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VU SUR LE NET: Max et la perversion de deux famill

VU SUR LE NET: Max et la perversion de deux famill



Le lendemain matin, Maxime sort de sa chambre et descend au rez-de-chaussée où il retrouve ses parents dans la cuisine en train de prendre leur petit déjeuné. Il les embrasse et prend place à table pour déjeuner avec eux. Ils arborent tous les deux une mine réjouie et il devine que leurs ébats se sont prolongés après son départ de la chambre. Anne rompt le silence en disant à son fils :
– Ce matin, ton père m’emmène en ville pour faire les boutiques car il veut renouveler une partie de ma garde-robe. Veux-tu venir avec nous, ça te sortirait ?
– Non, maman. J’ai encore du travail pour préparer mon partiel de la semaine prochaine.
– C’est dommage, dit Thierry. Cela aurait pu être sympa que tu m’aides à choisir des nouvelles tenues pour ta mère.
– Ce n’est pas grave ! Ce sera pour une autre fois ! Et puis, vous pourrez me montrer tout ça en rentrant.
Après s’être préparés, Anne et son mari quittent la maison en disant à Max de ne pas les attendre car ils rentreront très certainement en milieu d’après midi. En fait de révision, Maxime a une toute autre idée en tête. Sans attendre, il monte dans la chambre de ses parents et extrait le cahier de sa mère de dessous la pile de pull. Cette fois, il le parcourt plus précisément et s’arrête sur un chapitre où Anne s’imagine en train de se faire violer par un couple venu cambrioler la maison qu’ils croyaient vide. L’homme l’oblige à lécher la chatte de sa copine alors qu’il la pénètre sans ménagement. Max bande très fort en lisant ces quelques lignes. Il poursuit sa lecture où il découvre sa mère dans des situations excessivement érotiques. Maxime cherche les dernières pages que sa mère a écrites et commence à lire avec attention. L’action se déroule à la maison où Anne se fait prendre par un homme sur le canapé du salon et ils sont surpris par un autre gaillard qui s’est introduit en toute discrétion dans le logement. Il comprend à demi-mot qu’il ne s’agit d’autre que de Pierre, le père de Julie, et de lui, Max ! Sa salope de mère est vraiment une vraie perverse ! Depuis qu’elle sait que Max les a vu faire l’amour, elle s’est imaginée se faire prendre par tous les trous par ces deux hommes. Max réfléchit devant les quelques paragraphes qu’il vient de lire et se demande si sa mère ne les aurait pas écrit avant même qu’elle apprenne que Max les avait surpris. Il repense au jour où il lui a révélé avoir trouvé son cahier secret et à sa réaction lorsqu’elle a cru qu’il connaissait tous ses fantasmes. Sa mère aurait-elle pensé à baiser avec lui avant même qu’il découvre sa liaison avec Pierre ? Max remet le cahier à sa place et file dans sa chambre pour réviser sérieusement car il a pris énormément de retard.
Pendant tout ce temps, Anne et Thierry parcourent les boutiques et ce dernier ne regarde pas à la dépense pour satisfaire son plaisir. Au début de leurs emplettes, Anne choisissait d’essayer des tenues plutôt classiques mais Thierry qui avait toujours en tête les évènements de la veille la souhaitait beaucoup plus sexy. Il la désirait habillée plus court et lui fit acheter deux jupes très courtes qu’Anne finit par accepter en repensant à la folle soirée que lui avait fait passer son fils. Elle se dit que ça devrait plaire à Max de la voir habillée en pute de luxe. Plus tard, Thierry lui choisit deux chemisiers à la limite de la transparence parfaitement assortis aux jupes. Ensuite, ils choisirent ensemble une jolie robe noire au décolleté plongeant et soulignant parfaitement les lignes d’Anne. Le bas de la robe tombe en dessous du genou mais comporte une fente qui remonte quasiment sur le haut de sa cuisse droite. Ils terminent leurs achats dans une boutique de lingerie de grand nom où Thierry choisit trois parures avec bas et porte-jarretelles assorties aux trois tenues précédemment achetées. Après avoir pris un verre à la terrasse d’un café, ils décident de reprendre le chemin de la maison. C’est aux environs de 16H30 qu’ils entre dans le salon chargés de paquets. Là, Maxime est allongé sur le canapé, en pleine conversation, le téléphone calé sur l’oreille. Il écourte la conversation en les voyant entrer dans le salon et dit à ses parents :
– Ah, vous êtes rentrés ! C’était Julie, elle vous passe le bonjour.
