Un raton laveur au paradis.
Pierrette, assise sur la vieille table de camping, écarta largement les cuisses et m’attira vers elle pour ensuite ramener ses longs cheveux roux encore humides dans son dos. Cela fit remuer ses seins magnifiques en forme de poire au pointes tendues et recouverte de grosse chaire de poule que j’agripper tout doucement pour les soulever et les presser en bandant dure.
Elle leva le menton croisant ses mains frêles sur ma nuque, les yeux mi-clos en me disant.
-Ambrasse moi mon petit Paul.
Au moment ou mes lèvres touchaient les siennes une envoler d’oie sauvage passa bruyamment juste au-dessus de nous pour suivre la rivière et disparaître vers le sud. L’automne n’était pas loin.
On se frencha longuement tandis que ma bite pulsait entre nous contre son ventre puis je lui dis à l’oreille, toujours en caressant sa poitrine tombante.
-Pierrette.
-Hum. Fit-elle alanguie, les yeux réduit a deux petites fentes en agrippant ma bite pour me masturber de la main droite et pressant mes couilles de la gauche.
J’en frémis en sentant mon scrotum se contracter sous ses doigts frêles.
-Tu pense que… Que ce soir on pourrait… Enfin peut-être… Si sa vous tente… Le faire à trois ?
Petit sourire malicieux.
-Paul ! C’est demander avec précaution ça !
-Hum ! Je pense que oui !
Petit yeux rieurs river au miens. Les yeux d’une femme mur qui avait dut voir et connaître tant de choses.
Puis elle regarda Marie qui semblait dormir étendue sur le sable en bas au bord du bassin et me regarda à nouveau.
-Petit cochon ta pas honte ! Dit-elle soudainement faisant semblant d’être fâcher en me secouant la bite comme si c’était un hochet ou la queue d’un serpent a sonnette.
-Oui, terriblement. Dis-je en grimaçant. Papa s’excuse !
-Papa s’excuse, et ben !
Elle rit encore si belle avec sa peau blanche presque translucide au soleil surtout aux seins. J’entrevoyais un jolis réseaux de veine bleue courant sous la peau se dirigeant vers ses mamelons rose et gonfler que j’agaçais tendrement avec mes pouces.
-Seigneur Paul, tes un ange. Pourquoi pas, je vais essayer de t’arranger sa.
-Wow ! Sérieuse ?
Gros sourire.
Sa main délicate de vieille dame recommença à me masturber avec une lenteur infinie. Elle serrait à peine comme si elle avait peur de briser ma bite et remontait sa main jusque par-dessus mon gland déjà trop sensible. Chaque petites bosses de ses doigts faisait se contracter mon anus.
Ouf !
-Tu pense qu’a l’accepterais gêner comme elle est et toi sa te dérangerais pas trop avec Marie ? C’est ta nièce quand même !
La elle me fixa avec un étrange sourire avant de me dire tout bas sur un ton de confidence.
-Donne-moi ta parole de ne jamais répéter ce que je vais te dire.
-Parole de scout. Affirmai-je très rapidement sur le même ton de conspiration.
Elle rit.
-Seigneur, j’ai pas…
-Entendu sa depuis la petite école, je sais… Parole de scout. Répétai-je presser d’entendre la suite.
-Je suis lesbienne Paul. Enfin, je préfère les femmes.
Je cligner des yeux trois fois en fixant les siens. Mon disque dur fonctionnait au ralenti depuis hier.
-Pardon !
-Je suis lesbienne mais Marie, elle, elle est bis mais préfère les hommes ! Elle n’en parle jamais mais une de ses amies d’enfance me la confier en me faisait jurer le secret ! Elle sont sortit ensemble pendant trois ans sans que personne le sache quant elle étaient au secondaire.
Je cligner des yeux deux fois imaginant Marie à 15 ou 16 ans sortant avec une fille. Wow !
-Eh… A vous a avouer sa comme ça son amie ?
-Ouais, pendant que je lui léchais la plote Paul.
Ma caverne a mouche s’ouvrit et se referma… Ok ! Me dis-je.
-C’était une belle petite brunette, continua telle rêveuse, je comprends Marie d’en être tomber amoureuse. Gentille, timide, douce, moi aussi j’en suis tomber amoureuse mais sans jamais oser lui dire dans le temps. J’étais trop vieille pour elle de toute façon. Le plus drôle ces qu’elle aussi maintenant c’est une personnalité connue. On a baiser ensemble plusieurs fois a l’époque, seigneur ça fait ben 25 ou 30 ans déjà.
Gros soupir de ma part. Mon petit cerveau travaillait vraiment trop lentement aujourd’hui. Ma commotion sans doute. Encore.
-Wow ! Cé qui ?
-Elle aussi a vous fait tous bander.
Pierrette s’amusait à me faire languir, le visage fendu d’un large sourire moqueur.
-Ok ! Cé qui ?
-Tu sais, elle se voie encore, elle sont toujours amie et elle est marier maintenant et a deux enfants.
Mes poumons se vident d’exaspération.
