beaucoup aussi. Il n’y a rien de plus beau que le sexe d’un homme
Moi : Je suis assez d’accord
Lui : Tu aimes ?
Moi : J’adore !

Et dans un même temps, je m’avance et pose ma main sur son entre-jambe. C’est mon supérieur mais je m’en fous. Nous sommes chez lui et il est Gay. Je ne risque rien me dis-je et l’avenir me donnera raison.

Moi : Oui, j’adore ! Et je t’avoue que cela me manque beaucoup depuis des années. J’adorais faire l’amour avec un homme.

Il me regarde, éteint le feu sous le plat qu’il était occupé à faire réchauffer et se rapproche de moi. Il m’att**** par les épaules, me rapproche de ses lèvres et m’embrasse. Ma bouche s’ouvre instinctivement et nous échangeons un très long baiser passionné. Nos langues se touchent avec passions.

Pendant que nous nous embrassions, je continuais à avoir une main sur son sexe et lui sur le mien. Ma bosse ne devait pas passer inaperçue. Il me prit par la main, tendrement, et m’amena vers la chambre. En une fraction de seconde, nous sommes nus, debout, tendrement enlacés, à nous embrasser amoureusement, nos corps collés l’un contre l’autre. Je le pousse sur le lit et plonge, affamé, vers son centre de gravité que je gobe immédiatement. Il est déjà excité comme un fou et ma bouche autour de son membre le rend fou. Il me dit qu’il va jouir. Je le sens évidemment mais je continue et il explose au fond de ma gorge. Je n’en perds pas une goute tout en continuant à le sucer vigoureusement pour extraire la moindre molécule de jouissance.

Bien que passif, je prends le pouvoir. Je remonte vers lui, la bouche odorante de son sperme et je l’embrasse. Notre bouche à bouche, accompagné de mes caresses dure plusieurs minutes. Il se laisse faire, soumis – ce qui est paradoxal pour un actif – jusqu’à ce que je ressente à nouveau la vie dans son chibre. Je ne fais ni une ni deux et le revoici au fond de ma gorge. J’en profite pour me titiller la rose avec mon méat qui est abondant. Deux doigts me dilatent mais il ne s’aperçoit de rien.

Je remonte et me couche sur lui. Nos queues sont en contacts, nos bouches se collent, nos langues sont à nouveau amoureusement enlacées. C’est le moment que je choisis pour me relever, guider sa queue avec ma main vers ma rose et m’empaler doucement sur lui. Ne m’étant plus fait baiser depuis des années, je peux ainsi diriger la manœuvre. Son gland entre facilement en moi mais je fais une pause pour me laisser apprécier. Je laisse, après quelques instants, mon corps se laisser aller à la gravité et descendre sur lui, enfournant l’intégralité de sa queue. Mon plaisir est intense, le sien aussi car je sens son membre palpiter en moi. Je commence mes vas et viens doucement, profitant de chaque mouvement de ce membre dans mon corps mais il reprend vite le pouvoir pour m’imposer une cadence de plus en plus rapide et violente, ce qui n’est pas pour me déplaire.

Il s’échappe de mon cul, me force à me mettre sur le dos, prend mes jambes sur ses épaules et m’enfonce son dard avec v******e. Je ne me sens plus, tous mes sens sont concentrés dans mon anus et la jouissance que cette belle queue me procure. Je jouis de l’intérieur. Pourquoi me suis-je si longtemps privé de ce bonheur ? Le pilonnage continue de plus belle. Il prend ma queue en main pour me masturber mais je la repousse… c’est bien inutile, je jouis déjà tellement.

Ses mouvements deviennent plus intenses, annonciateur de l’explosion qui ne tarde pas à venir. Il explose en moi et me fait exploser en même temps, de longs jets de sperme venant me couvrir le ventre et le torse. Je sens sa queue se vider en moi, la chaleur de son liquide faire bouillir mon cul. Il ne bouge plus, moi non plus, tout deux haletant de bonheur. Il se couche enfin sur moi, mon sperme nous collant l’un à l’autre pour de délicieux moments de tendresse agrémentés de longues et douces embrassades. Son sperme s’échappe de moi doucement et coule entre mes jambes. J’adore cette sensation. Ma main va en récupérer un peu afin que je puisse m’en délecter.

Malheureusement, la réalité s’est rappelée à nous. Le boulot nous attendait et la douche s’imposait.

Nous la prîmes ensemble évidemment et nous nous sommes nettoyés mutuellement. Mais un dernier moment, un bonheur inattendu, a pointé son nez – enfin son nez, c’est une façon de parler – car il a ressenti le besoin d’uriner. Il me le dit en sortant de la douche, je l’ai retenu, me suis mis à genoux devant lui et lui ait dis « vas-y, pisse » en lui tenant la queue. Le jet est sorti presque immédiatement. J’ai dirigé sa lance sur tout mon corps d’abord, sur mon visage ensuite pour terminer par la mettre en bouche pour goûter ses derniers jets.

Lui : Tu aimes cela aussi… L’avenir nous promet de bien belle chose alors !

La douche s’est finie par un baiser langoureux. Le retour au bureau fut silencieux.

Le soir, je suis rentré à la maison comme si de rien n’était mais avec une furieuse envie de recommencer.

Le hasard faisant qu’une belle opportunité professionnelle se soit présentée très vite à moi après cet épisode, j’ai quitté le bureau assez rapidement (rien à voir donc avec l’histoire ici racontée) et nos ébats se sont malheureusement arrêtés là.

Il prit sa retraite un an plus tard et coule, je l’espère, des jours heureux au Maroc.

Bisous à toi cher M.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire