Deux jours se sont écoulés depuis nos petites aventures en Sofia et la baise bi avec mon mari et Christian.
En rentrant du travail, Alain me dit :
« Chérie, prépare-toi ! Je t’invite pour une partie fine avec ta copine Sofia. Putain, ce que vous m’excitez toutes les deux, t’as pas idée. Christian et Christophe serons là avec un pote à Sofia. Un certain Seb. J’en bande déjà. ».
Joignant le geste à la parole, il déboutonne son jean, dévoilant son sexe en érection, comme pour me le prouver. Je m’apprête à le sucer mais il me repousse en prétextant vouloir se réserver pour la soirée.
Peu avant vingt heures, nous arrivons chez Christophe. Nous garons la voiture dans la cour. Le portail électrique se referme derrière nous. Christophe nous accueille chaleureusement en nous disant :
« Tout le monde est là. On attendait plus que vous. »
Arrivés dans le salon, je suis surprise de voir Christian nu comme un ver, trinquer avec un homme que je suppose être Seb qui se font sucer par Sofia. Mais je suis scotchée lorsque je vois affalés dans un divan ses cinq ouvriers admirer le spectacle la queue à la main. Tous me dévisagent à mon entrée. Nous ne sommes que deux femmes dans cette soirée et leurs regards lubriques, n’est pas rassurant pour la suite des événements.
S’adressant à moi devant ma déconvenue, Christophe me dit :
« Mes hommes on bien bossés. Il ont droit à un bonus. Sofia et toi allez passer à la casserolle ce soir pour notre plus grand plaisir ! »
Déjà les mecs m’entourent et palpent ma poitrine et mon cul. D’autres s’affairent à me foutre à poil. L’un d’eux me fouillant la chatte sans précaution aucune, clame à qui veut bien l’entendre :
« Cette salope est déjà mouillée ! La pute ! Elle mouille pas ! Elle dégouline ! »
Christian qui n’a encore rien dit affirme :
« Vous verrez les gars elles sont chaudes comme la braise ces deux chiennes ! »
Alain en me flattant les seins me glisse :
« Montre leurs comment tu suces ma chérie ! »
Je n’ai pas trop de choix. Je regarde Alain et presque arrogante, je m’accroupis prends dans ma bouche les sexe qui se tendent devant moi.
Christophe intervient :
« Attention, ne les fais pas jouir tout de suite, il doivent pouvoir vous baiser toutes la nuit ! ».
On n’entend plus que des clapotis et des gémissements. Sofia est prise en sandwich par Seb, Christian et mon mari. Je suce alternativement Christophe et plusieurs de ses ouvriers.
Je suis trop excitée pour refuser quoi que ce soit. On m’écarte les jambes et là je sens des mains, des doigts, des langues me fouiller la chatte dans les moindres recoins. Ils ont des sexes impressionnants et ma bouche peine parfois à les prendre. Ca en amuse certains. L’un d’eux m’att**** par les cheveux pour s’enfoncer profond dans ma bouche. Son sexe est si gros que j’ai du mal à le prendre totalement.
Pendant se temps ceux qui baisent Sofia se relaient pour la prendre par tout les trous. Je me retrouve avec deux sexe qui déforment ma bouche. Au bout d’un moment l’un dit :
« Elle est trop bonne cette femelle ! On va lui élargir les trous ! »
Je suis mise à quatre pattes et immédiatement deux sexe dans la bouche, je suis embrochée par la chatte. L’énorme sexe ce le passage qui heureusement est bien lubrifié. Je le sens s’enfoncer en moi, me remplissant à souhait. Je pousse des cris étouffé par les queues qui obstruent ma bouche. Il se met à me fourrer comme un sauvage. Ma jouissance est discontinue. Pour ne pas jouir tout de suite, il cède sa place à un autre puis un . Il se partagent tous nos trous chacun leur tour. L’un d’eux finit par me jouir dans la bouche de Sofia lui envoyant de longues giclées de sperme chaud sur le visage en la traitant de sac à foutre. Secouée par ces verges en furies, je suce de plus belle quand l’un d’eux décide de me sodomiser en même temps que son pote me baise. Je sens un doigt s’insinuer dans mon anus. Puis deux pour y mettre son sexe et me forcer . Je ne peux que subir cet assaut. Le mec, en rythme avec son pote commence à me pilonner. Me voyant prise ainsi, les mâles décident d’en faire autant avec Sofia. Ils y passent tous, les uns après les autres. Nous ne sommes plus que des réservoir à bites défoncées par tout les trous. Un à un ils éjaculent sur nous et aucune partie de nos corps n’est épargnée.
Quand ils ont vidé leurs couilles et sont s, Christian nous ordonne :
« Nettoyez-vous avec vos langues comme des chiennes ! »
Tant de sperme avec des goûts différents s’en est écœurant mais nous en profitons pour nous donnez ensemble du plaisir. Pendant que les mecs trinques à la santé des deux femelles qu’ils viennent d’abuser, nous allons prendre une douche ensemble.
Nous redescendons propre mais épuisées. Entre temps, il ont décidés de s’amuser avec nous dans une sorte de scénario de dressage.
Alain s’approche de nous et dit :
« Je vous laisse entre les mains de Christophe, notre ôte. »
Christophe tout sourire reprend :
« Merci Alain. Mais je souhaite que vous m’aidiez tous dans la tâche qui m’incombe ! »
Puis s’adressant à nous :
« Voyez-vous ce fouet petites chienne s ? »
« Oui Monsieur ! »
On se prend un coup chacune sur les seins.
« OUI! MAITRE salopes ! »
« Oui Maître. »
« C’est mieux. Vous sentez-vous à la hauteur d’endurer le fouet, petites chiennes ? »
Nous baisons la tête sans répondre. Comment pourrions-nous répondre à une telle question ? Devant notre silence nous recevons un autre coup qui nous fait pousser un cris de surprise plus que de douleur. Puis il continue :
« C’est épuisant de fouetter des femelles de votre espéce. Alors, nous allons vous attacher par un poignet l’une à l’autre et vous allez vous fouetter mutuellement. Ca va être bien plus amusant. Si vous n’y mettez pas du votre mes invités se feront un plaisir de vous rappeler à l’ordre ! C’est compris ? »
« Oui Maître. »
Christophe se fait un plaisir de nous attacher et le top est donné. Nos premiers coups sont timides. Mais c’est sans compter les invités qui nous fouettent si nous ne jouons pas le jeu.
Les coups maintenant s’abattent plus violent chacune à notre tour. La lanière ne fait pas de quartier et les zones les plus sensibles ne sont pas épargnées. L’adrénaline et s encouragements des mâles présent font que nous nous prenons au jeu. Nos corps sont zébrés de traces rougeâtres.
Seb qui est jusqu’à présent plutôt passif, s’approche et nous fouille nos chattes pour jauger notre humidité.
« Les mecs ! Le fouet les fait mouiller comme des grosses chiennes en chaleur ! »
Nues, humiliées devant ce panel de mâles débauchés, auto-fouettés, nous coulons de nos chattes comme des putes. Seb commence alors à nous goder avec le manche du fouet. Un plaisir violent nous embrase. L’orgasme est d’une v******e telle que nous tombons presque évanouies enlacées l’une contre l’autre. Dans cette demie inconscience j’entends Alain qui me demande :
« T’as aimé ? »
« Oui merci mon amour. »
Un tonnerre d’applaudissement retentit alors dans le salon.
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