Depuis 2 mois nous sommes un groupe d’hommes qui louont un gymnastre afin d’y jouer au Basket-Ball amicalement. Certains sont à la base collègues de travail, d’autres sont amis d’enfance, cousins, voisins et la plupart de simple connaissances. Parcontre, ce qui nous unis tous, c’est nos mercredi soirs, de 18h00 à 19h30, à jouer au Basket. Après quelques semaines à suer ensemble, on fini par devenir un peu plus que des connaissances. On s’entends toujours mieux avec certains que d’autres, ce qui peut être le début de nouvelles amitiés. Max était un étrangé pour moi au début de la saison estival. On a fini par devenir pot, ayant plusieurs intérêt en commun ainsi qu’une attitude similaire. J’ai visité quelques fois sa demeure afin de partager un bon repas et sa copine est, tout comme lui, sympa et aimable. Elle me prépare même des lunch parfois, sachant que mon ex-copine n’est plus là pour m’en préparer. En peu de temps, Max et moi avons rapidement apprit à nous connaître de fond en comble, si bien qu’il y a peu de secrets entre nous.
En fait, il n’y en a qu’un qui échappe à Max, mais c’est bien normal car aucuns de mes proches, amis ou collègues le savent. Ironiquement, les seules à connaître ce secret sont quelques inconnus, devenu intimes l’instant d’une soirée ou d’une petite heure, pour redevenir inconnus le lendemain. C’est avec ces inconnus, rencontrer sur le web, au parc ou au bar que j’assouvis mes imposantes pulsions sexuels. Mon ex-copine, celle d’avant, et celle qui la précédée assouvisaient talentueusement une partie de ces pulsions, mais elles manquait un petit quelque chose afin de pouvoir me satisfaire complètement ; une queue.
Tout comme mes amis les plus proches, Max n’a aucune idée de ma bi-curiosité, en faite plutôt dire bisexualité, car ce n’est plus la curiosité qui mène, mais le désir, l’envie, la perversion. Au yeux de tous, je suis un homme hétéro, rien de plus normal. Les ex copines en sont persuadées aussi, jamais elle se sont vu refuser leurs désirs. J’adore baiser les femmes, j’adore leurs corps, leurs seins, leurs chattes. Elles me font bander bien dur. Les bites aussi me font bander bien dur. Chacun à sa manière m’apporte satisfaction, mais lorsque celle que me procure la femme est comblé, il me manque toujours celle de l’homme. Pourtant, je ne suis pas du tout « bottom », je n’ai aucune envie d’etre enculé ni le moindre desirs de le faire à mon tour. Je suis 100% « top ». Fait ce que tu veux de tes mains ou ta bouche avec ma bite pour me faire jouir et je ferai de même. Alors, pourquoi cette envie, qui pourtant peut etre accomplie en partie par une femme, n’est reglé que par un homme? Il ne suffit pas que de recevoir, mais autant de donner. Je veux sucer des queues, les branler, les faire jouir, autant que de me faire jouir. Kif kif, rien de moins.
Jamais auparavant je n’avais épprouver du désirs sexuel envers un ami. Je suis habitué de satisfaire ce coté avec d’autres volontaires. Depuis plusieurs semaines, je cotois Max au Basket. On est souvent cote a cote dans me vestiaire. Comme tout les autres, je me fiche bien de ce qui m’entoure, c’est un vestiaire sportif, pas un sauna gay. On se change et hop on joue. On se rechange et hop on quitte. Il a fallu plus de 2 mois avant que les douches soient en fonction, enfin diront certains. Le trajet jusqu’à la maison était parfois synonyme de puanteur.