– Tu l’embrasseras de notre part quand tu la verras dit Thierry en pensant à ce qu’il a fait la veille avec Anne.
– Je n’y manquerai pas ! Alors maman, j’espère que papa t’a gâté, vu le temps que ça vous a pris.
– Je crois que ta mère n’est pas déçue ! Ma chérie, tu devrait montrer à ton fils les achats que nous avons fait ensemble.
– Tu sais, mon chéri, je ne suis pas sûre que cela l’intéresse vraiment.
– Mais si, maman j’aimerais voir si j’ai les mêmes goûts que papa !
Anne comprend la pensée de son fils et commence à déballer les petites jupes sexy et les chemisiers légers que Thierry a choisi pour elle. Au fur et à mesure qu’elle dévoile ses tenues à Max, elle sent une douce chaleur monter dans son ventre en s’imaginant faire la pute pour lui. De son coté, Maxime a du mal à masquer l’excitation qui fait naître une belle bosse sous son jogging. Après la folle nuit qu’il a passé, Thierry a passé sa journée à imaginer sa femme en train de sucer son fils avec une excitation certaine. Cela l’a un peu choqué au départ mais depuis le réveil, il ne cesse de la voir sucer son fils alors qu’il lui défonce le cul. Il attend avec impatience qu’Anne sorte la petite robe noire pour dire :
– Ma chérie, tu devrais enfiler cette robe pour qu’il la voit sur toi, elle te va tellement bien !
– Si tu veux, je passe dans la salle de bain et je reviens.
Anne s’éclipse et revient vêtue de sa robe sexy qui dévoile le haut de sa cuisse lorsqu’elle avance vers eux, juchée sur ses escarpins à talons hauts. Cette vision excite terriblement Max et, Thierry qui bande aussi ne manque pas de remarquer l’état de son fils. Thierry remarque que le soutien-gorge de sa femme jure avec son décolleté et en sortant le petit soutien-gorge à balconnet en dentelle rouge qu’il a choisi pour aller avec cette robe, il dit à Anne :
– Ce que tu portes en dessous ne met pas en valeur le décolleté de ta robe ! Tu devrais enfiler l’ensemble qui va avec, dit-il en lui tendant le soutien-gorge rouge et le string qui va avec.
– Si tu y tiens, mon chéri ! Je retourne dans la salle de bain.
– A quoi bon perdre tout ce temps, ma chérie ! Tu n’as qu’à le faire ici ! dit Thierry sentant l’excitation monter.
– Je ne vais tout de même pas me mettre nue devant Max !
– Il en a vu d’autre, et puis, nous sommes entre nous !
Excité à l’idée de se mettre nue devant son fils et son homme, Anne retire lentement sa robe. Elle sent son entre jambe s’inonder lorsqu’elle retire sa culotte en regardant son fils pour lui dévoiler sa petite chatte dépourvue de poil. Puis elle retire son soutien-gorge avant d’enfiler la parure que Thierry lui tend. Thierry lui tend le porte-jarretelles et une paire de bas en satin noir en lui demandant de les enfiler. Anne tourne le dos à Max et regarde son mari droit dans les yeux en ajustant son porte-jarretelles. Thierry l’encourage du regard. Elle remarque la bosse qui se dessine sous le pantalon de son mari et Anne comprend où il veut en venir. Toujours dos à son fils, elle pose ses fesses sur la table du salon pour enfiler ses bas et se penche exagérément en avant pour que Max puisse admirer sa raie séparée par la fine dentelle de son string. Maxime a posé sa main sur son sexe et le masse doucement par-dessus son jogging. Thierry qui le surveille du coin de l’œil sent que c’est le moment et dit à Anne :
– Je crois que ton fils a un petit problème ! Tu crois que tu pourrais le soulager ?
