Cet été là, j’étais en vacances dans le sud de la France avec Pierre, un ami de la fac. En attendant la reprise des cours début septembre, nous avions laissé nos copines respectives à leurs occupations pour passer une semaine dans un camping, à deux pas de la mer.
Ce soir là, nous sommes rentré de boîte dans la nuit, plutôt éméchés, comme à notre habitude. Nous avons pris une douche avant d’aller nous coucher dans notre tente. Pierre à été plus rapide, et je peux voir la lueur de sa lampe à travers le tissu de notre abri. Je retire la serviette que j’ai autour de la taille pour l’accrocher sur une corde à linge tendu entre deux arbres. Nu dans la nuit, je savoure la caresse du vent sur mon corps, un peu excité par l’alcool qui circule dans mes veines.
Puis je m’accroupi pour passer par l’ouverture de la tente, que je referme derrière moi. Dans la lueur douce d’une petite lanterne électrique, Pierre est affalé à sa place, sur le dos. Les mains derrière la nuque, entièrement nu, il a les yeux clos et un sourire satisfait. Son corps musclé est imberbe, et son gros sexe rasé repose couché sur le côté, sur sa cuisse.
À cette vision, une sensation étrange et délicieuse envahi mon corps alcoolisé. Cette nuit tout mes fantasmes sont possibles : nous sommes seuls et ivres ! Je n’ai jamais couché avec un homme, mais j’avoue que cette idée m’excite en secret. Je m’assied et d’une main saisit son sexe. Je soupèse la lourde verge, je pose dans ma paume les impressionnantes testicules. La peau est douce et chaude. La respiration de Pierre s’accélère un peu en réaction à mes caresses. Je referme la main sur sa bite, et je la sens grandir et durcir. En quelques secondes, je tiens dans la main un énorme phallus dressé et dur comme du bois. Il fait dans les 15 centimètres de long et est plutôt large. Je m’aperçois alors que mon propre pénis, lui aussi rasé de près, est en érection. Je commence à branler Pierre doucement, laissant apparaître son gland lisse et luisant, tendu par l’excitation. Ce gland qui frémit a comme un effet hypnotique sur moi : le va et vient du prépuce qui le recouvre, le goutte de liquide qui en coule de plaisir… Je me penche un peu et le saisit à pleine bouche.
Le bout du membre lisse et chaud se colle à mon palais. Je le suce doucement au début, savourant son contact et jouant avec le frein de Pierre. Puis j’essaye de l’avaler le plus possible, et mes lèvres glissent le long de la hampe dressée vers moi. De l’autre main, je saisis ses grosses couilles pour les faire rouler entre mes doigts.
À ce moment Pierre se redresse et me propose un 69. Il se place au dessus de moi et commence à me sucer. À la délicieuse sensation de la fellation s’ajoute l’excitation intense de voir ses boules pendre devant moi et de tenir sa verge dans ma bouche. Je le branle tout en le suçant, et au bout d’une minute ou deux il éjacule puissamment dans ma bouche. Haletant, je m’aperçois que mon ventre est trempé de sperme. J’ai moi aussi eu un énorme orgasme.
Le lendemain, nous nous levons assez tôt, réveillés par le soleil qui nous éclaire à travers le tissu de la tente. C’est l’un des avantages de dormir au camping : au moins on fait quelque chose de sa journée ! Nous décidons d’aller nous remettre de notre soirée en profitant de la plage. Il fait beau et chaud, et être allongé sur le sable au bord de l’eau sera parfaitement agréable. Sans nous le dire, Pierre et moi ressentons une excitation diffuse : la fin de soirée nous a plu, et on en veut encore.
Nous nous mettons en chemin. Comme à chaque fois que nous nous rendons à la plage, le chemin bifurque et nous offre deux possibilités. La plage normale, où nous sommes allés à chaque fois, ou bien la plage naturiste. Pris d’une envie soudaine, je propose à Pierre d’essayer la plage naturiste. Il accepte, et nous engageons donc sur le sentier qui y mène.
La plage n’est occupée que par quelques personnes. Nous nous déshabillons, et je retrouve la sensation de nudité que j’avais ressenti la veille, debout devant la tente. Ce souvenir m’excite et je ressens un étrange fourmillement dans mon sexe au repos. Après avoir bronzé quelques instants, nous allons nous baigner avec nos masques de plongée.
L’eau est tiède et caresse notre peau nue quand nous y pénétrons. Nous commençons à nager. De derrière mon masque, j’observe le corps imberbe de Pierre qui nage à côté de moi. Ses mouvements de brasse font rouler ses fesses qui s’écartent et se rapprochent sur un rythme régulier. Son pénis et ses boules se balancent en même temps, et je vois de temps en temps apparaître son anus. Il sent que je l’observe et fait de même. Rapidement nous sommes tout les deux en érection. J’ai envie de sexe mais impossible de le faire ici : c’est un lieu public et n’importe qui pourrait nous voir.
Nous regagnons le rivage en dissimulant tant bien que mal nos verges dressées avec nos masques de plongée. Nous nous rhabillons rapidement. Nous n’échangeons pas un mot mais nous ressentons l’énorme tension sexuelle qu’il y a entre nous. Nous remontons vers le camping, nos sexes toujours tendus sous nos short. Je sens dans mon boxer un peu de liquide qui s’écoule de ma bite surexcitée. À mon grand désespoir tant je suis pressé de retourner à la tente, nous sommes obligé de nous arrêter à la supérette pour racheter quelques provisions. Au moment de payer, je m’aperçois que Pierre à rajouté un tube de lubrifiant à nos courses.
De retour dans la tente, nous nous déshabillons rapidement. Pierre m’allonge sur le dos et commence à me sucer goulûment. Je gémis, je me tords de plaisir quand je sens sa bouche englober mon gland. D’une main, il ouvre le tube de lubrifiant et s’en met sur les doigts. Sans arrêter de me sucer, il m’écarte les jambes et me frotte toute la raie avec le lubrifiant qu’il a dans la main. Il me masse et me malaxe, puis la pression de ses doigts s’accentue. L’un d’eux s’introduit dans mon anus et glisse tout entier à l’intérieur. Du bout du doigt, Pierre me masse la prostate. Dans un râle, je le supplie de m’en mettre plus, je m’abandonne, écarte les jambes autant que je peux, lui offrant mon cul. Il rajoute un doigt, puis un deuxième. Je n’en peux plus. Mon anus dilaté est près à l’accueillir. Je gémis et lui demande de me sodomiser.
Il retire alors délicatement ses doigts, et enduit son énorme verge dressée de lubrifiant. À genoux entre mes cuisses, il fait glisser sa bite contre ma raie, puis appuie son gland à l’entrée de mon anus. Il accentue ma pression, et je sens son gland écarter tout doucement mon cul. Il appuie, se retire, recommence, encore et encore… D’un coup, je sens que je l’ai avalé en entier. Pierre continue à me pénétrer, et fait lentement glisser tout le reste de son pénis dans mon rectum.
Je ne me contrôle plus. Il commence à faire des va et vient. Il m’encule vigoureusement. Sa bite tape contre ma prostate. Mon sexe laisse échapper de grosses gouttes de liquide pré-séminal. Au bout d’un moment j’explose : j’ai un spasme et je lâche quatre longues giclées d’un sperme épais, tandis que pierre éjacule dans mes entrailles.
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