Apres notre partie, nous sommes quelques un a tester ces fameuses douches. Je m’y lance, sans aucune arrieres pensés perverse, je tient à le dire. Les douches sont communes, mais chacun regardent devant lui. Je me savonnais alors que Max arrive à coté de moi, me félicitant pour mes paniers. Je le remercie, sans plus. On se lave chacun sous notre jet d’eau, puis sans faire attention j’échappe ma bouteille de shampoing, au pied de Max. Le pur hasard. Je me penche et la rammasse. En levant mes yeux, j’appercois ce qui changea ma philosophie de ne pas etre attiré envers mes amis. Je vois la queue à Max. Énorme. Gigantesque. Magnifique. Putain, je n’ai jamais vu en vrai une aussi grosse bite. Elle est si longue et si large. Je me retire rapidement car je commence à bander. Moi qui est attiré par les grosses queues, Max vient de me bouleverser. Chez moi ce soir là, je me branle en m’imaginant dévorer la grosse queue à Max, mon coéquipier, mon ami. Merde.
Quelques jours plus tard, on prend plusieurs verres au bar du coin, moi et Max. La soirée est bien arrosé. Vers les petites heures du matin, on pisse l’un à coté de l’autre. Je saisi la chance.
« Putain Max, ta queue est énorme! »
-« Énorme n’est-ce pas! Merci de remarquer »
-« Sérieusement Max, bandé , sa doit être quelque chose non? »
-« Si tu savais.. imagine toi donc qu’elle grossit encore plus bandé! »
-« Max, ta copine doit être heureuse de t’avoir »
-« tu sais mon pot, c’est pas la joie comme tu le crois. Ma copine a mal quand je la baise, je dois y allez doucement, en surface, toujours.. »
-« Allez je suis sur qu’elle doit avoir plus qu’un tour dans son sac »
-« Non.. elle me suce même pas bordel, jamais, meme pas un peu sur le bout, jamais de branlette sa lui fait mal au bras, jamais de pipe sa lui fait mal à la bouche, jamais rien de fun! »
-« je suis surpris Max.. et tu es avec ta copine depuis l’adolescence pas vrai? »
-« Ouais, c’est la seule que j’ai connue. Alors t’imagine, j’ai jamais eu de pipe de ma vie, apart un semblant d’essais de sa part une fois, rien de plus. Jamais de branlette de ma vie, jamais rien pour me satisfaire pleinement. Y’a que moi pour me faire jouir comme je le souhaite »
-« désolé pour toi Max. Sa doit te gruger de jamais avoir eu de pipe. C’est si bon »
-« Merci de l’encouragement.. J’ai été voir une pute une fois, pour sa. Ma copine a débarqué à l’hotel avant meme que je sois nue. Elle a suivit mes messages. Putain, pas moyen d’etre satisfait.. »
-« Et t’a jamais penser demander à un homme expérimenté en la matiere? »
-« Jamais pensé à sa, mais je suis sur le point de le tenter, rendu bas comme je suis.. »
-« Y’en a pleins des hommes qui adorent les énormes queues Max. Si sa te dérange, tu n’as qu’à fermer les yeux et imaginer que c’est une femme »
-« Si c’est pour enfin me faire sucer, que se soit un homme un mutant ou un alien, je m’en tappe, en autant que sa puisse me sucer »
-« Sérieux Max, va au parc X, sort ta queue, tu seras satisfait, rien de plus simple »
-« Ouais.. sa m’enchante pas les étrangers, qui sait ce qu’il a mit dans sa bouche avant, qui sait ce qu’il va m’exiger par la suite pour son silence. Je ne fais pas confiance à ces vieux pervert. Si seulement j’avais un pot gay en qui j’ai confiance, je lui demanderais et ensuite bouche cousu, donnant donnant, ta ma grosse bite, j’ai ta gueule, on est quitte. »
Cette conversation que nous aurions jamais eu sans le surplus d’alcool en nos veines est arrivé à un parfait moment. Nous étions rendu à mi-chemin de notre paté de maisons. Nous marchions seuls dans les rues désertes de la nuit. Max venait de dire exactement ce que j’attendais pour tenter le coup, en plus que nous etions ivre, c’était le moment idéal.
-« Tu sais Max, je te fais confiance. Tu me fais confiance. J’adore les femmes, j’adore le sexe et j’adore aussi me faire sucer. C’est inimaginable que tu n’es jamais vécu cette sensation de pleine liberté. Sa m’attriste pour toi. »
À SUIVRE
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