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Ma copine prise dans l’escalier

Ma copine prise dans l’escalier



Ceci se passe en fin de soirée, par une entêtante nuit d’été. Nous quittons une fête arrosée pour descendre l’escalier qui nous mènera à l’air libre. A mi-chemin et entre deux étages, tenté par une alcôve fenêtrée, je t’ordonne de t’arrêter. Je t’embrasse, te chauffe un peu en te caressant les cuisses, les seins, le cul… puis te fais te positionner face à la fenêtre, accoudée. Tu te laisses faire, offerte, remuant tes fesses par défi, n’hésitant pas à les frotter contre mon pantalon dont la forte protubérance ne te laisse nul doute sur ce qui va t’arriver. Je te murmure à l’oreille :

-J’ai envie de toi, ma belle… De te prendre tout de suite, dans l’escalier, comme la jeune salope que tu es.

Je relève ta jupe et abaisse ta culotte à mi-cuisse, avant de constater que tu es déjà toute humide. Je retire mes doigts de ta chatte trempée en te demandant de retirer totalement ta culotte, et de me la donner. Tu t’empresses d’exécuter mes ordres avant de me supplier de te prendre. Quelques pressions sur ton clitoris te font écarter largement les cuisses et c’est sans vergogne que je te pénètre, bien profondément, au beau milieu d’un escalier qui n’est plus que sobrement éclairé par la lune. Je t’entends gémir, je te sens te mordre les lèvres pour t’empêcher de crier, et tout en te traitant de traînée j’accélère le rythme de mes vas-et-viens pour te faire gueuler. Tu lâches en couinant :

-Hmm… J’aime me sentir remplie par ta bite bien dure, tout au fond de moi… Je suis à ta disposition pour que tu me prennes n’importe où…

Tu es trempée et j’ai l’impression que ta mouille va bientôt se répandre jusqu’à lubrifier les marches de l’escalier… Voulant éviter tout incident, je te presse davantage contre le renfoncement de la fenêtre et te démonte vigoureusement le cul, un doigt sur tes petites lèvres. Mes vas-et-viens génèrent des cris étouffés et quand je te préviens que je vais venir, tu me supplies de venir en toi, de remplir ta petite chatte de mon sperme. Très vite je m’abandonne, je répands ma semence en toi et me vide complètement, en te disant que tu es ma pute. En me retirant je vois que tu me regardes avec ton air de petite salope satisfaite, puis tu t’essuies en peu en feignant de te plaindre de la quantité que je t’ai administrée. Par jeu, je décide de conserver ta culotte.

C’est donc en simple jupe que tu quittes avec moi l’immeuble, et tu rougis quand tu croises des passants qui ignorent que tu es nue sous ta jupe. Ton excitation augmente quand tu t’exclames à mon oreille :

-Ça coule !! Je sens ton sperme qui coule le long de mes cuisses…

Nous croisons encore des passants innocents et tandis que ma semence serpente le long de tes cuisses, tu me susurres à l’oreille :

-Ils peuvent voir que je suis ta pute, ta traînée…

Nous atteignons le métro et je m’assois en face de toi, espérant mater ta chatte souillée. Tu écartes les cuisses et ta jupe courte me permet d’avoir une vision parfaite de ton entrejambe. N’importe qui à ma place pourrait voir que tu ne portes pas de culotte, et peut-être aussi que tu es encore toute humectée de mon sperme. Des hommes regardent sans comprendre cet air à la fois fier et gêné, terriblement sensuel, que tu arbores. Ils comprennent finalement à nos échanges de regards : « Elle est sienne, elle est chienne ».

BIEN SUR J’ATTENDS VOS COMMENTAIRES….

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