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Quand Margot devient chienne 27

Quand Margot devient chienne 27



La rencontre.

– Alors mon cher « BHV » qu’en pensez-vous ?
– Et bien … Comment dire ? Je vous l’avais déjà dit, je sens bien chez elle un vrai désir de soumission. Mais en même temps je la sens aussi un peu … rebelle. Pas rétive, mais rebelle, sauvageonne. Vous aurez du travail je pense mon pauvre Laurent. Mais par contre vous avez un petit avantage, du moins je crois, c’est qu’elle semble avoir une certaine affection pour vous. Je crois que vous l’avez étonnée. Elle ne s’attendait pas du tout à ce que ce soit vous qui la baisiez hier. Du coup, je me demande si elle n’a pas une sorte d’admiration pour vous. Le mot est peut-être un peu fort mais c’est surement un bon point pour vous.
– Ma foi si vous le dites, je veux bien vous croire, c’est vous l’expert.
– En tous cas vous êtes ici chez vous quand vous voulez. Vous me prévenez juste avant qu’on ne soit pas en doublon, c’est tout.
– OK, c’est noté, je vous remercie.

Dans les vestiaires du club de fitness, la tension était palpable. Déjà, Anne avait hésité à y retourner. Pour quelle raison précise exactement, ça elle n’en savait rien mais elle se sentait gênée par rapport à son amie Margot. En arrivant au club elles s’étaient embrassées comme d’habitude, mais Anne, sur la réserve, n’avait pas trop épilogué et avait filé à son cours rapidement. Maintenant elles se retrouvaient comme à l’accoutumé après avoir bien transpiré, pour prendre une bonne douche réparatrice, et inévitablement, elles allaient devoir communiquer. Margot était arrivée la première, aussi lorsque Anne arriva à son tour, elle était déjà sous la douche. Anne se glissa sous les jets sans un mot. Elle ne savait vraiment pas comment aborder le sujet et préférais laisser l’initiative à Margot sans doute plus à l’aise qu’elle. Les jets stoppèrent, la vapeur d’eau chaude commençait à se dissiper lorsqu’elle sortirent toutes les deux des douches en se frictionnant le corps de leur serviette de bain. Chacune se posta devant son casier afin de s’habiller.
– Anne ?!
– Ouiii ?
– Il faut que je t’arrache les mots de la bouche ou quoi !!!
– Euh … Non, pourquoi ?
– Ah ! Cela suffit ! je sais que tu as vu Laurent ! Alors arrête de faire ta sainte nitouche et dis-moi ce qu’il s’est passé ! On est amie ou pas ?
– Ben oui, justement, c’est parce qu’on est amie que c’est plus difficile à dire.
– Mais on s’est toujours tout dis non ?
– Ah justement, je ne crois pas ! Je veux bien te parler de Laurent mais toi d’abord.
– Quoi moi d’abord ? Pourquoi veux-tu que je te parle de Laurent ??!
– Holà !! Là c’est toi qui fait ta sainte nitouche. Tu sais très bien de quoi et de qui je veux parler. Alors tu me dis ce qui se passe avec « BHV » et je te dis ce qui se passe avec Laurent. Donnant, donnant. D’accord ??
– D’accord, d’accord.
