Melinda ordonna sèchement à Marie de se déshabiller. Celle ci enleva sa tenue de soubrette, ses bas et son porte jarretelles et se remis à 4 pattes devant la porte. « Mets lui le collier et la laisse je reviens tout de suite ». Je saisis le collier et le plaçais autour du cou de Marie. Ses fesses étaient cramoisies et le plug toujours bien en place.
Je tenais la laisse dans une main et ne sachant que faire, je passais une main sur son dos comme j’aurais fait une caresse à un chien. Je perçu un léger frémissement, preuve que cette petite chienne était toujours excitée
Melinda revint avec un autre plug et une serviette qu’elle posa près de l’entrée. Le plug était aussi gros mais la partie extérieure avait la forme d’une queue de chien assez courte. « autant qu’elle ressemble à une chienne jusqu’au bout. » Melinda s’approcha du cul de Marie et sans ménagement saisit le plug et le retira d’un coup. Marie hurla de douleur autant lors du retrait brutal que lors de l’insertion du nouveau plug.
J’étais assez surpris du manque de douceur de Melinda mais il est vrai qu’elle peut être assez cruelle avec sa sissy…Et les 2 adorent ça.
« Tu veux tenir la laisse ou je le fais? » me dis Melinda tout en me reprenant la main. Je me voyais pas trop le faire donc je lui cédais la laisse. « On devrait peut être se rhabiller? ». Melinda éclata de rire et me dit » Personne ne nous verra dans le jardin alors laisse toi aller un peu. Tu n’aimes pas me voir nue près de toi? »
Evidement que la vision de son corps de rêve suffisait à me convaincre de rester nu. » Bien ouvres la porte que la chienne puisse sortir devant nous. »
Marie s’avança à 4 pattes doucement dans le jardin. Cela faisait très bizarre de tenir par la main une femme qui n’est pas la mienne, sachant qu’elle tenait son homme en laisse à 4 pattes et que nous étions tous les 3 nus dehors. Mon weekend dérapait de plus en plus, m’entrainant toujours plus loin dans la luxure. Ce couple diabolique et pervers faisait de moi ce qu’il voulait et j’en voulais encore. « Mais tu bandes petit coquin » me dit Melinda. « ca t’excite de voir son petit cul onduler quand elle marche? »
Je ne pouvez nier que ma bite était encore au garde à vous et que le cul de Marie m’excitait plus que je ne l’aurez pensé. Nous étions près d’un arbre avec Marie quand une voix nous salua derrière nous. Nous retournant, nous vîmes le voisin taillant sa haie.
Melinda le salua tranquillement et je fis de même, essayant de passer outre la situation plutôt insolite. « On promène la chienne pour son pipi du soir, d’ailleurs on est près de son arbre préféré. » Melinda dis cela tranquillement et ajouta « allez petite chienne, lèves la patte et pisses on te regarde »
Marie obéit, leva la jambe et quelques seconde après un jet sortit de son sexe. La cage de chasteté gênant le jet, l’urine jaillit en plusieurs jets qui éclaboussèrent un peu partout. Marie reposa la jambe un fois sa mixtion terminée, quelques gouttes continuant de couler et finissant sur ses jambes.
Le voisin s’adressa à Melinda lui disant « Si tu veux partir en weekend un jour, je garderais ta chienne si tu veux, je saurais bien m’en occuper. » Melinda lui dis « OK je m’en souviendrais », ajoutant « Moi aussi j’ai envie de pisser, Marie mets toi au milieu du jardin ». Au bout de sa laisse, docilement, Marie pris sa place et attendit.
Melinda vint au dessus du dos de Marie et tira la laisse pour lui faire relever la tête. Les 2 avaient leurs regards tournés vers le voisin et moi et quelques instant plus tard, Melinda libérait elle aussi son jus. Tout en pissant elle nous dit « ne vous gênez pour vous toucher si ça vous excite, j’aime voir les males se branler pour moi. »
Tournant la tête vers le voisin, je vis au geste de son bras qu’il ne se gênait pas pour se caresser. Ne voulant pas encore passer pour un coincé, je fis de même. Une fois fini, Melinda resta sur Marie et se caressa la chatte et les seins quelques instant pour nous exciter encore plus.
« Bon c’est fini les petits vicieux, Marie doit préparer le repas. ». Melinda passa au dessus de la tête de Marie et essuya sa chatte humide de pisse et de mouille sur ses cheveux. Elle lui glissa aussi ses doigts dans la bouche pour qu’elle les nettoie. C’était très pervers mais je crus voir un petit sourire et une lueur de plaisir dans les yeux de Marie à ce moment là.
Melinda m’indiqua de lui ramener le tuyau d’arrosage qui était contre le mur. Je lui donnais et sans hésiter elle dirigea le jet d’eau froide sur Marie. « Faut bien la nettoyer, elle va pas rentrer dans la maison sentant la pisse ». Quelques minutes plus tard, Marie propre mais gelée attendait les ordres. « rentres et essuies toi avec la serviette qui t’attend, ensuite tu nous fais couler un bain bien chaud et tu viens nous prévenir quand il est prêt. Marie se dirigea à 4 pattes vers la maison et Melinda ajouta » Nous on va jouer encore un peu dans le jardin »…
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