– Je ne vois pas ce que tu veux dire, dit Anne innocemment.
– Il bande comme un fou en te regardant, tu devrais le soulager !
Terriblement gênée par la remarque de son père, Maxime reste sans voix. Sans répondre à son mari, Anne se lève et vient s’agenouiller devant son fils en le regardant d’un air lubrique. Max est pétrifié lorsqu’il voit sa mère baisser son jogging pour en extraire sa grosse queue. Sans trop comprendre, il voit la bouche de sa mère descendre vers son sexe alors que son père se place derrière elle. Thierry écarte doucement le string et vient placer ses doigts sur la chatte déjà trempée de sa femme. Max ferme les yeux lorsque la bouche de sa mère prend possession de sa bite. La grosse queue de son fils emplit maintenant la bouche d’Anne qui gémit en sentant les doigts de son mari s’activer sur sa chatte. Elle saisit la main de son fils et la porte sur sa poitrine. Elle guide ses doigts vers ses tétons et dirige ses mouvements pour qu’il lui pince. Max, très excité, prend maintenant la poitrine de sa mère à deux mains et la malaxe comme elle le souhaite. Voyant cela, Thierry écarte le string d’une main et plante son dard dans la grotte lubrifiée de sa femme. Cette dernière pousse un profond râle et s’active de plus belle sur la queue de son fils. Thierry dépose de la salive sur la rosette de sa femme et masse sa rosette avec son pouce. Anne apprécie la caresse et le fait savoir en poussant ses fesses en arrière. Peu à peu le pouce entre en elle et cette sensation de se faire prendre par tous les trous la rend folle. Elle a soudain envie d’avoir la queue de Max à la place de ce doigt et dit à Thierry en lâchant la queue de son fils :
– Mon chéri, ta petite salope a envie que son amoureux la prenne dans le cul.
Thierry qui a l’esprit vif a compris que sa femme vient de se transformer en Julie et qu’elle a envie de lui faire poursuivre son fantasme. Il se retire de sa chatte et s’allonge sur le tapis du salon. Anne abandonne la queue de son fils et se mettant face à son mari elle descend son bassin pour empaler sa chatte sur son pieux. Elle regarde son fils et lui dit :
– Viens, mon chéri, t’entraîner avec le cul de maman ! Elle se penche en avant pour lui présenter ses fesses et approche sa bouche de l’oreille de Thierry pour chuchoter : fermes les yeux et penses que je suis Julie. Parle moi comme si j’étais cette petite salope !
– Tu es vraiment une petite vicieuse, chuchote à son tour Thierry en fermant les yeux.
Max vient de se placer derrière sa mère et présente son gland sur sa rosette. A ce contact, Anne pousse son bassin vers l’arrière pour inciter Max à pousser plus avant la pénétration. Il saisit sa mère par les hanches et enfonce lentement son membre dans son anus. Le gland est maintenant entré en entier et dans un râle, Anne l’encourage à la prendre bien à fond. Il pousse alors son bassin d’un seul coup vers l’avant et Anne se retourne vers lui pour lui dire dans un souffle :
– Restes un peu au fond que j’ai le temps de m’habituer à la grosseur de ta queue. Quand je commence à bouger, tu peux me défoncer comme tu le souhaites.
Elle rapproche ensuite son visage de celui de Thierry et ils reprennent leur dialogue secret à voix basse :
– Ca vous plaît, monsieur, de sentir la queue de votre fils à travers mon vagin ?
– Oh, oui !! répond Thierry.
