A cette époque je faisais mon service militaire dans un chef-lieu de province. Coté sexe c’était pas le Pérou, mais sur la fin j’avais une copine, Chantal, pas bombasse mais cool et pas farouche. Un samedi après-midi d’été où j’avais quartier libre, nous sommes allés chez elle car ses parents avaient une piscine. Comme il y avait du monde nous sommes restés sages. Ses parents, des notables la petite cinquantaine, plutôt bien de leur personne était sympas.
Ma copine avait comme boulot ambulancière, elle était ce Week end là d’astreinte, et devait rejoindre sa boite en cas d’intervention. Cela ne manquât pas, et elle du partir, me demandant de rester chez elle. Il y avait un match à la TV et donc finalement j’attendais tranquillement dans le salon.
Un moment plus tard ses parents, Jacques et Sabine, vinrent se baigner dans leur piscine. Je les entendais se chahuter dans l’eau. Puis un instant plus tard ils sont revenus à l’intérieur en peignoirs, Jacques me demandant quel était le score. Puis il demanda à sabine de nous apporter à boire se qu’elle fit avec gentillesse. Là les choses devinrent très inattendues.
Alors que Sabine était devant nous en peignoir, Jacques assis a côté de moi sur le canapé me demanda :
« – Comment tu la trouve Sabine ?
– Charmante, dis-je un brin gêné
– Mais encore ?
– …… »
Alors jacques s’adressa à sa femme
« – Montre-lui ce que tu as de beau »
Là sabine ouvrit son peignoir, elle était à poil, avec de beaux seins assez lourds, une chatte partiellement épilée et un bronzage intégral.
J’étais scotché et ne parvenais pas à détourner mon regard de ce corps qui donnait très envie. Jacques me dit :
« Tu te la ferai bien, hein ?
– J’avoue que j’ai du mal à rester de marbre…. »
Et là, se passa quelque chose d’encore plus inattendu, Sabine déclara :
« – Ce que Jacques ne te dis pas c’est qu’il a une bite de compétition, montre lui toi aussi ! »
Là elle vint elle-même ouvrir le peignoir de Jacques faisant apparaitre une bite comme je n’avais jamais vu, franchement impressionnant. Et elle commença à se mettre à genou devant lui et à lui malaxer son énorme engin qui commençait à prendre une forme impressionnante. Se tournant vers moi elle me dit :
« tu en as déjà vu une comme ça ?
– Non jamais c’est impressionnant
– Tu veux la toucher ?
– Heu…
– Vas-y tâte un peu la marchandise »
Là presque sonné j’avançais la main, et je n’arrivais pas à faire le tour de ce membre
« – Vas-y branle la, me dit-elle, il aime bien »
Je m’activais de mon mieux, c’étais la première fois que je tripotais une autre bite que la mienne, et j’étais subjugué
« – Toi je sens que tu va la sucer aussi, tu en meurs d’envie » ajouta-t-elle
Je me vois en train d’essayer de gober pour la première fois une bite énorme. Jacques ajouta au bout de quelques minutes :
« – Il suce bien le salaud »
Sabine repris son bien, elle se mit à califourchon sur lui et engouffra sa queue dans sa chatte. Elle se pâmait de plaisir et au bout d’un moment m’expliqua ajouta qu’elle adorait se faire défoncer par son mari mais que pour la sodomie, il était vraiment trop gros. Elle me demanda alors se s’approcher d’elle et fit descendre mon short, j’avais une trique d’enfer. Elle commença à me sucer goulument et me faisait monter la pression, et dit à son mari :
« – elle est très bien cette queue, vous allez pouvoir me prendre tous les deux ensemble »
Elle se cambra et je vins me mettre derrière elle, et lui mit ma queue bien au fond . C’était mon premier sandwich, c’était génial. Sabine appréciait et en demandait encore et encore. Je ne tins pas longtemps dans ces conditions et je déchargeais tout mon jus sur le dos de Sabine.
A ce moment-là Sabine se releva me fit face et de réempala sur l’énorme bite de son mari. Et me dit :
« – viens me sucer le clito pendant que Jacques me fourre »
Je m’exécutais et découvrais le plaisir de ressentir une femme jouir sous ma langue et la pénétration . Là, Jacques commença à prévenir qu’il allait décharger, Sabine se retira et je pris cet énorme chibre pour le terminer en bouche. Quelques instant plus tard, j’avais une belle giclée de foutre dans la bouche, que je me décidais à avaler pour la première fois.
« – Il est très bien ce jeune dit Jacques, je sens qu’on va bien apprécier sa compagnie », dit-il pendant que je continuais à branler sa queue,
« – Mais il y a Chantal ! », dis-je avec un brin de remord,
Là Sabine m’expliqua qu’ils étaient un couple libertin et qu’ils organisaient des partouzes de temps en temps, et que Chantal leur fille participait notamment pour donner le change à leurs amis, leur dames se faisant fourrer par l’énorme bite de Jacques pendant que ces messieurs profitaient de la jeunesse de Chantal qui aimait tout faire. Ils me dirent qu’il n’y aura pas de problème pour m’intégrer au groupe et que quelques amies bourgeoises seraient enchantées de s’occuper de moi comme il me conviendra…..
A suivre
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