Margot savait très bien au fond d’elle, qu’elle ne pouvait échapper à cette conversation. Elle savait même qu’elle aurait dû avouer cette relation un peu « spéciale » à son amie bien plus tôt. Elle comprenait d’autant plus son amie qui avait du mal à aborder le sujet aujourd’hui. Elle se trouvait même gonflée de lui faire la remarque. Mais bon, Anne avait beau être sa meilleure amie, il y a des choses qu’on hésite à raconter. Margot ne se voyait en effet pas aisément en train de dire à son amie dans le vestiaire, en train de se laver le minou : « Au fait je ne t’ai pas dit Anne, mais hier soir je me suis faite enculer par cinq ou six mecs bien montés c’était super, et toi ça va ? » Pas facile en effet. Là, en fait, elle voulait faire dire à son amie une chose qu’elle savait déjà en grande partie. Elle voulait qu’il n’y ait pas de secret ou de non-dit entre elles deux. Pour cela il fallait qu’Anne dise elle-même ce qu’il s’était passé. Le problème c’est que Anne avait deviné qu’il y avait quelque chose de pas catholique entre elle et « BHV » et qu’elle allait devoir s’en expliquer. En même temps ce n’était que justice. Il n’y a pas de raison qu’il n’y en ait qu’une qui raconte son histoire. Sinon, qu’en serait-il de leur amitié ?
– Alors, j’attends !
– Oui, j’arrive ma chérie. Je mets juste de l’ordre dans mes idées pour savoir comment commencer.
– Tu vois hein, ce n’est pas commode !!
– Oui tu as raison. Alors qu’en fait c’est assez simple. Cela a commencé pratiquement comme toi.
– Hein ??!!
– Oui, c’est vrai. J’ai d’abord posé. Ensuite il m’a fait visiter la pièce du bas et j’ai essaye un des engins. La croix si je me souviens bien en premier. Non, je crois que c’était le siège de gynéco. Mais moi j’avais Karim qui posait avec moi. Enfin qui posait, faut le dire vite. Il m’a caressée et comme toi je n’ai pas dit non, je me suis laissée faire, je me suis aperçu que j’aimais ça. De plus je me suis sentie rassurée avec « BHV » et il m’a donné envie de continuer. Je suis devenue accroc et j’ai accepté d’être sa soumise. Voilà. Tu dois me trouver salope, non ?
– Ce n’est pas ça, mais Laurent dans tout ça ?
– Cela n’a rien changé entre nous, au contraire. Je crois que ça nous a rapprochés. Et puis il faut bien dire que j’ai beaucoup progressée en ce qui concerne le cul, alors il ne va pas s’en plaindre.
– Mais tu lui as dit ?
– Bah ! Bien obligée. C’était une exigence de « BHV ». Mais si tu veux mon avis je ne serais pas surprise qu’il ait été au courant. Peut-être même l’instigateur.
– Comment ça ?
– Je ne sais pas trop. Des petits trucs comme ça. Pas vraiment défini. Plus un ressenti. On avait déjà partagé nos fantasmes et je sais qu’il rêvait de me voir me faire sauter par d’autres hommes. Alors quand il a rencontré « BHV », dont j’ignore comment il a su qu’il était un « Maître », il a suffit qu’il lui glisse un mot et voilà.
– Mais concrètement, cela se passe comment ?
– Ben j’ai une vie tout à fait normale avec Laurent. Une vie de couple je te rassure, on baise souvent. Et quand je suis avec « BHV », je lui suis soumise.
– Mais en clair tu fais quoi avec « BHV », tu baises aussi ?
– Oui, mais quasiment pas avec lui.
– Hein ??!! Comment ça ?
– En vérité, mais tu ne me juges pas hein ? Tu vas dire que je suis une pute.
– Mais non Margot chérie, pourquoi veux-tu que je dise ça ?
– Parce que c’est vrai.
– Tu tapines ?
– Non quand même pas. Mais il me fait baiser par d’autres gratuitement. Dans certaines soirées, je me fais baiser ou enculer par plein d’hommes et même des femmes parfois. Et je ne te dis pas le nombre de kilomètres de bites que j’ai sucé et les litres de sperme que j’ai avalés.
– Ben ça alors, tu me la coupes !
– Tu vois bien que je suis une belle salope !
– Oh tu sais ma chérie je ne suis pas sur d’être bien différente de toi. J’aime ça aussi tu sais. Par contre je refuse de faire tout ce que tu fais toi !