-Hum ! Hum ! Cé qui Pierrette ? Chanteuse, animatrice, journaliste, comédienne, mime, violoniste… Eh, a fait des recettes peut être ? Une ministre ! Celle de l’environnement donne le goût de polluer en tabarnouche juste pour qu’a vienne vous chicaner en personne.
Aucune réponse.
Elle me masturbait toujours distraitement et cela provoquait en moi un étrange mélange de plaisir et de déception. C’était comme se faire torturer à coup de plume.
-M’étonnerais pas quelle baise toujours ensemble d’ailleurs. Dit-elle doucement.
-Ok, mais qui ? On trip tous dessus Pierrette tabarnouche. Y en as des dizaines de personnalités connus qui font bander ! Une des mis météo peut-être ?
Gros soupir de Pierrette toujours rêveuse qui ne m’écoutait pas du tout.
-J’aimerais bien moi aussi la ramener dans mon lit au moins juste une fois. A vieillit bien elle aussi la tabarouette.
-Jésus-Christ Pierrette ? Fis-je implorant mes mains toujours sur ses seins. J’ai donné ma parole de scout. Cé sacré ça !
Petit rire taquin en me pressant le scrotum et jouant avec comme si c’était un sac de billes. Ouf !
-Désolé Paul je suis tenu par le secret professionnel de l’ordre des lesbiennes du Québec. Je peux rien dire de plus.
-Ah ! Fis-je déçus. Sa existe ça, O.L.Q.
Gros rire.
-Ben oui ! Fait que, avec un peut de vin, vu ce qui ces déjà passé dans ta roulotte sa devrait ce faire. Quand je pense qu’on y était presque pour le trip a trois hier ! J’avais autant envie de toi que de Marie et la… Elle nous termine sa en cinq minutes la tabarouette.
-Cé vrai tout ça ?
Des corbeaux se font entendre au loin, puis un écureuil se plaint, comme si on lui marchait sur la queue.
-Ben oui ! Ma petite nièce me tente depuis longtemps mais ses la première fois que je me retrouve seul avec elle quelques jours, en camping en plus, et que j’aurais une bonne occasion, ou plutôt une bonne excuse pour en profiter moi aussi sans l’offusquer tu voies, alors… Sa me tente ses sur mon beau Paul. En plus j’ai eu la chance de la voir nue, enfin… la belle grande Marie. Le petit chaud de fesses hier, honnêtement Paul c’était plus pour moi que pour toi. Et en plus j’ai réussit à la faire se bronzer nue quand tes partit, enfin et même a la toucher un peut en lui mettant de la lotion solaire. J’en et mouiller si tu savais, je me préparais à m’essayer tout doucement et la, le maudit ours débarque. Le Câlice d’ours !
-Ok ! Fis-je un peut étourdit me rappelant très bien la scène.
-Je vais la préparer doucement aujourd’hui, laisse moi faire. On va se taper ma nièce avec un peut de chance Paul tout en lui faisant plaisir évidemment.
Wow ! Je l’imaginais déjà.
-Ouf ! Pierrette arrête ! Dis-je en lui agrippant la main avec laquelle elle me masturbait. Du liquide transparent sortait déjà de ma petite fente quelle recueillit avec son pouce. Encore des grimaces.
-Oups ! Pitié retient toi Paul Tabarouette. Fit-elle agace en se suçant le pouce puis en me donnant une autre long french au goût salé. J’adore les petites langues pointues me dis-je de plus en plus exciter sentant ses mains me presser les fesses a présent. Pendant ce temps, ma petite cervelle de gars enregistrait, classait et digérait toutes ses nouvelles informations mais si lentement. Marie bis, sortant avec une fille, une autre vedette, mais mystérieuse celle la, Pierrette lesbienne, pas croyable. Possibilité de baise a trois. Ouf…
Et la petite langue quitte ma bouche.
Encore les corbeaux.
Je ravaler ma salive en fixant ses yeux verts si pétillant sentant mon gland contre son nombril et la on entendit…
-Vas Tant toi maudit vicieux !
On tourna tous les deux la tête d’un même mouvement vers le bassin.
C’était Marie qui essayait de se débarrasser d’un écureuil en lui lançant du sable. C’était lui qui se plaignait comme ça. Bizarre.
-Mais… Tes vraiment lesbienne ? Demandais-je en revenant à Pierrette.
Petite rire.
-Ben oui ! Ça t’excite on dirait mon petit Paul. Dit-elle en me tapant les fesses.
-Cé sur ! Mais, tu disais que ta été marier 2 ou 3 fois.
-Ben oui, pour les convenances et la famille et aussi… enfin ces un peut compliquer Paul. C’était comme sa dans mon temps, pis j’aime sa avec un homme parfois et la j’ai ben le goût, je suis ben mouiller. Hum, j’aime tes fesses !
Elle planta ses ongles dedans avant de me les lâcher. Outch !
