Le soir du 14 juillet, Alain m’a emmené voir le feu d’artifice sur la plage de Jullouville. Il y avait un monde incroyable en cette soirée caniculaire. Je suis restée une petit deux pièces, ce qui ne choque pas sur la plage. D’ailleurs , je ne suis pas la seule à être aussi légèrement vêtue.
A un moment je sens sens une présence pressante dans mon dos. Je sursaute quand une main infiltre dans ma culotte et me pelote une fesse. Je regarde mon mari mais il est subjugué par le feu d’artifice. Trouvant plutôt amusant de me faire tripoter à l’insu d’Alain qui est juste à côté, je laisse l’inconnu qui prend de la hardiesse, explorer mon intimité dans la foule de cette soirée. Ses doigts investissent ma rosette et ma chatte qui commence sérieusement à mouiller. Je ne regarde plus le feu d’artifice et me concentre sur cette main fureteuse.
Voyant que je ne suis pas farouche, je sens un truc dur s’insinuer entre mes fesses. Je me cambre discrètement pour facilité le passage de l’inconnu qui d’un coup de rein me prend le vagin. J’ai cru que j’allais crier de surprise mais surtout de plaisir. Sans m’en rendre compte, alors que le mec commence ses va et viens, je serre un peu plus fort la main de mon mari. C’est là qu’il me regarde et s’aperçoit de l’état de fait..
Il m’a serré la main comme pour me dire :
« Fait-toi plaisir ma chérie. »
Profitant de cette intimité dans l’obscurité, le jeune black passe une de ses main dans mon soutif et me malaxe doucement mon seins gauche en roulant le téton entre ses doigts. Mon mari n’est plus trop sur le feu d’artifice. Il lâche ma main et d’un doigt titille mon bouton. Je dégouline de mouille et me pince les lévre pour ne pas hurler.
Cet échange de bons procédés entre eux dure tout au long du spectacle. Les gens autour de nous ne se rendent pas compte de ce qui se trame à leurs cotés.
Les fusées partent avec des sifflements et des explosions multicolores. Ma respirations se fait rapide et mon baiseur augmente le rythme de mon bourrage. Alain regarde mes réactions avec un petit sourire satisfait. Mes yeux chavirent et je ne réprime plus mes gémissements. Sournois, Alain me glisse à l’oreille :
« Eh bien chérie, il te remplit bien ? Ca te plaît de te faire défoncer par un black sans savoir qui ? »
« Oui … Haaa !!! Chérie… J’vais jouir….. »
A ce moment, C’est le bouquet final. Le black se colle encore plus à moi, en-pomme mes deux seins en les pressant comme des citrons et, bien calé au fond de mon vagin, il se met à décharger dans un grognement sourd et bestial. En inondant avec abondance un torrent de cyprine sur le pieu du type, son sperme se mélange à ma mouille. Je serre les dent pour ne pas hurler quand mon orgasme survient au milieu de cette foule et cela m’excite énormément. Mes jambes ont du mal à me retenir. L’inconnu ressort de la place chaude et humide. De mon trou resté béant, coule un mélange de sperme et de cyprine. Je dis à Alain :
« J’veux sentir ta queue en moi mon chéri ! »
Il n’en faut pas plus pour qu’il remplace mon inconnu. Tellement excité, il me tapisse les parois utérine de son sperme. A ce moment, la tête me tourne de tant de sensations d’extases et mes jambes me lâchent.
Alain me soutient. Sa bite redevenue molle sort de mon trou. Il me dit :
« tu es magnifique quand tu joui comme ça ma chérie. T’es quand même une belle salope ! T’as aimé ton feu d’artifesse ? »
Radieuse, je n’ai pas à lui répondre et lui jette un beau sourire ravageur. Le feu d’artifice s’achève dans un déluge de pétarades. Déjà, les gens quittent la plage. Alain me retourne sans prendre la précaution de me rajuster et m’embrasse à pleine bouche. Alain d’une main me fouille la chatte sans se préoccuper des gens qui quittent la plage. Comme il fait nuit noir, il ne doivent rien voir. Je profite à fond de cet instant fabuleux et ne bronche pas pendant son investigation. Une foi la plage vide, nous nous mettons à poli et plongeons dans la mer pour un bain de minuit merveilleux.
Quand nous ressortons de l’eau, je me met à genoux et prend la queue de mon homme dans la bouche pour le faire rebander. Sa peau est délicieusement salée et je sens un plaisir insidieux remonter en moi en même temps que le pieux de mon homme durci. Je le pompe du mieux de je sais faire en lui pelotant les couilles et en lui enfonçant un doigt dans le cul.
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