– Que veux-tu dire ? Mais d’abord explique. Avec Laurent alors ?
– Ben tu sais ce qu’on a fait toutes les deux ? Et bien « BHV » a tout vu. C’est pour ça qu’il m’a fait descendre la deuxième fois. Il m’a fait essayer le carcan. Tu connais je suppose ?
– Oui, j’aime bien cet engin. Et alors après?
– Après ? Et bien je me suis faite baiser tiens ! Mais je pensais que c’était « BHV » quand tout à coup je l’ai vu surgir devant moi alors que j’avais une queue dans la chatte ! Tu te rends compte ! Je ne savais même pas qui me baisait. En plus, « BHV » est parti. J’étais toute seule, coincée dans ce machin et je ne savais même pas qui était en train de m’astiquer le vagin. Bon d’accord c’était bon, mais tout de même !
– Et alors après ?
– Et bien quand ça a été terminé j’ai vu ton Laurent venir devant moi la queue encore raide et me dire de venir le lendemain soir, c’est tout.
– Et c’est tout.
– Oui, il est partit aussitôt. C’est « BHV » qui est venu me libérer. Mais toi, tu n’en savais rien de ce qui allait m’arriver ?
– Ben non. J’ignorais que « BHV » nous avait matées. Je pense que c’est lui qui a branché Laurent la –dessus ce qui me fait encore plus penser qu’il est dans la combine depuis le début même avec moi. Par contre sincèrement quand il t’a dis de venir avec lui la deuxième fois et qu’il m’a fait partir, là je me doutais qu’il tenterai.
– Tu aurais pu me le dire quand même !
– Mais comment ? Je n’en ai pas eu l’occasion et je te rappelle que je suis soumise à « BHV ». Je ne vais pas m’amuser à le contrarier. Je te rappelle aussi que je t’ai dis que tu pouvais refuser. Il ne t’aurait pas forcée. Mais tu as raison, on doit être deux belles salopes !
– Oui, sans doute. Oh mon Dieu, pauvre de nous !
– Alors maintenant tu es la soumise de mon Laurent ?
– Je crois bien oui.
– Bon ben on est frangine alors !
– Tu as une drôle de façon de voir les choses toi ??!!
– Mais quoi ! On ne va pas se formaliser. On aime toutes les deux le cul, on est des chaudasses, on ne va pas se prendre la tête.
– Oui mais quand même c’est ton mari Laurent.
– Pourquoi, tu veux me le prendre ?
– Oh mon Dieu non !! Mais ça ne te fâche pas qu’il me baise?
– Non. J’ai mon mari et un Maître, lui, il a une femme et une soumise. L’équilibre quoi !
– Ma foi, on peut voir ça comme ça. Si ça te convient.
– Mais tu ne m’as pas dit pourquoi tu ne fais pas comme moi ?
– Parce que je ne veux pas tiens ! Je veux être l’exclusivité de ton mari. Oh merde ça me fait tout drôle de te dire ça. C’est bizarre quand même tu ne trouves pas ? Je dis à ma meilleure copine que je suis l’exclusivité de son mari. C’est le monde à l’envers !
– Oui je te comprends. Mais il faut faire la part des choses. Quand on est toutes les deux ensemble, quand je suis avec mon Laurent, ça, c’est la vraie vie. Et quand je suis avec « BHV » et toi avec ton Maître c’est la vie parallèle. La vie secrète.
– Oui tu as encore raison. Il faut que je m’habitue à cette nouvelle vie. Mais je crois que pour faciliter les choses, après aujourd’hui, il ne faudrait plus qu’on en parle ensemble. Tu ne crois pas ?
– Tu as peut-être raison. Mais au fait, Laurent il en dit quoi de cette exclusivité ?
– C’était aussi son choix. Sinon je n’aurais pas accepté. Je ne me sens pas du tout capable de faire comme toi. Et même là, il y a surement des trucs que j’aurai du mal à faire. Mais j’ai accepté, alors je m’y plierais.