Puis elle amena ma main droite sur son sexe poussant mon majeur dans sa fente qui dégoûtait. J’y enfoncer mon doigt bien au chaud jusqu’a la jointure en repliant les autres et l’agiter doucement en effleurant ma bite. A son tour de grimacer.
-Mais, Marie le sait ?
Je replie mon doigt vers le haut a la recherche du mystérieux poing G. Une quête que j’ai entreprit 30 ans plutôt. Pierrette soupire très fort et plisse les yeux. J’ai dû le trouver. Hi ! Hi !
-Je sais pas, je pense pas, ouf… Sa mère le sait ces avec elle que j’ai découvert les petits plaisirs entre fille, oh… On se lavait ensemble quant on était jeune pour économiser l’eau chaude, dans une cuve, hummm… On dormait ensemble aussi dans le même lit. Que de bon souvenir… Ah oui Paul… Mais je sais pas si elle lui en a parler. Ça… Ça m’étonnerait. On est plutôt secret dans la famille et… pauvre quand on était gamines. Grimace et soupir. Pis tu me fourre tu, j’en peux pu ? Fait-elle exaspérer la face rougie.
Le murmure de la cascade me semble tout a coup plus fort.
-Tu faisais quoi déjà avec ta soeur ma belle Pierrette, petite vicieuse vas ?
Paf !
Une gifle cuisante sur ma joue droite qui me dévisse quasiment la tête. Outch !
-On ne demande pas sa a une dame Paul. Dit-elle amuser les yeux vitreux.
Je placer un deuxième doigt en elle encore sonné en touchant avec la langue ma joue douloureuse. Elle courbe les reins et gémit en mouillant plus. Elle me laisse faire quelques minutes en déglutissant fréquemment les yeux mi-clos.
Pendant ce temps mon petit cerveau cherche toujours le nom de la vedette mais rien a faire. De plus, intello comme je suis, je ne lit jamais de magasine sur les stars comme le Mercredi…
Mon pouce agace son clitoris. Elle en frémit, se tortille comme si elle avait une grosse envie de pisser et agrippe ma main soudainement très fort pour que je stoppe en laissant ses poumons se vider.
Son front heurte le mien en plein sur mes égratignures. Outch !
-Petit cochon, dit-elle tout bas, tu le fais bien ce que je faisais avec ma soeur, baise-moi Câlice.
-Oui madame.
Elle se coucha sur le dos et remonta ses talons sur la table en soulevant ses seins pour amener ses mamelons a sa bouche. Je sortis mes doigts de son sexe pour empoigner ma bite en fixant son vagin au grandes lèvres déjà gonflé et ouverte. Je me cracher dans la main pour me frotter le gland et bien le lubrifier et la pénétrer en douceur jusqu’a ce que mes couilles touche la table. Je me pencher et commencer à sucer et mordiller ses mamelons avec elle, ou lui sucer la langue et la frencher en sentant le soleil me chauffé les fesses et les couilles. Savoir que Marie en bas n’avait qu’a ouvrir les yeux pour nous voir redoublait mon excitation. Je baisais une lesbienne, sa me tournait dans la tête, qui n’en rêve pas ? J’allais me réveiller un moment donner ses sur.
Je me rappelais hier quand je les espionnais et que Pierrette appliquait de la crème solaire sur le dos et les fesses de Marie. C’est vrai quelle avait l’air d’aimer ça. Hi ! Hi !
N’en pouvant plus, je me redresser en m’agrippant à ses hanches et commencer à la fourrer doucement en la regardant amener sa main droite a son pubis pour se masturber l’autre toujours sur ses seins et se suçant toujours les mamelons l’un après l’autre qui avaient redoubler de volume. Le dos de ses mains était comme sa gorge, recouvert de magnifiques taches de rousseurs. Pourquoi Marie n’en avait pas, pourquoi elle n’était pas rousse comme tout le monde dans sa famille comme elle l’avait mentionner…
Sa me travaillait toujours tandis que nos pubis se tamponnaient durement… Et si…
Je stopper laissant mes mains caresser ses cuisses musclées.
-Ahhh ! Se plaint-elle doucement. Pas déjà ?
-Non, eh… Pierrette ? Fis-je bien décider à en avoir le coeur net.
-Hum ! Fit-elle mollement cessant de se masturber.
-Je peux te poser une question indiscrète ?
-Et ben, Paul, c’est rare les gars qui aime jaser en baisant. Tes une perle toi !
-Of ! Fis-je modestement.
Elle lâcha ses seins en expirant, ceux si roulèrent sur son torse en s’aplatissant jusque sur ses cotes.
-Oui quoi ? Demanda telle en croisant les mains sous sa nuque et laissant ses pieds glisser de la table comme si elle se faisait bronzer. Elle me fixait en souriant.
Elle était si belle avec sa peau blanche et luisante de sueur au soleil, ses seins pendant au pointes dresser, ses taches de rousseur, sa toison rousses et ses cheveux mouiller.
-Ben, quand j’étais jeune…
Je lui conter ma petite histoire rapidement toujours bien bander en elle lui donnant des petits coups de temps en temps tout en caressant son corps si doux et son visage se décomposa. Ensuite je lui expliquer pourquoi je pensais à cela depuis hier.
