Johanne et Ghislaine parties j’étais maintenant seul avec Agathe de son vrai nom. Fait à noter que les deux madames m’avaient proposées de faire du camping nudiste avec elles une journée. Laissant aussi une note sur mon oreiller à propos d’elle. Où il était écrit d’y aller doucement avec leur amie. Parce qu’elle passait des moments difficiles au point de vu personnel. Sachant un peu plus tard qu’elle était en deuil de son défunt mari décédé il y a quelques mois. Avec qui elle avait partagée sa vie durant 44 ans. Discutant avec elle pendant une bonne partie de la journée. Marchant à ses côtés sur le sable des Îles de la Madeleine. Pour nous retrouver au bar du coin en soirée et converser encore. Seulement pour la mettre en confiance. La madame à notre retour discutant toujours avec un café à la main. Pour ensuite nous retrouver dans nos chambre respective. Agathe se présentant une quinzaine de minutes plus tard seins nus dans ma chambre avant que je m’endorme. Prétextant ne pas aimer dormir seule. Elle avait visiblement besoin de compagnie. Mais ne voulais pas avoir de relation sexuelle avec moi pour l’instant. Appuyant par contre sa grosse poitrine contre mon dos allongée dans le lit simple.
Réveillée très tôt au lendemain matin (6 heures) Agathe prenant sa douche. Apparaissant une demi heure plus tard à la cuisine pour me faire des oeufs et quelques tranches de pain grillé. J’avais en passant très mal dormi à ses côtés. La madame prenant toute la place avec sa silhouette voluptueuse. Ronflant aussi par moment dans mon cou. Elle était par contre vraiment très chaude au touchée. Arrivant à la table pour finalement me tournoyer autour avec sa serviette mouillée au torse. Voyant à présent qu’elle commençait à être intéressée. Retournant à la salle de bain pour finir de s’arranger. Revenant comme aux deux jours précédent habillée de façon assez sexy. Portant un pantalon blanc démontrant ses cuisses bien galbées. Puis une camisole de couleur vert kaki avec un décolletée plongeant. Des mailles sur son buste faisant entrevoir le haut sa brassière noire. Une pièce de tissu que j’avais aussi remarqué vendredi et samedi. Elle semblait prête à se faire sauter. Déjà que son odeur m’interpellait à venir la prendre sur le champ. La madame me demandant alors de venir m’approcher un peu plus près.
Debout au salon en nous regardant droit dans les yeux sans bouger ni parler. Je pouvais voir la tristesse dans son regard mais aussi son désir de vouloir s’accoupler. Elle qui m’avait entendue forniquer avec Johanne et Ghislaine en soirée puis au matin. M’adressant la parole un instant…
Agathe – Déshabille toi et garde ton sous-vêtement…
Moi – Ah…Bon…(Enlevant mon t-shirt puis mon short d’été)…
Agathe – Alors…On a la journée pour faire l’amour…Tu le fais où tu veux…Quand tu veux…Jusqu’à épuisement total de tes capacités…Et lésine pas sur les préliminaires…Ma chatte à mon âge peut avoir de la difficulté à bien se lubrifier…
Moi – Ah…Ok…
La madame se déshabillant aussitôt pour me faire une fellation. Fait à noter qu’Agathe était âgée de 64 ans. Était veuve et sans enfant chanteuse de profession. Blonde aux yeux verts portant des lunettes. Une très belle femme ronde avec des courbes chaleureuses. Un peu plus petite que moi mesurant 5 pieds 2 pouces. Caressant sa vulve poilue pour ensuite lécher sa fente. Pinant la madame en levrette d’une cadence moyenne sur le divan car elle préférait l’amour à la baise. Dans la pénombre devant une vitrine de la maison donnant sur la cour arrière. Une plage situé un peu plus loin. Quelques passant pouvaient nous voir en pleine action. Fourrant la grosse madame un peu plus rapidement elle commençait à jouir. Des sons de pénétrations mouillées résonnant dans toute la pièce. Elle semblait prendre son pied.
Entreprise à six reprises durant la journée. Me permettant même de la prendre par la deuxième porte à la cinquième. Juste pour donner un peu de répit à sa vulve hautement sollicitée. Mouillant comme une chienne elle n’avait jamais été entreprise aussi farouchement par un homme. Reflétant par moment quelques séquences charnelles orchestrées par Hilmir Snaer Gudnason et Victoria Abril dans Reykjavik 101. Fourrant la madame debout par en arrière. Avec ses deux mains appuyées sur le frigidaire devant. Plusieurs jets de cyprine éclaboussant le plancher de bois durant l’interaction. Empoignant son lourd fessier puis sa grosse poitrine ronde. Agathe était une femme ultra chaude et complètement soumise à mes soubresaut. J’avais adoré faire le position du 69 avec elle. Tergiversant vers une simple répétition des mouvements de son bassin sur mon visage humidifié.
Définition de soubresaut – Saut brusque d’un a****l – Secousse imprévue – Mouvement du corps convulsif et violent –
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