Il faisait nuit sur le château. La lune éclairait le parking où, juste la voiture de Laurent était garée. Un coup d’œil à la montre du tableau de bord permit à Anne de savoir qu’elle était en retard. Et ben ça commence bien se dit-elle, je vais avoir droit à ma première punition, ça c’est certain. Dehors, une chouette lançait son cri lugubre déchirant la nuit. Anne sentit malgré elle un frisson lui parcourir l’échine. Pourtant il faisait bon. L’air doux agitait les buissons alentours.
Elle se dirigea vers le perron, la lumière inondait les marches. Elle pressa le pas, inutile d’aggraver le retard même si ça ne doit rien changer. Elle n’eut pas à sonner, la porte s’ouvrit d’elle même et comme d’habitude, le « croque-mort » la fit entrer. A croire qu’il couche derrière la porte celui-la pensa-t-elle en courant vers la cave aux sévices ou délices, après tout il n’y a pas beaucoup de lettres différentes. Elle dévala les marches cette fois-ci sans hésiter. C’est le cœur empli de désir qu’elle accourait à la sollicitation de « Monsieur ». Il l’avait appelée le matin même. La conversation n’avait pas durée trente secondes. D’ailleurs ce n’était pas vraiment une conversation. « Ce soir, vingt et une heure » a dit « Monsieur ». « Où » a-t-elle demandé. « Au château » a-t-il répondu. « Très bien, j ‘y serais » a-t-elle conclu. Et voilà. Et maintenant elle poussait la lourde porte de bois cloutée courant vers sa destinée. Enfin, la destinée de ce soir.
La lumière était toujours tamisée mais là, il lui a semblé qu’elle était plus basse que d ‘habitude. Oh, rien de précis, une impression furtive. Mais de toute façon elle n’eut pas l’occasion de se poser d’autre question. A peine entrée, elle fut saisie par derrière. Une grande main musculeuse plaquée sur sa bouche lui tenait le visage. L’autre main c’était saisi de la robe dans les reins en tirebouchonnant le tissu. Anne fut littéralement projetée en avant vers le lit rond à proximité. Ses bras battaient l’air. Elle était incapable de réagir. La surprise et la force de l’attaque l’avaient anesthésiée. Elle se retrouva affalée sur le ventre, le nez dans les coussins, plaquée par une main de fer.
Laurent, car bien sur c’était lui, l’empêchait de se relever en lui tenant le cou fermement et de l’autre main il lui remonta sa robe sur le dos. Il s’était mis de côté pour être plus à son aise. Pour commencer il lui cingla les fesses de trois ou quatre claques magistrales. Cela c’est pour ton retard ma salope ! Lui gueula-t-il. Quand j’appelle ma chienne, elle vient à l’heure tonna-t-il de plus belle, j’espère que c’est clair !? Bien entendu, Anne ne pouvait pas répondre, le nez enfoncé dans le satin. Mais de toute façon, il n’attendait pas de réponse.
Les deux globes fessiers étaient bien rouge tout de même. Il avait dû se laisser aller plus qu’il ne pensait. Les traces de sa main se détachaient bien sur la peau laiteuse. En la maintenant toujours plaquée sur le lit, il entreprit d’écarter les cuisses d’Anne avec son genou. Il caressait le dos, glissait sa main sur les flancs provoquant des frissons. Il redescendait sur les fesses mais cette fois-ci doucement, comme pour apaiser la brûlure de sa fessée. Il écarta un peu les fesses et insinua sa main.
– Non de Dieu, mais tu mouilles ma salope !!! Tu es toute trempée, regardes-moi ça, il y a une mare de ton jus !
Laurent s’employa alors à fouiller la chatte de sa protégée. Il entra deux doigts d’un coup et avec son pouce tritura le clitoris qu’elle avait bien visible. D’ailleurs sous la pression il grossissait à vue d’œil. Et plus il tortillait son bouton, plus elle coulait. Une vraie fontaine ! Laurent aussi sentait l’excitation le gagner. Il lâcha le cou d’Anne et se positionna entre ses cuisses. Il s’empara de chaque fesse à pleine main qu’il écarta suffisamment pour avoir accès à la grotte d’amour. Anne se cambra davantage d’elle même. Elle en veut la salope se dit Laurent, Je vais lui en donner alors. Il présenta sa queue tendue à l’entrée du vagin et entra à fond d’une seule poussée. Certes il avait eu l’occasion de se comparer à deux beaux gaillards, mais malgré la différence de taille, sa bite était loin d’être ridicule. D’ailleurs, Anne avait l’air d’apprécier. Elle continuait d’aller au devant de ses coups de boutoirs en avançant son cul au maximum, pour qu’il la remplisse à fond. Ses gémissements témoignaient du plaisir qu’elle prenait. Maintenant Laurent se déchainait en pistonnant sa soumise à grands coups de reins ponctués de « han » de bûcheron (canadien). Lorsqu’il lâchait une hanche, c’était pour donner une claque sonore sur une fesse. Anne répondait par un gémissement plus fort et un jet de cyprine à chaque fois. Le traitement qu’il lui infligeait n’allait pas tarder à faire de l’effet aux deux. Il se retira de sa chatte et la retourna. Il vint s’asseoir sur ses cuisses et se branla jusqu’à décharger son foutre gluant sur le ventre d’Anne que les spasmes de la jouissances faisaient trembler.
Une fois la fureur de leur deux corps apaisée, Laurent releva Anne et la serra tendrement dans ses bras.
– Comment as-tu trouvé ce petit viol ma princesse ?
– J’ai beaucoup aimé « Monsieur ».
– Très bien mais ce n’est pas une raison pour arriver toujours en retard.
– Non « Monsieur » je ne le ferais plus.
– Ah ! Au fait, j’ai décidé de t’appeler « Féline ».
– Ah bon ?? Euh, comme vous voudrez « Monsieur ».
– Oui, féline je crois que ça t’ira bien. Tu es pleine de tendresse et très câline d’un côté et de l’autre tu es indépendante et sans doute pas très obéissante. Je crois que tout ça est réuni dans ce nom.
– Très bien « Monsieur », je serai votre féline.
– Pour le signe distinctif je n’ai pas encore décidé. J’hésite. Piercing ou tatouage. Qu’en penses-tu ? Non, ne me dit rien, penses-y et nous en reparlerons.
– Oui « Monsieur », comme vous voudrez.
– Et puis il y a autre chose. Ton trou du cul, il va falloir que je m’en occupe, hein ?! J’ai l’impression qu’il n’a encore vu personne ?

A suivre…

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