-Ton non de famille Paul ?
-Tremblay !
Un long silence, un long soupir et elle me prit les mains.
-C’est ta soeur Paul, pas de doute possible. C’est même moi qui suis aller la chercher à Chicoutimi a l’époque pour l’emmener chez ma soeur qui habitait chez nos voisins du sud dans le temps. Mais on m’avait pas dit quelle avait un frère. Les dates correspondent, les évincements, les noms de famille.
-Mais… elle a jamais parler de moi…
-Jamais ! Jamais elle a voulu nous parler de sa famille. Ma soeur la fait examiner par des psy, ils ont dit que; soit elle ne voulait plus se rappeler, soit qu’elle avait oublier à cause traumatisme causé par la mort de sa mère. Elle a toujours agit comme si on était sa vrai famille. A mon avis elle ne se rappelle vraiment pas.
-Décrisses Câlice !
C’était Marie et son écureuil.
-Merde… J’ai baiser ma soeur ! Dis-je doucement en la regardant lancer un bâton au petit a****l qui lui rapporta comme un chien sentant mon petit coeur tout démolie.
-Bof, seigneur Paul fait pas ce face la ! Té pas le premier ! Y en as pas mal plus qu’on pense qui le font. Je crossais mon frère et ses amis moi quand j’étais jeune. On est curieuse nous aussi les filles.
-Wais, mais la on a passé l’age de jouer au docteur Pierrette.
-Ben justement. Ah, mon petit Paul, té amoureux toi on dirait ?
-Pardon !
-Sa ce voie, même Marie s’en et rendu conte. Y as tellement de gars qui tombe amoureux d’elle, mais plus pour son corps qu’autre chose. Elle le sait tout de suite mais avec toi ses différent et elle tripe sur toi aussi.
-Ben non Pierrette, j’aime ma blonde, pis Marie ben… Est bandante a mort cé toute…
-Té sur !
Gros soupir de ma part. Non, j’étais pas sur.
-Mais, je lui dis ou pas ?
-A ta place j’y dirais mais ces a toi de décider. Moi je m’en mêle pas, mais je pense quelle a le droit de savoir. C’est pas croyable comme coïncidence mon petit Paul.
-Merde !
-Hum, pauvre toi. D’un côté tu as retrouver ta soeur perdue depuis 40 ans, mais de l’autre ta le goût de la baiser. Pis pourquoi pas, vous êtes plus des enfants. Dit lui et tu verras bien ce quelle fera et pis vous êtes des étrangers l’un pour l’autre.
Gros soupir et mon disque dur venait de figer.
-Bouge dont un peut Paul…
Je me remit à la besogne l’esprit ailleurs et elle me gifla encore et pas a peut prêt. Ma mâchoire se décrocha quasiment.
-Outch ! Fis-je surprit en frottant ma joue brûlante.
-Paul, quand on honore une fort joli dame comme moi et qui vous offre son corps si généreusement, on le fait sans penser a une autre, hum ! Et elle rit en recommençant à se masturber et moi a me concentrer.
-Ok !
Elle haletait doucement, tournant la tête parfois et déglutissant. Ses orteils se repliaient ou se retroussaient chaque fois quelle accentuait ses pressions au sommet de son sexe. Je laissais mes mains courrirent sur son ventre, ses hanches, ses cuisses et fini par la prendre par les chevilles et lui tenir les jambes en l’air bien écarter pour la mettre avec plus de force et beaucoup plus de plaisir et sa devait s’entendre d’en bas.
Toute la chaire tendre de son corps en sursautait. Quand je tien une femme comme sa je ressens toujours un étrange sentiment de puissance ! Submerger par le plaisir que je ressentais je n’entendit pas Marie arriver, superbe avec ses cheveux mouiller et son long corps dégoulinant d’eau.
Ma soeur !
-Stressez pas je viens juste chercher la crème a bronzé. Tu la emmener ma tante ?
Elle me jeta un petit regard timide sourire au lèvre en repoussant de longues mèche de cheveux humides derrière ses oreilles. Soeur ou pas c’était bandant de baiser Pierrette sous ses yeux, surtout dans cette position.
-Ouf… Fit Pierrette un peut dans les vapes en se pressant un sein se masturbant toujours. Dans la petite poche sur mon sac en avant.
-Pis, lui demandai-je en besognant sa tante, ton écureuil ?
-Y me suit comme un petit chien.
Surprit je tourne la tête et le voit sur une souche qui nous fixe.
Marie trouva la lotion en souriant, rouge jusqu’aux épaules et repartit sans dire un mot tête droite marchant fièrement suivit par son admirateur.
-Ça doit être un mâle ma grande, lui cria Pierrette en riant et gémissant. Les ours, les écureuils, les campeurs, les bûcherons… Ouf… Tu pogne Marie !
-Ben drôle ma tante !
-Les gardes-chasse aussi. Criai-je à mon tour en regardant le beau cul de Marie qui se balance. Je retourne la tête et…
Paf !
