Dans ma première histoire je vous parlais de mon amant russe, cet amant qui a provoqué le féminin en moi, qui l’a fait se réveiller… Après cette première révélation, il ne me parlait plus qu’au féminin et de manière très dominante. Il donnait des ordres et j’obéissais. En réalité on ne se voyait pas souvent (il avait un travail très prenant) mais il m’envoyait au moins un message écrit par jour. Il m’avait fait un virement bancaire et m’avait ordonné de me procurer deux plugs : un rosebud d’un petit diamètre que je devais constamment porter (sauf pour mes besoins évidement) et un second que je devais mettre une heure avant chacune de nos rencontre. Autant vous dire que mon quotidien était fort en sensation sexuelles, le rosebud me rappelait de manière continue à ma chatte anale. Mon clito coulait toute la journée et je ne pouvais pas m’empêcher de fantasmer sa bite.
Enfin il m’avait donné une date de rendez-vous… Le jour J, je me suis rasée le pubis en ticket de metro (comme il me l’avait demandé) et j’ai fait les lavements nécessaires au coït et j’ai enfilé le string qu’il m’avait offert. Sur le chemin mes genoux tremblais et, un fois dans l’ascenseur qui menait à son appartement je sentais une grande humidité autour du plug enfoncé dans ma chatte anale ; je mouillais !
Lorsqu’il m’a ouvert la porte, il m’a dit d’aller au bout du couloir dans la chambre d’amis et de mettre les habits qui était sur le lit, il y avait un ensemble de lingerie fine noire : porte-jarretelles, bas, string et soutien gorge. J’ai eu un peu de mal avec les jarretelles mais je me suis débrouillé. Je me suis dirigée vers le salon, il était nu, sur le canapé, les jambes écartées, déjà en érection, son sexe était rasé. Il m’as dit me mettre à quatre pattes et de le sucer, se que je m’empressais de faire, j’adorais passer ma langue sur ses grosses boules, les gober une par une et entendre ses gémissements. Il disait que j’était une bonne suceuse gourmande que j’allais devenir addict à sa bite… ça m’excitais beaucoup, il m’a demander de me mettre sur le canapé et de continuer à le sucer de manière à se qu’il puisse jouer avec ma chatte. Le plug ne demandait qu’a sortir… je mouillais tellement qu’il n’avait besoin de me lubrifier qu’avec sa salive. Il enfonçait un doigt, puis deux comme dans du beurre, chaque vas et vient me provoquait un gémissement, je lui demander de me prendre avec mes yeux, sa verge plantée au fond de ma gorge… que du bonheur !
Tu vas me montrer à quelle point ta chatte veut de ma bite, tu vas te mettre à califourchon sur moi et tu vas te baiser, à ton rythme, profite parce que la prochaine fois c’est moi qui imposerait la cadence ! Me disait-il.
Je m’exécutais, mes petite boules et mon clito frotté contre son pubis alors que je montais et je descendais sur son bâton de chaire. Pendant l’acte il me disait que je ne devait plus considérer mon petit bout comme un penis, qu’avec mon comportement, j’avais désormais uniquement le droit de jouir du cul et c’est tout. Que j’avais intérêt à trouver mon plaisir avant qu’il jouisse car il était hors de question que je me branle autrement qu’avec le gode que je devrais acheter, que si il constatait le contraire il mettrait mon clito en cage…
Et moi acquiesçait à chacune de ces parole, je me baisait rapidement maintenant en gémissant de manière aiguë, je jouissait… comme une cochonne. Je l’embrassais, il avait chacune de ses mains sur mes fesses. j’ai sentie sa queue se contracter et sa jouissance, alors qu’il était encore en moi il m’a dit tendu le plug et m’a dit de m’arranger pour garder sa semence en lui. Que j’allais rentrer chez moi avec la lingerie sous mes habits et que n’oublie pas de mettre le rosebud une fois ma chatte refermée.
Sur le chemin du retour, je repensais à ce qu’il avait dit. Je devais une bonne salope et je ne savais pas comment me passer d’une queue désormais.
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