– Il y a longtemps que je rêvais de vous sentir en moi mais que vous me baisiez avec votre fils, c’était inespéré.
Anne parle à la place de Julie mais elle prononce aussi ces paroles pour elle car depuis que Max l’avait prise dans la cuisine, elle imaginait souvent les deux hommes de la maison en train de la pourfendre comme en ce moment. Très excitée par la situation, Anne commence à remuer les fesses en gémissant pour que les queues de ses deux mâles entrent en action dans ses orifices. Max qui n’attendait que ce signal entame de lents mouvements de va-et-vient entre les fesses de sa mère. Il sent la bite de son père bouger dans la chatte de sa mère en défonçant de plus en plus vite le cul d’Anne. Elle est terriblement excitée et crie :
– Vous aimez la défoncer votre petite salope mes jolis cochons, puis se reprochant de l’oreille de Thierry
– Vous me faites du bien, monsieur ! J’espère que ça vous plaît !
– Oui, tu es vraiment une petite chienne en chaleur, ma chérie !
– Un jour j’aimerais lécher la chatte de votre femme pendant que vous me baisez !!
– Maintenant je peux te promettre que ça arrivera un jour.
Max, qui n’entend pas les paroles de ses parents, a le regard fixé sur sa queue qui pénètre entre les fesses de sa mère. Il sent la jouissance monter et prévient sa mère qu’il ne va pas tarder à jouir. Cette dernière, au summum de l’excitation, l’encourage :
– Oui… oui ! Défoncez-moi ! Ah,Ahhh, oui, plus vite !! Mmmh je vais jouir !! Je jouiiiii… oui, c’est trop bon !! Inondez- moi avec vos queues, mes beaux salaud !! Dit-elle en sentant un liquide chaud gicler par longues saccades dans ses deux trous.
Maxime sort sa bite des entrailles de sa mère et cette dernière qui s’est redressée sur la queue de Thierry l’attire à elle et passe sa langue sur sa hampe pour la nettoyer du sperme qui la macule. Puis elle lui fait signe d’approcher son visage du sien. Elle pose ses lèvres sur les siennes et l’embrasse fougueusement avant de lui murmurer à l’oreille :
– Tu m’as fait du bien mon chéri ! Maintenant, vas vite rejoindre ta Julie, elle doit t’attendre avec impatience !
– Oui maman, je prends une douche et je file la rejoindre chez elle.
Anne et Thierry restent enlacés sur le tapis du salon en s’embrassant langoureusement. Thierry embrasse tendrement sa femme dans le cou et lui demande tout bas :
– Alors ma chérie, cette petite séance t’a plu ?
– Oh oui, j’en suis encore toute retournée. Je ne pensais pas que tu irais jusque là !
– J’admets qu’hier soir tes paroles m’ont un peu choqué mais depuis ce matin, je ne pense qu’à ça. En te voyant essayer toutes ces tenues que tu ne voulais pas porter auparavant, je t’imaginais suçant la queue de notre fils et c’est très excité que je suis arrivé à la maison.
– Et toi, tu as aimé baiser cette petite salope de Julie ?
– C’était vraiment trop bon, tu m’as fait bander comme jamais. Je m’y croyais vraiment ! Mais dis-moi, j’ai rêvé ou tu m’as fait comprendre que tu aimerais qu’elle te lèche la chatte !
– Tu n’as pas rêvé. J’avoue que cette petite m’excite aussi !
– Tu crois qu’on pourrait le faire tous les quatre, un jour ?
– Possible mais il va falloir que tu me laisse faire. Je vais devoir préparer Max à cette éventualité mais, surtout, voir si Julie est réceptive. Elle m’a l’air timide et je n’ai pas l’impression qu’elle soit portée sur le sexe.
– Fais de ton mieux, ma chérie, tu me tiendras au courant de tes progrès.
Sur ces mots, ils se levèrent pour aller prendre un bain ensemble puis ils se firent beaux pour sortir au restaurant.

A suivre

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