Une autre gifle et sur l’autre joue. Ma vue se brouille.
-Outch !
-Toi tu t’occupe de moi mon petit monsieur.
-Oui madame ! Je commence à aimer ça !
-T’en veut une autre ?
-Non merci !
Je repose ses jambes sur la table et m’accroche à ses seins pour la besogner comme un fou.
Pierrette jouis à ce moment la. Ses genoux se plient et se referment et elle arque le dos en gémissant tout bas… Elle rougit jusqu’au seins en ayant l’air de souffrir terriblement et Marie cria.
Je tourner la tête a temps pour voir quelle avait glisser dans les escaliers et déboulait les marches sur les fesses avant de tomber à l’eau. Elle en ressortit très dignement en sacrant tout en se frottant le cul tout rouge.
Je retourner la tête en la reculant pour éviter une gifle. Mais pas cette fois.
J’attendit que Pierrette reprenne son souffle un moment avant de me retirer d’elle et de la faire se relever pour la descendre de la table et l’obliger à ce retourner et se pencher dessus tandis que je lui écartais les cuisses. Je la reprit avec force me tenant à ses hanches en faisant sursauter ses fesses molles. Y manquait que la pleine lune.
Elle gémissait joue contre la table bouche entrouverte si belle, rudement secouer encore une fois avec ses seins écraser sous elle et qui débordait de son torse. Comme dans mon rêve je cracher sur l’anus plisser et y enfoncer mon pouce prudemment. Elle giflait trop bien la vielle dame.
-Hum, fit-elle, petit cochon ! Mais tu me la rentre pas la… Cé trop le fun a bonne place mon grand !
Petite déception.
-Ta un esti de beau cul Pierrette. Lui dis-je fiévreux, essouffler et en sueur en fixant ses fesses blanches comme de la cire.
-Je sais mon beau, profite ans ! Ouf… Ah oui Paul… Cé bon…
Je souris heureux en sortant mon pouce du petit trou pour lui pogner le derrière avec force décider à finir ma petite affaire.
Le soleil commençait à taper dur et moi a fatiguer.
Dix minutes plus tard j’allais jouir quand Marie réapparus.
-Désoler j’ai oublier ma bouteille d’eau. Fit-elle embarrasser en fouillant dans son sac cette fois, si belle, ma grande soeur.
-Les fesses sa vas ? Lui demandai-je en grimaçant mon ventre heurtant le cul de Pierrette bruyamment.
J’eu droit a une autre jolie grimace. J’étais amoureux de ma soeur, sa me frappa de plein fouet a ce moment la et ça me rendit malheureux tout en me faisant conclure.
Je sortis rapidement ma bite du vagin et décharger en l’appuyant sur la craque de fesses de Pierrette. Mon sperme jaillit jusque que sur ses cheveux en s’étalant sur son dos sous les yeux de Marie qui regarda malgré elle ma bite pisser du sperme sur sa tante. Puis elle fila sourire au lèvre retrouver son écureuil sans doute.
Je couvrit les reins et les fesses de Pierrette de foutre liquide et me reculer en me la pressant, en sueur et soulager.
-Désoler ! J’ai de la misère a venir en dedans. Fis-je le souffle court en me la secouant voyant Marie descendre les escaliers avec une extrême prudence. Son corps de mannequin dans la cinquantaine m’obsédait toujours autant.
-Of ! Seigneur Paul, cé pas la première fois qu’on me vient dessus. Dit-elle essouffler elle aussi en se relevant. Ou, sa chatouille sa me coule dans le dos. Elle frissonna malgré la chaleur. Allons nous laver mon grand ! Tu ma fait venir 2 fois !
-Ah, c’est le point G !
-Hein !
-Eh, rien !
Après on se fit bronzer sur le sable tous les trois. La tête me tournait à force de me demander si je devais tout avouer à Marie au risque de ne plus pouvoir la baiser. Un dilemme égoïste. Pierrette me fit un clin d’oeil en crémant le dos, les fesses et les belles cuisses de Marie coucher sur le ventre les yeux clos. Elle en profitait tandis que je la regardais faire en baillant. Une vision céleste.
-Un petit massage ma grande sa te ferait du bien ?
-Hum ! Fit Marie tout sourire en ouvrant un oeil. Sa me tenterais bien mais on a un voyeur juste a côté.
-Tu parle du gars qui baille au corneille ou de ton écureuil ? Dit Pierrette en s’installant à genoux au-dessus des cuisses de Marie en se vidant de la lotion solaire plein les mains en me regardant tout sourire.
Elles rirent
-Fait dodo Paul. M’ordonna Pierrette en se frottant les mains.
Elle rirent encore tandis que je me retournais obéissant et fermait les yeux en baillant à nouveau.
-Une vrai petit chien. Fit Marie.
-Ben oui. Répondit Pierrette. Yé ben dressé, comme ton écureuil. Si un vilain nounours approche, attaque mon petit Paul…
-Wouf ! Wouf ! Fit Marie.
J’entendit vaguement des rires sur un fond de cascade…
… et papa fit dodo.
Y a rien de mieux qu’un écureuil qui vous mordille une oreille pour réveiller un monsieur.
-Fout le camp niaiseux. Lui criais-je en lui jetant des poignées de sable. Chut pas mort imbécile.
L’écureuil criait en se sauvant sur un arbre dessécher amener la par la rivière. Je savais pas que ces petits animaux la étaient nécrophages. Bizarre. Je rouler sur le dos en me frottant l’oreille, je saignais un peut. Les filles étaient assises à la table la haut et riait en mangeant.
Je les rejoignit encore tout endormie en contournant le bassin suivit par l’écureuil qui avait sans doute décider de devenir gai.
Elle me regardèrent drôlement tandis que je déballais mon lunch. Est-ce que Pierrette lui avait tout avouer ?
-Quoi ? Fis-je doucement.
-On dort ici Paul ! M’annonça fièrement Pierrette.
Yes me dis-je surprit, a la déjà tout arranger. Bingo ! Mais je fit semblant d’être surprit.
-Pardon !
Gros rire.
-Ta fait un gros dodo. Dit Marie.
-Et !
-Ben ma tante est retourner à roulotte a l’avait oublié de prendre ses médicaments pis y avait plein de monde en train de filmer mon 4×4. Même Radio canada était la.
-Heureusement j’avais apporter mes vêtements. Spécifia Pierrette. Je leur et dit qu’elle était pas morte, y on sembler déçut.
-Y me semble. Fit Marie amuser en buvant avec une paille du jus d’orange dans un petit contenant en plastique.
-Bref, je leur et dit quelle était retourner à Montréal saine et sauf pour qui nous laissent tranquille mais y avait encore du monde qui arrivait quand je suis repartit. Y se font poser devant le 4×4 en famille. Alors je me suis dit qu’on devrait dormir ici ce soir si on voulait avoir la paix.
-Bonne idée ! Fis-je en repensent au lit.
-J’ai ramener de la bouffe, des couvertes et deux bouteilles de vin, j’en et trouver une chez toi Paul. On devrait être correct, on va se faire un bon feux de camp ce soir pis après aller se coller bien au chaud dans le grand lit.
-Hum ! Fit Marie avec un drôle de sourire. Mais demain on doit partir Paul.
-Hein ! Fis-je déçut. Elle rirent et Pierrette bailla et moi je vis un gros raton laveur courir sur le toit de la cabane et disparaître.
-C’est à mon tour de faire dodo. Nous avertit Pierrette en se levant, baillant encore en s’étirant bras en l’air projetant sa poitrine en avant. Ouf…
On la regarda entré dans la cabane, on entendit hurler une minute plus tard, la porte s’ouvrit et un pauvre raton en sortit cul par-dessus tête a grand coup de balais. Pierrette referma la porte. L’a****l sous le choc, nous regarda un instant avant de filé la queue entre les jambes.
-Sa promets pour cette nuit. Commenta Marie si belle. Ces cheveux avaient sécher et elle plissait les yeux à cause du soleil en croquant dans une pomme seins écraser sur la table. Je me demandais si elle ressemblait à notre mère, mais je n’arrivais plus a me souvenir de son visage depuis longtemps.
Gros soupir encore de ma part.
-J’aurais bien aimer rester encore quelques jours mais la, cé pas possible Paul. Mon téléphone arrête pas de sonner et y faut que je rentre j’ai bien des affaires a régler avant que… Enfin…
La elle eu un autre gros sourire bien mystérieux qui m’intrigua tandis que je déballais en salivant d’envie un bâton de peperoni au boeuf épicé.
-Pas le choix ! Dis-je penaud.
J’en prit une grosse bouchée en mordant à pleine dent dans la viande de cow-boy durcit.
-Pas le choix ! Fit Marie en soupirant. Être toute nue en plein bois comme ça, j’aime vraiment sa Paul. J’aurais aimer rester plus longtemps. Je me sens libre et si bien…
-Ah oui ? Fis-je en grimaçant terriblement. J’avais l’impression d’avoir but du tabasco, pire d’avoir mordu dans de la lave en fusion pas tout à fait solidifier. Ils avaient dut faire une erreur dans le dosage a l’usine.
-Hum, wais, on se sent vraiment libre cé le fun. Pourquoi y as pas de mouche ici ? Ben voyons. Té ben rouge !
La je devais ressembler à une bonne soeur de 112 ans qui grimace car elle me fixa drôlement tandis que je recrachais ma boucher par terre et calait la moitié de ma bouteille d’eau le corps en sueur.
-Jésus-Christ que cé piquant. Dis-je en jetant le peperoni au loin dans les hautes herbes.
-Ça l’air. Fit-elle morte de rire. Té toute en sueur.
-Pas d’eau stagnante, lâchai-je essoufflé, la langue brûlante, les mouches on pas de place pour pondre leur oeuf ! Ouf…
-Génial ! Ah ! J’y pense, dit-elle en fouillant dans le sac a dos de sa tante. Pierrette ta ramener ça quand est passé à ta roulotte pour voir si tu avais du vin.
Elle me tendit une lettre de Suzanne qui avait dut passer sans m’appeler. C’était mauvais signe. Elle me donna aussi un billet de loto.
-Ta chemise était rester dans ma roulotte, dans la poubelle, a la vue le billet qui dépassait de ta poche. Ou ! Fit-elle en se levant, faut que j’aille faire pipi.
Elle prit du papier de toilette dans son sac et fila derrière le campe et elle cria aussitôt…
-Maudit raton laveur, décampe… Woush ! Woush ! Ben voyons, sa marche…
J’ouvris la lettre tandis que du coin de l’oeil je vis le raton apparaître, s’emparer de quelque chose dans l’herbe et grimper sur une souche. Il tenait mon peperoni qu’il déballa habilement avec ses petites mains presque humaines pour s’enfuir ensuite sous les arbres.
Suzanne me laissait encore une fois, se confondant en excuse, elle m’avait ramener l’auto et elle allait déjà ramasser ses affaires a la maison avec l’autre.
Gros, gros soupir.
Ma blonde qui me quitte et Marie, la belle Marie Lemieux qui s’intéresse à moi est ma soeur et je me devais de lui dire. J’étais amoureux de deux filles que je perdais la même journée. Outch !
Mais la, papa manquait de courage et espérait toujours son petit trip a trois. Elle m’excitait toujours autant. Dilemme.
-Je peux, fit Marie qui revenait en pointant le billet jaune et vert.
-Hum !
-Oh, fit-elle en lisant les instructions, mauvaise nouvelle. Ta l’air démoli Paul.
-A me laisse encore !
Un petit air de déception s’affiche sur son visage.
-Pauvre toi, je suis désoler !
-Merci ! Dis-je abattu.
Marie grattait avec ses ongles des cases au hasard et se figea.
-Jésus-Christ Paul.
-Quoi ?
-Ta gagner cent mille !
-Good ! Fis-je platement en regardant le billet puis le raton qui filait vers la rivière a très haute vitesse.
-Good, cé toute. Arrête de sauter joie comme sa tu vas te briser le dos Paul.
Regard vide de ma part.
-Wais ! Ta blonde te laisse, tu gagne cent mille en même temps, cé pas évident c’est vrai. Mais moi chut la tu sais.
La elle me prit les mains en me faisant les yeux doux. Je la regarder confus.
-Paul je pense que je t’aime et ces pas pour ton argent parole de scout. Gros sourire. La blague tombe a plat.
Cette fois, mon disque dur était vraiment figer.
Je lui dis ou pas.
-Sa pas l’air a te faire plaisir Paul ?
-Oh oui ! Dis-je en lui tapotant la main. Vraiment Marie ! Moi aussi je… Je t’aime.
Ses jolis yeux en amande se fermèrent quasiment.
-Hum ! Ta beaucoup de chose a digérer en même temps Paul, je comprends. Mais cent mille quand même, cé beaucoup, tes chanceux dans ta malchance. Prends le temps qui faut pour repenser à tout sa.
-Mon cerveau de gars est comme figé, Dis-je tandis qu’on se serrait les mains comme des ados.
La elle rit.
-Cé un vieux modèle hum !
-Pas mal.
-Té dut pour une mise a jour.
La je regarder la cabane pis la chute, pis le raton qui buvait et buvait et je dis.
-C’est une belle place pour s’installer non. Ouais, je vais acheter ça si je peux, j’aimerais vivre ici. En auto on est pas si loin du village.
-Eh ! Fit-elle avec un air navré. Bonne idée Paul, mais… Désoler j’y avais pensé avant !
Je la fixer indifférent avec sans doute de beaux yeux de poissons.
-Ok, bon, je… Eh… Ah… Le petit terrain ou est ma roulotte peut être ?
Plouf ! Le raton venait de se jeter dans le basin.
-Bonne idée, ben oui Paul. Un beau petit chalet la, se serait super. Vient avec moi ! Fit-elle énerver.
Elle me prit par la main et m’entraîna au bout du terrain envers la cascade. Un sentier grimpait dans les bois et elle marchait devant moi. Good. Par endroit il y avait les reste d’un escalier.
Une fois la haut je vis une grande plate-forme d’observation aussi vétuste que le reste mais encore assez solide. On y grimpa, la vue y était superbe sur la rivière quelle surplombait et la cascade.
-Wow ! Fis-je éblouie.
-Génial hein ! Chut venu voir pis me faire bronzer tantôt en attendant Pierrette. Cé la que j’ai décider d’acheter. J’ai appeler mon agent pis cé faite.
-Pardon !
-Tout sa est à moi Paul, mon agent a trouver rapidement le proprio et y était content de vendre. La y se renseigne déjà pour un contacteur pis un architecte, pis au près de la ville pour le courant, l’eau et pour le téléphone. Je veux rien de compliquer mais une belle petite maison écologique avec une terrasse et de grande vitrine pour voir la chute. Pis j’ai démissionné de Radio canada.
-Hein !
-Y me poussait dans le cul de toute façon pour que je lâche y me trouve trop vieille sans osé me le dire en pleine face. J’aurais put me battre mais j’ai le goût de passé à autre chose, profiter de la vie un peut. Pis la y me manque juste un gars pour sortir les vidanges, couper le gazon, t’en connaît un ?
Je faillit dire… Oui, ton frère. Mais je dit plutôt…
-Ben… Y as le garde-chasse.
-Ben non ! Si j’ai besoins d’un taureau ok mais la je parle d’un gars fin, drôle, séduisant avec de belle petites fesses ben douces.
Elle me fit de beaux yeux tout sourire. Une vrai torture.
-Ah ! Son rare ceux la. Mais j’en connais un.
-Bon !
-Ben Wong !
Elle fit vraiment une drôle de face.
-Qui ! Ben Wong ! Fit-elle décourager en riant, une main sur la bouche. Cé qui sa pour l’amour… Ben Wong ?
-C’est un bel asiatique, fin, drôle et célibataire. Je l’ai vue a télé communautaire le mois passé, cé lui qui a gagner le championnat des mangeurs de truite de Sept-îles. Y as l’air vraiment fin.
Gros rire de quelques minutes puis elle s’essuya les yeux en disant…
-Ok, mais toi, sa t’intéresse pas par hasard. En faite vue que ta blonde ta laisser je pensais que, toi et moi on pourrait s’installer ici… Cé vite mais bon on verra. Tu travail a maison ma dit Pierrette, moi je suis à la retraite. Achète en bas si tu veux, fait construire un petit chalet comme sa si sa marche pas… Pis t’aura ton mot a dire sur la construction de la maison. Qu’est ce que t’en pense ? A notre age, on peut mourir demain ou dans deux minutes. Pense tu que tu pourrais vivre avec ce cul la.
La elle se tourna et me montra ses fesses en souriant.
-Chut étourdie. Dis-je désespérer.
Quoi lui répondre, et le trip a trois, et…
Gros rire tandis que mon disque dur surchauffait.
-Réessaye le si té pas sur.
Elle se tapait les fesses appuyer à la rambarde jambe écarter, je bander dur malgré tout et m’installer derrière elle comme un automate ne pouvant m’en empêcher mais tout de même un peut songeur. J’empoigner ma bite en lui mordillant la nuque a travers ses longs cheveux soyeux et pousser.
-Outch ! Non Paul sa cé encore mon c… Et on hurla.
La vieille rambarde avait cédé, on tomba dans les eaux sombre de la rivière qui, heureusement, était assez profonde a cet endroit pour amortir notre chute. Mais une fois sous l’eau le courant nous tira et on se mit à dévaler la cascade comme dans une glissade d’eau mais cul par-dessus tête en hurlant.
Puis on fut précipiter dans le bassin a grandes vitesses et j’en m’en tirer pas si mal jusqu’a ce que Marie m’envoie un coude dans un oeil et que moi je lui écrase un sein avec mon genou.
Au-dessus de nous le raton fuyait en nageant.
Une fois a genoux sur la plage en crachant de l’eau et toussant on entendit Pierrette crier depuis la cabane.
-Cé juste un raton laveur les jeunes. Je peut tu dormir la…
-Outch, mon sein !
-Outch mon oeil !
On roula sur le dos heureux d’être vivant. Il nous fallu un moment pour nous remettre.
-Jésus-Christ ! Lâcha Marie. Dé petite rénovation s’impose.
-Hum ! Pis t’avait raison, on peut mourir vite a notre age !
On rit à bout de souffle tous les deux.
Elle roula sur le ventre, enleva le sable sur ses fesses et dit en se les tapotant.
-Bon ok ! Vas s’y mais doucement je l’ai étroit et on ma pas fait sa souvent.
-Pardon !
-T’en meurt d’envie Paul ça fait 10 fois au moins que tu t’essaye, encule moi mais doucement.
Elle posa sa tête sur ses bras croiser et ferma les yeux.
Je déglutis en la voyant écarter les jambes un peut et l’écureuil qui me regardait méchamment tout près.
-Sérieuse ?
-Hum ! Hum !
Je fixer son cul bomber et encore ferme et je bander à nouveau comme un plombier arabe effectuant une petite réparation dans un harem.
J’hésitais et sa pouvait se comprendre et la, ma vision périphérique enregistra quelque chose.
Le raton grimpait par les escaliers en se secouant comme un chien mouillé, il avait du sentir la bouffe dans nos sacs car il couru vers la table, y grimpa puis s’empara de quelque chose…
Un petit objet rectangulaire en carton jaune et vert qu’il commença a mâchouiller.
-Nooon…
-Comment sa non, j’offre pas mon cul a tout le monde Paul, ses décevant… Je te jure sa me dérange pas… Hum, aller, soit pas timide, vient…
Je courais déjà comme un malade vers les escaliers…
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